forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
Hors ligne
Sur le très sérieux site français Universimmo:
les pays européens inégaux devant la crise immobilière
Chaque année, la direction européenne du réseau d'agences immobilières ERA (1.300 agences franchisées dans 18 pays) mène une enquête auprès des responsables nationaux de son réseau et publie des comparatifs sur les prix des biens immobiliers, le nombre de transactions, le pourcentage de propriétaires, les taux des crédits, les performances des professionnels, etc. Au delà des disparités déjà évoquées résultant de l'organisation des marchés, les résultats des analyses présentées pour l'année 2008 et les tendances 2009 montrent surtout que, touchés également par la crise économique globale, tous les pays européens ne subissent pas la même crise immobilière : certains même y échappent même presque totalement !
Les pays sages
En tête l'Allemagne, au marché apparemment imperturbable : après avoir encaissé le choc de la réunification, il semble ne plus connaître de cycles, ni de hausse, ni de baisse. Il est vrai que les allemands n'ont pas été soumis ni n'ont cédé aux sirènes de l'accession à la propriété à tout prix - il n'y a que 43% de propriétaires, à peine un point de plus qu'en 2004, contre 58% en France -, que les banques outre-Rhin ne prêtent qu'à taux fixe sur 15 ou 20 ans plus apport personnel de 20% requis, et que les prix des logements se sont maintenus à des niveaux très raisonnables : 162.000 euros en moyenne dans la partie ouest, 110.000 dans l'ancienne RDA, 205.000 euros dans la capitale, contre respectivement 256.000 en moyenne nationale en France et 380.000 à Paris ! Un marché peu actif : 492.000 transactions par an seulement (estimation ERA) contre 746.000 en France, pourtant moins peublée. Du coup, la crise n'a fait qu'effleurer le pays : les prix n’ont décru que de 2% en moyenne, mais en fait avec une hausse des prix dans les centres urbains contre une baisse sur les zones péri-urbaines et rurales.
Autre marchés presque ennuyeux :
- la Belgique : juste un ralentissement de l'activité mais une hausse encore de 4% en 2008 (contre 8% en 2007). Le nombre de transactions aurait repris son volume habituel dès mars 2009 ; au contraire de l'Allemagne, la Belgique a un taux de propriétaires de 78%, mais les prix là aussi sont restés sages : 192.000 en moyenne nationale et à peine 236.000 à la capitale ;
- l'Autriche : son marché a vécu une phase de stabilisation en 2007, avec un taux de croissance modeste de 0,5%, qu’elle a renouvelé en 2008, en dépit du contexte économique ; des prix moyens raisonnables - 170.000 en moyenne nationale et 249.000 à la capitale - et un taux de propriétaires également élevé : 68%...
- l'Italie : baisse de l'activité de 15% pour un niveau comparable à celui de la France (686.000 transactions), mais le prix moyen des logements a connu une progression de 4.34% en 2008 pour atteindre des niveaux plus proches de ceux de la France : 240.000 en moyenne nationale et 310.000 à la capitale ; à noter un taux de propriétaires à faire rêver les tenants du "tous propriétaires" en France : 81% !
Enfin, le Portugal, avec 75% de propriétaires, malgré une contraction très nette de l'activité du marché (-40% en 2008 par rapport à 2005), a réussi à maintenir ses prix depuis 2006, restés il est vrai à un niveau raisonnable : 115.000 en moyenne nationale et 250.000 à la capitale...
Les pays à "bulle immobilière"
Ce sont surtout le Royaume Uni, l'Espagne et l'Irlande, mais les deux premiers ne font pas partie de l'étude. Ils ont connu une flambée sans précédent et ne semblent pas pouvoir se remettre de la chute très rapidement ; selon 14 experts du secteur interrogés par Bloomberg, dès l'an prochain, les prix sur le marché de l'immobilier britannique des logements pourraient en effet repartir à la baisse, le plus pessimiste estimant qu'il faut encore une baisse de 20 à 25% pour voir les transactions repartir. Il fait dire aussi que le redressement du secteur est "plombé" par l'augmentation continue du chômage et de la réticence des banques à prêter.
