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Ni les rideaux, ni le tapis plein, aussi beaux soient-ils m'apportent une plus-values. Au contraire.
Les rideaux, c'est une source d'ennuis. Un locataire pourrait me réclamer de les remplacer s'il estimait qu'ils sont usés. Je me fait aussi guère d'illusion sur leur entretien.
Pour ce qui concerne le tapis, je compte mettre partout du parquet dans tous les appartements. Dès lors, je ne demande pas mieux qu'il emmène son tapis plein avec lui.
Dans ce cas vous ne lui devez rien ? mais s'il y avait déjà un tapis, j'imagine qu'il n'est pas obligé d'évacuer le sien?
Votre locataire est resté longtemps dans le bien?
L'avez-vous renvoyé au bail? Quelles relations avez-vous avec cette personne?
De mon point de vue, si les rideaux apportent un réel plus, pourquoi ne pas les garder contre une participation financière (pas leur valeur à neuf évidemment !). Parce qu'à l'inverse, le locataire pourrait tout simplement s'en débarrasser.
Pour le tapis plein... évidemment il ne risque pas de l'emmener sous le bras lors du déménagement. De nouveau, s'il apporte une réelle plus-value, pourquoi ne pas participer. Vous pouvez peut-être demander de faire chiffrer la valeur de ces 2 aménagements lors de l'ELS.
Un article (29/8/15) de L'Echo: Les prix de l'immobilier résistent mieux que prévu
"Les experts en immobilier interrogés dans le cadre d’une enquête de L’Echo ne croient pas à un effondrement du résidentiel belge. Le marché est soutenu par des taux d’intérêt historiquement bas, le segment locatif, et un "tax shift" favorable au secteur."
suite par le lien ci-dessus
Je suis étonné que la croissance démographique, combinée à la recomposition (décomposition ?) d'un nombre de ménages croissant ne soit jamais cités par ces experts. Or pour ces deux facteurs agissent de manière structurelle sur la demande, bien plus que des politiques fiscales ou une conjoncture passagère.
Merci pour tous vos avis qui reprennent bien l'ensemble des arguments pour et contre.
Dire qu'un bien est irréprochable serait prétentieux mais il est rénové entièrement, bien situé et aux normes. Si les locataires ont un pépin qui incombe au bailleur, je paye les réparations sans faire d'histoires. Pour des raisons personnelles (boulot prenant, distance avec le bien, talents limités en bricolage,...) j'aime avoir des locataires "autonomes" autant que possible. Là ça fait 6 mois que je n'ai plus entendu parler d'eux et ça me convient très bien (ils sont sympathiques mais ce n'est pas la question).
Je pense qu'un mail leur rappelant que c'est la date pour l'indexation mais qu'il n'y en aura pas cette année vu les petits désagréments de début de location, ça peut être un bon compromis.
Tibir a écrit :En fait, j'apprécie surtout la tranquilité dont je jouis avec ces locataires (le bien n'est pas proche de mon domicile) et je crains un peu de la briser en leur rappelant que le loyer est susceptible d'augmenter graduellement.
Oui mais vous les éduquez très mal pour le bailleur suivant qui aura toutes les difficultés pour appliquer la loi en indexant son loyer!
Vous dites que vous êtes dans le haut du segment? une petite indexation de 200€/an ne fait que 16.67€ de plus par mois.
En utilisant le calculateur de loyer, pour un bail signé en août 2017 et une date d'effet en août 2017, le loyer devrait être de 900€/mois
J'ai des biens à plus de 1800€ de loyer que j'indexe...
Mais évidemment le service est irréprochable et j'agis immédiatement dès le moindre problème.
Loin de moi l'idée que personne ne paye de plus gros loyer que celui que je demande à mes locataires ! Simplement, sur base de comparaisons avec les biens similaires dans le quartier et des évaluations d'agences, je pense que le loyer est dans le haut de la fourchette.
