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Bonjour,
J'ai le plaisir de solliciter vos avis sur la question suivante:
Données de base:
- Je loue actuellement un appartement à 2 colocataires (2 soeurs, étudiantes).
- Le père des 2 soeurs est garant des obligations de leurs filles
- Il s'agit d'un bail de 3 ans qui prend fin d'ici un an environ
Récemment, le père me contacte pour me dire qu'une de mes deux colocataires va quitter l'appartement et qu'elle sera remplacée par une autre soeur et son copain. Il me demande de rédiger un avenant au bail en ce sens et souhaite avoir désormais 3 colocataires dans l'avenant au bail. Il veut aussi que le copain de la soeur n°3 paie une partie du loyer.
Ma question: que dois-je accepter ou pas en cette matière?
J'imagine qu'il n'y a pas de souci à ce que je fasse un avenant pour acter le départ de le soeur "n°2" et dire qu'elle est remplacée par la soeur "n°3", en précisant qu'elle est tenue par toutes les obligations de sa soeur qu'elle remplace, en ce compris l'acceptation de l'état des lieux fait à l'origine.
Par contre, je suis beaucoup plus réticent à reprendre le copain de la fille n°3 comme colocataire. Et je ne souhaite en aucun cas reçevoir le loyer en plusieurs fois, de différentes personnes.
Que me conseillez-vous d'accepter et de faire en tant qu'avenant? Quelles sont mes obligations en tant que bailleur?
Merci pour votre aide :-)
Mercredi pour votre réponse, PIM :-)
Il s'agit effectivement d'une copropriété où il y a un syndic.
Je vais aller sur place pour évaluer le dégât et si celui-ci nécessite une remise en état, je contacterai le syndic pour qu'il fasse une déclaration auprès de l'assurance de la copropriété.
Ce que je ne comprends pas bien par contre, c'est dans quel cas c'est à l'assurance de l'occupant (locataire ou propriétaire occupant) d'intervenir. Cette assurance couvre aussi les dégâts faits à des tiers, non?
Merci
Bonjour,
J'ai quelques questions dans le cadre d'un dégât des eaux.
Une locataire m'a contacté hier pour me signaler un dégât des eaux au plafond de son appartement dont je suis propriétaire. Ce dégât des eaux provient de l'appartement du dessus où il y a eu une fuite au niveau du siphon de la cuisine.
Il y a un assez grande tache au niveau du plafond, cf. photo. A voir ce qu'il restera une fois seché. Je vais aller voir ce WE ce qu’il en est exactement.
J’ai contacté le propriétaire occupant de l’appartement du dessus qui me dit être disposé à faire intervenir son assurance en cas de dégâts persistants dans mon appartement.
Mes questions sont les suivantes:
1) Quelle assurance est supposée intervenir ?
Je suppose qu’il s’agit de celle du propriétaire occupant de l’appartement du dessus et pas celle de la copropriété.
2) Comment est-ce que cela se passe au niveau des déclarations d’assurances ? Est-ce que ma locataire doit déclarer le sinistre à sa compagnie d’assurance qui contactera celle du propriétaire de l’appartement du dessus ? Ou est-ce qu’il est suffisant que le voisin du dessus déclare le sinistre à son assurance ?
3) Existe-t-il des formulaires standard de déclaration de sinistre (un peu comme pour les constats pour les voitures)?
4) Je suppose qu’il y a un délai de quelques jours pour déclarer le sinistre. Mais quid si la tache disparait en sechant ?
5) Pour ceux qui ont connu ce genre de sinistre, pensez-vous que la tache va disparaitre ?
Dans le cas contraire, je suppose qu’il n’y a pas d’autre choix que de repeindre tout le plafond.
6) Est-ce que les assurances demandent toujours une expertise, même pour une simple tache au plafond ?
D’avance merci pour vos réponses.
Alpha

Le boulot du syndic, tel que je le conçois, est d'apporter des solutions et de donner les arguments pour cette solution. Mais le choix final revient à l'AG.
Pour qu'une AG puisse faire un boulot correct de prendre une décision correcte, il faut qu'elle soit bien informée.
Si le syndic vient avec une seule solution, aucun cahier des charges, et aucun argument valable, je conçois que le copropriétaire lambda intelligent qui se sent concerné par la gestion de ses immeubles et de ses sous cherche à comprendre le pourquoi du comment. Il me semble que c'est la démarche tout à fait logique de Alpha.
