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xxp (?)
« Qui aurait déjà rencontré au sein d’une association de copropriétaires (ACP)
un copropriétaire qui depuis plusieurs années assigne l’association en justice
en vue de faire annuler systématiquement toutes les assemblées générales
(8 au total déjà) pour illégalité, soit de l’ordre du jour, soit ..., etc. et ensuite
demande au juge de paix de nommer un syndic provisoire chargé de vérifier
la gestion au niveau de la comptabilité.
Ce copropriétaire négligeait de payer ses charges et suite à une première
décision du juge de paix partiellement en sa faveur
(salle trop petite pour une 1ere assemblée générale),
le syndic a été contraint de recommencer l’ assemblée générale de l’année précédente.
Avant même que cette assemblée ne débute, le syndic recevait une nouvelle
citation en justice en annulation de cette assemblée non encore ouverte.
Récemment notre association a reçu un ORDRE DE PAIEMENT provenant de
son huissier de justice qui exige plus de 27.000 euros en sa faveur
suite à la prétendue non-exécution des décisions de justice,
alors que les arrêtés du jugement avaient été exécutés par notre ACP
et que le juge de paix a placé les autres citations de ce copropriétaire
en délibéré.
Il n’y a pas de décision de justice en sa faveur, à ce jour et il exige
néanmoins par exploit d'un huissier de justice une telle astreinte
entièrement injustifiée et injustifiable à ce stade de la procédure judiciaire
Ce copropriétaire a contrôlé personnellement les comptes de la gestion du syndic
et a découvert une GROSSE erreur de UN cent sur un budget supérieur à 600.000 €.
Je reprends ici sa propre déclaration lors de notre dernière assemblée générale
qu'il conteste d'autre part
Si d’autres copropriétés connaissent des cas semblables, cela m’intéresserait. »
Merci
casimir
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pour aider un tel dialogue faire confiance à une tierce personne neutre intelligente de préférence et sans apriori dans le problème à résoudre.
C'est bien ce que je disais en recommandant un service de médiation...
Mais, comme le soulève Giannigianni, il faut voir si c'est encore techniquement possible, l'affaire étant déjà en justice...
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A mon avis, la conciliation est TOUJOURS possible. Il est cependant possible qu'elle n'ai pas la valeur contraignante d'un jugement.
Par contre, l'arbitrage n'est plus possible une fois que l'affaire est dans les mains de la justice. En effet, le principe de l'arbitrage est que l'on laisse décider un tier (par exemple la chambre d'arbitrage) et que cette tierce décision a force de loi.
Il est bien entendu que la discussion entre un propriétaire et une copropriété n'est pas évidente. Pour la simple et bonne raison que les concessions éventuelles de la copropriété doivent être approuvées par l'assemblée...
C'est pourquoi l'idéal est la conciliation entre le conseil de gérance (sous réserve d'acceptation d'une AGE hors de la présence du propriétaire) et le propriétaire en question. L'avantage pour le propriétaire en question, c'est qu'une fois que le conseil de gérance est engagé sur l'accord, il ne peut plus faire marche arrière. Et le conseil de gérance est généralement suivi.
Attention, il ne faut pas que le conseil ait un mandat (sinon, on pourrait discuter sur le droit de vote...) Il suffit qu'ils s'engage à titre personnel à défendre une position.
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Non à ce que dit Colet et pourtant il me suggère de bonnes approches.
Le dialogue ne se passe pas entre deux personnes mais entre une personne et une personne juridique.
Un bon dialogue nécessietrait une remise des compteurs à zéro ce que Rawls appelle "le voile d'ignorance"
Un peu utopique, mais il faudrait avoir le courage de se regarder de dialoguer en d'autres mots de pouvoir dire non à certains apriori ou prénotions comme disait Durkheim et pour aider un tel dialogue faire confiance à une tierce personne neutre intelligente de préférence et sans apriori dans le problème à résoudre.
J'y suis prêt.Et une de mes valeurs:
la légalité sans sens = légalisme
la légalité avec sens = le juste (on tend vers ce qui est juste)casimir
Que celui qui a compris quelque chose lève le doigt?
Mon cher Casimir, excusez-moi si je vais être un peu désagréable, mais je trouve que vous avez un art consommé de noyer le poisson ou, en d'autres termes, de parler pour ne rien dire; ce qui comme chacun le sait, n'est donné qu'aux intellectuels de haut vol.
