forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
En tant que vendeur j'exigerais une indemnité en cas de refus de crédit de la banque, indemnité située entre 1 mois de loyer et 1% du prix d'achat, pour un délai de 30 jours.
En tant qu'acheteur je trouve cela normal, étant donné l'immobilisation du bien pendant une certaine durée.
Question de fair-play, le vendeur prends le risque de faire traîner la vente, donc à l'acheteur aussi de montrer son sérieux et son engagement.
Le délai de 30 jours est en effet de coutume, bien que parfois assez court pour l'acheteur:
Le temps que la banque examine le dossier, procède à l'expertise, etc... En théorie quelques jours suffiraient pour prendre une décision, la pratique est bien plus longue, du moins pour les dossiers "limite".
Alors il est bien plus simple de contracter un nouveau PH sans rien modifier au premier. Le tout est de voir si la banque acceptera.
Donc il s'agirait d'une hypothèque de second rang, ce qui ne m'intéresse pas car les mensualites seraient à priori calculées sur une période de 10 ans, ce qui serait un peu lourd à payer.
De plus ma banque n'accepterai qu'à des fins de travaux, ce qui n'est pas mon but.
Par contre un courtier me dis que c'est possible, et que la banque du premier crédit ne peut pas refuser le fait qu' une autre banque se mette en second rang, mais je lis ici que la première banque pourrait refuser. Il est vrai que les courtiers sont souvent très positifs lorsqu'ils reçoivent un dossier, il en va autrement quand il s'agit de l'acceptation de la banque avec laquelle ils travaillent, ce n'est malheureusement pas le courtier qui décide.
Mais cela ne m'arrangerait pas (car emprunt sur 10 ans). Ce que je chercherais c'est un nouvel emprunt de 170.000eur sur 25 ans, (le bien vaut +-190.000 eur), racheter le crédit restant de 140.000 eur, et empocher 30.000 eur en cash.
Bref, un coup de poker, mais qui m'a l'air difficilement réalisable, je vais encore me renseigner, et j'ai déjà pris les d.evants en mettant les annonces pour la vente de mon bien
Il y a aussi la possibilité de "reprise d'encours", si vous avez acheté avec une "ouverture de crédit". Reprise d'encours, à concurrence de la part déjà remboursée. Au bout de 2 ans, c'est évidemment pas des masses...
Ici cela fait 4 ans 1/2 (2009), soit 10.000 euros de capital remboursé, pas des masses effectivement (prêt 30 ans), et en plus la banque n'accepterait qu'uniquement à des fins travaux, ce qui ne m'intéresse pas.
A-t-il(elle) des enfants ?
Il m'a déjà semblé entendre que dans certains cas c'est le cpas qui paye directement le loyer au proprietaire. Et que donc des familles dépendantes du cpas pouvaient se payer des loyers à montants plus élevés que les habituels montant que les dépendants du cpas ont l'habitude de payer.
si c'est le cas, cela peut être interessant car vous avez la garantie de toucher votre loyer tout les mois (tant que le locataire reste au cpas).
Si non, comme dit Grmff: fuyez !
Affirmatif,
Je dis "à des fins personnelles" car je doute que la banque accepte suis je lui explique que le cash que je voudrais emprunter servirait à couvrir les frais d'acte.
Le bon moyen, c'est de leur demander...
Je leur ai demandé, on me dit qu'il y a possibilité de faire en emprunt avec hypothèque de second rang, sans toucher au premier ph.
Le problème c'est que j'avais déjà fait la demande il n'y a pas si longtemps, et refus car pas assez remboursé de capital.
C' est un peu toujours le même scénario, on me dit que c' est possible mais en fin de compte, c'est refusé.
Je pense bien que je vais devoir choisir entre garder le bien ou vendre et prendre le cash.
effectivement, c'est en lisant des livres Américains que je pensais à faire cela ici, je pouvais lire que là-bas ce genre d'opérations étaient courantes: les gens réempruntait sur leur maison dont la valeur avait augmenté, et je me demandais si c'était possible de faire cela ici.
Je pensais que la crise des subprimes était surtout causée par des crédits hyper risqués contractés à tout va, à n'importe qui, sans se soucier de sa capacité de remboursement, d'où l'augmentation des prix (tout le monde achète) et puis la chute vertigineuse (les banques saisissent des milliers de maisons invendables car plus personne ne sait acheter).
