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Bonjour à tous,
Mon problème concerne la répartition des frais pour des travaux à effectuer sur une aire de manœuvres dans une copropriété où je suis propriétaire d’un garage.
La copropriété, après de nombreuses années de discussions, s’est mise d’accord sur le fait que les frais de revêtement et d’entretien de l’aire de manœuvre des garages sont à charge uniquement des copropriétaires des emplacements. Par contre les travaux pour réparer des problèmes d’étanchéité sont à charge de l’ensemble des copropriétaires.
Le revêtement de la cour de garages n’est pas en bon état et a déjà fait l’objet de plusieurs réparations. Cette aire de manœuvre recouvre des emplacements en sous-sol ainsi que des caves et des infiltrations sont apparues. La copropriété a décidé d’effectuer une remise à neuf de cette aire de manœuvre ce qui signifie enlever le revêtement et les couches sous-jacentes ; enlever la membrane d’étanchéité existante, la remplacer et ensuite finaliser la cour.
Différentes sociétés de travaux ont soumis des devis qui varient de 100.000 à 150.000 Euros parmi lesquels , selon les propositions du syndic, les 2/3 seraient à charge des copropriétaires des emplacements et 1/3 à charge de l’ensemble de la copropriété. L’assemblée générale de l’an dernier a examiné ces devis sans voter formellement sur un budget. C’est le devis le plus élevé qui semblait avoir reçu le meilleur accueil car selon la gérance il présente les meilleures garanties sur la durabilité de l’étanchéité.
Vu l’importance du budget (la dépense pourrait avoisiner 10.000 Euros par garage), je me pose plusieurs questions.
1/ Comment évaluer la part des devis qui incombe seulement aux garages et celle qui incombe à l’ensemble de la copropriété ?
2/ Si l’assemblée doit se prononcer sur cette répartition, comment éviter un abus de majorité, les garages ne représentant qu’un infime fraction de la copropriété ?
3/ Puisque la cour doit être entièrement détruite pour un problème d’étanchéité n’y a-t-il pas obligation de remise en état après avoir remplacé l’étanchéité ? (Dans cette perspective la majorité des travaux serait à charge de l’ensemble de la copropriété).
4/ Peut-on envisager que les travaux d’étanchéité d’une part et les travaux de revêtement fassent l’objet de deux devis différents ?
D’avance je vous remercie de vos réponses.
Bonjour,
Le problème concerne une copropriété d’une trentaine de CP. Il a été décidé il y a plus de 15 ans de supprimer le poste de concierge et de louer la conciergerie de 35 m². Les loyers sont versés dans le fonds de réserve pour financer des travaux.
Jusqu’à présent le syndic gérait la location (recherche de locataire, reçu des loyers et transfert vers un fonds de réserve, entretien de la conciergerie, calcul des charges de la conciergerie, etc...). Il semble que cette gestion n’ait pas été des plus performantes : le loyer est resté proche de ce qu’il était il y a 15 ans, de l’ordre de 250 Euros ce qui est, semble-t-il, assez peu pour la commune (Uccle). A tel point qu’on soupçonne le locataire de sous-louer la conciergerie, ce qu’il ne peut évidemment pas faire en vertu du bail mais qui est difficile à prouver. Bref le syndic considère qu’il n’entre pas dans son mandat de louer la conciergerie et a annoncé à l’ACP que, l’an prochain, il en abandonne la gestion. Comment l’ACP peut-elle reprendre en main cette gestion ? devons-nous confier celle-ci à une agence immobilière si ce n’est plus le syndic qui gère la conciergerie, comment faire entrer les loyers dans la comptabilité de l’immeuble et effectuer le transfert dans le fonds de réserve ? nous avons envisagé de vendre la conciergerie mais il est difficile d’atteindre les 4/5 requis. N’est-ce pourtant pas la solution la plus raisonnable pour la copropriété ?
D’avance merci pour vos conseils et suggestions.
