forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
xxp (?)
« Qui aurait déjà rencontré au sein d’une association de copropriétaires (ACP)
un copropriétaire qui depuis plusieurs années assigne l’association en justice
en vue de faire annuler systématiquement toutes les assemblées générales
(8 au total déjà) pour illégalité, soit de l’ordre du jour, soit ..., etc. et ensuite
demande au juge de paix de nommer un syndic provisoire chargé de vérifier
la gestion au niveau de la comptabilité.
Ce copropriétaire négligeait de payer ses charges et suite à une première
décision du juge de paix partiellement en sa faveur
(salle trop petite pour une 1ere assemblée générale),
le syndic a été contraint de recommencer l’ assemblée générale de l’année précédente.
Avant même que cette assemblée ne débute, le syndic recevait une nouvelle
citation en justice en annulation de cette assemblée non encore ouverte.
Récemment notre association a reçu un ORDRE DE PAIEMENT provenant de
son huissier de justice qui exige plus de 27.000 euros en sa faveur
suite à la prétendue non-exécution des décisions de justice,
alors que les arrêtés du jugement avaient été exécutés par notre ACP
et que le juge de paix a placé les autres citations de ce copropriétaire
en délibéré.
Il n’y a pas de décision de justice en sa faveur, à ce jour et il exige
néanmoins par exploit d'un huissier de justice une telle astreinte
entièrement injustifiée et injustifiable à ce stade de la procédure judiciaire
Ce copropriétaire a contrôlé personnellement les comptes de la gestion du syndic
et a découvert une GROSSE erreur de UN cent sur un budget supérieur à 600.000 €.
Je reprends ici sa propre déclaration lors de notre dernière assemblée générale
qu'il conteste d'autre part
Si d’autres copropriétés connaissent des cas semblables, cela m’intéresserait. »
Merci
casimir
Hors ligne
casimir a écrit : Je réitère ma demande d'éclaircissement du 19/05
Lors du dernier symposium du CNIC, des experts sont intervenus et j'ai reçu d'un membre du comité du CNIC un document dans lequel il est écrit : "L'assemblée Générale n'est pas souveraine mais bien autonome". Cet extrait figure dans le premier point de ce document, point intitulé "DOCTRINE".
Cette petite phrase se trouverait, sous toute réserve car je ne l'ai pas lu, dans le numéro 2006/1 de l'édition KLUWER "rechtskundig vaktijdschrift", selon ce même document dont la finalité visait à déclarer illégale l'AG prévue le lendemain.Dans le journal du SNP Le cri N° 303 d’avril 2006, je lis dans l'éditorial de Monsieur Olivier Hamal, Vice-Président national du Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires (SNP)
p. 1-2 « (…) Assemblée Générale, dont il ne faut jamais oublier qu’elle reste l’organe souverain de la copropriété. Qui paie décide. »Avec mes souvenirs de mes études greco-latines, autonome = sa propre loi.
et souverain dérive de "super" c'est-à-dire "au-dessus".Dès lors l'AG est-elle l'organe suprême de décision de la copropriété ou est-elle autonome quant à ses décisions ?
casimir
Et si l'ag était à la fois autonome et souveraine ? Cela ne vous conviendrait-il pas ? Ce n'est pas contradictoire, n'est-ce pas ? Les Etats-Unis d'Amérique sont un Etat autonome et souverain.
Pas si simple, à mon avis. Et au niveau des Etats encore moins.
Par exemple les USA. Si souverain à l'intérieur de l'Etat, pas de problème. C'est "The President"
Mais souverain par rapport aux autres Etats ? Vieux rêve de l'impérialisme. Les discussions sont ouvertes
mais hors cadre de ce forum "corpropriété"
Autonome ? La loi du marché libéral ? pas évident non plus !
Revenons à nos moutons.
