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Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
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GFC.PA pour le cours de l'action.
Il est amusant de voir que le cours explose depuis 2004 (comme l'immobilier) avec un creux significatif début 2009 (comme la bourse).
Je tiens à rappeler que, contrairement aux apparences, un placement en action n'a pas vocation à n'être que spéculatif, donc la remarque sur le retard à rattraper sur 10 ans est légèrement déplacée.
Quand à la possibilité "d'agir sur son patrimoine", il me semble que le temps d'action sur la gestion d'un portefeuille de valeur mobilière est légèrement plus rapide que pour un patrimoine immobilier (qui porte bien son nom!).
Après, quelque soit la manière de placer, tout est une question de recherche d'information, de compréhension de l'environnement, de prise (ou non) de risque pour améliorer le rendement...
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On peut agir sur la composition de son portfeuille mobilier, c'est vrai. On peut vendre et acheter "dynamiquement".
Mais sur ce qu'il se passe dans la valeur sous-jacente? Impossible de faire vendre mieux le pétrole de toal ou l'électricité de Electrabel. On n'a aucune prise directe sur le sort de ses investissements. Le seul volant d'action (si on peu parler de voler et d'action dans la même expression...), c'est acheter et vendre...
La gestion des entreprise, on en connait le résultat 18 mois après le début de l'exercice. Et c'est vachement opaque.
Bref, vive la brique...
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... Je tiens à rappeler que, contrairement aux apparences, un placement en action n'a pas vocation à n'être que spéculatif, donc la remarque sur le retard à rattraper sur 10 ans est légèrement déplacée.
Quand à la possibilité "d'agir sur son patrimoine", il me semble que le temps d'action sur la gestion d'un portefeuille de valeur mobilière est légèrement plus rapide que pour un patrimoine immobilier (qui porte bien son nom!).
Après, quelque soit la manière de placer, tout est une question de recherche d'information, de compréhension de l'environnement, de prise (ou non) de risque pour améliorer le rendement...
Merci pour le lien Gecina.
- Spéculatif ? Vous citez un terme de 20 ans. Sur les dix années écoulées, l'immobilier (belge) a nettement mieux performé que les indices boursiers (bel20 par exemple). Voilà donc pourquoi je ne vois pas en quoi ma remarque est déplacée.
- Pour le reste, il est évident que l'immobilier est moins vite négociable que des actions. C'est un choix. C'est un travail aussi. Mais gérer un protefeuille d'actions, c'est aussi s'informer tous azimuts et suivre de très près l'actualité économique mondiale. Et c'est prendre un risque plus important qu'en immobilier. Même en s'informant, en diversifiant et en gérant de manière dynamique... sur ces dix dernières années, les actions n'ont pas brillé de manière éclatante.
-Grmff... Oui, vive la brique, mais gare aux taxes ! Ou alors, il faut avoir un capital suffisant pour avoir son patrimoine immobilier en société. Diversifier, c'est la solution... à chacun d'équilibrer selon son profil.
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On s'éloigne... et ceci dit, personne n'a réagi à la première question de mon intervention, pourtant bien à sa place dans cette section du forum:
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On s'éloigne... et ceci dit, personne n'a réagi à la première question de mon intervention, pourtant bien à sa place dans cette section du forum:
PichonBiere a écrit :trop cher ou pas?
Cette appréciation de l'OCDE a fait l'objet d'une autre discussion (plus modeste que les 50.000 vues de ce fil-ci...) à lire ici
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PichonBiere a écrit :trop cher ou pas?
Personne n'a réagi ?
Tout est question d'estimation, et selon les paramètres dont on tient compte, les résultats fluctuent... Trop cher par rapport à quoi ? On peut comparer, estimer et débattre longtemps. L'important, c'est ce que sera l'évolution des prix dans le futur. La localisation, le type de bien, le but de l'investissement...
Un achat immobilier sera toujours un bon investissement, surtout sur le long terme. La population augmente, le prix des matériaux et de la main d'oeuvre aussi.
La solution, c'est de diversifier...
Si je vous demande : "Les actions, trop cher ou pas ?" Vous répondez quoi ?
Plein d'analystes émettent des avis parfaitement contraires et divergents... Et le profil une Blue Chips diffère de celui d'une small cap techno, comme une fermette à Outsiplou diffère d'un appart à Bruxelles ou une villa à Ostende...
