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Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
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Merci
Les données ne sont à jour que jusque 2013 ?
Ai je bien vu ?
Bàv
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Je dois dire que j'aimerais pouvoir voir les données de base moi même directement alors qu'elles sont agrégées...
Mais c'est vrai cela reste assez récent mais ne donne pas pour le moment de référence pour le premier trimestre.
Wait and see.
Question subsidiaire... Qu'en est il de statistiques Eurostat qui indiquent une baisse des prix en Belgique (crf article de Lecho). Cela se base sur quoi ?
Bàv
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Vu sur le site de l'Echo:
28%. C'est le pourcentage de hausse qui serait dû au bonus logement sur les 10 dernières années.
Ces dix dernières années, une maison est devenue 40.000 euros plus chère à cause du bonus logement. Pour une maison moyenne, cela représente une augmentation de 28%. (...)
La suppression à breve échéance du système n’est certainement pas une option, car cela provoquerait une chute du prix des maisons d’au moins 23%, et donc un effondrement significatif du marché. (...)
Article complet:
lien ou http://www.lecho.be/r/t/1/id/9516565
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Dans Le Soir
Baisse générale des prix dans l’immobilier résidentiel
Certains segments souffraient déjà, mais on constate maintenant que tous les prix baissent.
"L’indice des prix des logements publié par le SPF Economie ce mardi fait montre d’une baisse des prix réels de 1,09 % au 1er trimestre 2014 (-1,14 % pour les logements existants et -1,02 % pour les logements neufs).
L’indice des prix, d’une base 100 pour 2010, est passé de 107,52 au 4e trimestre 2013 à 105,82 au 1er trimestre 2014 (-1,6 %), ce qui l’amène au niveau du deuxième trimestre 2012. « On peut dire que ces derniers chiffres de l’indice des prix des logements donnent une indication que les prix sur le marché de l’immobilier résidentiel semblent s’orienter vers la baisse, contrairement à l’évolution précédente », explique Stephan Moens, porte-parole du SPF Economie. Lequel ajoute : « Cette évaluation est conforme aux normes de la direction «statistiques» de la Commission européenne (Eurostat). La différence entre les prix annuels que nous publions en avril (et qui ont montré une très légère hausse des prix globale en 2013, NDLR) sur la base des prix enregistrés par les notaires et ceux que nous avons publiés ce mardi tient dans le correcteur de qualité que nous y insérons. En clair, nous tenons compte de la vétusté des biens immobiliers afin que notre indice reflète au mieux le niveau réel des prix en Belgique. »
Mais pour les économistes sondés, il n’y a pas de raisons véritables d’entériner une dégradation du marché immobilier.
Pourquoi cette baisse est symbolique mais pas inquiétante ? Eléments de réponse dans l’édition abonnés."
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Pour une fois qu'une statistique annonce une baisse , sur le terrain des ventes publiques , j'ai l'impression que les prix s'envolent.
410K la maison a renover totalement, sur la chaussée de waterloo à Uccle, Fort Jaco, enfin pas tres loin de la
Plusieurs immeubles de rapport qui rapportent rien (12K de loyer pour 3 appart, en bon état svp) pour 370K a Jette, 440K a rénover totalement a Anderlecht pour 4 plateau 1 chambre dans un état lamentable, actuellemnt vide.
Et j'en passe des ruines , notamment a schaerbeek qui se vendent a plus de 450K€
Incredible.
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12K de loyer pour 3 appart
Donc chaque appartement dans cet immeuble de rapport rapporte 4.000€/mois?
Ou c'est 12K par an? Soit 1000€ par mois pour les 3 appartements qui ne sont que des kots alors?
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C'est vente a 370K € , loyer annuel de 12K€ par an, 1 rez une chambre jardinet avec garage, deux appartements deux chambres de 70M2-75M2 dont un avec de l'humidité , pont thermique sur un coin
quant à celui a Anderlecht , le lien est tjs dispo pour celui qui veut faire une sur enchere
http://www.notbel.be/inc/img-resize/image.php?image=/pictures/15665.jpg&width=609&height=408
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@ Phoenix ! DÉJÀ VENDU !
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Le SPF Economie parle du 1é trimestre pour toutes la Belgique ! Je suis curieux de voir la region bruxelloise ou la moindre cht'i chute fait jaillir une horde d'acheteurs a l’affût !
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Par contre après, c'est la rentabilisation qui pose problème.
A Woluwe-Saint-Pierre, il y a actuellement plus de 500 appartements plus beaux les uns que les autres sur le marché locatif qui ne trouve pas preneur.
Idem à Woluwe-Saint-Lambert...
J'ai l'impression que tout le marché locatif s'écroule; il n'y a plus aucune demande dans les belles communes!
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Article de monargent.lecho.be/ 07:41 - 02 juillet 2014
L'immobilier flanche, la faute à qui?
Les prix reculent au deuxième trimestre, selon Trevi. A cause des banques, mais aussi des promoteurs, un peu trop gourmands et pressés.
L’immobilier résidentiel belge est-il sur le point de plonger? N’exagérons rien: si l’indice compilé par le groupe Trevi (sur la base de ses propres affaires) montre une baisse inhabituelle des prix de 1,61% au dernier trimestre (soit une chute de 5% si ce mouvement devait se prolonger sur une année complète), il faudra attendre les prochains chiffres pour en tirer une tendance de fond.