Je m'interroge sur le sens que les uns (CNIC) et les autres (SNP) donne à leurs propos y relatifs.
casimir
Hors ligne
tempura a écrit : casimir a écrit : Je réitère ma demande d'éclaircissement du 19/05
Lors du dernier symposium du CNIC, des experts sont intervenus et j'ai reçu d'un membre du comité du CNIC un document dans lequel il est écrit : "L'assemblée Générale n'est pas souveraine mais bien autonome". Cet extrait figure dans le premier point de ce document, point intitulé "DOCTRINE".
Cette petite phrase se trouverait, sous toute réserve car je ne l'ai pas lu, dans le numéro 2006/1 de l'édition KLUWER "rechtskundig vaktijdschrift", selon ce même document dont la finalité visait à déclarer illégale l'AG prévue le lendemain.Dans le journal du SNP Le cri N° 303 d’avril 2006, je lis dans l'éditorial de Monsieur Olivier Hamal, Vice-Président national du Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires (SNP)
p. 1-2 « (…) Assemblée Générale, dont il ne faut jamais oublier qu’elle reste l’organe souverain de la copropriété. Qui paie décide. »Avec mes souvenirs de mes études greco-latines, autonome = sa propre loi.
et souverain dérive de "super" c'est-à-dire "au-dessus".Dès lors l'AG est-elle l'organe suprême de décision de la copropriété ou est-elle autonome quant à ses décisions ?
casimir
Et si l'ag était à la fois autonome et souveraine ? Cela ne vous conviendrait-il pas ? Ce n'est pas contradictoire, n'est-ce pas ? Les Etats-Unis d'Amérique sont un Etat autonome et souverain.
Pas si simple, à mon avis. Et au niveau des Etats encore moins.
Par exemple les USA. Si souverain à l'intérieur de l'Etat, pas de problème. C'est "The President"
Mais souverain par rapport aux autres Etats ? Vieux rêve de l'impérialisme. Les discussions sont ouvertes
mais hors cadre de ce forum "corpropriété"
Autonome ? La loi du marché libéral ? pas évident non plus !
Revenons à nos moutons.
Je m'interroge sur le sens que les uns (CNIC) et les autres (SNP) donne à leurs propos y relatifs.casimir
L'ag est autonome parce qu'elle fait ses propres règlements internes et arrête ses modalités de fonctionnement.
Elle est souveraine parce qu'elle n'est pas hiérarchiquement subordonnée à un quelconque pouvoir supérieur qui pourrait annuler, modifier ou imposer des décisions.
Mais cela ne signifie pas que l'assemblée jouit d'une autonomie et d'une souveraineté absolue. Elle est, bien sûr, tenue d'agir dans le cadre légal qui lui a conféré cette autonomie et cette souveraineté et dans le cadre légal général qui gouverne la vie sociale en Belgique, en l'occurrence.
C'est le pouvoir judiciaire qui, constitutionnellement, est chargé de veiller au respect de ce cadre.
Dans cette limite, elle est à la fois autonome et souveraine, à mon modeste avis.
Hors ligne
casimir a écrit : tempura a écrit : casimir a écrit : Je réitère ma demande d'éclaircissement du 19/05
Lors du dernier symposium du CNIC, des experts sont intervenus et j'ai reçu d'un membre du comité du CNIC un document dans lequel il est écrit : "L'assemblée Générale n'est pas souveraine mais bien autonome". Cet extrait figure dans le premier point de ce document, point intitulé "DOCTRINE".
