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Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
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Evolution des prix? Vous avez dit évolution des prix?
Un immeuble me casse les pieds actuellement. Il a été acheté à 320.000€ il y a 3 ans. Il est expertisé 490.000€ aujourd'hui. Un agent immobilier me dit qu'il peut le vendre 430.000 sans problème ni délai, et l'offrir à la vente à 460.000.
Vu les frais de notaires et autres frais d'acte, hypothèques et mainlevées, il m'aura coûté 370.000€. Cela me fera une plus-value de 60.000€ en 3 ans, soit 5.4% par an.
Je trouve que c'est peu. Avez-vous une meilleure méthode pour investir dans la brique?
(En réalité, l'augmentation de valeur doit être calculée sur la valeur d'achat, et non sur le coût d'achat - 110.000 d'augmentation de prix sur 320.000€ = 11.4%/an d'augmentation....)
(En réalité, le rapport sur la plus value doit être calculée sur la somme mise en jeu. J'ai emprunté 200.000€ et "mis sur la table" 170.000€. Soit 60.000 de bénéf sur 170.000€ d'investissement = 11.7%/an de rendement... hors loyers)
En fait, ne faites pas confiance à une banque pour vous dire comment investir. Ils n'y connaissent rien (avec tout le respect que j'ai pour mon excellent banquier de la même couleur que l'avis ci dessous...)
Pour calculer le rendement, il faut aussi tenir compte des loyers (nets) perçus durant ces trois années.
-Prix de vente moins Prix de revient (achat + frais divers) = Plus value. (5.4%)
-Plus value + loyers nets = rendement final (hors avantage fiscal éventuel lié au PH)
Niveau géographique, il est bon de louer près de chez soi... je vis à Bruxelles, et je ne pourrais pas gérer des locations à Charleroi, surtout pour des immeubles à plusieurs petits logements, demandant un suivi intensif.
Quant à l'évolution des prix... on dit tout et son contraire, comme d'hab !
La fiscalité sera un critère. Les taux d'intérêt en sera un autre. mais je partage l'optimisme de Grmff.
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Le Brabant wallon toujours au sommet
jeudi 24 mai 2012, 12:36
Quand on parle de communes chères en Wallonie, on pense forcément au Brabant wallon qui place cinq entités dans le top 5 : Lasne, La Hulpe, Waterloo, Rixensart et Chaumont-Gistoux. A Bruxelles, la palme revient à Uccle. En 2011, c'est là que les villas et les terrains ont été les plus chers.
: Le Soir/René Breny
Qui dit « biens de luxe » en Wallonie dit, évidemment, Brabant wallon. Il n'y a donc rien d'étonnant à retrouver Lasne en tête de notre hit-parade réalisé en collaboration avec Century 21. A elle seule, la commune la plus huppée du pays regroupe les prix moyens les plus élevés en 2011 pour trois des quatre catégories communément admises quand on parle d'immobilier : les villas, les maisons unifamiliales et les terrains à bâtir.
Vu le peu d'appartements disponibles à Lasne (ils sont quasiment inexistants), c'est La Hulpe, commune très recherchée en raison de son accessibilité via les transports publics, qui détient la palme dans ce segment-là avec un prix moyen de 286.911 euros. Lasne reste sans conteste la commune où les exagérations en matière de prix demandé restent les plus fortes. « Entre ce que le propriétaire demande et ce qu'il reçoit à la signature de l'acte, la différence monte de 20 à 30 %, n'hésite pas à déclarer Jean-Pierre Cappuyns, de Century 21BWà Lasne. Qui peut encore mettre un million d'euros pour une maison de nos jours ? »
La majorité des biens datent des années 70-80. Beaucoup nécessitent d'importants travaux de rénovation estimés à quelque 1.000 euros du m2. Ce n'est pas rien. « Certains vendent en espérant faire un 6 au loto pour arrêter de travailler et profiter de la vie mais leur bien n'est pas forcément en bon état ou aux goûts du jour !, tempère notre interlocuteur.