A moins que ce ne soit moi qui suis encore plus c.. que je ne le pensais.
On pratique le genre quand on est coincé et qu'il est difficile de se tirer d'un mauvais pas.
Vous me faites penser à de Villepin dans l'affaire qui probablement va mettre un terme à sa carrière.
On parle de conciliation. C'est le premier devoir de tout avocat honnête: trouver le moyen d'éviter une procédure. Combien de "courrier confidentiel" ne s'échangent-ils pas en cours de procédure?
Vous chercher un conciliateur: c'est facile: que chacun délègue son avocat, mais avec la mission d'arrêter la procédure et de trouver un arrangement.
Comme ils connaissent bien le dossier, cela pourrait aller très vite.
Pour la copropriété il n'y a qu'une règle à respecter: la légalité.
Si j'ai bien compris les motivations du propriétaire plaignant, c'est cela qu'il réclame. Et bien qu'on la lui donne. Quoi de plus normal après tout qu'une ACP respecte la loi!
Arrêter cette guerre de tranchées est simple, il suffit de le vouloir.
Jusqu'ici, l'ACP, par la faute de ses responsables a été reconnue en tort.
Qu'elle rentre donc dans le droit chemin et tout sera dit.
Fini et basta, on passe à un autre genre de réjouissance.
Tout le reste n'est que littérature et paroles creuses.
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casimir a écrit : Non à ce que dit Colet et pourtant il me suggère de bonnes approches.
Le dialogue ne se passe pas entre deux personnes mais entre une personne et une personne juridique.
Un bon dialogue nécessietrait une remise des compteurs à zéro ce que Rawls appelle "le voile d'ignorance"
Un peu utopique, mais il faudrait avoir le courage de se regarder de dialoguer en d'autres mots de pouvoir dire non à certains apriori ou prénotions comme disait Durkheim et pour aider un tel dialogue faire confiance à une tierce personne neutre intelligente de préférence et sans apriori dans le problème à résoudre.
J'y suis prêt.Et une de mes valeurs:
la légalité sans sens = légalisme
la légalité avec sens = le juste (on tend vers ce qui est juste)casimir
Que celui qui a compris quelque chose lève le doigt?
Mon cher Casimir, excusez-moi si je vais être un peu désagréable, mais je trouve que vous avez un art consommé de noyer le poisson ou, en d'autres termes, de parler pour ne rien dire; ce qui comme chacun le sait, n'est donné qu'aux intellectuels de haut vol.
A moins que ce ne soit moi qui suis encore plus c.. que je ne le pensais.On pratique le genre quand on est coincé et qu'il est difficile de se tirer d'un mauvais pas.
Vous me faites penser à de Villepin dans l'affaire qui probablement va mettre un terme à sa carrière.On parle de conciliation. C'est le premier devoir de tout avocat honnête: trouver le moyen d'éviter une procédure. Combien de "courrier confidentiel" ne s'échangent-ils pas en cours de procédure?
Vous chercher un conciliateur: c'est facile: que chacun délègue son avocat, mais avec la mission d'arrêter la procédure et de trouver un arrangement.
Comme ils connaissent bien le dossier, cela pourrait aller très vite.
Pour la copropriété il n'y a qu'une règle à respecter: la légalité.
Si j'ai bien compris les motivations du propriétaire plaignant, c'est cela qu'il réclame. Et bien qu'on la lui donne. Quoi de plus normal après tout qu'une ACP respecte la loi!Arrêter cette guerre de tranchées est simple, il suffit de le vouloir.
Jusqu'ici, l'ACP, par la faute de ses responsables a été reconnue en tort.
Qu'elle rentre donc dans le droit chemin et tout sera dit.
Fini et basta, on passe à un autre genre de réjouissance.Tout le reste n'est que littérature et paroles creuses.
Quittons les sphères intellectuelles et prenons un cas tout récent et concret survenu lors de notre dernière AG
Un CP (un autre) nous fait remettre par huissier une lettre dans laquelle se trouve écrit: (il exige une correction du PV)
Point 1. Page 2 : J'ai fait remarquer que les membres du conseil de gérance ne peuvent voter sur leur propre décharge. le syndic a personnellement écarté cette remarque.