Bonjour à tous,
Je suis d’accord avec Rexou. La copropriété compte depuis 5 ans un CP supplémentaire contre lequel personne ne s’est opposé. Il a dû participer à des votes avec certaines quotités que personne n’a contestées. Certes le CC n’a jamais signalé la séparation différente des charges entre les deux nouveaux lots mais je n’ai, pour ma part, jamais entendu dans une AG un CC faire rapport sur la répartition des charges. En général ils examinent les dépenses, contrôlent qu’elles sont toutes étayées par des factures, et correspondent à des dépenses initialement prévues en AG. Donc la copropriété unanime a vécu sans contestation dans une répartition contre laquelle elle s’était opposée il y a 5 ans. Pour quelle raison s’y opposer maintenant ? Aucun argument raisonnable ne semble justifier un refus à la demande du CP vendeur si ce n’est une question d’amour propre et le sentiment d’avoir été bafoué il y a 5 ans. Mais je pense que l’attitude raisonnable consiste à accéder à la demande du CP vendeur. C’est évidemment avec un certain soulagement que j’ai lu que l’ACP peut se désolidariser des CP qui refusent la modification de l’acte de base, au risque de se retrouver devant le JDP.
La question de la signification du mot unanimité n’est pas encore claire à mes yeux. Concerne-t-elle l’ensemble des CP dans la copropriété ? auquel cas si un CP est absent et non représenté il bloque toute décision. Ne concerne-t-elle que les CP présente ou représentés en AG ? Auquel cas, comme les noms des CP qui s’opposent à une décision sont repris dans le PV de l’AG, il sera facile au CP vendeur de savoir qui appeler en justice.
Merci encore à tous.
Bonjour à tous,
Pour répondre aux questions posées:
1/ Il s'agit du même syndic qu'il y a 5 ans;
2/ Chaque copropriétaire a le décompte de ses charges et n'a pas accès aux décomptes des autres copropriétaires. Dans la mesure où la nouvelle répartition des quotités entre les deux lots concernés n'a pas modifié les charges des autres copropriétaires, personne n'a rien vu. Le seul copropriétaire concerné est celui qui a acheté le flat il y a 5 ans. mais comme les quotités de son flat sont probablement inférieures aux quotités de l'appartement décrit dans l'acte de base il paie moins de charges qu'attendu. Il n'a donc rien dit.
3/ Les PV des assemblées générales ne mentionnent rien sauf le PV d'il y a 5 ans dans lequel figurait le résultat négatif du vote.
Bien à vous.
Bonsoir à tous,
Un grand merci pour vos réponses.
Je suis, moi aussi, surpris de la vente du flat malgré le refus de l'assemblée générale et le fait que l'acte de base ne donne aucune description du bien vendu à cette époque. Je me demande comment un notaire a pu vendre un flat qui n'existat pas et comment la gérance a pu lui donner toutes les informations concernant ce bien (notamment part dans le fonds de réserve, participation au fonds de roulement). J'ignore si c'est le même notaire qui doit intervenir ici. L'assemblée générale prochaine nous dira ce qu'il en est.
Le copropriétaire qui souhaite vendre a bien effectué les démarches à l'urbanisme et a besoin de la modification de l'acte de base pour définir l'appartement à vendre et lui donner une existence dans l'acte de base. Le gérant nous assure que la vente de cet appartement ne changera rien aux charges des sutres copropriétares. Je ne manquerai pas de lui demander comment il répartit actuellement les charges entre le flat déjà vendu et l'appartement à vendre. Qui a décidé de cette répartition? quand? sur quelle base? qu'en pense le propriétaire actuel du flat?
Le vote négatif de l'assemblée générale pour la vente du flat il y a 5 ans semble montrer que le copropriétiare vendeur n'est pas très populaire. Le vote risque donc d'être encore une fois négatif (d'autant plus qu'il faut l'unanimité pour que le point soit accepté). Le copropriétaire vendeur risque donc de se retrouver dans une impasse. Si le problème arrive au tribunal et si j'étais JDP j'accéderais à la demande du copropriétaire vendeur pour plusieurs raisons:1/ la modification de l'acte de base indispensable pour donner une existence à la fois à l'appartement à vendre et au flat vendu ne coutera rien à la copropriété; 2/ le nouvel acte de base établira la nouvelle répartition des charges et il est donc facile de s'assurer que les autres copropriétaires ne verront pas leurs charges être modifiées; 3/ dans ces conditions il sera difficile aux autres copropriétairese de convaincre le JDP que la modification de l'acte de base leur cause préjudice ; 4/ la modification de l'acte de base et la vente de l'appartement feront sortir de la copropriété un copropriétaire qui, s'il devait rester, risquerait dans les années futures de nuire à la sérénité des assemblées générales.