Ici, ce que je propose n'est rien d'autre que de revendre le bien à moi-même et le racheter au prix -bas- de 2013, mais dont la mensualité serait la même car les taux ont diminués. Donc à première vue je ne vois pas vraiment le risque pour la banque, car la valeur du bien a augmenté.
C'est pas plus risqué que quand on m'a accordé le crédit en 2009, non ?
10k de capital, et bcp plus en intérets, donc il me reste 140k à rembourser en capital, sur durée restante de 25ans 1/2.
A l'époque, je ne pensais (à tort) qu'à la mensualité totale, sans regarder la proportion intérêt/capital, et je ne pensais pas vouloir revendre si tôt non plus.
Mais comme la valeur du bien a quand même augmenter, puis je réemprunter sur 180k, (un peu comme si je revendais mon bien à moi-même, au prix et taux de 2013) ?
Si cela est réalisable, il me semble que cela ne soit pas tant défavorable que cela vu que je payerait à peu près la même mensualité (étant donné que les taux ont légèrement diminués) ?
le but n'est pas de racheter le crédit pour un meilleur taux, mais bien d'obtenir du cash supplémentaire à des fins personnelles ( donc pas pour travaux nécessitant des justifications devis etc...) afin d'éviter de vendre.
En résumé, soit je vends afin de libérer entre 40K et 50k de cash (estimation), soit peut-être que je pourrais emprunter cet argent, en réachetant mon ph, en se basant sur la valeur actuelle du bien, et non sur la valeur de 2009.
J'aimerais avoir des liquidités. La première solution serait de vendre, donc perte de patrimoine. Par contre si la réponse à ma question est positive, non seulement je garderais mon patrimoine, et en plus j'obtienderais le cash dont j'ai besoin, donc serais gagnant sur les 2 points:
vendre=gain de cash mais perte patrimoine
garder=perte de cash mais gain patrmoine
garder en empruntant plus= gain de cash et gain de patrimoine
Bonjour à tous,
petite question:
J'ai acheté un appartement en 2009, 150k, déjà 10k de capital remboursé (prêt 30 ans). Aujourd'hui la valeur réaliste entre particulier est +- 190k.
Je me demandais s'il était possible de racheter ce crédit et refaire un nouveau ph pour un montant de 170k ou 180k, dans le but d'obtenir du cash supplémentaire (mais pas pour travaux).
Vu que la valeur du bien a augmenté, et les taux diminués (le remboursement mensuel serait identique), je pense que la banque ne prendrait pas un grand risque, mais dans la pratique, est-ce que ce genre de transaction se fait ?
Je demande cela car au départ je comptais vendre, afin de libérer du cash, mais si cette transaction serait envisageable, plus nécessaire de vendre, car j'aurais le cash dont j'ai besoin, et en plus je garde le patrimoine.
Je pose la question ici, car je sais par habitude qu'en posant la question à la banque, d'après eux "tout est possible" à première vue, mais en fin de compte, après introduction du dossier, c'est souvent "refusé".
Si positif, doit-je changer de banque ou possibilité de rester dans la même banque, sachant que d'après mon calcul, je ne rembourserais pas plus de mensualité car les taux ont légèrement baissés.
Merci
Et sur quelle durée ?
Peut être que vous pourriez attendre avant de faire signifier, mais dans ce cas bien leur faire comprendre la menace de signification+saisie, qui ajouterai au minimum 1300 eur sur l'ardoise, en cas de non respect du jugement, et ce dès le premier jour de retard.
Je pense qu'il faut +-2 semaines pour exécuter la signification. Mais pas la peine de faire signifier si vous n'envisagez pas de saisie, autant eviter les frais et limiter la casse. Une menace a parfois plus d'effet.
Cela reste mon avis, peut être ai-je tort, et que d'autres bailleurs plus expérimentés vous conseillerons de faire signifier dès que possible.
C'est exact,
pourtant lorsqu'il faut faire face à de grosses boites, comme pour les amendes de parking, fournisseur téléphonie, hôpitaux, etc... J'ai l'impression que le citoyen perds la plupart du temps.