Cette petite phrase se trouverait, sous toute réserve car je ne l'ai pas lu, dans le numéro 2006/1 de l'édition KLUWER "rechtskundig vaktijdschrift", selon ce même document dont la finalité visait à déclarer illégale l'AG prévue le lendemain.Dans le journal du SNP Le cri N° 303 d’avril 2006, je lis dans l'éditorial de Monsieur Olivier Hamal, Vice-Président national du Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires (SNP)
p. 1-2 « (…) Assemblée Générale, dont il ne faut jamais oublier qu’elle reste l’organe souverain de la copropriété. Qui paie décide. »Avec mes souvenirs de mes études greco-latines, autonome = sa propre loi.
et souverain dérive de "super" c'est-à-dire "au-dessus".Dès lors l'AG est-elle l'organe suprême de décision de la copropriété ou est-elle autonome quant à ses décisions ?
casimir
Et si l'ag était à la fois autonome et souveraine ? Cela ne vous conviendrait-il pas ? Ce n'est pas contradictoire, n'est-ce pas ? Les Etats-Unis d'Amérique sont un Etat autonome et souverain.
Pas si simple, à mon avis. Et au niveau des Etats encore moins.
Par exemple les USA. Si souverain à l'intérieur de l'Etat, pas de problème. C'est "The President"
Mais souverain par rapport aux autres Etats ? Vieux rêve de l'impérialisme. Les discussions sont ouvertes
mais hors cadre de ce forum "corpropriété"
Autonome ? La loi du marché libéral ? pas évident non plus !
Revenons à nos moutons.
Je m'interroge sur le sens que les uns (CNIC) et les autres (SNP) donne à leurs propos y relatifs.casimir
L'ag est autonome parce qu'elle fait ses propres règlements internes et arrête ses modalités de fonctionnement.
Elle est souveraine parce qu'elle n'est pas hiérarchiquement subordonnée à un quelconque pouvoir supérieur qui pourrait annuler, modifier ou imposer des décisions.
Mais cela ne signifie pas que l'assemblée jouit d'une autonomie et d'une souveraineté absolue. Elle est, bien sûr, tenue d'agir dans le cadre légal qui lui a conféré cette autonomie et cette souveraineté et dans le cadre légal général qui gouverne la vie sociale en Belgique, en l'occurrence.
C'est le pouvoir judiciaire qui, constitutionnellement, est chargé de veiller au respect de ce cadre.
Dans cette limite, elle est à la fois autonome et souveraine, à mon modeste avis.
C'est clairement dit CQFD,
casimir
Hors ligne
Je pense que l'assemblée générale est à la fois souveraine et autonome. L'un n'empêche pas l'autre.
Elle est souveraine parce qu'elle préside à toute décision la concernant, nomme et révoque, statue, peut se réunir en assemblée générale extraordinaire si nécessaire, etc. Inutile de recopier la loi.
Elle est autonome parce qu'elle prend ses prend ses décisions seule, sans influence, de manière indépendante, avec comme seules limites la loi, les bonnes moeurs, l'ordre public et, bien entendu, l'acte de base et le règlement de copropriété.
Je crois que c'est en ce sens qu'il faut comprendre ces deux mots et qu'il n'y a vraiment pas lieu de les opposer, ce qui ne ferait qu'alimenter une vaine polémique.
Hors ligne
perseverant a écrit :
Je crois que c'est en ce sens qu'il faut comprendre ces deux mots et qu'il n'y a vraiment pas lieu de les opposer.
Excusez de répondre car ce n'est pas pour dire le dernier mot,
mais tout simplement dire bravo pour vos propos de bon sens.
casimir
Hors ligne
Comment et quand faut-il exécuter une décision de justice ?
A la requête de deux CP, lambda et mu, les jugements en date du XX/XX/2005 et du YY/YY/2005 condamnent l’ACP à recommencer l’AG 2004.
Jusqu’à ce jour (11 mai 2006) l’ACP n’a toujours pas reçu des parties requérantes le décompte des frais à payer ni le numéro de compte sur lequel ces frais devraient être payés.
