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Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
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@ Pim, sujet interressant !
(?)
Peut-être, pourriez-vous déplacer ces interventions dans un nouveau post ?
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J'ai donc ouvert un sujet ahhoc sur le m2..... .
La moyenne des prix des maisons a beau avoir eu tendance a augmenter fortement ces dernières années, il y a trop de nébuleuses autour du sujet.
On parle de moyennes de prix de maison qui sont toutes différentes, de superficies différentes, sur des terrains orientés differement, de grandeur différente.... etc et je parle même pas de l'état général à rénover ou pas
c'est donc fort subjectif.... restes juste à ne pas se faire plummer.
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sur le fond il n'y a jamais de bon ou de mauvais moment pour acheter son lieu d'habitation.....
pour investir c'est différent par contre
ceci étant la hausse des dernières années a été le plus grand hold up du siècle......
pénalisant directement la croissance économique
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Les maisons ont la même valeur fiscale depuis 30 ans...
Le précompte immobilier, calculé sur base du revenu cadastral, n'est plus en phase avec la réalité. Difficile de dire quand cela va changer...
© News
Les revenus cadastraux des maisons et des appartements n'ont pas été revus depuis plus de trente ans, apprend-on dans le quotidien Het Belang van Limburg mercredi. La loi prévoit pourtant qu'une réévaluation doit avoir lieu tous les dix ans, mais, depuis 1979, aucun ministre ne s'y est attelé.
Le précompte immobilier dont le contribuable doit s'acquitter, est calculé sur base du revenu cadastral, mais celui-ci n'est, dans de nombreux cas, plus en phase avec la réalité. Il est en effet calculé sur ce que rapportait la bâtiment en 1975 comme revenu net moyen à son propriétaire pour une location d'un an. Si les maisons sont depuis pourvues de chauffage et de salle de bain, l'administration du cadastre ne le sait que si les propriétaires l'ont fait savoir ou si ceux-ci ont demandé un permis d'urbanisme.
La réévaluation des maisons est inscrite dans la loi depuis 1975. Mais, pour l'exécuter, il faut qu'une décision en ce sens soit prise, et il n'est pas encore certain que le ministre actuel des Finances, Steven Vanackere (CD&V) le prévoie. "C'est une question à laquelle seul le ministre peut répondre, et il est en vacances pour le moment", a répondu son porte-parole.
A noter cependant que depuis 1991 (exercice fiscal 1992) les revenus cadastraux sont indexés annuellement en vue de la taxation. S'il n’y a plus eu de péréquation cadastrale depuis 1975 alors qu’on est supposé en faire tous les dix ans, l’indexation compense l’absence de péréquation depuis 1992.
• Une révision au niveau flamand est possible, car la Flandre lève l'impôt. Le ministre du Budget flamand, Philippe Muyters (NVA), a récemment suggéré d'utiliser une base de données géographique plutôt que le cadastre. "C'est un dossier complexe. Il est encore trop tôt pour faire des déclarations à ce sujet", a déclaré son porte-parole.
Belga
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18% de crédits hypothécaires en moins en juillet par rapport à 2011
mardi 07 août 2012 à 16h05
En juillet 2012, le nombre des crédits hypothécaires contractés a baissé de 18,2% par rapport à juillet 2011. En revanche, pour la même période, les montants sous-jacents ont enregistré une légère progression de 0,7%, rapporte mardi Febelfin, la fédération-coupole du secteur financier belge.
Le nombre de demandes de crédit a lui baissé de 24,1%. Les montants sous-jacents des demandes de crédit ont diminué de 9,3%, selon les chiffres du baromètre du crédit hypothécaire. Febelfin attribue cette baisse en partie à la suppression d'une série de mesures destinées à stimuler les investissements économiseurs d'énergie, ce qui se traduit par un recul marqué de la demande de crédits à la rénovation. "A côté de cela, le recul du niveau de confiance des consommateurs se trouve probablement aussi à l'origine de cette baisse", ajoute Febelfin.
En 2011, l'octroi de crédits hypothécaires avait atteint un niveau sans précédent, tant en ce qui concerne le nombre de crédits octroyés (325.000 crédits, soit +18%) que le montant sous-jacent de ces crédits (plus de 27 milliards d'euros, soit +4,1%).
Trends.be, avec Belga
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Lu ceci ici dans l'Echo
Immo: les prix se stabilisent
Pas de chute brutale des prix attendue, mais plutôt une stabilisation. C'est ce qu'attend Standard and Poors pour le marché immobilier belge en 2012 et 2013.
Le marché de l'immobilier belge s'est stabilisé au premier semestre 2011 et le ralentissement devrait continuer en 2012 et 2013, selon une étude réalisée par Standard & Poor's. Il ne devrait pas non plus y avoir de chute brutale des prix.
