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Pour ma part, je comparerais le plaisir et/ou la sensation d'épanouissement que je retire de la situation actuelle (détenteur de plusieurs cases du monopoly) comparativement à la situation future (un compte en banque bien fourni). Le quotidien de l'immoblier locatif est souvent truffé d'embûches et de complications mais quelle fierté ne retire-t-on pas de les avoir toutes surmontées. Avoir quelques "0" en plus sur un compte en banque, c'est indéniablement agréable mais je me demande si on ne s'en lasse pas bien vite ?
Maintenant, comme l'ont très judicieusement fait remarquer d'autres intervenants, il y a certainement d'autres considérations à prendre en compte telles la fiscalité, la succession, des projets de réinvestissement,....
Effectivement.
Celà étant dit, je suis plutôt abasourdi devant de ce type d'agissement. En effet, les conditions générales sont une chose mais la façon dont une entreprise commerciale les applique en est une autre.
Je me verrais ainsi crédité d'un compte d'épargne bloqué avec une certaine somme perdant, au gré de l'inflation, entre 2 et voir plus de pourcents par an.
Je constate hélas ne pas être le seul et suis tout autant pantois.
Cette ouverture de crédit est éffectivement "liée" à d'autres ouvertures puisque d'autres immeubles sont également sous hypothèque auprès du même organisme de crédit.
Le produit de la vente est approximativement du double du solde restant.
Ma première réaction fut également, tant qu'à "perdre" (il n'est pas perdu mais il n'est pas à ma disposition non plus) cet argent, de l'employer afin de rembourser une autre ligne de crédit mais on semble me le refuser également.
Bonjour,
Il m'arrive une chose curieuse à propos de laquelle je souhaiterais obtenir vos avis.
J'ai été fort surpris (le mot résume faiblement mon sentiment), lors de la demande de mainlevée d'une inscription hypothécaire, que la banque décide, jusqu'à son bon vouloir, de conserver l'argent entre le produit de la vente et la solde restant dû (approximativement la moitié de la valeur de la transaction).
Bien entendu, je me doute qu'au travers des conditions générales tous droits doivent leur être acquis mais j'aurais aimé avoir vos retours d'expérience et/ou conseils en la matière.
Je précise que je n'ai jamais été en défaut du moindre paiement ni en retard sur la moindre mensualité
Tout en vous souhaitant un très bon week-end,
Bonsoir,
Je suis loin d'avoir autant d'expérience que d'autres membres sur ce forum donc je ne pose que ma maigre contribution.
La remarque de la porte d'entrée principale (à rue) par logement me semble curieuse. Les immeubles avec une seule porte princiale et trois (voir plus ;-)) de boîtes aux lettres sont légion sur la région. Par contre ces logements disposent effectivent (ou du moins souvent ;-)) d'une porte spécifique (à l'intérieur du batiment) à l'entité qui est associée à la boîte aux lettres.
En ce qui concerne la situation urbanistique, si vous n'avez effectivement aucun doucement prouvant, ni abrogeant, cette subdivision, vous pouvez toujours demander au service population un extrait des antécédents des locataires. Si ces extraits démontrent qu'il y avait, avant 1998 plusieurs locataires avec plusieurs domiciles, alors votre situation me semble couverte par une amnistie.
Bien entendu, je laisse les experts complementer mon débutde réponse.
Bonjour Pierre,
Je suis également un inconditionnel de l'achat via emprunt toutefois, j'aurais voulu apporter une petite variante dans ce comparatif. En effet, il me semble, dans l'option 1 de l'achat propre, pour être en phase avec les options 2 et 3, qu'il faudrait tenir compte du réinvestissement mensuel, soit du coût du crédit hypothécaire si c'est pour une habitation propre, soit du réinvestissement des loyers perçus. Pour continuer sur la même veine, ces montants devraient, il me semble, également croître à un taux de 7% l'an.
Bien entendu, nous n'arriverons ni au résultat de l'option 2 ni de l'option 3.
Je vous rejoins entièrement sur le propos de l'effet de levier dont je suis un fervent croyant. Par contre, pour le pratiquer, je peux également vous dire que c'est un peu stressant quand vous avez un souci avec un locataire car la banque, elle, prélève sur le compte quoiqu'il arrive.
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