En date : 27/03/2006, l’ACP reçoit une lettre invitant le futur président de l’AG du 28/03/2006 à déclarer l’ordre du jour de l’AG illégal pour au moins un point. En page 2/5 de cette lettre figure le texte suivant :
« Les frais de justice des jugements concernés ne sont pas encore payés par l’ACP aux parties requérantes. Les frais exigibles sont probablement déjà plus hauts qu’initialement prévus. Ceci ne peut témoigner que d’une situation des caisses financièrement précaire ou d’un abus de pouvoir. »
En date du 28/04/2006 une des deux parties requérantes lambda, par la voie d’un huissier de justice, fait parvenir à l’ACP un ordre de paiement dont le montant de 27392 € comprend leurs frais et les astreintes prétendument dues (affaire actuellement en délibéré), à payer au seul lambda.
Comment résoudre ce problème concret ?
casimir
Hors ligne
Quel était le délai des décisions de justice?
La décision était-elle (est-elle) susceptible d'appel?
Pourquoi les actions imposées par le jugement n'ont pas été réalisées?
C'est le syndic qui devait reconvoquer l'AG. Qu'en dit-il?
Trop de question pour un problème vachement compliqué.
En ligne
Quel était le délai des décisions de justice?
La décision était-elle (est-elle) susceptible d'appel?
Pourquoi les actions imposées par le jugement n'ont pas été réalisées?
C'est le syndic qui devait reconvoquer l'AG. Qu'en dit-il?Trop de question pour un problème vachement compliqué.
Le délai était non spécifié !
Décision susceptible d'appel, oui. Mais vu la cause (salle trop petite pour la 1er AG), CG + syndic ont estimé les faits incontestables. Dans le but d'éviter des frais inutiles à l'ACP, il n'y a pas eu appel.
Les actions ont été réalisées (nouvelle AG) Mais les deux requérants estiment cette AG illégale (affaire actuellement en délibéré)
Le syndic a fait le nécessaire: convocation de la nouvelle AG dès le jugement signifié par les requérants.
casimir
Hors ligne
Je cite ci-dessous le 6ème point de leur requête dans nos deux langues (il y en a trois) nationales.
La procédure ne pouvait se dérouler que dans la langue du plaignant. La traduction dans l'autre langue est de mon cru.
Les requérants exigent :
(6) condamner les défenderesses à rédiger, à leurs frais, une traduction en français du jugement à venir, dans les 30 jours après la signification du jugement, sous peine d’une astreinte de 100 EUR par jour,
(6) verweerster op haar kosten te veroordelen tot het opstellen van een vertaling in het Frans van het tussen te komen vonnis, binnen de 30 dagen na de betekening van het vonnis, op straffe van een dwangsom van 100 EUR per dag,
Ci-dessous un extrait de ma lettre ouverte adressée à tous les copropriétaires et résidants de nos immeubles.
« Un autre point ne me fait plus rire du tout dans notre beau pays de belgitude. Le plaignant exigeait de la justice, rendue en néerlandais, que le jugement soit traduit en français par le condamné dans les 30 jours du prononcé sous peine d’astreinte de 100 euros par jour. Je crois rêver. « Stel u voor dat een Franstalige rechtbank zoiets eist tegenover een in het Frans veroordeelde Vlaming ». – Imaginez un tribunal francophone formulant une telle exigence pour un Flamand condamné en français - . J’en appelle à tous mes ancêtres. Réveillez-vous, nous sommes devenus fous. »
J’y ajoute :
Evidemment, j’exagère, pourriez-vous croire. Mais les faits sont les faits et sont actés.
Etant Flamand et francophone, mes ancêtres cernent encore aujourd’hui l’église protestante de Sint-Maria-Horebeke dans les Ardennes Flamandes (Il y en a une autre à Dour). Ils ont combattu le Roi d’Espagne sous la férule d’un jeune capitaine avec tous les Gueux de Flandre. Gueux, faites revivre aujourd’hui les « Haegepreeck » tenues jadis dans vos jardins.
Quid de l'emploi des langues dans notre région de Brxelles Capital ?
Casimir
Hors ligne
Un jugement est un jugement. Soit vous vous y soumettez, soit vous faites appel.
Vous n'avez pas fait appel? Soumettez-vous...