Partie de très bas, l'Irlande affichait encore - après déjà une baisse de près de 10% - des prix moyens de logements en 2008 comparables à ceux de la France : 259.000 euros en moyenne nationale et 338.000 à la capitale. La contraction du niveau de transactions a entraîné la fermeture de nombreuses agences immobilières quand elles ne se sont pas tournées vers la gestion locative, grâce à la mise en location de propriétés en attente de jours meilleurs.
Mais la France et les Pays Bas font partie du lot, bien que plus modérément. Comme la France, ce pays a aussi connu des années de croissance débridée. L’avénement de la crise financière mondiale et la confiance des ménages en déroute ont pesé sur l’économie et la croissance. Le stock de biens disponibles à la vente s’est spectaculairement contracté courant 2008 et de nombreux programmes de promotion furent soit bâtis partiellement, soit annulés. Les Pays bas ont aussi un taux de propriétaires équivalent à celui de la France : 56%...
A noter aussi la Suède, qui a vu les prix grimper essentiellement dans la capitale (315.000 euros en moyenne contre 173.000 en moyenne nationale) ; alors que l'activité ne ralentit pas, une décrue des prix est amorcée qui se poursuit en 2009, malgré une politique de taux d'intérêt cassés (1,90% en 2008 !)...
Un marché à part : la Suisse...
Pays de locataires, la Suisse qui ne compte que 37,5% de propriétaires, a aussi été épargnée par les excès immobiliers et voit l'activité de transactions et les prix progresser régulièrement : les prix atteignent pourtant des sommets avec un prix moyen national de 384.000 euros en 2008 et 454.000 en capitale, record des pays étudiés. Les banques sont parcimonieuses dans la distribution du crédit, exigeant 20% à 30% d'apport. A préciser aussi que la Suisse est un marché fermé : les étrangers n'ont le droit d'y acheter un logement que pour une résidence secondaire dans une zone touristique, ou alors s'ils ont un permis de travail ou sont déclarés comme "réfugiés fiscaux" bénéficiant d'un forfait d'imposition...
Des marchés très différents dans leur fonctionnement
Les disparités touchent tous les domaines : les taux d'intérêt qui s'échelonnent (moyenne 2008) de 6% en Italie à 1,90% en Suède, en passant par 5,82% en Belgique, 4,70% en Allemagne, 4,40% en France, 3,75% en Irlande et 3,50% en Autriche, mais aussi les "taxes de transfert, qui vont de 10% en Belgique à 1,5% en Suède, en passant par 7% en France, et 3,48% en Allemagne...
Les taux de commissions des agences sont encore plus disparates : de 1,6% aux Pays Bas à 5,21% en France, recordman d'Europe, en passant par 1,75% en Irlande, 2,5% en Suède, 3% en Italie et en Belgique, 4,5% en Autriche et 5,1% en Allemagne. Et pourtant, la part de marché des professionnels sur le particulier à particulier ne semble pas du tout corrélée : certes, elle est très forte en Irlande (90%) et en Suède (85%) où les taux de commission sont très bas, mais elle est très faible en Italie (35%)... La Belgique qui a des commissions de près de moitié de celles de la France a à peu près la même part de marché que la France (55%) ; par contre, l'Allemagne affiche une part de marché des professionnels équivalente à l'Italie (35%) alors qu'elle a des taux de commission équivalents à ceux de la France...
Disparités incroyables aussi dans la productivité des négociateurs : le Portugal compte 16 négociateurs pour 10.000 habitants, l'Italie et la France 9, la Belgique 8,4, la Suède moins de 7, les Pays Bas 5,4, l'Autriche 4,57, l'Irlande 2,72 ! Rappelons que dans cette dernière les professionnels font 90% des transactions !
De quoi relativiser bien des débats.
Hors ligne
Hors ligne
04.01.10 - 12:41
Le marché belge de l'immobilier va connaître une reprise durant la deuxième moitié de 2010 avec une augmentation probable des prix, selon des prévisions du groupe Trevi. Cette tendance sera "sans doute plus marquée en 2011", selon le groupe immobilier.