Dans les communes avoisinantes comme Rixensart, par exemple, qui arrive en quatrième position de notre classement et que les spécialistes voient prendre de la valeur dans le futur grâce au passage du RER, les gens sont plus à l'écoute des agents immobiliers. « Souvent, grâce à une légère baisse du prix demandé, la transaction est réalisée rapidement, explique Jean-Pierre Cappuyns. Dans ces communes-là, les gens ont davantage les pieds sur terre… »
C'est encore plus le cas à… Chaumont-Gistoux, étonnant cinquième de notre palmarès. Une commune encore trop méconnue, eu égard aux nombreux avantages qu'elle présente. C'est en tout cas l'avis de David Wolfs, de Century 21 S.B, une agence qui s'est ouverte il y a six mois à Jodoigne. « Chaumont appartient aux Ardennes brabançonnes, s'enthousiasme-t-il. C'est à la fois vallonné et boisé. De plus, la commune est à deux pas de Wavre et est coupée en deux par l'E411. Elle peut être rejointe par trois sorties d'autoroute. Des atouts qui la rendent un peu “tendance” aujourd'hui. »
Entre son centre (Waterloo, Lasne…) et son côté est (Chaumont-Gistoux, Beauvechain, Orp-Jauche, Ramillies…), le Brabant wallon offre une belle brochette de communes plus verdoyantes les unes que les autres. Amorcé au début des années 80, l'exode des Bruxellois vers le « Béwé » reste plus que jamais de mise. « Selon moi, le phénomène s'est même intensifié, explique David Wolfs, mais il s'accompagne à présent d'un mouvement intra-Brabant wallon : les gens changent de communes tout en restant dans la province. »
Plusieurs prédisent un Brabant wallon encore plus impayable dans dix ans qu'aujourd'hui. David Wolfs partage cette opinion. « Je le pense, en effet, même si l'on constate actuellement un tassement des prix. Avant 2008, nous étions en pleine phase ascendante avec des prix complètement fous car les offres étaient nombreuses et les demandes aussi. La crise est venue tout chambouler. Elle a eu pour effet de tasser le tout. Aujourd'hui, on se retrouve avec une demande nettement inférieure à l'offre. »
PAOLO LEONARDI
http://www.lesoir.be/actualite/economie/immo/2012-05-24/le-brabant-wallon-toujours-au-sommet-917755.php
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Immobilier: vers une baisse des prix en 2014 ?
Rédaction en ligne
mercredi 16 mai 2012, 16:48
L'accessibilité du marché immobilier a de nouveau baissé l'année dernière, à un plus bas depuis le début des années 80, selon une étude d'ING.
Immobilier: vers une baisse des prix en 2014 ?
DR
L'indice d'accessibilité du marché immobilier se compose de quatre facteurs : les taux d'intérêt, la durée des prêts, les prix immobiliers et les revenus des particuliers.
Si les taux d'intérêt bas ont été un soutien en 2011, surtout en seconde partie d'année, l'apport personnel des emprunteurs a atteint quasiment 40 % en moyenne fin 2011, un niveau obtenu grâce à un afflux d'épargne. Un niveau qui ne devrait pas être dépassé cette année. « L'apport personnel n'est pas possible pour plus de la moitié des acheteurs et il va être impacté par le vieillissement de la population », souligne Julien Manceaux, senior économiste chez ING.
Quant à la durée des emprunts hypothécaires, il est peu probable qu'elle continue à s'allonger en raison du coût des financements à très long terme pour les institutions financières.
Correction des prix en 2014 ?
Une possible hausse des taux d'intérêts, à partir de 2014, pourrait donc conduire à une correction des prix.
2014 sera également synonyme d'une régionalisation accrue et des changements fiscaux sont à attendre, dans une perspective de retour à l'équilibre des finances publiques pour 2015.
Selon ING, des mesures touchant la déductibilité des charges hypothécaires pourraient entraîner une perte de pouvoir d'achat allant de 4 % (abandon de l'indexation du montant déductible) à 20 % (abandon complet de la mesure). Une hausse des droits d'enregistrement n'aurait quant à elle qu'un impact relativement faible tandis qu'une hausse du précompte immobilier, afin de le faire correspondre à la hausse des prix immobiliers des dernières années, représenterait une baisse de 5 % du pouvoir d'achat.
En combinant les changements fiscaux possibles avec ceux d'une hausse des taux, la correction des prix dépasserait 15 %. « Avec une telle baisse, on se retrouverait avec les prix immobiliers de 2006-2007 », indique Julien Manceaux.
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Paroles d'experts.....
lu dans Trends
"C'est l'histoire de trois chercheurs, un économiste, un chimiste et un physicien, échoués sur une île déserte avec comme seul moyen de survie quelques boîtes de conserve... mais pas d'ouvre-boîte. Rapidement, le chimiste propose de les mettre dans l'eau de mer pour que le sel ronge le métal. Le physicien suggère de les placer sous un cocotier et d'attendre que les noix les brisent en tombant. Puis l'économiste prend pompeusement la parole et déclare : "Posons notre première hypothèse : nous avons un ouvre-boîte." La légende veut que cette blague ait été concoctée par Paul Samuelson, Prix Nobel d'économie. Délicieuse à souhait, cette galéjade fait aujourd'hui fureur sur le Net. À l'instar des banquiers, accusés d'avoir déclenché la crise par leur avidité, les économistes, enfermés dans le carcan de leurs modèles, ont péché par myopie et diffusé de piètres analyses. Relayées d'ailleurs par les médias, dont L'Expansion. Dans un brûlot intitulé Les Imposteurs de l'économie, le journaliste Laurent Mauduit a dénoncé récemment la tyrannie des experts, véritables perroquets d'une pensée économique dominante, incapables d'anticiper la violence de la crise et, pour certains d'entre eux, soumis à de graves conflits d'intérêts. Mais derrière ce constat resurgit le sempiternel débat épistémologique qui divise la communauté des économistes depuis deux siècles : l'économie est-elle vraiment une science ? À défaut de détenir la vérité, les économistes pourront toujours apprendre la modestie. Petite revue de détail des plus jolies perles.