J'en déduis que les juges préfèrent s'en prendre aux plus petits "soi disants nantis" comme les petits proprietaires, afin de se donner une bonne conscience de justicier des pauvres,
mais quand il s'agit de grosses entreprises, dont les services sont parfois tout aussi vitaux que le logement, là les juges n'oseraient pas donner raison au "pauvre" citoyen, car pas le cran de contredire un "poids lourd".
En gros on aura toujours tendance à prendre la défense du petit poisson face au gros, par contre lorsque l'on se trouve face au requin, on n'oserait pas le contredire.
Ceci n'est qu'un sentiment, d'après ce que l'on peu voir et entendre, mais qui n'est peut être pas le reflet de la réalité.
Prenez conseil d'un avocat (±50€) et adaptez votre dossier ou chargez cet avocat de vous défendre !
Si ça continue c'est ce que je serai obligé de faire afin d'être pris un minimum au sérieux, et mettre le juge face à ses responsabilités, s'il ne veut pas que sa réputation d'incompétent fasse le tour du barreau. Plus envie de perdre mon temps, je mettrai les moyens.
La conclusion de tout ceci c'est qu'il faut être extrêmement prudent dans la rédaction d'une requête. Moi ça m'est arrivé de passer 3 ou 4 soirées... Pour un texte de 2 pages. Ensuite il faut bien connaitre les procédures, ce qu'on peut demander et les us et coutumes, genre : j'accepte un délai mais en contrepartie je demande une faculté d'expulsion si le délai est dépassé, etc..
Je suis partisan d'une défense sans avocat pour les affaires simples, mais le risque est aussi de commettre une erreur, ou de ne pas avoir la bonne réplique... Ou de s’emmêler les pinceaux Je ne regrette pas cela dit les 3 requêtes déposées cette année... A force d'entêtement j'ai obtenu ce que je voulais. Dans ma vie j'avais fait 10 fois appel à un avocat et pas une seule fois l'affaire n'a abouti, souvent par découragement parce qu'on abouti à un jeu de ping-pong sans fin
Je ferai plus attention dorénavant à la rédaction de ma requête, c'est certain que vu le délai d'attente, mieux vaut ne pas se tromper dans sa demande.
Je pense que mon dossier et ma requête étaient assez clair: loyers impayés.
Le juge à mis en doute ma parole sur base que je ne pouvait pas prouver un payement qui n'existe pas.
Comme en plus j'ai envoyé mon renom, cela me paraissait assez convaincant que pour mettre fin au bail ne fus ce que pour le jour de la fin du contrat, sur base des loyers impayés.
Même si le renom n'avait pas été introduit dans la requête, il me semble qu'il y avait assez d'éléments pour prendre cette décision de mettre fin au bail après la première année.
Avec ce genre de chipotage, on n'en fini plus.
Loyers impayés, pas de preuve du payement, et en plus on arrive à la fin du contrat-->stoppons ce contrat à sa fin, pourquoi s'acharner à vouloir continuer ?
J'irai jusqu'à dire que la juge conteste mon droit à la jouissance de mon bien, et conteste également un cachet-recommandé de la poste, ce qui me parrait assez grave.
Quand j'y repense, cette histoire de renom pas stipulé dans la requête n'est qu'une excuse pour la juge afin de ne pas devoir prendre de décision.
Probablement qu'un avocat lui aurait rappelé ses obligations et mis face à ses responsabilités.
C'est pourtant l'essentiel requis pour exercer son métier: prendre des décisions en toute impartialité sur base de preuves et de faits concrets. Alors je me pose la question, que fait elle à ce poste ?
Le problème dans tout ça c'est que l'on perds énormément de temps et donc d'argent.
Et puisse que le système revendique l'assistanat, autant le faire jusqu'au bout, bien stipuler dans la convocation de la partie adverse de prendre avec lui ses extraits de compte, pourquoi pas le prendre par la main aussi.
Cela m'étonnerait que si le mauvais payeur se retrouve en audience face à une plus grosse firme du type Belgacom, fournisseur internet, parking,... et affirme avoir payé sans preuve à l'appui, s'en sortirait. Le juge n'aurait probablement pas le cran de contester l'avocat qui représenterais ce genre d'entreprise.
J'ai l'impression que le juge à profité de ma "faiblesse juridique" pour ne pas devoir se mouiller, mais que s' il s'était retrouvé face à un avocat plus tenace, il aurait été obligé de prendre ses responsabilités. Une vraie farce.