En réalité, le syndic n'a pas fait son boulot. Il vient avec une seule offre, et cela ne correspond ni à la lettre de la loi, ni à l'esprit de la loi. Et donc, Alpha a raison de se renseigner.
Un grand merci grmff, je me sens compris ;-)
C'est exactement la démarche dans laquelle je m'inscris: chercher à comprendre les tenants et aboutissants de ce dossier pour me forger un avis.
Lors de l'ACP, j'ai dit que sur base des élément présentés, je ne pouvais être d'accord avec les travaux de 16.500€ à faire effectuer par la seule et unique entreprise consultée par le syndic.
J'ai aussi dit que je n'étais pas contre ces travaux par principe, ni réfractaire à la dépense, pour autant qu'elle soit nécessaire (et peu imoprte que qu'elle soit de 5.000€ ou de 25.000€, le tout est que ce soit un choix réfléchi et judicieux).
Par contre foncer tête baissée sur base d'un seul devis ne me semblait pas judicieux et l'urgence invoquée me semblait à relativiser.
Je ne me suis pas fait des amis en disant ça, en particulier dans le conseil de copropriété que je vais pourtant rejoindre. Mais bon, je n'y allais pas dans le but de me faire des amis ;-)
Dans la cas que je mentionnais, il y a des détecteurs.
Les pompiers les imposaient, dand mon cas.La photo de la centrale ressemble à une centrale pour exutoire, et non pour incendie. Ce sont deux centrales différentes, chez moi.
En effet, la centrale sur la photo postée est celle des exutoires. Il y a une autre centrale pour les poussoirs et sirènes. Je devrais aller vérifier sur place où elle se trouve et à quoi elle ressemble.
Chez toi, les détecteurs que tu as sont racordés de manière filaire à ta centrale et as-tu un transmetteur d'alerte par téléphone?
L'assemblée générale est souveraine maîtresse de ses décisions.
Décisions qui, ensuite, pourront être contestées, avec succès ou non.
Je conçois parfaitement que des personnes âgées soient sensibles à une amélioration de la sécurité incendie (même si elle est aux normes) alors que des copropriétaires n'habitant pas l'immeuble y seraient réticents
Oui, bien sûr, je conçois aussi que certains peuvent êtres plus sensibles que d'autres à une amélioration de le sécurité incendie, surtout si on les a effrayés auparavant.
Ceci dit:
1) Si j'habitais l'immeuble, je ne serais pas plus en faveur de l'installation d'une nouvelle centrale dans le cas présent.
2) Les choses ont été présentées en AG de manière tendancieuse et l’argument de la sécurité a vraiment été brandi comme un épouvantail. La situation actuelle a été décrite comme très problématique et nécessitant une action ultra rapide si on voulait éviter un drame; ceci me semble excessif. Il n’y a pas eu la moindre analyse du risque ni de la proportionnalité de la mesure proposée par rapport à celui-ci. Faire peur aux gens en citant l'exemple de la tour de 24 étages qui a brûlé à Londres était vraiment exagéré (le problème là-bas n'était pas du tout la détection d'aileurs). Bref, il n'y a pas eu un débat serein et objectif et j'ai eu bien du mal à prendre la parole pour expliquer mon point de vue qui sur le moment était juste de ne pas décider des travaux de ce montant en urgence, sur base d'un seul devis, mais d'analyser la question plus en profondeur (analyse de la pertinence + définition du besoin + comparaison de 3 devis) afin de pouvoir décider lors de la prochaine AG.
C'est surtout cette manière de procéder, sans analyse, en présentant les choses de manière orientée, en mettant la pression et sans aucune comparaison de devis (on parle quand même de 16.500€ HTVA) qui me dérange.
S'il y a une centrale aux normes, je ne vois pas l'intérêt d'en mettre une nouvelle.
C'est aussi mon avis.
Le syndic et le conseil de copropriété reprochaient essentiellement qu'il n'y avait actuellement pas de transmetteur d'appel via GSM ni de détecteurs de fumée dans les parties communes, juste des poussoirs.
Et arguant que la sécurité n'avait pas de prix; il poussaient pour l'installation d'une toute nouvelle installation. L'argument de la sécurité me semble un peu facile et permet de justifier n'importe quoi, surtout auprès de personnes agées...
Voici ce qu'il y a aujourd'hui:
)
Est-ce suffisant? Faut-il vraiment des détecteurs de fumée dans les communs et une centrale avec transmetteur d'appel?