[Ce que tout syndic même vaguement professionnel devrait savoir : « L'article 577-6 § 7 prévoit qu'aucune personne mandatée par l'assemblée ou employée par elle ne pourra participer personnellement ou par procuration aux délibérations et aux votes relatifs à la mission qui lui a été confiée. »]
Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
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Deuxième cas concret:
Une 1er AG se réunit, cette première AG où le quorum de 50% n'est jamais atteint, en tous cas chez nous depuis plus de 20 ans.
Deux CP (contestant les AG précédentes) sont présents.
Environ 15 propriétaires sont présents représentant environ 10% des quotités.
Pendant le décompte des quotités, un des deux CP quitte la salle.
Lorsque le syndic communique le résultat du décompte, le deuxième CP conteste les chiffres donnés
en arguant qu'un des CP avait quitté la salle et que donc on ne pouvait pas le comptabliser.
Demande en annulation de l'AG suit
Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
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Et troisième et dernier cas concret :
Un CP place ses armoires sur sa terrasse. Ces armoires ne sont visibles que d'un des côtés de la rue.
A la demande de plusieurs coproprio ce CP est invité à retirer les armoires de sa terrasse en conformité avec le Règlement d'ordre intérieur. Refus. Lettre recommandée, refus. Assignation devant le juge de paix.
Un CP arrive à son secours et argue que seule l'AG peut décider et dénonce le caractère abusif de certaines dispositions de l'acte de base. Dans une citation en justice que ce dernier CP a intenté contre la copropiété, il relate cet événement comme faute du syndic et du CG.
Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
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Une 1er AG réunit rarement pour ne pas dire jamais le quorum légal de 50%.
Une 2ème AG est souvent nécessaire.
Depuis plus de 20 ans, notre syndic organisait cette 1er AG dans une salle trop exiguë.
Et personne ne contestait
Soudain !
Première citation d'une longue série en vue d'annuler cette 1er AG pour son caractère illégal.
Le Juge a tranché et nous avons recommancé dans une salle plus grande et plus cher pour nos finances.
Rien n'a changé dans le déroulement des AG depuis lors.
Une 1er AG sans le quorum légal et la 2eme 15 jours plus tard.
Une chose a changé: les charges et les frais d'avocats et de procédure à charge de l'ACP.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de cas semblables en BE.
Soyez sans crainte, nous respecterons la légalité à l'avenir.
casimir
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- M. XXX m'a dit qu'il allait me traiter comme un ballon de football si je continuais à intervenir, c'est-à-dire me rouer de coups. J'ai fait posément remarquer que M. XXX ressemblait plus à un ballon de football que moi-même, ayant morphologiquement une forme ovoïde. (sic et acté)
Vous êtes tierce personne et président de l'AG.
Quelle médiation proposez-vous?
Je me suis placé au raz des pâquerettes. Un peu de distraction dans ce forum très sérieux.
casimir
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Voici 3 passages litigieux dont les deux premiers sont repris de citations en justice et le troisième est une réponse à la citation initiée par XXX.
L’article 577-6 §5 de la loi sur la copropriété stipule : « Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandataire, pour un nombre de voix supérieur à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés ». Nos statuts en limitant le nombre de procurations à 4 (quatre) par personne sont donc contraire à loi et donc illégaux.
« Le texte néerlandais diffère du texte français (débattre  « stemming ») ».
"L’annexe au PV du XX/XX/XXXX est rédigée à la main par monsieur YYYY. Il a écrit que les deux scrutateurs étaient désignés par l’assemblée générale. Ces deux personnes ont rédigé ce document en toute bonne foi. Peut-on leur reprocher cette « erreur » qui consiste à écrire « désignés par l’assemblé générale » alors que cette AG n’a pas eu lieu (La 1ere qui n’atteint jamais 50% dans notre copropriété)?"
Peut-on donner un avis sur le carcatère légal ou frauduleux de ces 3 textes repris des affaires en cours ?
casimir
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Voici 3 passages litigieux dont les deux premiers sont repris de citations en justice et le troisième est une réponse à la citation initiée par XXX.
L’article 577-6 §5 de la loi sur la copropriété stipule : « Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandataire, pour un nombre de voix supérieur à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés ». Nos statuts en limitant le nombre de procurations à 4 (quatre) par personne sont donc contraire à loi et donc illégaux.
« Le texte néerlandais diffère du texte français (débattre  « stemming ») ».
"L’annexe au PV du XX/XX/XXXX est rédigée à la main par monsieur YYYY. Il a écrit que les deux scrutateurs étaient désignés par l’assemblée générale. Ces deux personnes ont rédigé ce document en toute bonne foi. Peut-on leur reprocher cette « erreur » qui consiste à écrire « désignés par l’assemblé générale » alors que cette AG n’a pas eu lieu (La 1ere qui n’atteint jamais 50% dans notre copropriété)?"