Merci pour vos avis.
Mes locataires sont là depuis un an, les indexer augmenterait leur loyer d'environ 200€/an et c'est vrai que sur 3-4 ans cette somme serait bien venue pour rafraîchir le bien avant la prochaine location.
Je suis bien conscient que mes impôts et les assurances augmentent année après année (même si je pensais que c'était sur base de l'indice santé, merci pour la précision ?).
En fait, j'apprécie surtout la tranquilité dont je jouis avec ces locataires (le bien n'est pas proche de mon domicile) et je crains un peu de la briser en leur rappelant que le loyer est susceptible d'augmenter graduellement.
Bonjour,
Je suis le bailleur d'un couple de "bons" locataires (bail de 3 ans) dans la mesure où ils ont un bon job avec des revenus stables, payent le premier du mois et ne m'ennuient pas pour des broutilles (il faut dire que la maison qu'ils louent a été remise à neuf avant leur emménagement).
J'hésite à les indexer cette année :
- le loyer est dans la tranche haute du marché
- ils ont subi quelques désagréments il y a un an car certains réglages post-travaux ont nécessité des interventions
- un changement prématuré de locataires me coûtera beaucoup plus que l'index me fera gagner
A l'inverse:
- le montant de l'index cumulé sur 3 ans (ou plus, croisons les doigts) n'est pas négligeable
- je pense que la pilule passe toujours plus difficilement quand l'indexation survient tard (malgré les économies réalisées par le locataire)
- Vu leur âge et leurs revenus, je crains qu'ils ne mettent les voiles assez rapidement pour acheter leur propre bien, indexation ou pas.
Des conseils ?
Merci!
Tibir
Encore une petite question: le géomètre a renseigné sur son plan des limites physiques clairement visibles (piquets en béton, murs). Il n'a donc pas posé de bornes, ce qui me surprend malgré tout.
Pensez-vous que je dois exiger de sa part la pose de bornes réglementaires?
Merci!
Tibir
Le voisin en question a approuvé la découpe sans faire d'histoires ! Bonne nouvelle donc! Je pense qu'il préfère que tout aille vite pour réaliser sa vente plutôt que de pinailler
Vous avez raison, je vais contacter mon notaire.
Bon dimanche,
Tibir
Merci pour vos réponses.
Pour mieux décrire la situation, imaginez que la jonction entre les deux maisons se fasse via une sorte de couloir au milieu duquel il y a une porte. Nous avons muré la porte alors qu'il aurait fallu murer une extrémité du couloir.
En fait le préjudice pour mon voisin est faible voire inexistant : après avoir hérité de la maison, il l'a mise en vente au prix auquel elle a été évaluée et elle a été achetée en quelques jours. Les plans de séparation ont été réalisés dans le cadre de la vente pour régulariser la situation. Si ces 2m n'avaient pas été murés, ils n'en aurait probablement pas retiré un euro de plus.
Il est compliqué de résumer ici tous les problèmes que nous avons eu avec ce voisin dans le cadre de l'héritage mais j'ai une très faible opinion de sa personne et de son honnêteté. S'il est possible, légalement, de ne pas lui verser la moindre compensation, je n'hésiterai pas à choisir cette option.
Étant donné qu'il avait connaissance, comme moi, du contenu du testament et qu'il a accepté la construction de ce mur, peut-il vraiment encore me réclamer des dédommagements?
Bonjour à toutes et tous!
Je vous contacte par rapport à une question concernant la séparation de deux maisons mitoyennes dans le cadre d'une succession. Les deux maisons appartenaient au même propriétaire et, après son décès, elles ont été léguées à deux personnes différentes, un voisin et moi-même.
Conformément aux souhaits du propriétaire exprimés dans son testament, nous avons édifié un mur à la place du passage intérieur permettant de passer d'une maison à l'autre. Le voisin a accepté la construction du mur et en a payé la moitié.