En ligne
Un jugement est un jugement. Soit vous vous y soumettez, soit vous faites appel.
Vous n'avez pas fait appel? Soumettez-vous...
Je ne comprends pas !!!
Le syndic et l'ACP se sont soumis.
Une nouvelle AG fut organisée ET
tous les points exigés par Un requérant ont été repris à l'agenda de l'AG.
Que fallait-il faire de plus pour se soumettre ?
casimir
Hors ligne
Quid de l'emploi des langues dans notre région de Brxelles Capital ?
Le juge de paix de Woluwe St Pierre (25/04/2003) a jugé qu'un syndic ne doit fournir de documents dans l'autre langue nationale que sur décision de l'assemblée générale. Il s'est basé sur le fait que l'emploi des langues parlées en Belgique est libre et sur l'article 38d du code de déontologie de l'IPI. La décision est frappé d'appel. (Source de l'info Astuce & Conseils immobilier )
L'article 38d du code de déontologie stipule que "l'agent immobilier, syndic, rédige tous les documents légaux conformément au statut linguistique de la commune où est située la copropriété. Si une gestion multilingue est nécessaire ou souhaitée par les copropriétaires, elle fait l'objet d'une rémunération supplémentaire, à charge de la copropriété, et à préciser dans le mandat. "
Hors ligne
Si j'ai bien compris, la partie adverse a demandé et obtenu en justice une astreinte de 100€/jour pour avoir une traduction.
Vous refusez de faire la traduction, mais vous dites que vous vous soumettez au jugement. Je ne comprend pas...
En ligne
Si j'ai bien compris, la partie adverse a demandé et obtenu en justice une astreinte de 100€/jour pour avoir une traduction.
Vous refusez de faire la traduction, mais vous dites que vous vous soumettez au jugement. Je ne coprends pas......
Grmff,
Vous n'êtes pas le seul, mais les autres n'osent peut-être pas pas le dire.
J'ai abandonné depuis longtemps.
Les explications du type "baxter" (goutte à goutte) risquent de durer et le malade sera mort avant d'avoir parlé.
Quand il n'y à plus personne pour jouer, la partie s'arrête.
Bon weed end.
Hors ligne
Si j'ai bien compris, la partie adverse a demandé et obtenu en justice une astreinte de 100€/jour pour avoir une traduction.
Vous refusez de faire la traduction, mais vous dites que vous vous soumettez au jugement. Je ne comprend pas...
Très bien mais sur ce point précis le requérant a été débouté par le juge. Demande jugée non fondée (ongegrond). Dans un jugement il y a les demandes du plaignant et le prononcé du jugement. Faut pas confondre les deux bien que figurant sur un même document.
Le juge a condamné le syndic et l'ACP et je résume sans omettre un seul point de notre condamnation:
(1) Recommencer l'AG 2004 car cette 1ere AG était factice (salle trop petite) Il y a combien de cas semblables dans notre pays ? Je serais curieux car je sais que ce point fait l'objet de discussion en vue de changer la loi. Mais nous nous sommes soumis. dura lex sed lex !
(2) Reprendre tous les points du plaignant sur l'agenda de l'AG.
Nous nous soommes soumis au jugement. Mais faut-il ajouter que cela n'a pas profité beaucoup au plaignant car tout était en néerlandais. Devinez qui a traduit pour le plaignant ? réponse : casimir mais j'ai des oeillères (3) Permettre au plaignant de consulter les comptes du syndic. Ce qui fut fait. Nous nous sommes soumis.
Devinez la grosseur du trou découvert ? 1 cent sur un budget de 600000 €. (propos acté par huissier)
(4) toutes les autres demandes (eisen) ont été jugées non-fondées (ongegrond)
Faut-il être plus clair ?
casimir
Hors ligne
Grmff a écrit : Si j'ai bien compris, la partie adverse a demandé et obtenu en justice une astreinte de 100€/jour pour avoir une traduction.