D'autant plus que ce ne sont pas les détecteurs d'incendie dans les communs ni le transmetteur d'appel qui empêcheront un incendie ou l'éteindront. Tout au plus, les secours pourraient, en théorie, éventuellement être prévenus un peu plus tôt grâce à ce système.
Mais sachant qu'il n'y a rien d'inflamable dans les communs et que les portes des appartements et des communs sont toutes RF, je me dis qu'avant que de la fumée d'un incendie dans un appartement arrive dans les communs, l'incendie devra être violent et aura certainement déjà été repéré par d'autres moyens.
16.500€ me semble très excessif.
Cela me rappele mon devis premier devis pour une centrale de détection incendie, à 25.000€. Au final, je pense que cela m'a coûté 10x moins cher, pour une centrale (analogique, et non adressable)
Je n'ai pas de base de comparaison, mais ça me semblé cher aussi. Le devis projetté rapidement par le syndic mentionnait 8700€ de main d'oeuvre, ce qui me semble énorme. Et il ne faut pas oublier que ce type d'installation nécessite une maintenance annuelle et n'est pas éternelle non plus (j'imagine aussi que certains éléments seront à remplacer après +/- 10-15 ans, comme les détecteurs par exemple).
Bonsoir Luc,
Voici la réponse à tes questions:
Q1: La copropriété comporte 44 appartements (répartis sur 3 "blocs" qui se touchent, donc 3 entrées séparées)
Q2: Aucun parking souterrain, dans aucun des blocs
Q3: Région walonne
Q4: Syndic pro agréé IPI : Oui
Q5: Statuts coordonés avec la loi de 2010: Oui
Merci d'avance pour ton aide.
Cordialement,
Alpha
Ce n'est absolument pas le rôle du conseil de copropriété tout ça...
C'est le boulot du syndic.
Bonsoir PIM,
Je ne sais pas trop qui est à l'initiative de cette proposition.
Le syndic l'a mise à l'ordre du jour et l'a exposée brièvement, mais ce sont plutôt certains membres du conseil qui l'ont défendue bec et ongles. Le syndic allait bien sûr dans le même sens et le sujet avait visiblement été discuté préalablement entre le conseil de copropriété et le syndic.
Le devis a été demandé par le syndic qui a déjà fait placer le même type de centrale dans un autre immeuble, si j'ai bien compris.
Bonjour,
J’aimerais avoir vos avis pour à propos de la question suivante :
Il y a quelques jours, lors d’une assemblée de copropriétaires d’un immeuble à appartements, le point suivant figurait à l’agenda (sans précision de qui était à l’origine de la demande) :
Mise à niveau du système d’alarme incendie des communs :
- Pose de deux centrales avec reporting appel
- Placement de détecteurs de fumées aux étages et sous-sol y compris chaufferie et locaux poubelle
- Remplacement des boutons alerte par des boutons adressables
- Budget : 16.500€ HTVA
L’immeuble en question est un immeuble récent (9 ans), construit par Besix RED et équipé d’un système d’alarme incendie avec boutons poussoirs qui répond aux normes en vigueur.
Les murs et escaliers des communs sont en béton. Les portes des communs et des appartements sont RF. L’immeuble comporte 4 étages seulement. Il n'y a pas de chaudières individuelles dans les appartements.
J’étais assez surpris par ce point de l’agenda, ne voyant pas spécialement l’intérêt de placer une centrale de détection incendie perfectionnée (en remplacement de l’existant qui est récent et aux normes), ni surtout l’urgence de valider la dépense cette année, sachant qu’un seul devis était présenté. Et pas un mot sur les coûts d’entretien/maintenance, etc.
Lors de l’assemblée, ma position était qu’il fallait d’abord analyser le risque, définir les besoins réels et, le cas échéant, demander plusieurs devis sur base d'un cahier des charges, afin de pouvoir comparer et être en mesure de prendre une décision en connaissance de cause. Je proposais de remettre le point à la prochaine assemblée, lorsque le dossier aura été bien analysé et préparé.
J’ai immédiatement été fustigé par le conseil de copropriété qui avait présenté la chose comme étant indispensable et urgente, face à un risque présenté comme important, donc ne pouvant absolument pas attendre l’année prochaine. Ils voulaient donc que la dépense soit votée séance tenante. Le même conseil qui n’avait pourtant jamais soulevé ce point depuis 9 ans, pas plus que le syndic en fonction depuis de nombreuses années aussi…
On m’a dit que je n’avais pas de considération pour les occupants, qu’en Angleterre une immeuble avait brûlé en faisant énormément de victimes (la réalité est qu’il s’agissait en Angleterre d’une ancienne tour de 24 étages de logements sociaux avec un isolant inflammable en façade, donc absolument rien de comparable avec notre bâtiment de 4 étages récent et aux normes).
