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casimir a écrit : moimoi a écrit : voilà, nous avons enfin reçu notre date de l'assemblée
je commence un petit peu à paniquer, car je me dis qu'"ils " n'apprécieront pas , si je prends le temps de vérifier le nombre de présents, de millièmes représentés. et surtout de vérifier si personne ne possède plus de voix que les autres... surtout que personne ne l'a jamais fait .
si je prends le temps de vérifier , il est temps de cloturer la séanceque vaut il mieux ? poser la question devant tout le monde (nous sommes environ 10 propriétaires présents ou aller personnellement chez l'assesseur ? poser la question à celui ci ? ou y a til un document sur lequel c'est inscrit ? je sais qu'il y a une personne chez nous qui possède la plupart des procurations. et c'et donc le nombre de voix de cette personne que je voudrais surtout vérifier. doit il y avoir un document avec son nom et déjà le nombre de millièmes qu'il représente indiqué ?
merci
---------------------oui, c'est vrai, je me rappelle signer une liste de présence
c'est une feuille qui fait le tour de la table des personnes présentes.
mais elle n'est pas encore remplie avec le nom de la pesonne du conseil de gérance, qui , détient le plus de procurations.
à mon avis, lui la remplit après la réunion;
si je comprends bien, c'est pas très normal ????je pourrais exiger (gentiment bien sûr ) de voir la feuille remplie avec la véritable situation, avant de commencer la réunion ?
de meme, lorsque nous votons, trouvez vous normal que ce soit le syndic lui meme qui relève les votes, fait le calcul, et nous dit le résultat, mais sans jamais nous montrer les votes. qui me dit qu'il dit la vérité ?
Dans notre AG, il y a toujours deux scrutateurs volontaires et pas systématiquement les mêmes qui contrôlent la liste des présences, les procuations et les quotités.
Ce qui n'empêche pas un ou deux copropriétaires de contester leurs calculs.
Il faudrait dans ce cas faire systématiquement appel à un huissier, ce qui alourdit la note !
Quant à remplir la liste après qu'elle ait fait le tour, cela me paraît comme un manque totale de transparence
et je réagirais fermement en m'adressant dans un premier temps au Président de l'AG.
Tous ont le droit de savoir !casimir
rebonjour
je pose la question car chez nous, personne n'a jamais évoqué le cas des procurations, ni du calcul des millièmes, avant que ne commence la réunion. comme si c'était un sujet tabou.
je sais, par contre, qu'une personne du conseil de gérance, sur place depuis 20 ans , possède pas mal de procurations;
c'est une autre personne membre du conseil de gérance, qui m'a dit que chaque année, il possède plus de voix qu'il ne pourrait. donc cette année, j'ai envie de vérifier. (les autres années, il faut dire aussi que je ne connaissais rien de rien (encore moins que maintenant et c'est peu dire !!!![]()
comment procèderiez vous ? je pensais, au moment où commence la réunion, demander devant tout le monde qui possède des procurations et combien ? bien que ca ne me dira encore rien concernant les millièmes. de plus, je ne connais pas toutes les personnes présentes, donc je ne sais meme pas combien de millièmes ont certaines personnes présentes, puisque je ne sais pas qui elles sont !!! (certaines , du moins).
puis je demander, au moment où commence la réunion, à voir la liste ?
puis je prendre des notes ? (si je ne me fais pas tuer avant) ?
qu'en pensez vous ? comment ca se passe chez vous ?
Normalement le Président de l'AG doit attester que la réunion est valable au point de vue légal, ce qui signifie que personne ne peut posséder plus de 50% de voix (exprimé en millième) et ensuite communiquer le résultat du comptage.
Vous pouvez demander à contrôler le liste mais veiller à n'indisposer personne en ce sens que si le Président est un home ou une femme de bonne foi, pourquoi chercher noise ? Si vous avez des doutes sérieux faites valoir vos droits et contrôlez. Si d'aventure un CP a plus de 50% : STOP non à l'AG mais à son vote qui ne peut prévaloir sur l'ensemble des autres.
casimir
voilà, nous avons enfin reçu notre date de l'assemblée
je commence un petit peu à paniquer, car je me dis qu'"ils " n'apprécieront pas , si je prends le temps de vérifier le nombre de présents, de millièmes représentés. et surtout de vérifier si personne ne possède plus de voix que les autres... surtout que personne ne l'a jamais fait .
si je prends le temps de vérifier , il est temps de cloturer la séanceque vaut il mieux ? poser la question devant tout le monde (nous sommes environ 10 propriétaires présents ou aller personnellement chez l'assesseur ? poser la question à celui ci ? ou y a til un document sur lequel c'est inscrit ? je sais qu'il y a une personne chez nous qui possède la plupart des procurations. et c'et donc le nombre de voix de cette personne que je voudrais surtout vérifier. doit il y avoir un document avec son nom et déjà le nombre de millièmes qu'il représente indiqué ?
merci
---------------------oui, c'est vrai, je me rappelle signer une liste de présence
c'est une feuille qui fait le tour de la table des personnes présentes.
mais elle n'est pas encore remplie avec le nom de la pesonne du conseil de gérance, qui , détient le plus de procurations.