Peut-on donner un avis sur le carcatère légal ou frauduleux de ces 3 textes repris des affaires en cours ?
casimir
j'ai toujours la meme question: Pourquoi le CP est en justice et quel type de decisions ont été attaqués?
Bref quel etait le vrai probleme?
La premiere AG n'etait pas valable alors qu'a pris des decisions illegales? La deuxiemes les a repris "in globo"? J'aurais du mal à comprendre un acharnement theraupetique seulment pour des questions formelles de quorum alors que j'immagine à l'ordre du jour devait y avoir quelque chose de gros...
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Quittons les sphères intellectuelles et prenons un cas tout récent et concret survenu lors de notre dernière AG.
Un CP (un autre) nous fait remettre par huissier une lettre dans laquelle se trouve écrit: (il exige une correction du PV)
Point 1. Page 2 : J'ai fait remarquer que les membres du conseil de gérance ne peuvent voter sur leur propre décharge. le syndic a personnellement écarté cette remarque.
[Ce que tout syndic même vaguement professionnel devrait savoir : « L'article 577-6 § 7 prévoit qu'aucune personne mandatée par l'assemblée ou employée par elle ne pourra participer personnellement ou par procuration aux délibérations et aux votes relatifs à la mission qui lui a été confiée. »]Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
On s'écarte fort de la conciliation générale des problèmes de votre ACP pour
tomber dans des cas d'espèces qui sont largement évoqués et débattus sur des sites comme celui-ci.
A mon avis (mais ce n'est pas parole d'évangile) l'article 577-6 § 7. ne s'applique pas au CG pour la décharge de sa mission d'assistance et de contrôle du syndic que la loi lui accorde d'office.
Néanmoins, il est d'usage, dans n'importe quel domaine, de ne pas pouvoir se donner décharge d'une mission à soi-même puisque alors on devient juge et partie.
Dans le cas exposé, il suffisait au syndic, plutôt que d'écarter la demande du copropriétaire comme vous le relatez, d'annexer sa lettre au PV et l'affaire était peut-être close.
Si, les membres du CG ne participant au vote sur leur propre décharge, le reste de l'assemblée la leur refusait, et bien elle était refusée, et puis voilà!
Tout ceci est simple et logique. Il faut savoir accepter le résultat d'un vote quel qu'il soit et tel qu'il est.
Manipuler les voix ou les votes pour arriver à ses propres fins est du magouillage qui toujours amène un retour de manivelle douloureux.
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casimir a écrit :Quittons les sphères intellectuelles et prenons un cas tout récent et concret survenu lors de notre dernière AG.
Un CP (un autre) nous fait remettre par huissier une lettre dans laquelle se trouve écrit: (il exige une correction du PV)
Point 1. Page 2 : J'ai fait remarquer que les membres du conseil de gérance ne peuvent voter sur leur propre décharge. le syndic a personnellement écarté cette remarque.
[Ce que tout syndic même vaguement professionnel devrait savoir : « L'article 577-6 § 7 prévoit qu'aucune personne mandatée par l'assemblée ou employée par elle ne pourra participer personnellement ou par procuration aux délibérations et aux votes relatifs à la mission qui lui a été confiée. »]Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
On s'écarte fort de la conciliation générale des problèmes de votre ACP pour
tomber dans des cas d'espèces qui sont largement évoqués et débattus sur des sites comme celui-ci.
A mon avis (mais ce n'est pas parole d'évangile) l'article 577-6 § 7. ne s'applique pas au CG pour la décharge de sa mission d'assistance et de contrôle du syndic que la loi lui accorde d'office.
Néanmoins, il est d'usage, dans n'importe quel domaine, de ne pas pouvoir se donner décharge d'une mission à soi-même puisque alors on devient juge et partie.Dans le cas exposé, il suffisait au syndic, plutôt que d'écarter la demande du copropriétaire comme vous le relatez, d'annexer sa lettre au PV et l'affaire était peut-être close.
Si, les membres du CG ne participant au vote sur leur propre décharge, le reste de l'assemblée la leur refusait, et bien elle était refusée, et puis voilà!Tout ceci est simple et logique. Il faut savoir accepter le résultat d'un vote quel qu'il soit et tel qu'il est.