Bref, on m’a fait tenir le mauvais rôle du propriétaire peu soucieux de la sécurité des locataires et occupants, ce qui n'est pourtant pas le cas.
La situation était assez tendue...
Le conseil de copropriété a soumis la question au vote (en biaisant l’énoncé de la question d’ailleurs) et le résultat du vote fut 68% pour et 32% contre. La proposition n’est donc pas passée, de justesse.
Mais le sujet va inmanquablement revenir sur la table… (et l’année prochaine, si j'ai bien compris, il ne faudra plus 75%, mais 50% de votes favorables pour valider ce type de dépenses). J’aurai aussi à en débattre avant la prochaine assemblée car je me suis proposé pour rejoindre le conseil de copropriété (où je ne me suis pas fait des amis en torpillant leur proposition).
J’aimerais dès lors avoir vos avis sur cette problématique et en particulier souhaiterais poser les questions suivantes :
1) Un système d’alarme incendie avec centrale, reporting appel et boutons adressables est-il vraiment indispensable dans un immeuble tel que décrit ci-dessus ou le système existant fait-il parfaitement l’affaire?
2) Y a-t-il différentes options techniques pour ce type de système ? Est-ce que le système proposé est la Rolls-Royce qu’on n’a pas forcément besoin ou au contraire est-ce vraiment le minimum nécessaire ?
3) Avez-vous des recommandations en terme de sociétés pour demander d’éventuels devis ?
D’avance merci pour vos avis et conseils :-)
Et si vous interrogiez le(s) fabicant(s) leader pour nous donner des news techniques consistantes via leur réponse ?
J'y ai pensé aussi, mais les fabriquants n'ont aucune ligne téléphonique pour répondre aux questions des particuliers.
J'ai aussi envoyé des messages chez certains via un formulaire de contact sur leur site (Vaillant entre-autres si je me souviens bien) et aucun n'a daigné me répondre... Pas très commercial tout ça, mais c'est comme ça.
J'avais pensé me rendre à Batobouw pour discuter avec l'un ou l'autre technico-commercial sur un stand, mais je n'ai pas trouvé le temps d'y aller.
Entretemps, dans ma copropriété, on a décidé de "faire durer" les chaudières existantes le plus longtemps possible en espérant l'arrivée sur le marché de chaudières atmosphériques répondant à la directive EU Ecodesign dans les prochains mois/années qui nous permettrait d'éviter de changer les conduits de cheminée.
Je me demande aussi s'il ne serait pas judicieux de remplacer rapidement les chaudières actuelles de la copropriété par des chaudières atmosphériques (toujours commercialisées), avant septembre 2018 (date de l'entrée en vigueur du règlement européen). Et lorsque ces nouvelles chaudières atmosphériques seront à remplacer à leur tour, 10-12 ans plus tard, il y aura probablement des chaudières atmosphériques conformes aux normes européennes. Comme ça, on évite de devoir toucher aux cheminées existantes. Qu'en pensez-vous?
Merci pour l'information, rodes
Le sujet m'intéresse fortement car je suis propriétaire de deux appartements équipés de chaudières atmosphériques Bulex qui ont une dizaine d'années et dont j'aimerais programmer le remplacement.
Problème: bien que le bâtiment date de 2005, les 8 cheminées collectives CLV (voir photo) ne sont à priori pas prévues pour des chaudières à condensation (les avis divergent) et les solutions de tubage de ces cheminées sont loin d'être évidentes, surtout pour certaines de faible diamètre qui devraient probablement être carrément démontées et remplacées pour permettre l'installation de chaudières à condensation.
Bref, si on pouvait trouver sur le marché des chaudières conventionnelles (donc pas à condensation) conformes aux nouvelles normes de 2018, qu'on pourrait raccorder aux cheminées existantes, ce serait super!!!
Bosch, c'est aussi Buderus. Il y a peut-être de l'espoir... 
Je vais me renseigner et posterai ici toute information relevante que je trouverai.

Bonsoir Panchito,
J'ai déjà fait ce genre d'opération plusieurs fois et elle peut-être intéressante, dans certains cas.
Principe de base: Le revenu cadastral indexé multiplié par 1,40 des biens immobiliers mis en location est ajouté aux revenus professionnels et taxé au taux marginal (50%). Les intérêts des emprunts contractés en vue de financer ces achats immobiliers (peu importe qu'il y ait inscription hypothécaire ou pas) sont déductible de ces montants.
