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ça me rend donc circonspect, voire même inquiet, je ne comprends vraiment pas que ça ne provoque pas plus de réaction ici et dans les médias.
Merci d'avoir relancé cette discussion, je lis et relis les différents objectifs à atteindre et suis perplexe et déjà inquiète.
L'échéance 2041 est certes lointaine mais cela chamboule ma modeste "stratégie" immobilière (1 bien propre, 1 en location avec crédit jusqu'en 2043).
Je sais que notre mode de vie "occidental" n'est pas tenable et que les tentatives de sauvetage de notre planète n'iront pas sans chamboulement. J'ai conscience que mon dilemme actuel ("vendre maintenant, ou rénover à grand frais sinon pas de complément de retraite en 2045") n'est qu'un problème de riche. Beaucoup doivent choisir entre "manger ou se chauffer" et pire encore.
D'un point de vue "favorisé", j'ai déjà abandonné ma voiture de société pour un confortable budget mobilité, qui devrait me permettre de financer quelques travaux d'amélioration des performances énergétiques de ma vieille maison bruxelloise (PEB H ).
Mais est-ce que l'environnement se portera mieux quand tout Bruxelles aura, par exemple, jeté des tonnes de châssis encore fonctionnels mais pas reconnus par l'évaluateur PEB?
Petite dose d'optimisme de E. Cioran pour conclure: "Désunis, nous courrons à la catastrophe. Unis, nous y parviendrons."
Ok merci, je vais voir ...
et si ce n'est pas "officieusement" divisé, même en interne, je reviendrai vous embêter ...
Merci!
Ayant déjà reçu un extrait de matrice cadastrale (de l'ancien propriétaire) et plus récemment l'"information cadastrale et patrimoniale de la parcelle", je ne vois qu'un seul et unique RC mentionné. C'est l’Administration Générale de la Documentation Patrimoniale (AGDP) qui m'a transmis ce dernier document (à ma demande). Je vais essayer de leur demander s'il n'y a pas d'autres pièces dans mon dossier...
En tout cas, ma déclaration pré-remplie ne faisait pas état d'un montant à déclarer pour la maison au code 1106.
Mais je tiens à rectifier ceci...
Bonjour,
J’ai acheté une maison bi-familiale à Bruxelles en 2022, avec permis d'urbanisme accordé pour la mise en conformité de la division en 2 appartements. L’acte de vente décrit déjà la maison comme comportant 2 unités de logement.
Le revenu cadastral (RCNI) actuel est toutefois celui de la maison entière, avant division. Les travaux du permis n'ont pas commencé, donc je n'ai pas encore reçu de "ventilation" officielle de ce RC entre l’appartement 1 que j'occupe, et l’appartement 2 qui est loué selon un bail de résidence principale (usage privé uniquement, le bail est enregistré).
Arrive le moment de la déclaration IPP exercice 2022… et je me demande quel montant inscrire au code 1106 …
Ma question : pensez-vous qu'il est acceptable que je ventile le RCNI au prorata des superficies de chaque appartement (telles qu’indiquées par l’architecte dans le permis)?
Quitte à ce que le cadastre réagisse plus tard, et rectifie après notification de fin de chantier. Si je les contacte maintenant, j’imagine qu’ils vont d’office diviser avec une augmentation significative à la clé, alors que les travaux n’ont pas commencé (« ne pas réveiller un fonctionnaire qui dort » comme je le lis régulièrement ici !).
Merci d’avance pour vos idées/expériences,
Qu'est devenue la requête en validation ?
Je dois écrire à la Justice de paix pour "annuler" la convocation, qui était fixée après la fin officielle du préavis de toute façon!... Après quoi "l’affaire sera renvoyée au rôle et pourra être refixée si besoin." (je cite le greffier). Donc pas de frais pour moi autre que les 22 euros de la demande initiale.
Epilogue… j’ai emménagé aujourd’hui dans l’appartement , au dernier jour des 6 mois de préavis pour occupation personnelle (mon locataire ayant trouvé un appartement in extremis).