à mon avis, lui la remplit après la réunion;
si je comprends bien, c'est pas très normal ????je pourrais exiger (gentiment bien sûr ) de voir la feuille remplie avec la véritable situation, avant de commencer la réunion ?
de meme, lorsque nous votons, trouvez vous normal que ce soit le syndic lui meme qui relève les votes, fait le calcul, et nous dit le résultat, mais sans jamais nous montrer les votes. qui me dit qu'il dit la vérité ?
Dans notre AG, il y a toujours deux scrutateurs volontaires et pas systématiquement les mêmes qui contrôlent la liste des présences, les procuations et les quotités.
Ce qui n'empêche pas un ou deux copropriétaires de contester leurs calculs.
Il faudrait dans ce cas faire systématiquement appel à un huissier, ce qui alourdit la note !
Quant à remplir la liste après qu'elle ait fait le tour, cela me paraît comme un manque totale de transparence
et je réagirais fermement en m'adressant dans un premier temps au Président de l'AG.
Tous ont le droit de savoir !
casimir
casimir a écrit :
Etant actuellement Président du CG, je reçois par lettre, par courriel, de vive voix, des propos (j'emploie un euphémisme) qui m'incite à proposer la modération et le dialogue.Que voilà des gens de bons conseils!
Mettez-vous à la place de vos opposants pour comprendre leurs motivations.
La modération viendra toute seule et le dialogue sera facilité à condition d'enlever les oeillères..C'est tellement facile quand on VEUT trouver le chemin de la conciliation.
Encore faut-il en avoir la volonté et oeuvrer pour y aboutir.
Entièrement d'accord.
Et c'est ce que j'ai fait, ce que je fais, mais dont les résultats se font attendre
avec parfois des effets contraires.
Je vous donne un exemple:
J'ai Présidé la dernière AG en accordant et en respectant le droit de parole de chacun.
Mais beaucoup de CP, pour ne pas dire l'immense majorité, et le syndic à ma gauche
me pressait en ces termes : "Mais fais-les donc taire". J'ai refusé. Et ils ont pu parler
et ensuite il se sont plaints que je limitais leur temps de parole.
Je leur avais en effte demandé d'être concis et de limiter leurs interventions à 2 minutes.
Il va sans dire que je n'avais pas de chrono et qu'ils laaaargement usé de leur droit de parole
Avec 11 points à l'odre du jour et plusieurs sous-points et en tenant compte que ces deux CP
sont systématiquement intervenus à chaque point et sous-point, vous pouvez aisément calculer le laps de temps qu'ils ont pris pour eux sur une durée totale de séance actée par huissier de 2 Hr 30 min.
Les autres coproprio se plaignaient de ne pouvoir parler !
J'avais également présidé l'AG précédente. Monsieur Marc André (Président CNIC) représentait un CP.
Son intervention fut interrompue par un membre du CG. J'ai rappelé ce membre à l'ordre.
Monsieur Marc André a pu poursuivre et à la fin de son intervention il m'a demandé pourquoi les autres AG n'étaient pas organisées comme celle-ci. J'ai reçu sa demande comme un marque d'estime.
Sauf deux CP qui estiment qunat à eux n'avoir pas eu le temps nécessaire et en font grief
en justice en arguant un abus de pouvoir du Président de l'AG.
Malgré tout je reste un homme de dialogue même avec mes détracteurs.
Ce qui n'empêche qu'un chat reste un chat et j'aimerais connaître leurs motivations profondes.
Je n'y suis pas parvenu jusqu'à présent.
En direct je peux vous envoyer la dernière missive que le syndi et l'ACP ont reçue d'un de ces deux CP, missive que tous les copropriétaires vont recevoir dès lundi.
casimir
casimir a écrit : Que feriez-vous ?
casimir.