Donc même si on peut dire que le copropriétaire vendeur s'est mis lui-même dans mes problèmes et si, sur le plan moral on peut penser que le JDP ne devrait pas accéder à sa demande je pense que, dans l'ntérêt de la copropriété, le juge devrait quand même accepter la modification de l'acte de base.
En fait ma question innitiale portait surtout sur qui devrait éventuellement supporter les frais de justice. Si un seul copropriétaire s'oppose à la modification de l'acte de base et si son vote pousse le vendeur à aller en justice, tous les copropriétaires sont-ils solidaires de celui qui a refusé et en conséquence sont tenus de participer au paiement des frais entrainés par ce dossier qui passerait en justice (avocat, justice, dossier de la gérance).
Encore merci de vos remarques constructives et étayées.
Bonjour à tous,
Un copropriétaire a réuni deux appartements contigus (appartement à une chambre) qu’il a occupés durant de nombreuses années. Il y a 5 ans il a voulu en vendre un mais modifié puisqu’il a voulu vendre un flat l’autre partie ayant deux chambres. Il a demandé l’autorisation de l’assemblée générale qui lui a refusé cette nouvelle répartition de ces deux lots. Il a passé outre de la décision négative de l’assemblée générale et a vendu le flat. Ce copropriétaire veut vendre cette fois l’autre partie (appartement à deux chambres) mais le notaire lui refuse la vente puisque cet appartement n’est pas décrit dans l’acte de base.
Le gérant a mis le point à l’ordre du jour et le copropriétaire vendeur demande l’autorisation de modifier à ses frais l’acte de base. Cette modification de l’acte de base concernera uniquement la description des deux lots concernés et n’aura donc aucune conséquence sur les charges des autres copropriétaires mais il faut l’accord unanime des copropriétaires pour que l’acte de base puisse être modifié. Le copropriétaire vendeur-demandeur menace d’aller en justice s’il ne reçoit pas l’accord de l’ensemble des copropriétaires. Dans la mesure où cette modification de l’acte de base est indispensable pour sortir de l’impasse dans laquelle le copropriétaire s’est mis et dans la mesure où cela n’aura aucune conséquence financière pour les autres copropriétaires je pense que si le problème passe en justice de paix le juge tranchera en faveur du copropriétaire demandeur-vendeur.
Qu’en est-il si le point mis à l’ordre du jour est refusé faute d’unanimité ? si seuls quelques copropriétaires refusent la modification de l’acte de base et si une procédure en justice est entamée l’assemblée générale des copropriétaires est-elle concernée ou seuls ceux qui refusent le point seront-ils appelés en justice ?
Merci d’avance de vos avis.
Attention avec le vote "en globo" d'un tel acte. C'est très précaire.? Remplacer l'acte de base exige en fait une siganture de CP, avec droit de vote ou non (100% des CP et pas une majorité des membres de l'AG).
La coordination en soi n'exige qu'une majorité de 50%+1 si elle ne fait que coordonner des décisions, sans plus (= dans les cas où il n'y aucun choix).
Chaque choix doit être préalablement proposé explicitement (en mentionnant tous les choix proposés, aussi ceux proposés par un CP), délibéré et voté, selon la technique "vote par article".
Puis à l'AG suivante le texte coordonné est présenté à la délibération globale, derniers amendements et au vote
Bonjour,
Si je comprends bien votre réponse vous voulez dire que la modification de l'acte de base exige l'unanimité des copropriétaires alors que la coordination (l'actualisation?) n'exige qu'une majorité simple.
Ceci m'amène à poser une nouvelle question. L'acte de base initial a maintenant plus de 50 ans et au cours des cette période, certaines décisions ont été prises qui modifiaient certaines règles, comme par exemple les quotités dans certains frais. Ces décisions prises au fil des ans doivent-elles être intégrées dans la version actualisée de l'acte de base et, dans ce cas, avec quelle majorité? Si elles ne sont pas et donc si l'acte de base actualisé reprend les quotités de l'acte de base initial, quelle est la règle que le syndic doit appliquer pour répartir les charges: celles prises en assemblée il y a quelques années ou celles reprises dans le nouvel acte de base approuvé cet année?