Lors des deux décennies précédant la crise financière de 2008, les prix de l'immobiler belge n'ont cessé de grimper. Même si la hausse n'a pas été aussi forte en Belgique qu'en Espagne ou en Irlande, la correction a été la plus faible et la plus brève de la zone euro (-1,2% sur le semestre 2009 en termes réels ), indique encore l'étude.
S&P's a encore établi quelques tendances de fond sur le marché immobilier belge:
l'offre reste limitée -particulièrement en Flandre -, notamment en raison des superficies disponibles, de la densité de la population et des avantages fiscaux. La demande continue de croître, le nombre de ménages progressant plus vite que la population.
la situation des ménages: les ménages belges disposent d'un patrimoine financier parmi les plus élevés en Europe. Leur endettement a augmenté, mais reste modéré en regard de la moyenne de la zone euro (90% du revenu disponible et 55% du PIB au 1er trimestre 2012, contre 103% et 65% respectivement pour la zone euro).
D'après les analystes, le revenu disponible des ménages va probablement diminuer de 1,0% en 2012 avant d'augmenter légèrement en 2013. Pour différentes raisons. Premièrement, les analystes s'attendent à ce que le marché du travail se détériore: ils anticipent une hausse du taux de chômage de 7,8% en 2012 à 8,0% en 2013. Deuxièmement, l'impôt sur la richesse et le revenu va augmenter de 5,0% dû à une consolidation des mesures fiscales en Belgique. Enfin, les revenus financiers nets vont très probablement diminuer suivant la diminution des taux d'intérêt et des dividendes.
Indice S&P d'accessibilité au logement : rapporté au revenu des ménages, le coût mensuel du crédit (intérêts compris) indique une détérioration de l'accessibilité au logement entre 2001 et 2007. Depuis 2007, l’indice s’est redressé puis stabilisé. Selon cet indice, les prix seraient surévalués de 30% environ en Belgique (à mars 2012 ), mais restent néanmoins attractifs. Bien que les taux d'intérêt baissent, l'accès aux crédits devient de plus en plus difficile. Les analystes anticipent une stabilisation des taux d'intérêt, à un faible niveau, de 2012 à 2013, parce qu'ils ne s'attendent pas à ce que la Banque Centrale Européenne augmente ses principaux taux de refinancement en 2013. Mais pour les crédits à l'immobilier, le taux de croissance est négatif depuis le début de l'année (-2% environ).
(fin de citation)
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On parle de la même étude de S&P ?...
Voici le titre du Soir pour la même info:
"L’immobilier belge est fortement surévalué, estime S&P
vendredi 24 août 2012, 08:16
L’immobilier belge serait surévalué de 47 à 60 %, selon une étude de Standard & Poor’s, qui a comparé les prix des maisons au revenu disponible des ménages et aux loyers. L’agence de notation confirme ainsi une estimation déjà avancée par l’hebdomadaire britannique The Economist. Cette bulle immobilière ne risque toutefois pas d’éclater dans l’immédiat, estime Standard & Poor’s."
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Sur évalué peut etre mais tout le monde continue de se précipiter pour acheter sur Bruxelles. Des petites maisons à minimum 400 000 euros.
Plus recemment a Woluwé St Lambert, du coté Batonnier B, 2 facades avec cour (pres de la rue des Tongres c'est vrai), annoncée à 520, a rénover complètement pour environ 175M2 habitable, sans garage ni jardin donc, vendu à environ 475.... Achetée par qui ? Des Francais qui bossent à la Comission..... Bref... C'est très frustrant sachant que mon prix max était de 420k€ compte tenu qu'il fallait tout refaire et compte tenu de la surface.
Sur Watermael c'est pareil , a croire que plus c'est petit plus c'est cher. Dernier exemple, deux facades sans jardin en bon état , annoncée 500K €....
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Et voici le V3 pour la même étude
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Une petite dernière pour la route ?
Marché immobilier résidentiel : la fin de la hausse ou pas ? (trends/le vif)
Le Service public fédéral (SPF) Economie a dévoilé ce vendredi ses derniers chiffres officiels concernant l’état de santé global du marché immobilier résidentiel belge. Il annonce la fin de la hausse des prix, arguant d’une baisse de valeur au deuxième trimestre 2012. Au début de l’été, l’indice des prix du Groupe Trevi dressait un bilan aux antipodes : après un premier trimestre morose, les prix reprenaient des couleurs, augurant d’une nouvelle hausse des valeurs pour 2012.
suite dans le lien ci-dessous et, en version papier, dans le dossier annuel de Trends-Tendances qui paraître jeudi prochain.