Rien
Donc rien signifie "je reste chez moi "
casimir
Vous êtes un copropriétaire (non membre du Conseil de Gérance). Depuis l’existence de la copropriété (plus de 25 ans) vous avez été membre du Conseil de Gérance pendant 6 mois, il y plus de 7 ans. Vous en aviez démissionné suite à une agression physique dont vous aviez été victime (plainte avait été introduite auprès de la police : sans suite). Vous avez assuré la Présidence de l’Assemblée Générale précédente en date XX/XX/2005 et vous recevez personnellement le document suivant la veille de l’Assemblée Générale du YY/YY/2006. Copie du document repris ci-dessous était adressée à l’ACP et au syndic.
« Je vous communique également que je n’exige momentanément pas ces montants (déjà plus de 22.000 euro's !!!!) par un huissier de justice parce que cette exigence pourrait gravement nuire au fonctionnement de l’ACP suite aux actes illégaux ou éventuellement à l’abus possible de pouvoir de certains mandataires de l’ACP (syndic, commissaires, membres du comité de gestion, président de l’AG, …)
Suite à cela le paiement des factures de l’ACP deviendrait probablement impossible jusqu’à ce qu’une AG extraordinaire, sur base des données fournies par une institution bancaire, détermine la validité en droit des comptes en banque et si nécessaire ordonne l’ouverture de nouveaux comptes bancaires. Cette période peut durer plus de 45 jours. Suite à cela la valeur de crédit de l’ACP serait mise à mal avec des conséquences néfastes pour la réputation de l’ACP.
Mais j’insiste sur ce point que cela ne peut durer plus longtemps car cela provoque de plus en plus de dommage aux intérêts privatifs des copropriétaires aussi bien des parties requérantes que des autres.
C’est un fait que, si cette astreinte tombe à charge de l’ACP, celle-ci est en droit d’en exiger le remboursement au syndic et/ou au président de l’AG du XX/XX/2005, suite à la rétention d’information, d’abus de pouvoir, …
Mais aussi le président de l’AG du YY/YY/2006 peut être porté solidairement responsable par l’ACP pour la partie de ces montants s’il considère l’ordre du jour comme entièrement légal »
Que feriez-vous ?
casimir.
Il me semble clair que le Juge même en Cassation, juge en fonction du droit ou de la loi en tenant compte des circonstances et des personnes. Exemple: Un criminel, passible d'une peine d'emprisonnement X, peut être acquitté soit qu'il n'était pas pas en possesion de son "esprit", soit que les circonstances sont telles qu'il ne pouvait agir autrement.
Dans le cas que j'ai donné, même les juges en Cassation jugeront le cas posé en fonction de la loi ET des intérêts des uns et des autres ET des circonstances (les faits, en d'autres mots les servitudes forcées).
En affirmant que tout est dit ou figé dans la loi, les Juges deviennent des personnes INUTILES. Il suffit de les remplacer par de superbes ordinnateurs dotés d'une excelente base de données. Les adaptations éventuelles de la loi pourront être débattues par des juristes après analyse statistique des données informatiques.
Je crois utile de rester serein, d'analyser les faits, les placer dans le cadre légal, de dialoguer
de rester ouvert à tout problème posé. Je reconnais que dans certaines interventions précédentes je n'ai pas toujours été très clair. Je maintenais une réserve ou je ne répondais pas directement à certaines questions.
Le cas repris ici me semble cependant limpide et il conviendrait de l'aborder avec sérieux.
Les copropriétaires concernés, comme tout "Gaulois", se réveillent lorsqu'on touche à leurs sous.
Le sommes en jeu sont importantes. Des ouvriers dans des entreprises partiraient en grève pour moins que cela ! Et dans notre copropriété, sur ce dossier il y a unanimité moins DEUX. Etant actuellement Président du CG, je reçois par lettre, par courriel, de vive voix, des propos (j'emploie un euphémisme) qui m'incite à proposer la modération et le dialogue. Et ce genre de situation ne m'amuse pas du tout.
Sur ce forum, dans une autre rubrique, je vous invite à réfléchir à l'action qui serait vôtre face à une lettre que vous recevriez et dont je donne le contenu.
casimir
Je ne peux actuellement pas être plus clair
Lors du dernier symposium du CNIC, des experts sont intervenus et j'ai reçu d'un membre du CNIC un document dans lequel il est écrit : "L'assemblée Générale n'est pas souveraine mais bien autonome".
Cette petite phrase se trouverait sous toute réserve car je ne l'ai pas lu, dans le numéro 2006/1 de l'édition KLUWER "rechtskundig vaktijdschrift"
Dans le journal du SNP Le cri N° 303 d’avril 2006, je lis dans l'éditorial de Monsieur Olivier Hamal, Vice-Président national du Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires (SNP)
p. 1-2 « (…) Assemblée Générale, dont il ne faut jamais oublier qu’elle reste l’organe souverain de la copropriété. Qui paie décide. »
Avec mes souvenirs de mes études greco-latines, autonome = sa propre loi.