Vous refusez de faire la traduction, mais vous dites que vous vous soumettez au jugement. Je ne comprend pas...
Très bien mais sur ce point précis le requérant a été débouté par le juge. Demande jugée non fondée (ongegrond). Dans un jugement il y a les demandes du plaignant et le prononcé du jugement. Faut pas confondre les deux bien que figurant sur un même document.
Le juge a condamné le syndic et l'ACP et je résume sans omettre un seul point de notre condamnation:
(1) Recommencer l'AG 2004 car cette 1ere AG était factice (salle trop petite) Il y a combien de cas semblables dans notre pays ? Je serais curieux car je sais que ce point fait l'objet de discussion en vue de changer la loi. Mais nous nous sommes soumis. dura lex sed lex !
(2) Reprendre tous les points du plaignant sur l'agenda de l'AG.
Nous nous soommes soumis au jugement. Mais faut-il ajouter que cela n'a pas profité beaucoup au plaignant car tout était en néerlandais. Devinez qui a traduit pour le plaignant ? réponse : casimir mais j'ai des oeillères (3) Permettre au plaignant de consulter les comptes du syndic. Ce qui fut fait. Nous nous sommes soumis.
Devinez la grosseur du trou découvert ? 1 cent sur un budget de 600000 €. (propos acté par huissier)
(4) toutes les autres demandes (eisen) ont été jugées non-fondées (ongegrond)Faut-il être plus clair ?
casimir
Bon, ben alors tout baigne. Un jugement a été prononcé, la copropriété s'y est conformée. On peut repartir sur de bonnes bases et utiliser son énergie à développer des projets communs pour le bien de tous plutôt qu'à se bagarrer comme des gamins.
Les demandeurs estiment cependant que le jugement n'a pas été exécuté correctement. L'affaire est devant le juge. Il n'y a qu'à attendre son jugement et s'y conformer.
C'est facile. A quoi servent toutes ces considérations "collatérales" ?
Hors ligne
casimir a écrit : Grmff a écrit : Si j'ai bien compris, la partie adverse a demandé et obtenu en justice une astreinte de 100€/jour pour avoir une traduction.
Vous refusez de faire la traduction, mais vous dites que vous vous soumettez au jugement. Je ne comprend pas...
Très bien mais sur ce point précis le requérant a été débouté par le juge. Demande jugée non fondée (ongegrond). Dans un jugement il y a les demandes du plaignant et le prononcé du jugement. Faut pas confondre les deux bien que figurant sur un même document.
Le juge a condamné le syndic et l'ACP et je résume sans omettre un seul point de notre condamnation:
(1) Recommencer l'AG 2004 car cette 1ere AG était factice (salle trop petite) Il y a combien de cas semblables dans notre pays ? Je serais curieux car je sais que ce point fait l'objet de discussion en vue de changer la loi. Mais nous nous sommes soumis. dura lex sed lex !
(2) Reprendre tous les points du plaignant sur l'agenda de l'AG.
Nous nous soommes soumis au jugement. Mais faut-il ajouter que cela n'a pas profité beaucoup au plaignant car tout était en néerlandais. Devinez qui a traduit pour le plaignant ? réponse : casimir mais j'ai des oeillères (3) Permettre au plaignant de consulter les comptes du syndic. Ce qui fut fait. Nous nous sommes soumis.
Devinez la grosseur du trou découvert ? 1 cent sur un budget de 600000 €. (propos acté par huissier)
(4) toutes les autres demandes (eisen) ont été jugées non-fondées (ongegrond)Faut-il être plus clair ?
casimir
Bon, ben alors tout baigne. Un jugement a été prononcé, la copropriété s'y est conformée. On peut repartir sur de bonnes bases et utiliser son énergie à développer des projets communs pour le bien de tous plutôt qu'à se bagarrer comme des gamins.
Les demandeurs estiment cependant que le jugement n'a pas été exécuté correctement. L'affaire est devant le juge. Il n'y a qu'à attendre son jugement et s'y conformer.