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Cette appréciation de l'OCDE a fait l'objet d'une autre discussion (plus modeste que les 50.000 vues de ce fil-ci...) à lire ici
Désolé, j'avais effectivement raté l'autre fil
En le lisant, je constate avec un certain amusement, que les intervenants qui défendent le placement immobilier ici, se plaignent du rendement trop faible là-bas!
Quant à la valeur des actions, j'ai acheté début 2009, et jusqu'ici je n'ai pas à m'en plaindre, au contraire.
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... Quant à la valeur des actions, j'ai acheté début 2009, et jusqu'ici je n'ai pas à m'en plaindre, au contraire.
Tant mieux !
Mais de 2009 à 2010, on ne peut pas encore parler de long terme.
Et on sort d'une décennie perdue pour les actions... (en termes d'indices, il est évident que le stock picking actif permet de se démarquer fortement des indices... à la hausse comme à la baisse...
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Dans Trends du 9 décembre 2010:
Immobilier à Bruxelles : profitez de la baisse des prix !
Après avoir été remise en selle au deuxième trimestre, l'activité immobilière a rechuté cet été. Les notaires soufflent un froid relatif. Les agents, eux, sont plus optimistes sur base de repères annuels. Méthode Coué ou indices solides d'une bonne santé du marché ?
Le mouvement haussier du printemps s'est donc révélé temporaire. Et comme pressenti dès l'été, les notaires ont constaté une baisse de quasi 6 % du nombre de transactions immobilières au troisième trimestre (par rapport au trimestre précédent).
Si c'est habituellement le cas en raison de l'effet cyclique engendré par les vacances annuelles, la rentrée de septembre n'a pas relancé la machine : les prix étaient partout en berne au baromètre d'automne. Et tout particulièrement à Bruxelles, où la baisse dépasse 8 % sur base trimestrielle.
Un refroidissement attribué à une hausse locale des prix mal digérée par les acheteurs, selon la Fédération belge des notaires : «L'année passée, le troisième trimestre avait confirmé la reprise déjà entamée avant l'été 2009, précise Bart van Opstal, président actuel de la fédération. La baisse cyclique des vacances ne s'est alors pas produite. Pour 2010, ce n'est pas le cas. Particulièrement pour juillet : la baisse d'activités a atteint près de 20 % par rapport à juin et a plombé l'ensemble du trimestre.»
Sur le front de l'activité immobilière nationale (nombre de ventes enregistrées), toutes les provinces affichent une diminution. Le Brabant wallon connaît un recul très modéré (- 1 %) par rapport à d'autres parties du pays, davantage boudées par les acheteurs. La Flandre-Orientale accuse, elle, un ressac de près de 9 % sur base trimestrielle. Quelque 10 % d'activité en moins sur un marché déjà sévèrement touché par la crise depuis deux ans, cela peut faire très mal aux professionnels sur le terrain, en termes de chiffre d'affaires et d'emploi.
Maisons : razzia sur la capitale et baisse des prix en Brabant wallon
Sur le segment des maisons individuelles, Bruxelles connaît une diminution de 6,4 % du prix moyen des maisons. Ce dernier passe de 352.705 euros à 329.996 euros, selon les notaires. «Ces maisons bruxelloises restent toutefois en hausse de plus de 15 % par rapport au prix moyen du premier trimestre de 2010», nuance-t-on à la Fédération.
De fait, en chiffres absolus, lorsqu'on examine le Top 20 des maisons les plus chères à l'échelle du pays (prix de référence, cette fois), Bruxelles-Capitale rafle les sept premières marches et place huit communes dans le Top 10. Seules Lasne et Lathem-Saint-Martin s'intercalent dans cette «razzia capitale».
(suite online)
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Un aspect interressant est qu'apres inflation en 6 ans le prix des appartments a bruxelles n'a quasiment pas bouger mais par contre les prix des maisons a double.
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N'importe quoi, cet article...
Des baisses qui sont causées par des hausses?
Des volumes en berne? Des hausses? Des baisse? Du n'importe quoi. La baisse de 8% causée par la hausse de 15% au trimestre précédent?
Franchement, à quand un analyse cohérente de la part d'un journaliste... A demain...