Or j'estime que l'AG est soumise à la loi, comme dirait, je ne sais plus qui, j'ai oublié, j'ai la mémoire qui chancelle, la légalité et basta
casimir
Je crois qu'il n'y a que les sots qui ne changent pas d'avis.
Cela étant dit, je remercie grmff pour les références donées.
Le côté ad hoc de la lorgnette dépend du grossissement des verres.
C'était, lorsque j'étais bambin, un jeu de regarder dans les jumelles
de l'autre côté de la lorgnette et voir ainsi tout très loin.
C'est ce que j'ai fait immédiatement et j'ai regardé la bouche d'aération
en desous de mon appartement et elle m'est apparue beaucoup plus proche de l'autre immeuble.
Avec un peu de sérieux, j'aime les faits rien que les faits et avec qui que ce soit, même un "pas d'accord"
je l'aiderai si il y nuisance pour lui. Et ce CP le sait pertinemment, il l' a même acté dans la citation qu'il a lancé contre notre ACP
Je suis pratiquement le seul qui, contre l'avis de la majorité, vote pour lui donner droit de parole en AG et lors des réunions du CG.
Tiens, depuis que je suis dans le comité de gérance (1 mois déjà), je ne vois plus ce CP alors qu'il passait pratiquement toujours lors de cette réunion hebdomadaire du CG. Bigeard n'est-ce pas !
casimir
L’Association Belge des Syndics et Administrateurs de biens A.S.B.L. estime, au vu des informations données (2 immeubles, 1 acte de base), il n'existe qu'une seule ACP. L'arrêt de la cour de cassation du 3 juin 2004 a clairement confirmé que la personnalité juridique n'est attribuée qu'à l'association des copropriétaires d'un groupe de bâtiments et non à l'association des copropriétaires d'un immeuble de ce groupe.
Au vu de ce même arrêt, il semble difficile, légalement parlant, de rentrer une demande de permis d'environnement pour un seul immeuble puisqu'il n'a pas de personnalité juridique.
Je partage entièrement cet avis sur la personnalité juridique d’une seule ACP
Imaginons maintenant deux immeubles physiquement distincts sans liaison de quelque nature que ce soit. Seul le terrain (jardins) est commun aux deux immeubles. Une seule ACP existe pour les deux immeubles. Chaque immeuble dispose de son propre chauffage (chauffage individuel) et de ses propres parkings et garages en sous-sol. Chaque immeuble possède 130 garages avec ses propres entrées et sorties.
Un des deux immeubles subit des dommages importants entraînant des coûts élevés. Une seule ACP, une seule Assemblée Générale. Les copropriétaires de l’autre immeuble doivent-ils participer financièrement, en proportion de leurs quotités, aux réparations de l’immeuble endommagé ? Je crois que les débats risquent d’être fort houleux et que le Juge sera rapidement appelé à trancher. Dans le cas d’un permis d’environnement faut-il considérer les garages de ces deux immeubles comme copropriété forcée alors qu’ils sont physiquement distincts et qu’un permis 1A n’est exigible ni pour l’un ni pour l’autre.
Dans le cas de notre copropriété :
Monsieur ZZZ argue sur notre situation de fait qui doit également être la situation juridique. Et je partage entièrement son avis.
Il considère cependant que les parties communes des garages en sous-sol, le local de chaufferie dans leur entièreté sont copropriété forcée. Et à cet effet il cite l’Arrêt de la Cour de Cassation. Cet arrêt porte sur un groupe d’immeubles à La Panne. Dans ce groupe d’immeubles il y avait de facto une servitude forcée à savoir l’existence d’une entrée, d’une sortie et d’une porte commune aux deux immeubles (Westhinder et Alexandra) obligeant les uns à emprunter la voie d’accès des autres. Ce cas transposé dans notre contexte reviendrait à considérer un accès à nos garages non pas situé entre nos deux immeubles mais par exemple situé sur le côté d’un des deux immeubles. Dans ce cas il est évident que l’accès en sous-sol de l’immeuble « II » se ferait forcément par le sous-sol « I ». Il y aurait là évidemment une servitude forcée et dans cette logique déductive une copropriété forcée. Tenant compte de cet arrêt de la Cour de Cassation ne faudrait-il pas considérer une situation de fait à savoir que les sous-sols en dessous de chaque immeuble ne constitue pas une servitude forcée ? Ne sont servitudes forcées que l’entrée, la sortie, la porte commune et l’aire de roulage compris entre les deux immeubles ainsi que le local de chauffage. Cela est d’autant plus probant que les habitants de chaque immeuble n’ont les clefs que de leur immeuble. L’action que mène monsieur ZZZ tant en justice qu’auprès de l’IBGE tient-elle compte de cette situation de fait que lui-même réclame et tient-il compte du coût de l’étude d’incidence. Cette dernière s’élève à plus de 50.000 euros soit plus de CINQ euros par quotité ou encore entre 200 et 300 euros par copropriétaire. Un tel prix pour un papier qui n’aura aucune finalité concrète pour nos deux immeubles ! Les fonctionnaires de l’IBGE le reconnaissent : nos deux bâtiments n’ont aucun besoin d’un permis type 1A.