Juillet 2008: "Aux Etats-Unis, les banques ne font jamais faillite"
Déclaration édifiante de l'analyste bancaire vedette de Moody's, Daniel Fanger, quelques jours après la mise sous tutelle de la banque californienne IndyMac et à peine deux mois avant la débâcle de Lehman Brothers. "Les Échos", 18 juillet 2008.
Avril 2008: "La crise est finie" Patrick Artus
Le directeur des études de la Banque Natixis, par ailleurs administrateur de Total, l'assurait en avril 2008 : "La crise financière est finie. [...] Le pire est passé. Je reviens des Etats-Unis. Les acteurs de marché sont unanimes." À l'époque, quelques hedge funds vacillent, les subprimes font des dégâts, mais la Banque Lehman Brothers ne fait pas encore parler d'elle. Quelques mois plus tard, elle s'effondrera, entraînant avec elle les fameux "acteurs de marché". "Challenges", 3 avril 2008.
2005: Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale américaine
"L'extrême complexité des instruments financiers a contribué au développement d'un système financier plus flexible, efficient et résilient que le monde n'en a connu depuis un quart de siècle." Discours prononcé devant la National Association For Business Economics, en 2005.
Août 2007: 44 % : Baisse du CAC 40 entre 2007 et 2012
"Dans quelques semaines, le marché se reformera et les affaires reprendront comme avant." Pas exactement comme avant. Entre la déclaration du très médiatique économiste Elie Cohen et aujourd'hui, la Bourse s'est effondrée. Lemonde.fr, 17 août 2007.
Septembre 2007: "Notre modèle économique est solide" Daniel Bouton
"Globalement, notre modèle économique est solide et notre stratégie porteuse. [Notre] modèle démontre toute sa capacité de résilience", affirme Daniel Bouton, alors président de la Société générale. Petite précision tirée du "Larousse" : résilience veut dire "résistance aux chocs". Comme les pertes du trader Jérôme Kerviel? Comme la faillite de Lehman Brothers ? Comme les risques sur les obligations de la Grèce ? "Le Figaro", 8 septembre 2007.
Mars 2008: "L'Espagne est loin de l'éclatement de la bulle immobilière" Maria Josefa Garcia Grande
Interrogée sur les premiers signes de freinage du marché de l'immobilier espagnol, l'économiste Maria Josefa Garcia Grande, du think tank Ortega, l'un des plus réputés du pays, affirme : "On assiste à un phénomène de ralentissement du secteur, mais on est très loin d'un éclatement de cette bulle immobilière." Toujours aussi édifiant : "L'économie espagnole est bien mieux préparée par le passé pour résister à cette crise." En quatre ans, les prix de la pierre ont chuté de 22 % ! "Libération", 5 mars 2008.
Septembre 2008: "La crise actuelle ne durera pas longtemps."
On aurait aimé croire Daniel Cohen, brillant professeur à Normale Sup, conseiller de la Banque Lazard, bardé de diplômes et de certitudes. Seulement voilà, la crise dure... depuis longtemps. "Capital", septembre 2008
Mars 2008: "Le baril de brut sera à 200 dollars"
En mars 2008, dans une étude réservée à ses clients, la banque d'affaires Goldman Sachs annonce l'emballement des cours du pétrole, le baril de brut devant atteindre les 200 dollars dans un délai de six mois à deux ans. N'ayant pas vu venir la grande récession mondiale, les experts de la banque américaine n'ont donc pas anticipé la chute de la demande, notamment aux Etats-Unis. En décembre 2008, les cours tombent à 45 dollars.
31 %
C'est le taux d'intérêt usuraire à dix ans auquel les investisseurs prêtent aujourd'hui au gouvernement d'Athènes. Et pourtant, Franck Portier, économiste à l'Ecole d'économie de Toulouse, osait dans nos colonnes, en juin 2010 : "La Grèce doit remercier les marchés." Donc, efharisto - merci en grec - les hedge funds, les spéculateurs, et les agences de notation ! Franck Portier, "L'Expansion", juin 2010.