Manipuler les voix ou les votes pour arriver à ses propres fins est du magouillage qui toujours amène un retour de manivelle douloureux.
Voilà qui est bien et qui fut fait comme vous dites.
mais tous n'acceptent pas le résultat du vote (90%), hélas !
casimir
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casimir a écrit : Voici 3 passages litigieux dont les deux premiers sont repris de citations en justice et le troisième est une réponse à la citation initiée par XXX.
L’article 577-6 §5 de la loi sur la copropriété stipule : « Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandataire, pour un nombre de voix supérieur à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés ». Nos statuts en limitant le nombre de procurations à 4 (quatre) par personne sont donc contraire à loi et donc illégaux.
« Le texte néerlandais diffère du texte français (débattre  « stemming ») ».
"L’annexe au PV du XX/XX/XXXX est rédigée à la main par monsieur YYYY. Il a écrit que les deux scrutateurs étaient désignés par l’assemblée générale. Ces deux personnes ont rédigé ce document en toute bonne foi. Peut-on leur reprocher cette « erreur » qui consiste à écrire « désignés par l’assemblé générale » alors que cette AG n’a pas eu lieu (La 1ere qui n’atteint jamais 50% dans notre copropriété)?"
Peut-on donner un avis sur le carcatère légal ou frauduleux de ces 3 textes repris des affaires en cours ?
casimir
j'ai toujours la meme question: Pourquoi le CP est en justice et quel type de decisions ont été attaqués?
Bref quel etait le vrai probleme?
La premiere AG n'etait pas valable alors qu'a pris des decisions illegales? La deuxiemes les a repris "in globo"? J'aurais du mal à comprendre un acharnement theraupetique seulment pour des questions formelles de quorum alors que j'immagine à l'ordre du jour devait y avoir quelque chose de gros...
Héla non !
Car à la dernière AG ce CP a déclaré voter lui-même contre sa proposition !
Ce qui ne l' a pas empêché ensuite de dire que l'AG lui refuse ce qu'il demandait !
casimir
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Quand je vois les motifs et les pecadilles sur lesquelles vous perdez votre énergie (vous, le copropriétaire énervé et contestataire, le syndic, la copropriété...) je trouve cela lamentable et ridicule.
Dans bien des cas, il n'y a effectivement pas matière à conciliation.
1. Copropriétaire qui a quitté la salle et quorum mal compté: visiblement, quelque soit la méthode de décompte, cela ne change rien. C'est donc idiot de la part du CP de réagir comme cela, et encore plus idiot de la part du syndic d'argumenter. Il pouvvait même mettre les deux dans le PV... 2 gamins dans un bac à sable qui ferait mieu d'être un peu sérieux.
2. Des injures qui volent. Rien à voir avec les litiges de la copropriété. Même pas à mentionner si ce n'est pour décrire le climat lamentable de part ét d'autre.
3. Phraséologie sur l'AG. Ridicule. Débile d'écrire même une ligne sur quelque chose d'aussi futile.
4. Salle trop petite. C'est un peu débile de se battre comme des chiffonier là-dessus. Mais bon. On ne va pas en faire tout un fromage...
5. CG qui vote sa propre décharge. Le CP avait-il prévenu? Est-ce que cela change quelque chose au vote? Si cela ne change rien, c'est de la phraséologie de caniveau.
6. Armoires sur le balcon: à discuter en AG pour trouver une solution. A noter que si cela change l'aspect et le look du batiment, ou la vue des terrasses des voisins, c'est normal que les gens se plaignent. Et c'est normal qu'il doive enlever ses armoires.
En résumé, toutes ces pecadilles relèvent de la dispute de bac à sable. Deux baffes à chacun, et on repart sur des affaires sérieuses...
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Deuxième cas concret:
Une 1er AG se réunit, cette première AG où le quorum de 50% n'est jamais atteint, en tous cas chez nous depuis plus de 20 ans.
Deux CP (contestant les AG précédentes) sont présents.
Environ 15 propriétaires sont présents représentant environ 10% des quotités.
Pendant le décompte des quotités, un des deux CP quitte la salle.
Lorsque le syndic communique le résultat du décompte, le deuxième CP conteste les chiffres donnés
en arguant qu'un des CP avait quitté la salle et que donc on ne pouvait pas le comptabiliser.
Demande en annulation de l'AG suitQuelle conciliation proposez-vous ?
casimir
La description du cas n'est pas claire.