D'avance merci.
Est-ce un acte de base récent ?
Un grand merci pour votre intérêt. C'est un projet d'acte de base qui sera soumis à l'approbation d'une assemblée générale en mars. Il est destiné à remplacer un acte de base qui date des années '60.
Bonne journée.
Bonjour,
Je lis dans un acte de base le paragraphe suivant :
« En cas d’inobservation du règlement de copropriété par un locataire, par son sous-locataire ou cessionnaire de bail ou par tout autre occupant, le propriétaire, après second avertissement donné par le syndic, est tenu de demander la résiliation du bail ou de mettre fin à l’occupation ».
Je suis surpris de lire que le propriétaire doive intervenir dans ce qui n’est souvent qu’un problème de voisinage. N’appartient-il pas au syndic, dans le cadre de sa gestion de l’immeuble, d’intervenir auprès des occupants et si besoin de les convoquer devant le juge de paix au nom de la copropriété ?
Que pourrait-il arriver au propriétaire qui ne se plie pas à cet article de l’acte de base ? Quels sont les recours (notamment indemnités de rupture de bail) auxquels il s’expose de la part de son locataire ? Faudrait-il faire apparaître dans le contrat de location cette clause de rupture du contrat ?
Je lis d’autre part dans le même acte de base la phrase suivante :
« La location ou l’occupation ne peut se faire qu’à des personnes d’une honorabilité incontestable ».
Comment mettre cette règle en application ? Comment définir « honorabilité incontestable » et vérifier qu’un candidat locataire est conforme à cette définition ? comment être certain qu’un propriétaire occupant paiera toujours les charges de la copropriété ?
D’avance merci.
Bonsoir,
Je n'ai pas compris la remarque de Bada et ce que j'avais omis de dire dès le début. Je pensais avoir été complet dans ma demande d'explications sur les termes de l'acte de base et notamment sur la notion d'entretien immobilier.
Désolé donc s'il y a eu malentendu.
Bonsoir,
Non, l'acte de base n'impose pas que chaque emplacement soit assocoié à un appartement. Si tel était le cas il n'y aurait pas de problème de répartition des frais de cour de garage.
Bonsoir,
Une répartition des frais de reconstruction de la cour aux seuls propriétaires d'emplacements serait effectivement une décision que j'attaquerais en justice de paix. Mais le juge ou l'expert qu'il fera nommer retombera sur les mêmes problèmes que ceux posés ici: qu'entend-on par entretien immobilier une expression dont l'interprétation ne semble pas faire l'unanimité notamment lorsqu'on envisage des travaux de reconstruction pour cause de vétusté.
Merci de vos interventions et conseils.
Bonjour,
La réponse de Dach me paraît plein de bon sens mais, selon mon expérience assez utopique. Dans une assemblée générale où les appartements possèdent plus de 90% des quotités et les emplacements de l'ordre de 10%, on voit mal comment on pourrait avoir une décision qui répartiraot les gros travaux entre tous les copropriétaires (appartements et garages). Mais on pourrait considérer qu'il y a, alors, abus de majoriét de la part des appartements.
Bonjour,
En réponse à vos questions, il s'agit d'emplacements avec marquage au sol.
Par ailleurs les propriétaires d'emplacement participent à certains frais de l'immeuble (par exemple rénovations des terrasses).
Merci pour vos réponses et conseils.
Bonjour,
Un grand merci à Bada pour sa réponse mais je pense que je me suis mal exprimé.
Le problème qui se pose à la copropriété est celui de la vétusté de l'aire de manoeuvre des emplacements de garage. Plus question de réparer. Il faut démolir et reconstruire. Les termes utilisés dans l'acte de base pour déterminer la répartition des frais des parties communes (dans lesquelles ll'aire de manoeuvre est reprise) sont "conservation, d'entretien, de réparation, de restauration". Ces frais sont à charge de l'ensemble de la copropriété (emplacements et appartements). Exception à cette règle générale: les propriétaires des emplacements doivent assumer seuls les frais d'"entretien immobilier" de l'aire de manoeuvre. Nulle part on ne parle de frais dus à lareconstruction. Je souhaitais donc savoir si le terme entretien immobilier inclut la destruction/reconstruction ou si, au contraire c'est plutôt le terme restauration qui correspond à ces travaux.