Dans mon cas, tout s’est donc passé comme prévu, malgré les doutes concernant le type de bail, et les difficultés pour trouver un logement à BXL. J’avais suivi les conseils de Libra et introduit une requête en validation de préavis cet été (ne voyant pas les choses bouger de manière significative), je ne sais pas si ce « coup de pression » a aidé... Merci pour vos conseils une fois de plus!
Merci beaucoup pour cet exemple concret de "raison sociale valable".
Je suis dans ce cas, et n'ai pas eu de retour du fisc (jusque là!!) pour l'exercice 2021 : j'ai quitté mon "habitation familiale propre et unique" début 2020 suite à une séparation, et j'ai loué (au sens locataire) un logement le temps de trouver un accord pour la sortie d'indivision à l'amiable, ce qui a pris 1 an. Pour la déclaration 2021, j'ai continué à déclarer cette maison comme habitation propre et unique.
J'ai maintenant un petit doute pour l'exercice 2022 :
- Début 2021, j'ai racheté la part de mon ex-partenaire et suis devenue 100% propriétaire de cette maison (région BW),
- il est resté dans la maison en tant que locataire selon un bail de résidence principale,
- je suis toujours locataire de mon côté (région BXL), sans autre achat immobilier.
Est-ce que la séparation de 2020 reste une "raison sociale" valable en 2021, même après avoir trouvé un accord de sortie d'indivision et retrouvé une certaine stabilité en tant que locataire/bailleur?..
Bonsoir!
Cela rejoint ma première réponse que je vous donnais.
Et cela ne rejoint pas du tout ce que le juriste consulté (du SNPC !) vous a raconté. Surprenant.
Effectivement, je vais les recontacter pour (ré)entendre leur raisonnement, et aussi voir quel modèle de renon je dois utiliser.
Par rapport au message de GT: oui, si le locataire se fait conseiller de son côté il pourrait contester. Le temps de la procédure, son bail de 1 an sera vraiment arrivé à échéance donc j'ose espérer une issue à 6 mois, ou à l'amiable (suite des épisodes dans quelques mois... ).
Bonsoir!
Petite mise à jour de cette discussion, après avoir signé le compromis de vente et obtenu toutes les vérifications des 2 notaires. Pour rappel j’achète une maison à Bruxelles, qui est occupée selon un vague « bail à usage d’habitation » et il y avait un doute sur le préavis pour occupation personnelle.
- Le bail est bien à considérer comme un bail de résidence principale (même si cela n’est noté nulle part dans le texte du bail), de courte durée (1 an en l’occurrence)
- Il n’est pas enregistré mais la personne occupe l’appartement depuis plus de 6 mois
- Mon préavis en tant que nouveau propriétaire sera de 6 mois (sans indemnité) à compter de la signature de l’acte, pour occupation personnelle. Et pas de 3 mois comme je l’espérais. Mon notaire précise que cette règle vise à éviter que les occupants d’un immeuble vendu ne soient « mis dehors » trop vite.
Donc si le propriétaire actuel voulait occuper personnellement les lieux, cela aurait bien été 3 mois de préavis + 1 mois d'indemnité (bail court), mais pas dans le cas de l’acheteur. Cela me laisse 3 mois de plus que prévu pour faire mes cartons …
@libra: pas de rupture possible par le bailleur pendant la 1ère année d'occupation (résidence principale).
à partir de la 2ème année, le préavis est de 3 mois, et seulement possible pour occupation personnelle.
(source notaire.be, comment mettre fin au bail court avant son expiration)
OK!
Dans un premier temps j'ai expliqué mon cas par téléphone, et ensuite le bail a été examiné par email avec réponse écrite.
Vu ma surprise j'ai re-téléphoné et on m'a confirmé la seule option de rupture du bail à l'amiable, ou d'attendre l'échéance.
(je reste affiliée et contente de l'être!)
Il y a bien une clause écrite dans le bail pour le renouvellement en nouveau bail de 1 an :
"- Pour une durée de 1 an renouvelable automatiquement pour une même durée et aux mêmes conditions, à moins qu’une des parties n’ait donné congé au moins 3 mois avant l’échéance"
(le bail est truffé de fautes et il manque parfois des mots, je suis effectivemment dans le flou!)