Janvier 2008
"Les nouvelles innovations financières atteignent les limites de l'évaluation des risques. L'industrie financière devra donc s'améliorer. Mais on peut être optimiste. Les financiers vont résoudre le problème, et la vie continuera." Comme si les marchés avaient la capacité à s'autoréguler.
Edmund S. Phelps, Prix Nobel d'économie, "Le Journal du dimanche", 27 janvier 2008.
Trends.be avec L’Expansion "
(fin de citation)
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il ne faut certes pas toujours croire les experts mais bon..... il y a une tendance de fond et c'est la baisse..... Croissance économique nulle , taxes en hausse, ..... des années de hausse derrière nous avec une bonne dose d'exagération .... donc voila c inéluctable.
de la a dire de combien sera le recul..... je ne suis pas expert je ne peux pas commenter la dessus
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Si j'étais sûr de pouvoir prédire l'avenir, je serais riche depuis longtemps. Je crois que la tendance est à la baisse, et heureusement. Même si l'immobilier belge semble "peu cher", beaucoup de ménages n'ont plus les moyens d'accéder à la propriété.
Cela étant, j'ai entendu parler d'un ouvrage - que je n'ai pas lu - dont je fais la publicité ici (c'est dans la mouvance GEAB, prévisionniste pessimiste):
2015 - La grande chute de l'immobilier occidental
Par Sylvain Perifel et Philippe Schneider
L'importance du marché immobilier dans nos économies nécessite de prévoir son évolution à moyen terme pour ajuster les politiques et les investissements, ou pour atténuer les conséquences de ses fortes variations. Pourtant, nombre d’articles aux conclusions toutes contradictoires obscur-cissent notre vision.
Ce livre permet d'éclairer la question en anticipant sur des bases solides l'évolution des prix de l’immobilier résidentiel au cours de la décennie. À cette fin, les phénomènes en jeu sont expliqués, les tendances de fond analysées et les conclusions découlent notamment de facteurs économiques, sociaux et démographiques.
Les analyses et les recommandations présentées dans cet ouvrage aideront les différents acteurs du marché immobilier : ménages, investisseurs et politiques.
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A propos du logement à Paris...
Avec la hausse des prix de l'immobilier parisien, les accédants à la propriété dans la capitale sont désormais, pour plus des deux tiers
(69 %), des célibataires et des couples sans enfant, selon les estimations de l'agence départementale d'information sur le logement (Adil 75). Nous avons demandé aux lecteurs du Monde.fr ce qu'il en était, avait été ou serait pour eux.
"Le contraste est saisissant entre mes parents et moi", par Ex-Parisien
Le contraste est saisissant entre mes parents, arrivés à Paris dans les années 1980 et qui ont pu louer un grand appartement dans un quartier plutôt bourgeois, et moi. Au même âge maintenant, avec des revenus a priori équivalents voire supérieurs par rapport au coût de la vie, je peux louer la moitié de la même surface. Quant à acheter, même pas la peine d'y penser avec des rez-de-chaussée moches à 8 000 euros le m². Avec un ou deux enfants, on peut s'entasser, mais il y a un moment où il faut choisir : dormir dans le salon, faire dormir trois enfants dans la même chambre, aller voir ailleurs. C'est la raison principale qui nous a fait quitter Paris.
"4 700 euros de dépenses pour 5 000 euros de revenus", par Christophe
Ne pouvant plus supporter la pression financière, nous avons quitté Paris en janvier pour vivre à la frontière de la banlieue et de la province. Avant la naissance de notre troisième enfant, nos données économique sur Paris par mois étaient les suivantes : un peu moins de 5 000 euros net en revenus pour un coût logement (prêt, taxes et charges) de 2 200 euros et un coût de la vie quotidienne (nourriture, garde enfant, déplacement, téléphone, Internet, eau) estimé à 2 500 euros. Au final, le seul luxe était clairement de vivre à Paris car nous étions extrêmement limités en consommation de loisirs. Dans notre entourage, beaucoup de couples s'arrêtent à un ou deux enfants pour essayer de rester à Paris.
"Nous avons fait le choix du retour en province", par Hélène L.
La question de quitter Paris s'est posée pour nous quand je suis tombée enceinte de notre premier enfant. Malgré des salaires corrects, notre budget nous permettait seulement d'acheter un petit deux pièces de 30 m². Pas la peine de s'endetter sur 25 ans pour acheter plus petit que ce que nous avions déjà. Louer alors ? Impossible pour nous de mettre 1 500 euros dans le loyer d'un appartement avec une chambre en plus. Hors de question aussi de partir en lointaine banlieue, pour subir matin et soir les interminables trajets en RER. Nous avons fait le choix du retour en province. Nous sommes maintenant installés à Nantes où, pour le montant de notre loyer parisien, nous louons une grande maison avec jardin. Et nous sommes entourés de jeunes familles qui ont eu le même parcours !