Aujourd'hui, un mesurage vient d'avoir lieu (plusieurs années après la succession quand même!) en vue de la vente de la maison du voisin. Après une analyse attentive de la situation des maisons et du testament, le géomètre nous fait remarquer que le mur n'a pas été construit exactement au bon endroit mais que j'ai empiété de ~2m sur une pièce de mon voisin. En conséquence, il demande l'accord formel des 2 parties pour régulariser la situation en l'état.
Mon voisin ne s'est pas encore exprimé. Je pense qu'il n'osera pas exiger une destruction du mur mais je crains qu'il ne me demande des compensations financières. En tout cas, déplacer le mur est inenvisageable pour moi car j'ai installé des toilettes juste derrière ce fameux mur!
Avant de donner mon avis au géomètre, j'aimerais obtenir votre avis sur la situation. Est-ce que mon voisin est encore en droit de me réclamer des compensations sachant qu'il a donné implicitement son accord à la construction du mur en réglant la moitié de la note?
Merci et bon week-end!
Tibir
Bonjour,
J'ai une question assez compliquée, j'aimerais profiter de vos lumières.
Une de mes connaissances souhaite acheter un immeuble de 3 appartements dans lequel sont actuellement logés des locataires. Le hic, c'est qu'il apparaît qu'un des trois appartements ne satisfait pas aux normes pour servir de logement mais qu'il s'agit d'un "grenier" sur le plan légal.
S'il achète malgré tout l'immeuble, peut-il demander le départ des locataires afin de rendre ce grenier habitable? Si oui, à quelles conditions (préavis...)?
Merci pour votre aide
Bien à vous,
Tibir
Bonjour,
Dans le cadre d'une succession, deux maisons appartenant à la même personne défunte sont réparties entre deux héritiers différents. Pour diviser les jardins "proprement" (le cadastre ne correspondant pas à la disposition réelle des lieux), le notaire demande un bornage des terrains et une modification du cadastre.
Question simple : qui doit payer le bornage? Les voisins concernés ou bien la succession dans son ensemble?
Merci!
Tibir
J'aimerais vous avoir comme voisin
Difficile de connaître ses intentions exactes, je ne les lui ai pas demandées. J'essaie d'abord de récolter un maximum d'éléments et je sais qu'il est dans la même démarche actuellement (consultation d'un géomètre, visite au cadastre,...)
Je commence un tout petit peu à connaître le personnage donc je crois que son objectif ne sera pas de détruire le mur mais par contre de tirer un maximum d'argent de la situation.
L'autre souci c'est que s'il vend la maison, le nouveau propriétaire sera peut-être décidé à s'approprier "mon" jardin en toute bonne foi.
Merci pour tous vos conseils.
Pour le moment la situation ne s'annonce pas très bien. J'ai pris contact avec un géomètre qui m'a dit que la possession trentenaire ne pourra de toute façon pas jouer car les biens viennent de changer de propriétaire.
Sur les actes, les superficies correspondant au cadastre sont indiquées, c'est donc difficile à contester...
Je n'ai pas encore essayé de conclure un accord avec le voisin mais je suis très frustré parce que, pour moi, il ne fait aucun doute que mon parent décédé a souhaité léguer ses deux biens conformément à leur configuration actuelle et non pas selon un cadastre dont il n'avait très probablement pas conscience. Je ne sais pas ce qu'il en est sur le plan légal mais sur le plan moral je suis floué.
Bonjour,
J'ai un souci avec le voisin au sujet des limites de ma propriété, je vous explique.
Une personne de ma famille a fait construire deux maisons mitoyennes. Lors de son décès, elle m'a cédé une des maisons et la deuxième a été cédée à un de ses amis. Les deux jardins sont séparés très clairement par une clôture en béton, une bordure en béton et par des arbustes sur ~90% de la longueur du jardin.