La lecture des paragraphes ad hoc de l’assignation initiée en justice par monsieur ZZZ ainsi que son action auprès de l’IBGE me conduisent à la conclusion suivante :
Sa requête en justice et auprès de l’IBGE ne tient pas compte de la situation de fait de nos immeubles. Que cherche-t-il donc ? Il pourrait en toute franchise étudier le problème entièrement et sereinement et le soumettre loyalement et au Conseil de Gérance et au Syndic et à l’Assemblée Générale, mais son souci, comme il l’a dit en Assemblée Générale: « avec lui, il limitera les dépenses, contre lui nous payerons des indemnités se chiffrant à des millions de francs belges ». Cette menace il la réitère dans l’assignation en cours, je le cite : « Que les coûts qui en découlent s’élèvent très hauts et l’association des copropriétaires risque d’en être la victime avec comme suite des conséquences financières très élevées ».
SNP nous dit : En outre, ne pas oublier que "sans intérêt, pas d'action". Quel est l'intérêt de ce CP dans cette affaire, ou dans cet aspect de l'affaire? Au besoin contester la recevabilité de cette demande!
Son intérêt ? Ce CP a déclaré subir des nuisances (odeur de garage pénétrant dans son appartement par vent de direction N-O et seulement par grands vents). Il est le seul à sentir ces odeurs sur 250 copropriétaire et les inspecteurs de l’IBGE ont constaté qu’aucune bouche d’aération ne se trouve près de son appartement. D’autres CP devraient, dans cette hypothèse, ressentir ces dites odeurs.
Afin d’éviter ce genre de conflit entre UNE personne et une ACP, dans lequel ce CP peut éventuellement obtenir gain de cause juridiquement, et le veux, sans aucun bénéfice pour aucune partie, ni pour lui, ni pour les copropio, ne serait-il par urgent de prévoir des amendements ou des dérogations à une loi, qui interprétée à sens unique, risque de léser toutes les parties sans aucun bénéfice environnemental !!! Ce qui serait contraire aux buts que s’est fixé l’IBGE.
casimir
Grmff a écrit : Quand je vois les motifs et les pecadilles sur lesquelles vous perdez votre énergie (vous, le copropriétaire énervé et contestataire, le syndic, la copropriété...) je trouve cela lamentable et ridicule.
Dans bien des cas, il n'y a effectivement pas matière à conciliation.
1. Copropriétaire qui a quitté la salle et quorum mal compté: visiblement, quelque soit la méthode de décompte, cela ne change rien. C'est donc idiot de la part du CP de réagir comme cela, et encore plus idiot de la part du syndic d'argumenter. Il pouvvait même mettre les deux dans le PV... 2 gamins dans un bac à sable qui ferait mieu d'être un peu sérieux.
2. Des injures qui volent. Rien à voir avec les litiges de la copropriété. Même pas à mentionner si ce n'est pour décrire le climat lamentable de part ét d'autre.
3. Phraséologie sur l'AG. Ridicule. Débile d'écrire même une ligne sur quelque chose d'aussi futile.
4. Salle trop petite. C'est un peu débile de se battre comme des chiffonier là-dessus. Mais bon. On ne va pas en faire tout un fromage...
5. CG qui vote sa propre décharge. Le CP avait-il prévenu? Est-ce que cela change quelque chose au vote? Si cela ne change rien, c'est de la phraséologie de caniveau.
6. Armoires sur le balcon: à discuter en AG pour trouver une solution. A noter que si cela change l'aspect et le look du batiment, ou la vue des terrasses des voisins, c'est normal que les gens se plaignent. Et c'est normal qu'il doive enlever ses armoires.
En résumé, toutes ces pecadilles relèvent de la dispute de bac à sable. Deux baffes à chacun, et on repart sur des affaires sérieuses...
Je suis d'accord avec vous et j'attends et j'espere encore de lire le vrais probleme et l'affaire sérieuse. Curiosité?
Je suis heureux de vous lire et profondément triste de voir tout cela déballé en justice de paix.