"Je n'aurai pas d'enfant... pour l'instant", par Joseph G.
Je ne peux pas avoir d'enfant, pour l'excellente raison que je n'aurais pas de place où le mettre. Acheter plus grand ? Il m'a fallu un an de recherches et un an de travaux avant d'habiter mon logis.
Partir si vite après mon emménagement me ferait perdre un investissement important, sans parler des frais (de notaire) et des intérêts du prêt. Enfin, l'immobilier a augmenté. Je ne peux pas acheter plus grand. C'est résolu : je n'aurai pas d'enfant... pour l'instant.
"Pas compétitifs pour les banques ni pour les agences immobilières", par Mickaël
A l'arrivée d'un troisième enfant, notre quatre-pièces en location est devenu trop étroit. Nous nous sommes mis en quête de l'introuvable à Paris pour des familles de classes-moyennes vivant de leurs seuls revenus. N'étant ni héritiers ni traders, cette recherche nous a laissé une impression pénible. Durant six mois, nous avons tenté de trouver un cinq pièces en location, l'achat s'étant vite avéré inenvisageable, alors même qu'avec mon épouse nous gagnions près de 7 000 euros à deux. Malgré ce revenu, les banques, sans apport ou presque, nous accordaient une capacité d'emprunt nous permettant de rêver à un trois-pièces.
Pas "compétitifs", nous l'étions aussi pour les agences immobilières.
Pour un loyer de 2 500 euros, le prix à payer pour un cinq-pièces en bon état dans un quartier modeste, il nous était exigé quatre fois le loyer en revenus, sans parler des demandes de caution aberrantes pouvant représenter jusqu'à huit mois de loyer. Un agent immobilier nous a finalement avoué que sur le créneau des cinq-pièces, le marché était inaccessible pour des familles comme la nôtre, concurrencées par des néo-fortunés en mal de placement ou de grandes entreprises à la recherche de logement spacieux pour leurs familles d'expatriés. Nous avons donc déménagé en banlieue. Paris est maintenant pour la famille une destination touristique.
"Notre fille envisage de quitter la France", par Harba D.
Nous avons quitté Paris en 1990. Nous n'avons jamais pu revenir et vivons aujourd'hui à Montrouge. Notre fille âgée de 25 ans travaille à Paris. Toutefois, les prix tant à la location qu'à l'achat lui interdisent de se loger tant à Paris qu'à Montrouge - qu'elle n'aime guère d'ailleurs. Aussi, elle vit encore avec nous, ce qui ne la satisfait nullement. Elle envisage de quitter la France. Tous ses collègues de sa promotion de Sciences Po sont, sans exception aucune, à l'étranger. Nul doute que le logement constitue une des raisons importantes de cet exil.
"On ne peut pas vivre sainement en ville avec une famille : Paris n'en est que l'exemple le plus criant", par Julien R.
Petite couronne dans un premier temps, ouest parisien où nous avions acheté un appartement dans un second... Les tarifs de l'immobilier, incompatibles avec nos souhaits d'espace et de verdure, ont fini de nous convaincre que nous n'avions plus d'avenir en région parisienne.
Nous habitons donc depuis un an autour d'une grande métropole régionale, où la problématique est la même : les prix sont moins élevés au départ, et le gradient de prix est plus fort qu'à Paris, mais il faut toujours s'éloigner significativement de la ville pour voir l'immobilier redevenir raisonnable. Notre sentiment est que malgré ce que disent les irréductibles qui en acceptent les contraintes pour eux au détriment du bien-être de leurs enfants, on ne peut pas (plus ?) vivre sainement en ville avec une famille : Paris n'en est que l'exemple le plus criant...
"Impossible d'imaginer la vie à Paris d'ici vingt ans. Qui peuplera la ville d'ailleurs ?" par Claire R.
Ma fille a un an, elle commence à courir et à manger seule et mon 55 m² dans le 12e arrondissement déborde de panières de linge et de jeux en tout genre. Mes placards de cuisine sont au bord de l'explosion, une partie de mon garde-manger est déjà dans le couloir. Pour une pièce de plus, mon appart vaudrait environ 450 000 euros... Mon mari et moi avons fait des études, nous avons deux CDI stables et bien payés, mais impossible de débourser de telles sommes. Nous faisons actuellement des démarches pour nous installer en proche banlieue. Ma fille et mes futurs autres enfants seront des citadins... ou pas! Impossible d'imaginer la vie à Paris d'ici vingt ans. Qui peuplera la ville d'ailleurs ? Uniquement des rentiers, des héritiers et des entreprises ?
"Je ne me vois pas du tout élever un enfant dans Paris", par Anne-Lise L.