Donc je pars sur cette hypothèse:
- un premier bail de 1 an du 1er février 2021 au 31 janvier 2022 (aucun renon envoyé par le propriétaire actuel)
- un second bail de 1 an du 1er février 2022 au 31 janvier 2023 --> j'enverrai le préavis pour occupation personnelle dès signature de l'acte.
Je me base sur le fait qu'un bail court peut-être reconduit tant que la durée totale n'excède pas 3 ans. Et que la rupture anticipée n'est possible qu'après la première année d'occupation par le locataire, ce qui sera le cas.
Merci, je vais m'intéresser à la "requête en validation du préavis" en cas de problème.
Merci!
Cela me semble clair qu'il s'agit d'une résidence principale "de fait" (je ne suis pas enquêteur social, je vois juste que le logement est habité et l'agent immo doit s'arranger avec l'occupant à chaque visite depuis plusieurs mois).
Faut-il le prouver avant d'utiliser la clause d'occupation personnelle liée aux baux de résidence principale? ou de manière réactive en cas de contestation du préavis envoyé?
En attendant je creuse avec l'agent de quartier...
Le juriste est un des conseillers du syndicat des propriétaires. Ils connaissent certainement bien le sujet mais ont peu de temps pour évaluer chaque cas et voulaient sans doute me donner la réponse la plus prudente possible.
Concernant le préavis pour occupation personnelle, (et supposant un bail de résidence principale) j'ai lu sur Notaire.be et SNPC.be qu'il est de 3 mois pour les baux de courte durée, avec indemnité d'1 mois à payer au locataire. Ce sera le cas ici car le bail sera renouvelé pour 1 an à partir du 1er février 2022. Vous confirmez?..
Bonsoir
Je souhaite acheter une maison située à Bruxelles, dans le but de m’y installer. Le rez-de-chaussée est actuellement loué selon un « bail pour appartement à usage d’habitation » avec les clauses suivantes :
- Prenant cours le 01/02/2021 (et signé le même jour)
- Pour une durée de 1 an renouvelable automatiquement pour une même durée et aux mêmes conditions, à moins qu’une des parties n’ait donné congé au moins 3 mois avant l’échéance
- Fin anticipée du bail : moyennant un motif sérieux et la recherche d’un repreneur, le locataire peut mettre fin au bail de manière anticipée, sans indemnité. (rien n’est spécifié pour le bailleur)
Je ne sais pas si le bail est enregistré, ni si le locataire est domicilié dans les lieux (il y habite en tout cas, n’est pas étudiant ni en colocation).
Un juriste me signale qu’il ne s’agit pas d‘un bail de résidence principale, mais d’un bail de droit commun, et que je ne pourrai donc pas y mettre fin pour occupation personnelle moyennant préavis de 3 mois. Je devrai(s) donc attendre l’échéance du bail, càd le 31 janvier 2023
La notion de « résidence principale » n’est effectivement mentionnée nulle part (j’aurais dû repérer cette faille… il me semblait que le terme « bail d’habitation » + « durée de 1 an » étaient suffisants pour que ce bail soit considéré comme un bail court selon la dernière législation à Bruxelles).
Je ne trouve nulle part ce que dit la loi pour un bail de droit commun qui ne précise rien quant à une rupture anticipée par le bailleur.
L’agent immobilier me dit 1 mois de préavis (je n’en demande pas tant), la juriste me suggère une rupture de bail à l’amiable, et le notaire n’a pas réagi pour le moment.
Merci d'avance pour vos avis et expériences!
A ce sujet, il est vraiment impératif d'aller vous-même à l'urbanisme AVANT DE FAIRE LA MOINDRE OFFRE, pour vous assurer qu'il n'y aps d'infraction.
Car dès que vous faites une offre (sans clause suspensive explicite) vous devrez vous-même mettre fin aux infractions à vos frais sans aucune possibilité de recours.
Ok, pour l'instant je me base sur les renseignements urbanistiques fournis par la commune à l'agence (je vois maintenant que les infos les plus récentes datent de 2017... donc une demande de mon côté s'impose, en effet...). L'agence n'a pas caché le PV existant pour infraction (balcon à restaurer) donc j'ai supposé qu'il n'y avait rien d'autre à signaler niveau urbanisme.