A croire qu'ils voudraient que les proprietaires prennent le relais dans cette politique d'assistanat que l'état n'arrive plus à assumer.
un moi et demi d'attente, des km de route, une journée de bloquée, etc...pour au final se retrouver face à un juge qui se fout de mes droits.
Content que quelqu'un soit du même avis, merci ; )
Oui, je peu bien comprendre que le juge à une procédure à respecter, néanmoins:
-J'ai été induit en erreur par le greffier le jour où j'ai introduit ma requête. Ok, c'est ma faute d'avoir écouté une personne censée être compétente.
-Ce serait moins énervant si les rdv pour obtenir une audience seraient plus rapide, ici il faur attendre un mois et demi une fois la requête introduite.
-Je ne vois pas pourquoi la juge ne demordais pas du fait que j'aurais besoin d'un avocat, alors qu'il s'agit pourtant d'un problème qui me semble très simple et dont mes droits sont inscrits noir sur blanc dans un contrat signé et approuvé par les 2 parties. Je pensais que la justice de paix était accessible à tous, sans avoir besoin d'avocat ni d'avancer des frais faramineux (bien que 50 eur. requête+300 eur signification c'est loin d'être gratuit).
Hormis ce "problème de procédure imprécise", je ne vois pas pourquoi serait pris au sérieux un locataire qui dis qu'il a payé, sans avoir de preuve, et que le proprietaire conteste.
Nous attendons un mois et demi pour expliquer notre problème de loyer impayé, pour ne finalement se voir notre parole contestée. Bien sur nous sommes des menteurs et nous introduisont des requêtes pour passer le temps.
Quand c'est parole contre parole, je pensais que c'était la preuve qui primait.
Ok, je ne sais pas prouver qu'il n a pas payé, donc si demain un passant affirme qu'il m a versé 10.000 euros, c'est lui qui a raison, bien sur.
Oui mais j'avais demandé l'expulsion dans la requête.
Comme je n'ai pas l'habitude d'introduire une requête, j'ai demandé au greffe si je devais rajouter expulsion vu que fin du bail, celui ci m'a dit qu'il ne fallait pas car l'expulsion était déjà demandée (suite aux loyers impayés).
Et je lui avait demandé 3x car j'avais des doutes. En cas de doute, j'aurais tout de même mieux fait de le rajouter dans la requête, 2 mois supplémentaires de perdus !
Donc j'aurai rdv pour vérifier le payement des loyers dans 3 semaines, et je vais devoir réintroduire une requête pour une 3ème audience afin de demander l'expulsion suite au renom.
j'aurais pas pensé que pour un juge il était trop difficile d'assimiler 2 choses en même temps. Multiplons les audiences et saturons les agendas, bien qu'ils semblent déjà débordés.
Prochaine fois je demande 5x l'expulsion sur la requête, ainsi ils ne pourront pas dire que je ne l'ai pas demandée.
Suite à une audience, je trouve hallucinant de voir une justice si molle (pour ne pas dire incompétente).
Le probleme:
1) 2 mois et demi de loyers impayés. Comme de plus, on arrive à la fin du bail d'un an, j'ai bien sur envoyé mon renom, par recommandé, trois mois avant la date de départ.
Le locataire dis qu'il à tout payé, j'affirme que non, je montre une copie de l' historique de payement imprimé sur self banking la veille.
Le locataire n'a pas de preuve des payements qu'il affirme et que je conteste. -->le juge donne rdv dans 3 semaines, afin que le loc. apporte les preuves de payement. Ma parole est mise en doute, celle du locataire est approuvée, bien qu'il n'ai aucune preuve, pourquoi ?
2) je demande l'expulsion le jour de la fin du bail, comme prévu dans le contrat, copie du recommandé, cachet de la poste à l'appui.
Le juge me dis pas valable car que je n'avais pas fait la demande dans la requête, pourtant j'avais demandé 3x au greffier le jour où j'ai introduit la requête si je devait rajouter cela en plus, il m'avait dit pas besoin car l'expulsion déjà demandée (car loyers impayés).
En plus, le juge me dit qu'il faut que je prenne un avocat. Je ne vois pas pourquoi je devrais dépenser encore des frais supplémentaires, le problème me paraît assez simple non ?