Je suis célibataire et sans enfant, je suis une jeune cadre forcée d'habiter à Paris pour le travail, et plus je vis dans cette ville, plus je me dis que c'est une ville pour célibataire, ou jeunes couples. Je ne me vois pas du tout élever un enfant dans Paris, tout est trop cher. Je pense à long terme à une maison en province avec mes futurs enfants, mais loin, loin de Paris !
"Je fais le constat plutôt amer d'être d'une génération qui vivra moins bien que ses parents", par Laure A.
Nous sommes un couple de cadres plutôt aisés. Toute ma famille et nos amis vivent à Paris. Je suis enceinte de notre premier enfant et nous comptons pour l'instant rester à Paris, parce que nous vivons dans un trois-pièces et que nous pouvons donc accueillir ce premier enfant.
Mais lorsque la famille s'agrandira encore, nous n'aurons pas les moyens d'acheter un appartement plus grand tout en payant une nounou ou la crèche.
Nous serons donc contraints de faire un choix entre vivre à Paris ou avoir plusieurs enfants. Je fais le constat plutôt amer d'être d'une génération qui vivra moins bien que ses parents, alors même que mon mari et moi gagnons mieux notre vie que nos parents à leurs débuts. Mes parents ont eu trois enfants en vivant à Paris, ma mère ne travaillait même qu'à mi-temps lorsque nous étions très jeunes. Impossible pour moi aujourd'hui !
"Je m'y accrocherai aussi longtemps qu'on le pourra", par Iris L.
Je suis parisienne, je loue un deux-pièces de 50 m² ; mes deux enfants occupent la chambre. Je ne pourrais pas louer une pièce de plus, et je ne pourrais pas acheter non plus. Un jour, je devrai donc quitter Paris (j'ai un garçon et une fille...) mais je m'y accrocherai aussi longtemps qu'on le pourra parce que j'adore la qualité de vie qu'on a tous les trois à Paris - notamment le fait que je suis au bureau en 15 minutes à pied, et qu'on peut donc vivre ensemble au lieu de se croiser furtivement matin et soir.
"Entre le job et le logement, nous voilà pris entre le marteau et l'enclume", par Xavier D.
Après avoir profité de la vie parisienne, sa culture et ses nombreux évènements, nous venons d'avoir un enfant avec ma compagne. Si je me suis pourtant toujours refusé d'avoir un enfant à Paris, notre deux-pièces et les conditions de vie nous incitent à migrer vers de plus vertes prairies... sauf que si l'offre de logement n'y est pas, l'emploi se trouve lui en région parisienne ! Nous voilà donc pris entre le marteau et l'enclume : d'un côté avoir le job qu'on choisit et une vie culturelle dont on ne profite plus mais qu'on sait à disposition... et de l'autre la vie rêvée, celle de nos amis qui, restés en province, ne gagnent pas forcément moins que nous, deviennent propriétaires de maison avec jardin et prennent le temps de vivre dans de petites villes qui font de plus en plus d'efforts en termes d'aménités aux populations.
"Aujourd'hui notre logement social est estimé autour de vingt fois nos revenus annuels", par Nancy W.
Couple de fonctionnaires travaillant dans l'enseignement et la recherche, nous n'avons pu rester à Paris, en 2009, que grâce à un logement social obtenu par notre mairie. Pour ne pas créer des ghettos de riches et de pauvres, la maire aide les classes moyennes à louer. Quant à acheter un logement à Paris, cela aurait sans doute été possible jusqu'à la fin des années 1990, mais nous étions encore étudiants, habitant dans des studios. Aujourd'hui notre logement social est estimé autour de 900 000 euros, soit vingt fois nos revenus annuels ! A Paris, la crise du logement ne se limite pas aux gens pauvres.
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Puisqu'on vous le dit...
Le marché immobilier belge a bien résisté au second trimestre
mardi 10 juillet 2012 à 13h50
Malgré un contexte économique difficile, le marché immobilier belge a résisté au deuxième trimestre, avec un nombre de transactions immobilières qui est resté élevé et un prix moyen des maisons reparti à la hausse, indique le baromètre des notaires publié mardi.
Au deuxième trimestre, le prix moyen des maisons en Belgique a connu une augmentation de 2,7% après un repli de 2,3% au premier trimestre.
Une maison d'habitation coûte en moyenne 228.525 euros contre 222.434 euros au 1er trimestre 2012.
"Cette progression correspond à l'évolution moyenne de l'inflation (+2,6%) et s'assimile à une stabilisation dans le nord et le sud du pays, Bruxelles faisant exception", constate le baromètre des notaires.
Le prix moyen d'une habitation à Bruxelles a augmenté de 7,9% par rapport aux trois premiers mois de 2012, la hausse étant de 3,1% en Flandre et de 2,6% en Wallonie.