Sorry d'avoir mélangé les histoires de baux et d'urbanisme!... :-/
Par rapport à l'indemnité d'occupation : merci pour l'info je vais creuser de ce côté là.
C'est quoi un bail fantôme/en infraction? Pourquoi les baux seraient nuls. Y a t-il des infractions vis-à-vis du code de logement?
Sorry pour le terme « fantôme », je voulais juste dire « non enregistrés »
La maison a été divisée en 4 logements alors que la commune annonce 2 logements reconnus (renseignements obtenus par l’agence).
Il n’y a pas d’infraction pour le moment dans le sens où la commune n’est pas au courant de cette situation, aux dernières nouvelles.
Mais je me demande si cette infraction peut « faire surface » au moment où je reprendrai ces baux à mon compte après l’acte d’achat.
Concernant le code du logement : pas de souci de salubrité je pense (quoique un logement fait < 20m2 avec douche dans la cuisine) mais plutôt Titre II du RRU (aucune superficie suffisante, circulation non privative,..). Donc un contrôle trouverait certainement des soucis.
PS : je précise que pour mon usage après achat, la division en 2 logements me va parfaitement. Je ne souhaite pas du tout régulariser la situation existante !! J'espère simplement gérer au mieux la transition jusqu’au départ des locataires.
Le fait d'avoir 3 baux de résidence principale pour l'étage ne signifie pas qu'il y a une infraction urbanistique. Vous pouvez faire un bail de colocation à l'ancienne. Il n'y a qu'un domicile, partagé entre les 3 personnes qui ont chacune un bail de résidence principale.
Les baux actuels sont 3 baux de résidence principale (pas de colocations), et je souhaite récupérer les étages pour occupation personnelle après l'achat. Je n'envisage pas de colocation, mais pourrais louer le rez-de-chaussée qui est déjà libre.
De ce que je comprends, si les baux ne sont pas enregistrés, il n'y a pas vraiment de période de préavis pour demander aux locataires de partir (même si les occupants sont dans les lieux depuis plus de 6 mois?).
Donner 6 mois de préavis ne me dérange pas du tout, mais je veux juste être sûre que l'on ne m'obligera pas à enregistrer les baux une fois propriétaire, avec ce que ça implique de risques vis à vis de l'urbanisme. (cf. question 3)
Merci
Oui je pensais faire réviser cette offre par un notaire de toute façon (sans doute déjà trop tard, l'agence a reçu une foule d'offres au prix demandé ... malgré ces infractions).
Bonsoir,
J’envisage de faire une offre pour une maison bi-familiale (1 logement RDC + 1 logement 1er étage reconnus par l’urbanisme St-Josse BXL).
Spécificités de la maison :
- une infraction urbanistique connue (balcon à restaurer…), et je veux bien « en faire mon affaire personnelle » après l’achat
- une infraction urbanistique flagrante mais non reconnue : il y a 3 baux de résidence principale en cours aux étages (1 seul logement en théorie), baux non enregistrés à ce jour.
Le modèle d’offre fourni par l’agence précise :
«OCCUPATION DU BIEN : Le bien est vendu occupé par des locataires aux étages. L’offrant aura la jouissance des étages à compter de la signature de l’acte authentique de la vente par la perception des loyers en ce qui concerne les étages, et par la prise de possession réelle en ce qui concerne le rez-de-chaussée. »
Question 1 : quelle est l’intérêt/la validité de cette « clause » vu qu’après la signature je peux toujours décider (et c’est mon cas) d’habiter à l’étage et donc demander aux locataires de partir moyennant un préavis de 6 mois pour occupation personnelle -il me semble.
Question 2 : pendant ces 6 mois de préavis, et vu que ce sont des baux fantômes/en infraction, est-ce correct de percevoir les loyers ? (si les locataires creusent un peu ils pourraient facilement faire jouer la nullité et donc récupérer les loyers perçus)
Question 3 : ou bien je serai obligée d’enregistrer les 3 baux après l’acte, et donc me retrouver officiellement en infraction (amendes, etc..), alors que mon but est justement de mettre fin à l’infraction (+ celle du balcon !) en stoppant ces locations.
Merci beaucoup pour vos lumières !
Laeger.
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