Récemment, je me propose de restaurer la clôture mitoyenne qui en a bien besoin (les piquets de béton sont intacts mais pas le grillage).
Sur ce, le voisin me fait remarquer que d'après le plan cadastral, la limite entre nos deux jardins n'est pas la clôture (qui doit dater de ~50 ans) mais une ligne imaginaire qui se trouve dans "mon" jardin au moins 3m plus loin. Les bras m'en tombent, je n'ai jamais pris le temps (mea culpa) d'analyser en détails le plan cadastral mais il a raison.
Avec la limite cadastrale, mon jardin devient très étroit et je ne peux même plus contourner certains arbres de mon jardin sans passer virtuellement chez lui. Il y a même des vieilles dalles qui longent des potagers à cheval sur la limite...et qui donc n'ont rien à faire là. La maison a été louée pendant des dizaines d'années et à ma connaissance, les locataires ont toujours joui de l'entièreté du jardin. De toute façon la partie du voisin est inexploitable par lui, à moins de démolir la clôture et les bordures + gros boulot d'élagage. Je crains que mon parent ait négligé la réalité de la découpe cadastrale puisqu'il était propriétaire des deux masions et fixait donc les limites à sa convenance, ce qui n'est plus possible aujourd'hui.
Que proposez-vous pour me dépêtrer de cette situation? J'aimerais conserver un jardin plus large qu'une ficelle :s
Merci!
Tibir
Bonjour,
Je vous contacte car j'ai actuellement des problèmes avec l'administration flamande et je cherche de l'aide.
J'ai hérité d'une maison qui était insalubre au moment du décès du propriétaire. Suite à cela, j'ai été contacté par l'organisme flamand du logement qui m'a signalé que j'avais 1 an pour la remettre en état sans quoi je ferais l'objet d'une taxe.
Comme j'ai hérité de la maison, j'ai introduit une demande de suspension de la taxe, ce qui m'a été accordé : j'ai maintenant 2 ans pour remettre la maison en ordre depuis la date à laquelle la succession a été exécutée. Je pensais donc être en paix pour un moment.
Tout récemment, j'ai reçu une facture de >2000 € du service flamand des impôts parce que mon bien était insalubre... Visiblement les infos ne circulent pas beaucoup entre les services. J'ai leur ai évidemment signalé immédiatement, preuve à l'appui, qu'ils faisaient erreur. Suite à quoi, on m'a répondu "qu'une enquête administrative était ouverte suite à ma réclamation mais que ça ne me dispensait pas de payer la somme demandée".
Me conseillez-vous de payer la somme comme demandé? Bien que l'affaire soit simple a priori, j'ai peur que l'enquête administrative s'éternise et que je ne revoie pas mon argent avant un bout de temps 
Merci pour tout conseil utile de votre part.
Tibir
Bonjour à tous,
Je suis en conflit avec mes locataires mais je suis déjà heureux d'apprendre qu'ils ont déménagé suite à la fin de bail que je leur ai signifiée (youpie!).
Par contre, ils sont prêts à me remettre les clefs à n'importe quel moment mais refusent d'assister à l'état des lieux de sortie (soi-disant qu'ils n'ont pas le temps en semaine...)
L'état des lieux est censé être contradictoire et signé par les deux parties. Comment faire dès lors pour clôturer cette location dans les règles?
Merci d'avance pour vos conseils,
Tibir
Merci pour votre réponse!
Je m'attends effectivement à une procédure difficile...
Le bail était de type "courte durée" donc valable 3 ans et renouvelable pour 9 ans. Je leur ai bien signifié leur congé plus de trois mois avant l'échéance donc pas de problème de ce côté (ils ont bien essayé de dire qu'ils n'avaient pas reçu le recommandé...jusqu'à ce que je leur scanne le reçu signé de leur main).
Bref, j'écris de ce pas au juge de paix pour lui exposer mes doléances et lui demander d'organiser une conciliation (apparemment cette étape est obligatoire).