Si on considère que cette reconstruction due à la vétusté n'est envisagée dans aucun des tremes repris dans l'acte de base comment les frais inhérents à ces travaux de remplacement devraient-ils être répartis?
Pour votre information je suis propriétaire d'un emplacement dans cette copropriété.
Encore merci.
Bonjour,
J'acte de base d'une copropriété mentionne dans un chapitre Entretien et réparations que chacun des propriétaires contribuera aux dépenses de conservation, d'entretien, de réparation, de restauration et d'administration proprotionnellement aux quotités de base.
Parmi les exceptions prévues à cette règle générale l'acte mentionne que les frais d'entretien immobilier des parties communes des emplacements pour voitures sera à charge des propriétaires de chaque groupe d'emplacement.
Mes questions sont les suivantes:
Qu'entend-on en conservation, entretien, réparation, restauration, entretien immobilier?
Si une partoe commune qui a été régulièrement entretenue doit être, suite à sa vétusté, complétement remplacée et reconstruite, parle-t-on encore d'entretien, fusse-t-il immobilier? Je ne vois malheureusement dans l'acte de base aucun chapitre abordant le problème de reconstruction (sauf, en cas d'incendie ou pour le renouvellement de l'ascenseur). Ces frais de reconstruction d'une partie commune entreraoent-ils dans la catégorie des frais de restauration?
D'avance merci de votre réponse.
Juste pour info, les locs des 3 apparts ont accès à ce jardin ? ou seulement le loc du rez de chaussée ?
Le jardin est à l'usage exclusif des locataires du rez-de-chaussée.
Merci à tous de vos conseils!
Je suis propriétaire d'une maison de 3 appartements avec un grand jardin et située à Uccle. Le locataire du rez-de-chaussée est un amoureux de la nature et adore le jardin. Il a décidé de monter une tente au fond du jardin, tente dans laquelle il dort parfois afin de profiter de la nature à l'abri des regards (le jardin étant entouré de prorpiétes ayant vue sur ce jardin). Le locataire du premier étage me demande d'intervenir et de demander le démontage de cette tente sous prétexte qu'elle nuit à son intimité, Ai-je le droit d'intervenir? sous quel prétecte puis-je exiger de mon locataire qu'il démonte sa tente?
Merci d'avance de vos réponse.
OK Dach, je comprends que l'employeur du syndic c'est l'ACP.
Si j'ai des doléances à faire valoir, ce ne peut être que vis-à-vis de l'ACP.
Le fait d'accorder gratuitement la jouissance de la conciergerie à la salle de vente qui occupe les bureaux voisins est une décision de l'assemblée générale prise avec je ne sais plus quelle majorité.
Mais puis-je demander au syndic si le fait d'accorder la jouissance de la conciergerie à un bureau qui y stocke des documents constitue une modification dans la destination d'un local dont notre assureur doit être informé?
Je m'adresserai par ailleurs au service d'urbanisme de ma commune pour demander si la transformation d'un logement en bureau peut se faire sans avis de la commisison d'urbanisme.
Merci encore
Je ne critique pas la loi mais lorsque je vois comment un cabinet d'avocats spécialistes dans le domaine la lit dans un domaine tout à fait dans ses compétences je me pose des questions sur la lecture et l'application de la loi.
En ce qui concerne la responsabilité respective de l'assemblée générale et du gérant, ce dernier n'est-il pas responsable de sa gestion et il peut refuser de mettre en application des décisions de l'assemblée qui lui paraissent en contradiction avec la loi. Je me trompe?
N'est-il pas du devoir du syndic de mettre en garde l'assemblée par rapport à une décision qui risquerait de poser de graves problèmes à la copropriété (par exemple porblème avec l'assurance de l'immeuble). Bien sûr l'assemblée est souveraine mais les réserves du syndic ne devraoent-elles pas apparaître dans un procès-verbal (assemblée générale, conseil de copripriété)?