Trevi énonce cette prévision sur base de l'index Trevi qui a légèrement augmenté, en passant de 108,19 fin septembre à 108,39 au 31 décembre 2009.
Selon Trevi, les prix ont baissé en moyenne de 5 à 10 pc en 2009. Mais les prix se sont stabilisés au cours du 2e semestre 2009.
Trevi estime que le marché immobilier a maintenu sa position au sein d'une économie plongée dans le malaise, grâce au taux élevé d'épargne des Belges et la "maturité du secteur immobilier résidentiel". "Il n'y a eu ni surstock important ni panique généralisée", selon Trevi.
Le groupe immobilier prévoit que la probable augmentation des prix à partir de la deuxième moitié de 2010 aura pour conséquence que l'acquisition d'un bien sera plus difficile pour les personnes disposant de faibles revenus.
(Belga, sur divers sites, dont rtbf)
Hors ligne
J'adore les voyants extralucides ! perso, je ne vois rien ! si ce n'est la route qui neigeois, ma soeur Anne.
Hors ligne
Et ca fait 44 pages que ça dure...
Mais il faut quand même avouer qu'à l'instar de la t° extérieure, le sujet est beaucoup moins brûlant qu'à ses débuts.
Hors ligne
D'un autre côté, depuis 2ans trevi annonce la forte reprise du marché immobilier...
A chaque trimestre reprise en vue avec une nouvelle cause...
Certes le marché ne croule pas mais baisse légèrement et surtout les transactions sont de plus en plus difficiles.
A ce titre, l'aveu de trrevi sur le fait que des propriétaires postposent leurs ventes faute de marché porteur est intéressant.
La question est à quel moment la balance fléchira cad quand les propriétaires devront vendre en raison de la vacance prolongée de leur bien faute de reprise du marché ou au contraire pourront les remettre sur le marché en raison d'un forte évolution du marché.
Sur la peur du acheter maintenant les loyers vont flamber et vous pourrez plus vous loger car incapable d'acheter, la question est dés lors de savoir où se trouveront les locataires et les acheteurs ?
Parce que le logement devient inaccessibles au commun des mortels qui fera les transactions ?
En outre pas un mot ou presque sur le contexte actuel, crédits moins faciles même le crédit social ne va plus sur 125 %, le chômage est réel notamment pour les jeunes, la population belge vieillit, le pétrole risque de flamber dés le moindre début de reprise réel, quid des contraintes écologiques et de leur influences sur le prix de bien de moindre qualité.
Bref, le marché risque de changer et le temps où les nanars de 3ème zone se vendaient à prix d'or en 3 mois dans un marché en pleine folie est semble-t-il enterré.
Hors ligne
La question à 100.000.000 € est la suivante: Est-ce-que les loyers flambent ?
Ou restent-ils simplement indexés ?
Hors ligne
Personnellement, j'ai l'impression que le marché locatif est complètement mort. J'ai mis des annonces à louer sur les 2 sites belges principaux depuis la mi-novembre pour un beau bien (propriété d'un demi hectare, villa 3 chambres) proposé à 1100€/mois (le prix d'un petit appartement 2 chambres à WSP).
Et bien j'attends toujours mon premier appel, ou email...
En 2008, elle avait été louée en moins de 2 mois!
Hors ligne
Dans le plus bas de gamme, je sens aussi comme un certain calme.
Et dans le commercial, la mort totale, dans l'attente interminable de décisions claires des pouvoirs en place.
Hors ligne
le marché locatif est complètement mort. Non, je ne pense pas, ce n'est pas significatif, c'est aussi le mauvais moment depuis Novembre jusqu'au début de printemps. Il faut tenir compte de beaucoup de critères, comme la situation du bien, le prix adapté, etc....Pour la vente, mêmes raisons et pour la question de reprise du marché ? Bonne question , il y aura reprise, c'est sûr mais quand ? L'accès à la propriété est hélas difficile et pas pour tout le monde. C'est de plus en plus une société à deux vitesses.
Il y a une reprise, ok , mais pour l'immobilier, fin 2010 ou 2011 ! La vague des difficultés économiques se fait par étape: les banques s'en sortent les premiers, puis ce sera le tour des entreprises puis enfin les travailleurs ( hélas, en dernier ) ! Et au niveau des travailleurs ce sera quand la reprise ?