Et hélas, une fois cité il faut répondre.
Et menacé par écrit m'impose de réagir légalement
A quoi on perd son temps n'est-ce pas ?
Mais Colet trouvait que j'étais trop intello et on m'invitait à la conciliation
Et pour être tout à fait clair, j'ai réagi sur ce forum suite à une information d'un autre CP
qui m'a averti que l'on parlait de moi. J'ai tout simplement réagi.
Je vous remercie tous pour vos conseils même parfois critique, ce qui est très bien.
Je n'interviendrai plus sur ce forum mais je vous lirai de temps à autre.
Je continue mes math et mes occupations full time avec mes petits-enfants
Casimir
casimir a écrit : Deuxième cas concret:
Une 1er AG se réunit, cette première AG où le quorum de 50% n'est jamais atteint, en tous cas chez nous depuis plus de 20 ans.
Deux CP (contestant les AG précédentes) sont présents.
Environ 15 propriétaires sont présents représentant environ 10% des quotités.
Pendant le décompte des quotités, un des deux CP quitte la salle.
Lorsque le syndic communique le résultat du décompte, le deuxième CP conteste les chiffres donnés
en arguant qu'un des CP avait quitté la salle et que donc on ne pouvait pas le comptabiliser.
Demande en annulation de l'AG suitQuelle conciliation proposez-vous ?
casimirLa description du cas n'est pas claire.
1.- S'il s'agit d'une première AG et vu qu'il y a manifestement moins de 50% des quotités présentes, elle est déclarée nulle et doit être reportée.
Qu'un copropriétaire ait quitté la réunion pendant la réunion n'est pas relevant, puisque même avec lui et ses procurations éventuelles l'assemblée n'était pas en nombre.2.- S'il s'agit d'une 2è assemblée, et si j'avais eu quelque chose à y dire, j'aurais acté au PV de séance le départ d'un propriétaire et annoncé à l'assemblée les quotités exactes en séance pour le calcul futur des majorités lors des votes.
C'est é-lé-men-taire!Simplicité et logique. Pourquoi se compliquer la vie en allant au devant de problèmes évitables?
Décidément, votre syndic ne me paraît pas être à la hauteur de la situation.
Le cas est claire:
(1) il s'agit de la première AG. Je n'ai jamais parlé d'une 2eme AG qui peut se réunir même sans les 50% requis. Je crois que ma phrase était SIM-PLE.
(2) la suite est le comportement théâtral de 2 CP dont un conteste cette 1er AG au niveau du décompte des quotités qui n'est pas juste selon lui (rigueur SVP réclame-t-il).
casimir
casimir a écrit : Voici 3 passages litigieux dont les deux premiers sont repris de citations en justice et le troisième est une réponse à la citation initiée par XXX.
L’article 577-6 §5 de la loi sur la copropriété stipule : « Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandataire, pour un nombre de voix supérieur à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés ». Nos statuts en limitant le nombre de procurations à 4 (quatre) par personne sont donc contraire à loi et donc illégaux.
« Le texte néerlandais diffère du texte français (débattre  « stemming ») ».
"L’annexe au PV du XX/XX/XXXX est rédigée à la main par monsieur YYYY. Il a écrit que les deux scrutateurs étaient désignés par l’assemblée générale. Ces deux personnes ont rédigé ce document en toute bonne foi. Peut-on leur reprocher cette « erreur » qui consiste à écrire « désignés par l’assemblé générale » alors que cette AG n’a pas eu lieu (La 1ere qui n’atteint jamais 50% dans notre copropriété)?"
Peut-on donner un avis sur le carcatère légal ou frauduleux de ces 3 textes repris des affaires en cours ?
casimir
j'ai toujours la meme question: Pourquoi le CP est en justice et quel type de decisions ont été attaqués?
Bref quel etait le vrai probleme?
La premiere AG n'etait pas valable alors qu'a pris des decisions illegales? La deuxiemes les a repris "in globo"? J'aurais du mal à comprendre un acharnement theraupetique seulment pour des questions formelles de quorum alors que j'immagine à l'ordre du jour devait y avoir quelque chose de gros...
Héla non !
Car à la dernière AG ce CP a déclaré voter lui-même contre sa proposition !
Ce qui ne l' a pas empêché ensuite de dire que l'AG lui refuse ce qu'il demandait !
casimir
casimir a écrit :Quittons les sphères intellectuelles et prenons un cas tout récent et concret survenu lors de notre dernière AG.
Un CP (un autre) nous fait remettre par huissier une lettre dans laquelle se trouve écrit: (il exige une correction du PV)
Point 1. Page 2 : J'ai fait remarquer que les membres du conseil de gérance ne peuvent voter sur leur propre décharge. le syndic a personnellement écarté cette remarque.