1.- S'il s'agit d'une première AG et vu qu'il y a manifestement moins de 50% des quotités présentes, elle est déclarée nulle et doit être reportée.
Qu'un copropriétaire ait quitté la réunion pendant la réunion n'est pas relevant, puisque même avec lui et ses procurations éventuelles l'assemblée n'était pas en nombre.
2.- S'il s'agit d'une 2è assemblée, et si j'avais eu quelque chose à y dire, j'aurais acté au PV de séance le départ d'un propriétaire et annoncé à l'assemblée les quotités exactes en séance pour le calcul futur des majorités lors des votes.
C'est é-lé-men-taire!
Simplicité et logique. Pourquoi se compliquer la vie en allant au devant de problèmes évitables?
Décidément, votre syndic ne me paraît pas être à la hauteur de la situation.
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Quand je vois les motifs et les pecadilles sur lesquelles vous perdez votre énergie (vous, le copropriétaire énervé et contestataire, le syndic, la copropriété...) je trouve cela lamentable et ridicule.
Dans bien des cas, il n'y a effectivement pas matière à conciliation.
1. Copropriétaire qui a quitté la salle et quorum mal compté: visiblement, quelque soit la méthode de décompte, cela ne change rien. C'est donc idiot de la part du CP de réagir comme cela, et encore plus idiot de la part du syndic d'argumenter. Il pouvvait même mettre les deux dans le PV... 2 gamins dans un bac à sable qui ferait mieu d'être un peu sérieux.
2. Des injures qui volent. Rien à voir avec les litiges de la copropriété. Même pas à mentionner si ce n'est pour décrire le climat lamentable de part ét d'autre.
3. Phraséologie sur l'AG. Ridicule. Débile d'écrire même une ligne sur quelque chose d'aussi futile.
4. Salle trop petite. C'est un peu débile de se battre comme des chiffonier là-dessus. Mais bon. On ne va pas en faire tout un fromage...
5. CG qui vote sa propre décharge. Le CP avait-il prévenu? Est-ce que cela change quelque chose au vote? Si cela ne change rien, c'est de la phraséologie de caniveau.
6. Armoires sur le balcon: à discuter en AG pour trouver une solution. A noter que si cela change l'aspect et le look du batiment, ou la vue des terrasses des voisins, c'est normal que les gens se plaignent. Et c'est normal qu'il doive enlever ses armoires.
En résumé, toutes ces pecadilles relèvent de la dispute de bac à sable. Deux baffes à chacun, et on repart sur des affaires sérieuses...
Je suis d'accord avec vous et j'attends et j'espere encore de lire le vrais probleme et l'affaire sérieuse. Curiosité?
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Logiciel du jour : Desktop Games
Desktop Games, également connu sous le nom de Stress Reducer, est une application qui va vous permettre de vous détendre tout en continuant à utiliser votre PC.
Desktop Games permet de détruire ce que vous avez à l'écran : le Bureau de Windows, un site Web, un logiciel... Pour cela, Desktop Games met à votre disposition un marteau, une mitraillette, une tronçonneuse, un lance-flamme, un laser, de la peinture, des petits insectes.
Une fois Desktop Games exécuté, utilisez les touches de F1 à F9 de votre clavier pour changer l'arme à l'écran. Pour quitter l'application et retrouver votre écran intact, appuyez deux fois sur la touche Echap de votre clavier.
Vous l'aurez compris, Desktop Games est l'outil idéal pour se défouler sans porter préjudice à votre ordinateur.
Si vous souhaitez en savoir plus sur ce logiciel et le télécharger, cliquez-ici.
Le premier qui me dit qu'il n'y a pas de rapport avec ce débat.....
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casimir a écrit : Deuxième cas concret:
Une 1er AG se réunit, cette première AG où le quorum de 50% n'est jamais atteint, en tous cas chez nous depuis plus de 20 ans.
Deux CP (contestant les AG précédentes) sont présents.
Environ 15 propriétaires sont présents représentant environ 10% des quotités.
Pendant le décompte des quotités, un des deux CP quitte la salle.
Lorsque le syndic communique le résultat du décompte, le deuxième CP conteste les chiffres donnés
en arguant qu'un des CP avait quitté la salle et que donc on ne pouvait pas le comptabiliser.
Demande en annulation de l'AG suitQuelle conciliation proposez-vous ?
casimirLa description du cas n'est pas claire.