=> La conséquence de ceci est que le coût réel du crédit bullet est de 50% du taux d'intérêt octroyé par la banque (+ les frais), pour autant que les intérêts annuels ne dépassent pas le plafond du/des RC indexé(s) x 1,40 des biens mis en location.
Exemple: on soucrit un crédit bullet pour 100K€ à un taux de 1,50% sur 10 ans. La dédcution de ces intérêts (dans les limites expliquées ci-dessus) fait que le taux réel de l'emprunt est de 0,75%.
Si on peut placer ou réinvestir son cash à un taux supérieur à la moitié du coût de l'emprunt (+tenir compte des frais), on est gagnant de la différence. Donc dans mon exemple, si on peut placer à un taux > 0,75%, on est gagnant.
On est d'autant plus gagnant qu'on arrive:
1) à avoir un taux pour le bullet intéressant (forcément!) - les taux "officiels" des bullet sont élevés
2) à ne pas avoir trop de frais (dossier, mais aussi et surtout frais d'hypothèque et/ou mandat)
3) à réinvestir son cash dans un placement (mobilier ou immobilier) avec un taux > (taux bullet/2), ou le laisser investi (ex si on a un contrat BR21 à taux garanti > taux bullet/2); pas laisser son cash sur un compte d'épargne qui ne rapporte plus rien.
A une époque pas si lointaine (avant +/- 2013), il était possible d'emprunter à un taux tel qu'on pouvait replacer son cash dans une BR21 à taux garanti supérieur au taux du bullet/2 et donc être gagnant. Actuellement, ce n'est plus possible de trouver un placement à taux garanti à un taux > taux bullet/2.
Par contre le procédé permet de bénéficier de l'effet levier en investissant dans l'immobilier car taux de rentabilité de l'investissement immobilier > taux bullet/2.
Personnellement, j'ai utilisé ce procédé plusieurs fois en mettant des assurances BR21 et mon assurance groupe en garantie (nantissement), ce qui m'a permis d'éviter la mise en hypothèque des biens et même le mandat (dans le but de limiter les frais). Bien sûr, pour ce faire il faut être bon client et avoir la confiance de son banquier/sa banque.
Les banques sont souvent frileuses par rapport à ce type de crédit, à priori plus risqué car l'emprunteur doit pouvoir rembourser le capital en une fois au terme du crédit. C'est néanmoins plus rentable pour eux car le taux pratiqué est supérieur à celui des crédits amortissables. Si je me souviens bien, les taux que j'ai pu obtenir pour un crédit bullet étaient d'environ 0,50% plus élevés que ceux du crédit amortissable comparable, ce qui est raisonnable.
Conclusion: le "business case" est assez simple à calculer et il faut retenir que si on peut placer son cash à un taux > taux du bullet/2 (+ frais) on est gagnant.
Par contre, je suis surpris que les banquiers vous "fassent la promotion" de ce système car dans mon cas, je devais plûtôt leur expliquer pourquoi je voulais procéder de la sorte.
Le tubage est privatif, mais les chaudières doivent être installées simultanément.
Merci grmff :-)
Si je comprends bien, il faut opter pour un tubage individuel, donc un pour chaque chaudière? Cà me semble être une bonne solution et j'imagine qu ça devrait être réalisable vu le peu de chaudières par cheminée dans le cas présent.
Au niveau de la décision, j'ai pu voir en AGO hier que les avis divergeaint sur la nécessité de remplacer les chaudières. Une pesonne allant même jusqu'à dire que si la chaudière rendait l'âme on pouvait toujours se chauffer avec des radiateurs électriques et se laver dans l'évier avec de l'eau chauffée dans une casserole!?!?!!
Que faut-il dès lors faire voter en AGO exactement? Faut-il arriver à une décision pour le changement de toutes les chaudières en une fois? Et quid si si certains refusent d'engager cette dépense relativement importante.
Est-ce qu'un accord entre les copropriétaires d'un même bloc peut-être conclu (sans AGO/E)? En d'autre termes, imaginons que je sois raccordé à une cheminée, tout comme mon voisin du dessous et que nous soyons les seuls raccordés à la même cheminée, pouvons nous décider, entre nous, de faire remplacer nos deux chaudières + placemet de tubages individuels?
Question subsidiaire: quel devrait être le rôle du syndic dans ce dossier (à part proposer une expertise à 5.000€)?