J'en conclu que le juge conteste aussi bien mon recommandé, cachet de la poste à l'appui, conteste le fait que je réclame des loyers impayés, et conteste le fait que je vienne sans avocat.
Avec de telles imbécilités, je ne vois pas comment peut on encore compter sur la justice.
Est-on obligé de prendre un avocat pour devoir se défendre ? Est on pris au sérieux avec un avocat ? Est ce normal que le juge conteste des preuves flagrantes telle que recommandé, cachet de la poste, et d'un autre côté approuve les propos du locataire qui n'a aucune preuve de ce qu'il affirme.
Désolé mais je ne sais pas prouver que je n'ai pas reçu de payement, je pensais que c'était au locataire de prouver qu'il avait payé.
Avec de tels imbéciles, il ne faudra plus s'étonner que les gens reglerons leur problèmes eux mêmes. Vu que je suis obligé de payer quelqu'un pour me défendre, autant le faire de manière rapide et efficace.
Je ne dois pas attendre qu'ils ne respectent pas le jugement, avant d'aller chez le Huissier??
Vous avez le choix soit d'attendre pour voir s'ils respectent le jugement, si oui, vous économisez les frais de signification (+-300eur).
Par contre s'ils ne respectent pas le jugement, vous perdrez du temps, car tant que le jugement n'est pas signifié, pas de saisie possible, et la signification prends plusieurs semaines.
A vous d'évaluer si vous pensez que les locataires vont respecter le jugement, par ex. si plan d'apurement pas trop lourd et si leur dette n'est pas trop élevée.
Si vous pensez qu'ils ont de fortes chances de ne pas respecter le plan d'apurement, faites signifier au plus vite.
Dans mon cas précédent, les locataires avaient eux même proposé un plan d'apurement bcp trop lourd et irréaliste, (1/2montant de loyer), quand on sait qu'ils n'arrivaient déjà pas à payer leur loyer initial, il ne fallait pas s'attendre à des miracles. Ils ont respecté le plan le premier mois, puis plus rien payé du tout, ni plan ni loyer. Je n'avais pas fais signifier, j'ai redemandé une audience, qui à abouti à la résiliation du bail, et j'ai tout fais signifié en même temps, ce qui m'a évité de payer 2x les frais de signification, par contre j'ai perdu beaucoup de temps et d'argent, mais pas certain que si j'aurais fais signifier la première fois aurait changé grand chose.
A voir au cas par cas, je ne suis pas du tout expert en la matière.
oui lui est solvable mais elle est depuis 6 mois au chômage, je pourrais demander au juge une retenue sur salaire?
tout dépends ce qui est inscrit dans le jugement.
J'ai eu plus ou moins le même cas, en gros, le jugement ordonnait un plan d'apurement, en plus du loyer, et que s'il n'était pas respecté, -->huissier, mais dans mon cas, pas d'expulsion si non payement, bien que je l'avais demandé dans la requête, mais comme vous, j'ai écouté le juge, au final j'ai du repasser devant le juge pour demander l'expulsion car plan d'apurement plus respecté (ni payement du loyer), et cela a pris bcp plus de temps, que si l'expulsion était demandée dans le premier jugement (en cas de non respect du plan d'apurement).
C'est vous qui devez demander à l'huissier qu'il fasse saisie, soit sur salaire, soit sur mobilier, soit les 2, mais tout cela est très couteux et long (min. 1000 euros par type de saisie et plusieurs mois d'attente). Donc sondez déjà le terrain voir si ils ont une voiture, suffisament de meubles,... ne fut ce que pour rembourser les frais de saisie.
Pour la saisie sur salaire, demandez à l'huissier qu'il fasse pour les 2 personnes en même temps, c'est légèrement plus cher, mais moins cher que 2 personnes séparément, mais bien le lui demander expressément.
Même si l'un d'eux est au chômage, il se peut que vous arriviez à saisir un petit quelque chose, et aussi qu'ils comprennent que même en étant au chômage, ils vont devoir payer.
Le mieux que vous ayez à faire, c'est de récupérer le jugement au plus vite, aller le faire signifier immédiatement (300EUR) chez l'huissier de votre choix, et dès le 1er jour de non respect du plan d'apurement: -->huissier et saisie+nouvelle requête(sauf si déjà obtenu l' expulsion en cas du non respect du plan d apurement dans le premier jugement).
Bref, mettre la pression aux locataires et les réveiller.