1.- S'il s'agit d'une première AG et vu qu'il y a manifestement moins de 50% des quotités présentes, elle est déclarée nulle et doit être reportée.
Qu'un copropriétaire ait quitté la réunion pendant la réunion n'est pas relevant, puisque même avec lui et ses procurations éventuelles l'assemblée n'était pas en nombre.2.- S'il s'agit d'une 2è assemblée, et si j'avais eu quelque chose à y dire, j'aurais acté au PV de séance le départ d'un propriétaire et annoncé à l'assemblée les quotités exactes en séance pour le calcul futur des majorités lors des votes.
C'est é-lé-men-taire!Simplicité et logique. Pourquoi se compliquer la vie en allant au devant de problèmes évitables?
Décidément, votre syndic ne me paraît pas être à la hauteur de la situation.
Le cas est claire:
(1) il s'agit de la première AG. Je n'ai jamais parlé d'une 2eme AG qui peut se réunir même sans les 50% requis. Je crois que ma phrase était SIM-PLE.
(2) la suite est le comportement théâtral de 2 CP dont un conteste cette 1er AG au niveau du décompte des quotités qui n'est pas juste selon lui (rigueur SVP réclame-t-il).
casimir
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Casimir,
Que cherchez-vous au juste en relatant toutes ces histoires?
Au début, vous parliez d'un copropriétaire que vous traitiez de malade mental.
Maintenant on s'aperçoit qu'il y en a d'autres?
Tous ces contestataires dans votre ACP sont-ils fous?
Je veux bien aider (dans la mesure de mes moyens) les intervenants qui viennent ici exposer les difficultés qu'ils rencontrent en copropriété; mais en ce qui concerne votre cas, désolé.... j'abandonne.
Bonne pèche et bonne atmosphère comme disait Arletty.
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Grmff a écrit : Quand je vois les motifs et les pecadilles sur lesquelles vous perdez votre énergie (vous, le copropriétaire énervé et contestataire, le syndic, la copropriété...) je trouve cela lamentable et ridicule.
Dans bien des cas, il n'y a effectivement pas matière à conciliation.
1. Copropriétaire qui a quitté la salle et quorum mal compté: visiblement, quelque soit la méthode de décompte, cela ne change rien. C'est donc idiot de la part du CP de réagir comme cela, et encore plus idiot de la part du syndic d'argumenter. Il pouvvait même mettre les deux dans le PV... 2 gamins dans un bac à sable qui ferait mieu d'être un peu sérieux.
2. Des injures qui volent. Rien à voir avec les litiges de la copropriété. Même pas à mentionner si ce n'est pour décrire le climat lamentable de part ét d'autre.
3. Phraséologie sur l'AG. Ridicule. Débile d'écrire même une ligne sur quelque chose d'aussi futile.
4. Salle trop petite. C'est un peu débile de se battre comme des chiffonier là-dessus. Mais bon. On ne va pas en faire tout un fromage...
5. CG qui vote sa propre décharge. Le CP avait-il prévenu? Est-ce que cela change quelque chose au vote? Si cela ne change rien, c'est de la phraséologie de caniveau.
6. Armoires sur le balcon: à discuter en AG pour trouver une solution. A noter que si cela change l'aspect et le look du batiment, ou la vue des terrasses des voisins, c'est normal que les gens se plaignent. Et c'est normal qu'il doive enlever ses armoires.
En résumé, toutes ces pecadilles relèvent de la dispute de bac à sable. Deux baffes à chacun, et on repart sur des affaires sérieuses...
Je suis d'accord avec vous et j'attends et j'espere encore de lire le vrais probleme et l'affaire sérieuse. Curiosité?
Je suis heureux de vous lire et profondément triste de voir tout cela déballé en justice de paix.
Et hélas, une fois cité il faut répondre.
Et menacé par écrit m'impose de réagir légalement
A quoi on perd son temps n'est-ce pas ?
Mais Colet trouvait que j'étais trop intello et on m'invitait à la conciliation
Et pour être tout à fait clair, j'ai réagi sur ce forum suite à une information d'un autre CP
qui m'a averti que l'on parlait de moi. J'ai tout simplement réagi.
Je vous remercie tous pour vos conseils même parfois critique, ce qui est très bien.
Je n'interviendrai plus sur ce forum mais je vous lirai de temps à autre.
Je continue mes math et mes occupations full time avec mes petits-enfants
Casimir
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