J'ai trouvé cette présentation intéressante du CSTC sur le sujet:
http://www.confederationconstruction.be … Kuborn.pdf
Bonjour à tous,
Je suis propriétaire d’un appartement dans un immeuble qui a une douzaine d’années et est équipé de chaudières individuelles atmosphériques.
Ces chaudières ne sont plus toutes jeunes et sont souvent sujettes à pannes. La question se pose quant à ce qu’il conviendra de faire le jour où une chaudière rendra l’âme et devra être remplacée (par une chaudière à condensation). Ou même s’il ne vaut mieux pas prendre les devants et décider du remplacement.
Le syndic n’a aucune information sur les conduits de cheminées (dimensions, etc.) ni aucune idée sur ce qu’il convient de faire pour le remplacement d’une ou plusieurs chaudière, le moment venu. On lui pose la question en ACP depuis 2 ans, sans réponse. Lors de le dernière ACP (hier), il proposait de faire effectuer une expertise de l’immeuble pour avoir un « état des lieux » pour la modique somme de 5.000€ (!).
J’ai trouvé ce lien sur PIM :
https://www.newimmoservice.be/fr/nouvel … mentation/
Je me pose cependant encore les questions suivantes :
1) Au niveau technique, pour autant qu’il y ait la place dans le conduit de cheminée, est-il possible/autorisé de faire coexister, dans une même cheminée, des conduits d’anciennes chaudières (atmosphériques) et un ou plusieurs conduits pour de nouvelles chaudières (à condensation) ? J’ai entendu tout et son contraire à ce propos (y compris de la bouche de chauffagistes lors de l’entretien).
Je précise que l’immeuble fait 3 étages et qu’à priori les chaudières du 3ème étage ont une sortie directe en toiture. Seraient donc concernées 2 chaudières par bloc situées au même endroit et raccordées au même conduit de cheminée (le local chaufferie sont au même endroit pour les 2 appartements).
2) Est-ce que pour les nouvelles chaudières à condensation, chaque chaudière doit prévoir son propre tubage ou faut-il travailler avec un seul tubage pour plusieurs chaudières, ce qui impliquerait un changement simultané des chaudières dans la même « colonne » d’appartements ?
3) Est-ce que, dans le cas éventuel d’un tubage individuel par chaudière, ce tubage fait partie des frais communs ou des frais privatifs, à supporter par le propriétaire de la chaudière concernée ?
4) Dans le cas où le conduit pour la/les nouvelles chaudières doit être commun (ici deux par deux ou peut-être trois par trois), qui décide du remplacement des chaudières. Est-ce qu’un copropriétaire peut obliger son voisin du dessus ou du dessous à changer sa chaudière au même moment, si techniquement c’est impossible de faire autrement ? Et dans ce cas qui commandite les travaux (les copropriétaires concernés ? le syndic?).
5) Comment procéder au mieux pour se préparer au futur remplacement ? Plutôt que de faire effectuer une chère expertise comme le propose le syndic, ne vaut-il pas mieux de demander conseil et devis à l’un ou l’autre installateur ?
Un grand merci d'avance à tous ceux qui voudront bien m’éclairer et me donner des conseils par rapport à cette problématique. Et désolé si certaines questions posées ci-dessus paraitront peut-être stupides à certains ;-)
Alpha
Merci à tous pour vos réponses rapides :-)
Le seul avantage dans votre formule est que vous avez trois preneurs et donc trois personnes contre qui vous retourner. Dans les deux cas on ne peut pas parler de bail de résidence principale. Il faudrait faire un bail de résidence secondaire qui est moins contraignant pour le bailleur. Où sont domiciliées les filles?
Merci pour votre réponse, Libra :-)
Je pense que les filles sont actuellement domiciliées chez leurs parents mais ont l'intention de se domicilier dans l'appartement. Auquel cas, je pourrais signer un bail de résidence principale avec elles, non?
En quoi consiste exactement un bail de résidence secondaire?
Bonjour,
J'ai une petite question si jamais quelqu'un a la réponse : j'ai signé un bail de location de 3 ans mais je le résilie avant les 3 ans donc je dois payé une indemnité. Cependant, en relisant mon contrat, je me suis rendue compte que mon numéro national était faux... Pensez-vous que je puisse invoquer cette erreur pour ne pas avoir à payer l'indemnité ??
Merci !
Non bien sûr!
Et dans l'esprit, essayer de jouer le "vice de procédure" n'est pas très honnête...