C'est facile. A quoi servent toutes ces considérations "collatérales" ?
OK également mais je connais un vieux proverbe japonais:
"Le clou qui dépasse rencontrera le marteau"
Et comme vous, je dis "le bien commun".
Mais tout continue et si vous relisez mes commentaires précédents, vous verrez, j'espère,
qu'en laissant tomber les oeillières, en inversant mes verres de lunettes, et plus concrètement
en traduisant même tout ce que ce CP demande, et en informant TOUS les copropriétaires
de ce qu'il exige (traduction fidèle et vérifiée par un néerlandophone patenté), cela ne s'arrête pas.
Déjà dit, je me redis, il est fier d'avoir déjà 15 citations en justice (acté en AG par huissier).
Mais que faire ?
Celui qui a une solution sans vindicte, peut se faire connaître.
Car en attendant le dialogue prétendu sans informer ceux qu'il invite à la conciliation,
et ensuite remettant son ouvrage chez le Juge, il a un papier attestant de sa bonne volonté.
Ja maar niet met maai !
casimir
Hors ligne
Certains intervenants dans ce forum s'interrogent dans un sens ou dans un autre sur cette gueguerre de gamins. Je tente d'y répondre succinctement. Après quelques survols philosophiques, je suis retourné dans le concret. Je joins le texte qui suit et qui donne un résumé complet de notre situation ACP en justice suite aux actions intentées par Monsieur Lambda. Dans toutes ces citations il y a une deuxième CP requérant. Appelons-le Ksi. Dans la dernière citation il y a 5 CP requérants. 3 de ces 5 CP s'abstiennent désormais suite aux déclarations de Lambda lors de notre dernière AG. Dans le dernier document reçu par notre ACP uniquement (pas le syndic), l'ordre de paiement de 27392 € doit être liquidé dans les 24 Hr au profit exclusif de Monsieur Lambda. Monsieur Ksi est dans ce cas de figure « pigeon »!
Comme Président de l'AG et du Conseil de Gérance, je ne peux rester indifférent. J'informe donc TOUS les copropriétaires formant notre ACP. Par la lettre ci-dessous :
Aux Copropriétaires des complexes « mototo et matata »
Monsieur, Madame,
Lettre d’information
Je donne dans le tableau ci-dessous un résumé des actions initiées par Monsieur Lambda contre l’Association des Copropriétaires « mototo et matata » (ACP).
Tableau succinct (incomplet) des citations en justice initiées par Monsieur Lambda
Date de l’action Objet Contre Décision de justice Date jugement Exécution
XX juin 2004 Annulation des ACP Siège/dénomination de l’ACP xx juillet 2005 AG 11/05
AG xx.03.2004 Organiser nouvelle AG
AG xx.03.2004
Nouveau SYNDIC
XX juin 2005 Annulation des ACP aucune Prévue juin 2006
AG xx.03.2005 Syndic
AG xx.04.2005
Nouveau SYNDIC
XX janvier 2006 Annulation des ACP En délibéré
AG xx.10.2005 Syndic
AG xx.11.2005
Nouveau SYNDIC
XX mars 2006 Annulation des ACP En délibéré
AG xx.03.2006 Syndic
AG xx.03.2006
Nouveau SYNDIC
XX avril 2006 Ordre de paiement ACP aucune
27.392,39 €
Dans sa lettre du XX/03/2006 qu’il m’adressait personnellement – Monsieur Lambda menaçait l’ACP, c’est-à-dire nous tous, et ensuite moi-même, d’une astreinte supérieure à 22.000 €. Cette exigence était fondée à ses yeux sur les faits suivants : rétention d’information, abus de pouvoir, … dans le chef du syndic et du président de l’Assemblée Générale du XX/11/2005. Cette somme importante serait exigible si le président de la dernière Assemblée Générale du XX/03/2006, considérait l’ordre du jour de cette Assemblée Générale comme entièrement légal. Il n’exigeait pas cette somme immédiatement conscient que cela nuirait gravement au fonctionnement de notre ACP.