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Grosse baisse sur les villas.
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Suite du feuilleton "boule de cristal", dans La Libre de ce 19 janvier 2011
L'immobilier résiste à la crise mais est de moins en moins accessible
Le marché est resté relativement stable dans notre pays. Si la contraction a en effet été plus limitée, le redressement a également été assez modéré en 2010.
Les prix de l'immobilier résidentiel en Belgique ont augmenté de 4,5% en 2010, une tendance qui devrait se poursuivre pour les deux années à venir. Cette croissance des prix reste très inférieure à la dynamique des années précédentes, estime ING dans une étude sur le marché immobilier présentée mercredi.
Le résidentiel a connu une reprise dynamique en seconde partie de 2009 qui s'est essoufflée l'an dernier, notamment en raison du faible nombre de transactions qui restent bien en-dessous (de 30% environ) de leur niveau d'avant-crise.
D'après ING, trois facteurs peuvent expliquer l'envolée des prix de la dernière décennie: de meilleures conditions de financement, un bon contexte fiscal et la forte croissance de l'apport personnel lors de l'achat d'un bien. "Les deux premiers ne seront plus au rendez-vous alors que le troisième perdra de sa force à l'avenir", analyse la banque.
La croissance des prix ne pourra donc reposer que sur les fondamentaux que sont la croissance des revenus et les mouvements démographiques, ce qui implique qu'elle sera globalement positive mais plus faible que ces dernières années."De plus, de nombreuses personnes ayant avancé leurs achats dans le temps, le marché pourrait donc perdre de sa dynamique de rattrapage en 2011", souligne Julien Manceaux, économiste chez ING."Avec un bien moyen dont le prix dépassera le cap des 200.000 euros en 2011, le marché n'a jamais été aussi inaccessible au cours de ces 25 dernières années", indique enfin M. Monceaux, précisant qu'une amélioration sur ce point n'était pas attendue dans les prochaines années.
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L'activité immobilière a connu une augmentation de 1,6 % en 2010 par rapport à 2009, selon le baromètre des notaires réalisé par la Fédération royale des notaires de Belgique. L'année 2010 est dans l'ensemble positive bien que le nombre de transactions eût clairement chuté au cours du troisième trimestre, avant de progresser à nouveau durant le quatrième trimestre.
lien: baromètre des notaires
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Suite du feuilleton...
Dans Le Soir de ce 8 février 2010
Pour la 7e année consécutive, les notaires ont analysé l’évolution du marché immobilier bruxellois. Après une année 2009 en recul, 2010 a amorcé une légère reprise. Bruxelles reste la région la plus chère du pays.
La reprise du marché immobilier bruxellois s’est surtout marquée lors du dernier trimestre, mais sans retrouver toutefois l’activité d’avant la crise économique et financière de 2008. Bruxelles reste la région la plus chère du pays : les maisons unifamiliales y sont vendues entre 300.000 et 350.000 euros en moyenne, contre 210.000 en Flandre et 145.000 en Wallonie, et les appartements y coûtent un peu plus cher (205.000 euros en moyenne) qu’en Flandre (195.000) mais nettement plus qu’en Wallonie (143.000). Les disparités entre les communes restent très marquées entre Etterbeek (une maison s’y négocie en moyenne 392.500 euros) et Molenbeek (240.000 euros). Les notaires ont également constaté un net fléchissement du prix des maisons à la Ville de Bruxelles (277.000, – 26,4 %). Pour les appartements, les valeurs s’échelonnent de 264.000 euros à Woluwe-Saint-Pierre à 135.000 euros à Saint-Josse.
Pour les notaires, la stabilité reste le maître mot. Pour 2011, ils estiment que les prix seront très certainement influencés par l’inflation : le nombre de transactions et les prix devraient évoluer à la hausse, pour autant que l’inflation croissante (3,22 % en janvier) n’entraîne pas une remontée des prêts hypothécaires.
(fin de citation - suite au prochain numéro)
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Et dans l'art de titrer n'importe quoi, alors que l'info de départ est la même, voici Trends:
Immobilier : les prix chutent de 26 % à Bruxelles-Ville
Le lecteur rapide retiendra "moins 26 % à Bruxelles"... Pffff
Et la suite de l'article invoque d'autres chiffres, à la hausse...