Ce qui me préoccupe aussi c'est l'accès à la propriété pour les jeunes; dans un couple, il faut travailler tous les deux pour devenir propriétaire? Reprise ? Oui ! Quand ? C'est une autre question ! de toute façon l'immobilier sera toujours un bon placement....Mais à long terme...
Hors ligne
Dans Le Soir
Les maisons en moyenne 8% moins chères
Le prix moyen des maisons vendues au quatrième trimestre 2009 est environ 8% plus bas qu’en 2008. Une baisse qui s’observe principalement en Wallonie (-8,8%) et à Bruxelles (-9,3%).
Le prix moyen des maisons vendues au quatrième trimestre 2009 est environ 8% plus bas qu’en 2008, ressort-il de chiffres de la Fédération royale du notariat belge.
On observe cette baisse principalement en Wallonie (-8,8%), où le prix moyen d’une maison s’élève à 123.559 euros, et à Bruxelles (-9,3%), où les maisons se vendent en moyenne à 288.335 euros. En Flandre, une maison coûte en moyenne 171.219 euros, soit une diminution de 5,8%.
Cette diminution de prix est moins visible pour les appartements, où on parle plutôt d’une stabilisation. En Flandre, un appartement coûte en moyenne 180.084 euros, une augmentation de 1,1%. A Bruxelles, il faut débourser 192.872 euros, une augmentation de 2,6%. En Wallonie par contre, le prix des appartements enregistre une baisse de 1,2%, avec 136.588 euros en moyenne.
Les chiffres de la Fédération royale du notariat belge montrent une stabilisation du marché immobilier à la fin de l’année, après un très bon mois d’octobre.
Le niveau d’octobre est comparable aux meilleurs mois de 2007, bien avant la crise économique.
Sur l’ensemble de l’année, seule Bruxelles enregistre une baisse des ventes. Elles ont progressé de 14,8% en Flandre, de 17,8% en Wallonie mais ont diminué de 2,6% à Bruxelles.
(Belga)
Hors ligne
Trevi n'est pas un indice des prix de vente
D'apres le commentaire de Trevi suite a l'indice de decembre:
En 2009, les prix de l'immobilier ont fait preuve d'une belle résistance pour finalement entériner une légère baisse que tout le monde s'accorde à chiffrer dans une moyenne de 5 à 10 %
Et l'indice trevi:
- decembre 2008 = 107.61
- decembre 2009 = 108.39
ce qui correspond a une hausse de moins de 1% (probablement inferieur a une marge d'erreur).
L'indice Trevi ne mesure pas les prix de vente mais les prix de mise en vente demandés par le vendeur sur le conseil de son agent immobilier Trevi.
Donc en resume, les prix demandes par les vendeurs utilisant Trevi n'ont quasiment pas bougés en 2009 mais les prix de vente sont descendus et Trevi ne sait pas de combien ("tout le monde s'accorde a chiffrer").
Les vendeurs traditionellement ajoutent 5% a 10% de marge de négociation dans les prix de mise en vente qui n'ont pas bougé en 2009 (voir indice trevi). De plus l'estimation de Trevi (donc optimiste) de la baisse des prix de vente est de -5% at -10% en 2009. Donc ca implique que le gros des transactions en 2009 s'est fait entre -10% et -20% du prix demandé.
Hors ligne
Hors ligne
C'est une analyse pour la France, mais c'est tout aussi pertinent pour la Belgique !
lire l'article complet sur http://www.universimmo.com/actu/uniactu … e_Code=579
Les chiffres, indices, baromètres et observatoires des prix de l'immobilier et des loyers se sont multipliés ces dernières années, mais la transparence du marché s'est-elle améliorée pour autant ? Pire : des polémiques ont ébranlé la confiance dans les indices publiés par des acteurs historiques tels la FNAIM (Fédération nationale de l'immobilier), poussant l'actuel secrétaire d'Etat au logement à demander une mise au clair des statistiques produites par les uns et les autres, y compris sur celles utilisées par ses services ! la mise à plat révèle malgré la profusion une singulière indigence de la connaissance fine des marchés immobiliers, notamment hors Ile-de-France, à laquelle les acteurs publics ou semi-publics - INSEE, notaires - ont peu de chance de remédier...