Concernant les appartements, le prix moyen des appartements en Belgique se stabilise au deuxième trimestre et passe de 198.372 euros à 198.782 euros (+0,2%). Le prix moyen d'un appartement a ainsi diminué de 2,7% en Flandre tandis qu'il a progressé de 5,3% en Wallonie et
de 9,2% à Bruxelles.
Le nombre de transactions est resté élevé avec une progression de 0,2% par rapport au 2e trimestre 2011.
(fin de citation)
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Quant a l'indice trevi, il est lui semble-t-il en baisse. Cela dit cet indice n'est pas tres fiable vu sa source, et sa precision.
L'indice des notaires semble etre un peu decale dans le passe vu le nombre de diminutions de prix de 10% ou 20% que l'on observe et la quantite de bien en vente (au moins sur les communes de bruxelles que je regarde).
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.... le nombre de diminutions de prix de 10% ou 20% que l'on observe et la quantite de bien en vente (au moins sur les communes de bruxelles que je regarde).
Bonjour
de quel quartier ?
est ce simplement un décalage des vendeurs entre la valeur de marché et la valeur de leur bien ?
Bàv
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Le bon moment pour acheter ?
Pouvoir emprunter à des taux planchers, c’est une bonne nouvelle pour les candidats propriétaires. Encore faut-il que le marché immobilier soit accessible. Dans le cas de notre pays, un mot s’impose : stabilité. Quels que soient les sons de cloches (agents, notaires, banques, analystes…), tous livrent le même message : le marché actuel est calme, serein. « En bonne santé, ajoute Bart Van Optsal, président de la Fédération royale du notariat belge. Il n’y a pas de pénurie de biens en vente, on enregistre beaucoup de transactions, ce qui signifie donc qu’il y a beaucoup d’acheteurs. »
« On constate un grand réalisme, tant de la part des propriétaires que des acquéreurs. Il y a un bon équilibre entre l’offre et la demande, ce qui entraîne une stabilisation des prix », enchaîne Éric Verlinden, administrateur délégué du groupe Trévi. Stabilisation ? « Disons que les prix grimpent moins vite que ce qu’ils n’ont augmenté par le passé », estime Philippe Ledent, senior economist chez ING.
Si, en avril dernier, le traditionnel baromètre des notaires faisait état d’une baisse (la première depuis sa création !) de 2,3 % pour les maisons et de 8,7 % pour les appartements, cela semble n’avoir été qu’un incident de parcours. Le prochain baromètre relatif au deuxième trimestre 2012 ne sera publié que dans quelques jours. « Mais je n’ai pas l’impression que la diminution que nous avions constatée se répétera sur plusieurs trimestres », glisse Bart Van Opstal. Le prix moyen des habitations devrait à nouveau dépasser les 222.434 euros, idem pour celui des appartements (198.372 euros début 2012). Mais cela n’empêche pas les acquéreurs d’investir dans la brique. « Ces derniers mois, moins de crédits hypothécaires ont été souscrits, mais on a enregistré plus de transactions, précise le notaire. On peut en déduire qu’il y a plus d’investisseurs sur le marché. »
Quid de l’avenir ? Éric Gobert et Gilles Gevers, analystes au sein du département Real Estate chez Belfius, s’attendent d’une part à une surchauffe des biens « entrée de gamme » à Bruxelles (« car les futurs projets se concentrent essentiellement sur du moyen et haut de gamme »), et d’autre part à une augmentation des prix des terrains en Wallonie.
Pour Philippe Ledent, les prix restent surévalués : « Mais il ne faut pas s’attendre à une correction brutale ». Et l’économiste d’ING de conclure : « Il ne faut toutefois pas oublier que le moral des ménages n’est pas bon et que leurs revenus ne vont sans doute pas augmenter ces prochaines années. La question sera de savoir combien de temps les acquéreurs pourront encore mobiliser leur épargne personnelle pour compenser la hausse des prix ? »
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Pourquoi les taux sont toujours plus bas ?
THOMAS,PIERRE-HENRI; GEELKENS,MELANIE; CHARLET,MARC
Vendredi 6 juillet 2012
Ce jeudi, la Banque centrale européenne (BCE) a abaissé son taux directeur, celui auquel elle prête aux banques, à un plancher qu’il n’avait encore jamais connu : 0,75 %, contre 1 % auparavant. Et la BCE a aussi abaissé à zéro le taux auquel elle rémunère les dépôts que lui font les banques qui ont trop d’argent.
Pourquoi ? Parce que, ce n’est un secret pour personne, l’Europe va mal. Ce mercredi, trois instituts de conjoncture (l’Insee français, l’Ifo allemand et l’Istat italien) ont prédit une récession dans la zone euro, estimant que l’activité économique serait en recul à la fois au deuxième et au troisième trimestre de cette année. Et chez nous, l’Ires, l’institut de Louvain-la-Neuve, prévoit une croissance très faible : l’économie belge ne devrait progresser que de 0,4 % cette année et 1,2 % l’an prochain. Avec, comme conséquence, pratiquement pas de création d’emplois en 2012 (environ 4.000 selon l’Ires) et donc un taux de chômage en hausse puisque la population, elle, continue de gonfler.