[Ce que tout syndic même vaguement professionnel devrait savoir : « L'article 577-6 § 7 prévoit qu'aucune personne mandatée par l'assemblée ou employée par elle ne pourra participer personnellement ou par procuration aux délibérations et aux votes relatifs à la mission qui lui a été confiée. »]Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
On s'écarte fort de la conciliation générale des problèmes de votre ACP pour
tomber dans des cas d'espèces qui sont largement évoqués et débattus sur des sites comme celui-ci.
A mon avis (mais ce n'est pas parole d'évangile) l'article 577-6 § 7. ne s'applique pas au CG pour la décharge de sa mission d'assistance et de contrôle du syndic que la loi lui accorde d'office.
Néanmoins, il est d'usage, dans n'importe quel domaine, de ne pas pouvoir se donner décharge d'une mission à soi-même puisque alors on devient juge et partie.Dans le cas exposé, il suffisait au syndic, plutôt que d'écarter la demande du copropriétaire comme vous le relatez, d'annexer sa lettre au PV et l'affaire était peut-être close.
Si, les membres du CG ne participant au vote sur leur propre décharge, le reste de l'assemblée la leur refusait, et bien elle était refusée, et puis voilà!Tout ceci est simple et logique. Il faut savoir accepter le résultat d'un vote quel qu'il soit et tel qu'il est.
Manipuler les voix ou les votes pour arriver à ses propres fins est du magouillage qui toujours amène un retour de manivelle douloureux.
Voilà qui est bien et qui fut fait comme vous dites.
mais tous n'acceptent pas le résultat du vote (90%), hélas !
casimir
Voici 3 passages litigieux dont les deux premiers sont repris de citations en justice et le troisième est une réponse à la citation initiée par XXX.
L’article 577-6 §5 de la loi sur la copropriété stipule : « Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandataire, pour un nombre de voix supérieur à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés ». Nos statuts en limitant le nombre de procurations à 4 (quatre) par personne sont donc contraire à loi et donc illégaux.
« Le texte néerlandais diffère du texte français (débattre  « stemming ») ».
"L’annexe au PV du XX/XX/XXXX est rédigée à la main par monsieur YYYY. Il a écrit que les deux scrutateurs étaient désignés par l’assemblée générale. Ces deux personnes ont rédigé ce document en toute bonne foi. Peut-on leur reprocher cette « erreur » qui consiste à écrire « désignés par l’assemblé générale » alors que cette AG n’a pas eu lieu (La 1ere qui n’atteint jamais 50% dans notre copropriété)?"
Peut-on donner un avis sur le carcatère légal ou frauduleux de ces 3 textes repris des affaires en cours ?
casimir
- M. XXX m'a dit qu'il allait me traiter comme un ballon de football si je continuais à intervenir, c'est-à-dire me rouer de coups. J'ai fait posément remarquer que M. XXX ressemblait plus à un ballon de football que moi-même, ayant morphologiquement une forme ovoïde. (sic et acté)
Vous êtes tierce personne et président de l'AG.
Quelle médiation proposez-vous?
Je me suis placé au raz des pâquerettes. Un peu de distraction dans ce forum très sérieux.
casimir
Une 1er AG réunit rarement pour ne pas dire jamais le quorum légal de 50%.
Une 2ème AG est souvent nécessaire.
Depuis plus de 20 ans, notre syndic organisait cette 1er AG dans une salle trop exiguë.
Et personne ne contestait
Soudain !
Première citation d'une longue série en vue d'annuler cette 1er AG pour son caractère illégal.
Le Juge a tranché et nous avons recommancé dans une salle plus grande et plus cher pour nos finances.
Rien n'a changé dans le déroulement des AG depuis lors.
Une 1er AG sans le quorum légal et la 2eme 15 jours plus tard.
Une chose a changé: les charges et les frais d'avocats et de procédure à charge de l'ACP.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de cas semblables en BE.
Soyez sans crainte, nous respecterons la légalité à l'avenir.
casimir
Et troisième et dernier cas concret :
Un CP place ses armoires sur sa terrasse. Ces armoires ne sont visibles que d'un des côtés de la rue.
A la demande de plusieurs coproprio ce CP est invité à retirer les armoires de sa terrasse en conformité avec le Règlement d'ordre intérieur. Refus. Lettre recommandée, refus. Assignation devant le juge de paix.
Un CP arrive à son secours et argue que seule l'AG peut décider et dénonce le caractère abusif de certaines dispositions de l'acte de base. Dans une citation en justice que ce dernier CP a intenté contre la copropiété, il relate cet événement comme faute du syndic et du CG.
Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
Deuxième cas concret:
Une 1er AG se réunit, cette première AG où le quorum de 50% n'est jamais atteint, en tous cas chez nous depuis plus de 20 ans.
Deux CP (contestant les AG précédentes) sont présents.
Environ 15 propriétaires sont présents représentant environ 10% des quotités.
Pendant le décompte des quotités, un des deux CP quitte la salle.
Lorsque le syndic communique le résultat du décompte, le deuxième CP conteste les chiffres donnés
en arguant qu'un des CP avait quitté la salle et que donc on ne pouvait pas le comptabliser.
Demande en annulation de l'AG suit
Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
casimir a écrit : Non à ce que dit Colet et pourtant il me suggère de bonnes approches.
Le dialogue ne se passe pas entre deux personnes mais entre une personne et une personne juridique.
Un bon dialogue nécessietrait une remise des compteurs à zéro ce que Rawls appelle "le voile d'ignorance"
Un peu utopique, mais il faudrait avoir le courage de se regarder de dialoguer en d'autres mots de pouvoir dire non à certains apriori ou prénotions comme disait Durkheim et pour aider un tel dialogue faire confiance à une tierce personne neutre intelligente de préférence et sans apriori dans le problème à résoudre.
J'y suis prêt.Et une de mes valeurs:
la légalité sans sens = légalisme
la légalité avec sens = le juste (on tend vers ce qui est juste)casimir
Que celui qui a compris quelque chose lève le doigt?
Mon cher Casimir, excusez-moi si je vais être un peu désagréable, mais je trouve que vous avez un art consommé de noyer le poisson ou, en d'autres termes, de parler pour ne rien dire; ce qui comme chacun le sait, n'est donné qu'aux intellectuels de haut vol.
A moins que ce ne soit moi qui suis encore plus c.. que je ne le pensais.On pratique le genre quand on est coincé et qu'il est difficile de se tirer d'un mauvais pas.
Vous me faites penser à de Villepin dans l'affaire qui probablement va mettre un terme à sa carrière.On parle de conciliation. C'est le premier devoir de tout avocat honnête: trouver le moyen d'éviter une procédure. Combien de "courrier confidentiel" ne s'échangent-ils pas en cours de procédure?
Vous chercher un conciliateur: c'est facile: que chacun délègue son avocat, mais avec la mission d'arrêter la procédure et de trouver un arrangement.
Comme ils connaissent bien le dossier, cela pourrait aller très vite.
Pour la copropriété il n'y a qu'une règle à respecter: la légalité.
Si j'ai bien compris les motivations du propriétaire plaignant, c'est cela qu'il réclame. Et bien qu'on la lui donne. Quoi de plus normal après tout qu'une ACP respecte la loi!Arrêter cette guerre de tranchées est simple, il suffit de le vouloir.
Jusqu'ici, l'ACP, par la faute de ses responsables a été reconnue en tort.
Qu'elle rentre donc dans le droit chemin et tout sera dit.
Fini et basta, on passe à un autre genre de réjouissance.Tout le reste n'est que littérature et paroles creuses.
Quittons les sphères intellectuelles et prenons un cas tout récent et concret survenu lors de notre dernière AG
Un CP (un autre) nous fait remettre par huissier une lettre dans laquelle se trouve écrit: (il exige une correction du PV)
Point 1. Page 2 : J'ai fait remarquer que les membres du conseil de gérance ne peuvent voter sur leur propre décharge. le syndic a personnellement écarté cette remarque.
[Ce que tout syndic même vaguement professionnel devrait savoir : « L'article 577-6 § 7 prévoit qu'aucune personne mandatée par l'assemblée ou employée par elle ne pourra participer personnellement ou par procuration aux délibérations et aux votes relatifs à la mission qui lui a été confiée. »]
Quelle conciliation proposez-vous ?
casimir
Non à ce que dit Colet et pourtant il me suggère de bonnes approches.
Le dialogue ne se passe pas entre deux personnes mais entre une personne et une personne juridique.
Un bon dialogue nécessietrait une remise des compteurs à zéro ce que Rawls appelle "le voile d'ignorance"
Un peu utopique, mais il faudrait avoir le courage de se regarder de dialoguer en d'autres mots de pouvoir dire non à certains apriori ou prénotions comme disait Durkheim et pour aider un tel dialogue faire confiance à une tierce personne neutre intelligente de préférence et sans apriori dans le problème à résoudre.
J'y suis prêt.
Et une de mes valeurs:
la légalité sans sens = légalisme
la légalité avec sens = le juste (on tend vers ce qui est juste)
casimir