------
Hors ligne
L'indice trevi est a 108.94 pour le 1er trimestre, c'est a dire le niveau du 2eme trimestre 2006 sans tenir compte de l'inflation.
Il s'agit d'un indice des prix demandes et non des prix de vente.
Nos amis de chez Trevi font de tres gros efforts de 'cheerleading' et grondent meme les vilains journalistes qui publient des nouvelles negatives ou alarmantes. Ils admettent neanmoins que les ventes dans le haut de gamme restent anemiques... c'est le moins que l'on puisse dire sur certaines communes comme Lasne ou Waterloo
Hors ligne
Dans le haut de gamme Lasne/Waterloo, il y a d'autres facteurs structurels qui expliquent le changement long terme qui est en train de se produire: la diminution nette régulière et long terme des expats.
Pour ce qui est des indices corrigés de l'inflation, avec les prix yo-yo du pétrole, et une situation spéciale (c'est le moins qu'on puisse dire) au niveau de l'index, c'est une bonne indication, mais à prendre avec des pincettes.
Hors ligne
Dans Le Soir, sur base de chiffres statistiques officiels:
Le prix moyen des maisons a baissé en 2009
(vendredi 23 avril 2010, 11:42)
"Pour la première fois depuis de nombreuses années, le marché immobilier sur base annuelle n’a pas été dominé par la hausse des prix de ventes moyens.
C’est surtout dans le segment le plus cher - les villas - que les diminutions des prix ont été importantes, indique vendredi la direction générale statistique et information économique du SPF Economie. Le prix moyen des villas a en effet diminué de 316.338 euros (2008) à 300.816 euros (2009) en un an, soit une baisse de 4,9%.
Les prix des maisons d’habitations moins chères ont aussi baissé mais dans une moindre mesure. Leur prix moyen était de 172.656 euros en 2008 contre 172.005 euros en 2009, soit une légère baisse de 0,4%.
Le prix des appartements ont, quant à eux, poursuivi leur progression constante (+2%). Le prix moyen des appartements oscillait l’an dernier autour de 175.000 euros. Le quatrième trimestre 2009 a vu une très forte augmentation se manifester et les prix atteindre 183.473 euros par appartement.
Les terrains à bâtir ne connaissent pas la même évolution. Au contraire, la hausse des prix s’est légèrement accélérée ces dernières années. Les terrains à bâtir se font en effet de plus en plus rares, ce qui se répercute sur leur prix: au dernier trimestre de 2009, le prix moyen était de 97,5 euros le m2.
En Région flamande, une maison d’habitation ordinaire coûte en moyenne 183.867 euros, contre 134.232 euros en Région wallonne. "
Hors ligne
Au risque de me répéter, même avec une baisse de 4% sur une année particulière, celui qui a acheté reste gagnant par rapport à la location du même bien: en remboursant son PH en 20 ans, cela fait combien de % de remboursés?
Hors ligne
Je rajouterai même que si, en temps qu'investisseur compulsif, vous voulez atteindre un certain niveau d'investissement, il vous faudra de nombreuses opérations.
Et si vous commencez petit, chaque année est une année perdue...
Il reste des opportunités, et même si cela baisse de 5%, votre banquier ne le verra pas. Et vous pourrez enchainer les opérations suivantes, et les remboursements de PH suivants.
Donc, une année perdue en début de "carrière", cela fait combien de % de raté en fin de carrière?
Le raisonnement reste donc valable à toutes les échelles. Pour votre maison modeste. Pour votre belle villa. Pour l'investissement pour vos vieux jours. Pour vos investissements immobiliers compulsifs. Le Belge ne s'y est pas trompé. Il a une brique dans le ventre.
Il y a juste que quand on lit les articles des dossiers spéciaux immobiliers du Trends/Vif/Express/Echo et autres journaleux, on se rend compte que ce n'est pas le journaliste qui aide le belge à investir...
Hors ligne