Voilà pourquoi la BCE abaisse son taux. Son président, Mario Draghi l’a encore dit ce mercredi : « Il y a des risques que l’économie européenne se comporte plus mal que prévu. » Les plans d’austérité, la méfiance générale, tout cela pèse en effet sur le moral et la BCE pense qu’en abaissant son taux c’est-à-dire en rendant le crédit moins cher, les gens et les entreprises dépenseront plus et épargneront moins. Et que cela redonnera du tonus à l’économie. .....
Alors bear trap la hausse du second semestre 2012?
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de quel quartier ?
est ce simplement un décalage des vendeurs entre la valeur de marché et la valeur de leur bien ?
Bàv
1180
C'est possible. Il y a 2 types de baisse: le bien qui est arrive depuis un ou deux mois et le bien qui est la depuis 6 mois et plus (jusqu'a plusieurs annees!).
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Pour les prix, je voudrais aussi dire que trop souvent les gens ne savent pas ce qu'ils achètent en terme de surface reellement habitable. C'est affolant. Maison de 186M2 qui n'en fait que 150M2..... C'est quasimment tout le temps la même histoire.
Il n'y a pas de règles à ce niveau non plus ?
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Pour les prix, je voudrais aussi dire que trop souvent les gens ne savent pas ce qu'ils achètent en terme de surface reellement habitable. C'est affolant. Maison de 186M2 qui n'en fait que 150M2..... C'est quasimment tout le temps la même histoire.
Il n'y a pas de règles à ce niveau non plus ?
Pour faire court, c'est la loi de la jungle. On pourrait faire un forum juste sur les metres carres.
Pour les francais, il faut savoir que les metres carres sur les annonces belges ne sont que tres rarement des metres carres habitables a la francaise. J'ai vu des cas ou on pouvait enlever 40% sans probleme (ce qui soudainement rend le m2 belge pas forcement si bon marche dans les comparaisons avec certains de nos voisins)
Le coup typique pour une villa RdC plus etage sous toit c'est de prendre la surface murs exterieurs RdC et de multiplie par 2 pour avoir la surface dite 'habitable' (ce qui est completement bidon, puisque, sans parler des murs, escaliers et cloisons, on perd facilement 30% a 50% sous toit quand on mesure une surface avec hauteur sous plafond a 2m ou 2.2m).
Quand il y a plusieurs agents sur le meme bien, il est courant de voir des surfaces tres differentes selon l'agent.
La reponse officielle, j'imagine, est que les agents suivent "des règles de déontologie régissant la profession". On sait ce que ca veut dire...
Comme on le voit avec les certificats energetiques qui sont encore absents de beaucoup d'annonces (on voit donc 'CPEB en cours', meme si ca fait 3 mois que l'annonce traine sur le site), le gouvernement s'en tape de proteger l'acheteur.
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Les géomètres belges( Ugb, Ordre des géomètres belges, etc.) avec d'autres organisations de géomètres d'autres pays et l'aide de la Commission Européenne ont codifié le mesurage des surfaces de bâtiment.
Evidemment, il faudra un peu de temps avant que cela ne soit entré dans les moeurs de tous les acteurs de l'immobilier.
Il faudra aussi vaincre certaines réticences (architectes, agents immobiliers ? ...)et mêmes les géomètres qui n'utilisent pas encore ce code de mesurage.
En gros, on parlera surtout de superficie extramuros (incluant les murs, etc.) et de superficie intramuros, ou nette (hors murs, cloisons, etc.)
Cela n'empechera pas certains d'utiliser des mètres faussés ou de ne pas savoir utiliser les bonnes formules, mais c'est un pas dans la bonne direction.
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Evidemment, il faudra un peu de temps avant que cela ne soit entré dans les moeurs de tous les acteurs de l'immobilier.
Il faudra aussi vaincre certaines réticences (architectes, agents immobiliers ? ...)et mêmes les géomètres qui n'utilisent pas encore ce code de mesurage.
C'est tres bien mais ca n'entrera pas dans les moeurs tout seul.
Si il y avait une loi qui dise que la mise en vente ne peut se faire que s'il y a un certificat de surface (comme pour les CPEB, qui d'ailleur ont besoin d'une surface pour calculer les resultats) et que la loi soit appliquee (donc pas comme les CPEB actuel), ca 'entrerait dans les moeurs' beaucoup plus facilement.
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Je suis pour !!! Seuls les géomètres peuvent attester des limites et surfaces de biens immobiliers !
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