Un mois plus tard, c’est-à-dire le XX/04/2006, Monsieur Lambda par la voie de son huissier de justice, envoie à l’ACP un ORDRE DE PAIEMENT de 27.392,39 € pour non-exécution des décisions de justice des xx/07/2005 et xx/07/2005. Ces décisions de justice nous imposaient de recommencer l’Assemblée Générale de 2004. Les Assemblées Générales Extraordinaires des xx/10/2005 et xx/11/2005 concrétisaient pourtant ces décisions de justice. Monsieur Lambda juge quant à lui ces assemblées générales extraordinaires illégales et estime que l’affaire concernant le siège et la dénomination de l’ACP n’est pas encore en ordre, bien que le Juge de Paix ait placé les citations de Monsieur Lambda relatives à ses requêtes en délibéré. Il n’y donc à ce jour aucune décision de justice à ce propos.
Monsieur Lambda reconnaît lui-même dans sa lettre du XX/03/2006 que cette somme importante serait presque pratiquement exigible si les affaires en cours de justice, et donc en délibéré, étaient perdues par l’ACP. Je résume brièvement cette nouvelle affaire. Monsieur Lambda :
(1) reconnaît que ces affaires ne sont pas encore jugées (en délibéré),
(2) qu’il est ouvert à la discussion et qu’il cherche un compromis,
(3) qu’il exige une astreinte de 27.392,39 € par la voie de son huissier de justice,
(4) qu’il est parfaitement conscient de la nuisance grave de son exigence.
Si son entreprise est couronnée de succès, chacun sera invité à payer une partie de cette somme au profit de Monsieur Lambda en fonction de ses quotités. Ce montant évalué par type d’appartement représente environ: studio = ± 60 € ; Appt 1 chambre = ± 90 € ; Appt 2 chambres = ± 115 € ; Appt 3 chambres = ±140 € ; Appt 4 chambres = ± 165 €. Conformément aux décisions de la dernière AG (90%) j’ai demandé au syndic de saisir le juge des saisies de cette nouvelle affaire. Nos frais d’avocat se comptent aujourd’hui en milliers d’euros.
Le Président du Conseil de Gérance de l’ACP
Casimir
Hors ligne
Le texte précédent n'était pas clair, veuillez m'en excuser.
Il contenait un tableau qui ne passe pas dans ce cadre du forum et j'ai donc explicité ce tableau
sous la forme de 5 actions successives en forme texte.
(1)
Date de l’action : XX juin 2004
Objet : Annulation des AG xx.03. 2004 et AG xx.04.2004 et désignation d’un nouveau syndic
Contre : ACP
Décision de justice : Organiser une nouvelle AG
Date jugement : xx juillet 2005 et xx juillet 2005
Exécution : AG xx.10.2005 et AG xx.11.2005
(2)
Date de l’action : XX juin 2005
Objet : Annulation des AG xx.03.2005 et AG xx.04.2005 et désignation d’un nouveau syndic
Contre : ACP et syndic
Décision de justice : prévue juin 2006
Date jugement :
Exécution :
(3)
Date de l’action : XX janvier 2006
Objet : Annulation des AG xx.10.2005 et AG xx.11.2005 et désignation d’un nouveau syndic
Contre : ACP et syndic
Décision de justice : en délibéré
Date jugement :
Exécution :
(4)
Date de l’action : XX mars 2006
Objet : Annulation des AG xx.03.2006 et AG xx.03.2006 et désignation d’un nouveau syndic
Contre : ACP et syndic
Décision de justice : en délibéré
Date jugement :
Exécution :
(5)
Date de l’action : XX avril 2006
Objet : Ordre de paiement de 27.392,39 €
Contre : ACP
Décision de justice : aucune
casimir
Hors ligne