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Une villa n'est plus un bon investissement (source lecho.be)
Ces dernières années en Belgique, les propriétaires de villas ont vu la valeur de leur bien s'effriter. Pourquoi ce désamour pour ces fermettes typiques, tellement caractéristiques de nos lotissements?
Ces dix dernières années, les villas ont perdu en Belgique près de 5% de leur valeur. D’après les chiffres du SPF Economie, les acheteurs paient actuellement en moyenne 21,9% de plus pour une villa, un bungalow ou un manoir qu’il y a dix ans. Mais au cours de la même période, l’inflation cumulée (sur base de l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) entre décembre 2001 et juin 2012, utilisé par Eurostat et la BCE) se monte à 26,4%. La hausse des prix ne suffit donc pas à compenser la hausse du coût de la vie.
Le spécialiste en immobilier de KBC, Johan Van Gompel, est un peu plus réservé. Il s’est plongé dans les chiffres de l’immobilier au niveau européen et a analysé leur évolution dans le temps. " Cette baisse de valeur est correcte si nous nous limitons à cette période relativement courte. Mais si nous remontons quelques années plus loin, la courbe est plus plate. Dans la réalité, le prix des villas suit l’inflation. " La situation est très différente pour les maisons et appartements. Si l’on tient compte de l’inflation, les prix ont augmenté respectivement de 5,1 et 4,2% entre 1995 et la fin de 2011. Au cours de cette période, le prix des villas a à peine augmenté de 0,5%. Entre 1980 et 1995, elles avaient déjà perdu – également corrigé pour l’inflation – 0,3% de leur valeur.
Fermettes
Cette évolution n’étonne pas les spécialistes. Ce sont les villas caractéristiques des années ’50, ’60 et ’70 du siècle dernier qui souffrent le plus. " A l’heure actuelle, les gens tiennent davantage compte des coûts d’entretien et d’énergie " explique Michael Ryckewaert, chercheur à la KU Leuven. Et ne parlons pas des fermettes typiques qui ne brillent pas sur ce plan. Ces villas exigent des rénovations lourdes et - par définition - chères. Et ceux qui pourraient se permettre de faire ces rénovations préfèrent, pour le même prix, construire une nouvelle maison. " La problématique du prix joue très certainement un rôle " poursuit Van Gompel.
Les villas ne sont pas seulement chères, elles répondent aussi de moins en moins aux attentes des jeunes couples actifs : ils accordent beaucoup d’importance aux prestations énergétiques, n’aiment pas avoir un jardin trop grand exigeant beaucoup d’entretien, et ils préfèrent garder suffisamment de moyens financiers pour leurs loisirs. Tout cela joue en défaveur du marché des villas, et un retournement de situation est peu probable. " Les prix vont continuer à baisser " prédit Van Gompel. " Mais plus encore que pour les habitations ‘classiques’, la situation géographique joue un rôle très important. Si vous leur parlez de la baisse du prix des villas à Knokke, ils vous rient au nez. "
LIRE AUSSI: En 10 ans, le prix des maisons a doublé
Marché asséché?
Le marché des villas s’est-il donc complètement asséché? Non, bien entendu. Elles trouvent encore acquéreur, surtout si elles sont bien situées. Mais le raisonnement classique de nombreux occupants de villas – si une maison mitoyenne vaut 200.000 euros, alors ma villa en vaut le double – ne tient plus la route. Les experts en immobilier sont tous d’accord pour dire que les villas se vendent encore, mais uniquement si le prix est correct. " Une minorité de propriétaires acceptent un prix plus bas et les autres attendent, dans l’espoir que le marché se retourne " constate le courtier Steve Aerens de l’Agence Rosseel. Pour les anciennes villas qui ne correspondent plus au mode de vie moderne, c’est probablement un espoir qui ne se réalisera jamais. Cela peut devenir un problème car un cercle vicieux peut s’installer : qui veut encore acheter, sachant que les prix ne monteront plus ? Et que doivent faire les occupants qui souhaitent vendre leur villa pour acheter un appartement ? Les règlementations actuelles n’offrent pas beaucoup de possibilités. De nombreuses règlementations locales en matière de lotissement ne permettent pas de diviser les grandes parcelles en plusieurs morceaux. Et ceux qui veulent transformer un bien en habitation kangourou se retrouvent confrontés à la règle - ‘absurde’ disent les experts - qui interdit de transformer un logement unifamilial en deux logements contigus. " Tôt ou tard, le marché obligera les autorités à trouver une réponse " conclut Ryckewaert.
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Quelques échos à mettre en // avec la réalité du terrain ?