Moralité: du grand professionnalisme, comme d'hab.
suite de l'article:
"Le prix médian des maisons à Bruxelles-Ville a chuté de 26,4 % en 2010, atteignant 277.000 euros. Celui des maisons à Woluwe-Saint-Pierre a diminué de 14,6 % pour s'établir à 360.000 euros, d'après les Ventes notariales de Bruxelles (NVN).
Pour l'ensemble des communes, le prix médian reste, comme l'an dernier, à 300.000 euros.
L'activité immobilière à Bruxelles est restée stable l'an dernier, augmentant de 0,8 % mais restant inférieure à celle d'avant la crise de la fin de 2008.
Le prix médian des maisons unifamiliales, villas comprises, a progressé de 0,4 % en 2010 en Région bruxelloise.
Si, comme en 2009, Bruxelles-Ville et Woluwe-Saint-Pierre ont connu une baisse significative des prix, d'autres communes ou entités ont enregistré une nette hausse. C'est le cas de Forest (+ 21,4 %, 350.000 euros), Neder-Over-Heembeek (17,5 %, 285.000 euros, Saint-Josse-Ten-Noode (16,7 %, 276.000 euros), Ganshoren (+ 16,2 %, 292.500 euros), Koekelberg (15,5 %, 265.000 euros) et Ixelles (14,9 %, 370.000 euros).
Les trois communes les plus chères sont Etterbeek (392.500 euros), Woluwe-Saint-Lambert (387.500 euros) et Watermael-Boitsfort (375.000 euros).
Le prix médian des appartements en Région bruxelloise est de 166.000 euros. Le prix moyen, soit 204.400 euros, a légèrement diminué par rapport à 2009 (208.600 euros).
Le prix médian des maisons de commerce et de rapport est en légère diminution par rapport à celui de 2009, atteignant 355.000 euros, contre 358.000 euros en 2009"
(fin de citation)
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Et hier soir, sur la bande annonce de Canal Z passait en boucle "Le prix 'médiant' des maisons..."
Trends a un grand mérite : c'est de noircir une quantité considérable de papier pour ne pas exprimer grand chose. Mais ça se vend. Mal peut être, mais bon... c'est la crise, non ?
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Immobilier: L'année de la dernière chance?
La brique a retrouvé, et même dépassé, ses niveaux d'avant la crise. Les candidats acquéreurs sont invités à se dépêcher.
suite pour partie online telemoustique
et évidemment dans le magazine pour le complet.
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Les prix de l’immobilier en hausse
Le Soir, mercredi 23 février 2011, 13:45
Les prix de l’immobilier ont augmenté au cours des six premiers mois de 2010, ressort-il du rapport « Les chiffres clés de l’immobilier en 2011 » publié mercredi par le SPF Economie.
Ainsi, au premier semestre 2010, une maison d’habitation coûtait en moyenne 178.111 euros, soit une augmentation de 3,49 % par rapport à 2009. Une villa revenait quasiment au double, soit 315.563 euros (+4,77 %). Les appartements se vendaient, quant à eux, à 184.406 euros (+3,75 %) et le prix des terrains à bâtir s’élevait en moyenne à 103,5 euros/m2. Depuis 1975, le prix de vente moyen d’une maison d’habitation a été multiplié par dix. En trente-cinq ans, la valeur des maisons a augmenté presque trois fois plus vite que celle des autres produits.
(fin de citation)
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Juste pour ne pas avoir que des nouvelles pro-immobiliers...
"Y a-t-il une bulle immobilière en Belgique ?"
http://trends.rnews.be/fr/economie/actu … 769118.htm
"Immobilier: pas de relance attendue a court terme"
http://trends.rnews.be/fr/economie/actu … 459873.htm
Bon d'accord c'est du Trends.
Et enfin purement anectoctal: un bien sur bruxelles est resté a X pendant 1 ans au moins (prix de départ ridicule j'en conviens), puis a X - 23% pendant 6 ou 9 mois: l'agent m'appelle et me dit que ca pourrait se faire a X - 37%. Je visite et l'agent me confie que X - 43% passerait probablement.
Moralite: ne croyez pas trop les prix demandés (qui je le rappelle consituent le fameux indice trevi).
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