Quel est le sentiment général en agence et sur le marché?
Tx
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D'un côté, on dit que le prix à doublé en 10 ans.
D'un autre, on dit que ce n'est plus un bon investissement et que la valeur s'est effritée.
C'est pas un peu contradictoire?
A quand des informations sérieuses?
Personnellement, je vous que les prix continuent d'être à la hausse. Tant les terrains que les appartements que les maisons. C'est vrai que je ne suis "que" depuis 20 ans dans le "métier".
Les partisans de la Bulle Immobilière attendent depuis 10 ans que les prix baissent. En 10 ans, ils ont doublés.
Plutôt que de payer un loyer à perte pendant 10 ans, ils auraient mieux fait d'acheter.
1. Le loyer n'aurait pas été perdu (je suis proprio et je vous remercie de payer un loyer...)
2. La mensualité n'aurait pas été indexée. (Le loyer, si...)
3. Ils n'auraient plus que 10 ans à payer
4. Leur patrimoine aurait cru de la valeur de leur achat. Soit l'équivalent d'un revenu complémentaire du salaire moyen en Belgique
Attendre avant de faire un achat immobilier est le plus sûr moyen d'enrichir son propriétaire. Et celui-ci vous dit merci.
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C'est pas un peu contradictoire?
A quand des informations sérieuses?
Les tendances de prix sont fortement locales, et bien entendu, les statistiques sont plus globales donc ca colle pas toujours. Par la-dessus on melange prix nominaux et prix ajustes pour l'inflation. Et en troisieme couche, il n'y a pas de reglementation sur les m2.
Un marche transparent (prix de ventes publies pas seulement pour les VP) serait le seul moyen d'avoir une information locale claire, mais comme le toto moyen a peur que ses voisins sachent s'il a vendu a X ou X-5% ou X-10%, ce n'est pas pres de voir le jour.
Cela dit la transparence totale n'evite pas les bulles non plus (voir US).
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Un marche transparent (prix de ventes publies pas seulement pour les VP) serait le seul moyen d'avoir une information locale claire, mais comme le toto moyen a peur que ses voisins sachent s'il a vendu a X ou X-5% ou X-10%, ce n'est pas pres de voir le jour.
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Attendre avant de faire un achat immobilier est le plus sûr moyen d'enrichir son propriétaire. Et celui-ci vous dit merci.
- sauf qu il y a une évolution continue, et qu'il faut un capital de départ qui ne se construit pas immédiatement.
- les nouveaux primo acquérant sur le marché doivent avoir difficile. Tout le monde n'a pas un chèque de papa et maman de 200 000 euros comme je l'ai vu dans la presse concernant une jeune française (!) venant s'établir en Belgique.
- les loyers sont indexés mais les retours sur investissement aujourd'hui sont loin d'être garantis. Souvent c'est se donner beaucoup de mal pour faire a peine mieux que la banque , si pas moins. Il faudra toujours entretenir son bien et c'est de plus en plus cher.
- c comme en bourse, on achete tant que l'on espère que qqun achetera plus cher plus tard. Et les cycles en immo sont longs. - le vrai problème c'est le manque d'offre sur le marché et la concurrence des étrangers (sur Bxl Est/Uccle/Watermael/Woluwe/ Etterbeek etc)
-En fait le premier besoin c'est de se loger et non pas de faire de la spéculation (pour se préparer une meilleure pension?), et il y a un manque de logement de qualité en suffisance partout.
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La question est de savoir si les prix vont monter ou se casser la gueule. De savoir s'il faut acheter maintenant, ou attendre.
Vos remarques sont intéressantes. C'est vrai que c'est difficile pour les primo-accédants. C'est vrai que c'est plus facile si papa et maman mettent un "petit" coup de pouce de 200.000€.
Et le reste est sans doute vrai aussi.
Mais cela change quoi? Rien. Il reste intéressant d'acheter son logement, point barre. Cela reste le meilleur "investissement"... même si le marché est en baisse de 5% par an.
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Le dernier supplément du Trends fait état
- d'une stagnation des prix, des baisses un peu partout, peu de transactions, souvent le peu de transactions fait que les moyennes sont peu significatives
- quelques communes s'en tirent mieux que les autres (dont Uccle et Woluwe St Pierre sur Bxl)
- Bxl qui devient un marché d'investisseur
Je vois du rouge un peu partout, plus que ce que l'on avait auparavant.
Extrait qui m'a fait sourire: A Louvain La Neuve, des biens expertisés correctement sont mis sur le marché à des prix supérieurs de 25% à leur estimation....... Et oui l'offre ne suit pas la demande.
Reste plus qu'a attendre un changement de fiscalité.... comme en Italie..
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