Au SPF Economie, on ne dit pas autre chose. Au premier trimestre 2014, l’indice des prix des logements (utilisé pour dessiner les tendances macroéconomiques par Eurostat) est revenu au niveau qu’il occupait il y a 2 ans. Mais "il faudra encore 2 ou 3 trimestres pour voir si on doit parler de baisse réelle et persistante", explique-t-on au SPF.
Pourquoi cette baisse?
Qu’elle soit passagère ou pas, cette baisse peut d’ailleurs paraître paradoxale puisque les taux n’ont jamais été aussi bas et soutiennent donc mécaniquement les prix de l’immobilier… Du moins dans le chef de ceux qui peuvent se le permettre.
Pour Eric Verlinden, CEO de Trevi, "il n’y a pas de problème de demande. Le bon Belge qui a 100.000 ou 150.000 euros à placer en complément d’un prêt hypothécaire est toujours là pour investir et l’intérêt des jeunes générations pour acheter leur logement ne faiblit pas". Mais du côté de l’offre de logements neufs en revanche, "les promoteurs attendent trop de la hausse des prix et devraient être beaucoup plus prudents!"
Des conseillers patrimoniaux (de type Optima pour ne pas le citer) sont parvenus à survendre des logements neufs auprès de leur clientèle ces dernières années, encourageant les promoteurs à multiplier les projets. "Rien qu’en Région bruxelloise, on anticipe 4.500 nouveaux logements cette année contre 3.600 en 2013. C’est 20% de l’offre! Or le prix se joue à la marge… Regardez ce qui s’est passé à la Côte: l’offre était trop importante et les prix ont dégringolé". Pour l’administrateur délégué de Trevi, les promoteurs seraient mieux inspirés de distiller ces nouveaux produits dans le temps pour ne pas déséquilibrer le marché. "D’autant qu’ils peuvent se le permettre: comme les taux sont extrêmement bas, un report ne va pas peser grand-chose dans leurs marges".
Du côté de la demande, le durcissement des conditions d’octroi de crédit par les banques expliquerait la baisse de 4% des transactions constatée par Trevi sur l’ensemble du marché. Et, fait nouveau, le moyen de gamme supérieur est entraîné tout comme le haut de gamme sur la pente descendante. Mais tant que l’entrée de gamme résiste, Trevi table sur une année 2014 stable (couvrant l’inflation) et une "amplification de la hausse des prix" dans les 5 ans.
A SAVOIR
• L'argent (très) bon marché mais pas pour tous
Jamais le crédit n'a été aussi bon marché pour acheter de l'immobilier. Conséquence de la baisse (et pour longtemps) des taux de la Banque Centrale Européenne, le coût du prêt fixe à 20 ans (quotité inférieure à 80%) est passé à 3,40% en moyenne, selon les données compilées par le courtier Immotheker.
Pour leurs bons clients, certaines banques descendent encore beaucoup plus bas que cela: jusque 2,05% pour du fixe à 15 ans, de jamais vu en 70 ans!
Evidemment, ces faveurs ne sont pas proposées à tout le monde (il est par exemple devenu impossible d'emprunter les "frais de notaire"...), et le volume des crédits hypothécaires continue de se contracter.
Selon Febelfin, les demandes de crédits ont baissé de 14,7% en mai dernier par rapport à mai 2013, pour un montant en recul de 12%.
Le nombre de crédits hypothécaires réellement accordés est pour sa part en baisse de 16,7% sur cette même période, ce qui correspond à des montants prêtés en baisse de 15%.
Comment connaitre les chiffres par region ?
a+
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ARTICLE de trevi !
Publié le 2 juillet, 2014 par Eric De Wallens
Trevi Group L’Indice…
Ajustement ou baisse des prix, il est temps de faire son marché ! L’indice Trevi s’élève au 30/06/2014 à 108,70 soit une baisse de 1.78 point par rapport à l’indice du trimestre précédent. Cette baisse qui, si elle devait perdurer toute l’année, entrainerait une diminution du prix de l’ordre de ± 5% en rythme annuel. Aujourd’hui, nous n’en sommes pas là, et nous restons positifs sur le bon maintien du marché dans sa globalité. Le phénomène correctif que nous constatons nous conduit cependant à appréhender deux paramètres d’égale importance :
1. La baisse a été bien réelle et n’est pas, comme nous l’avions souvent constaté précédemment, qu’une baisse marginale peu révélatrice. Nous constatons une baisse des prix généralisée, tant en analysant les chiffres province par province que sur les différents segments de marché. Seuls les marchés d’entrée de gamme présentant une certaine rareté au niveau de l’offre, ont pu échapper au phénomène. Géographiquement les marchés de province du Hainaut et de Liège, le Brabant Wallon, les provinces du Limbourg et d’Anvers ont été plus pénalisés. Les prix en Flandre occidentale ont été assez stables sauf le long de la côte ou l’on constate une baisse quasi généralisée.
Il est bien entendu que le marché « Haut de gamme » (Biens correspondant à 3 fois la valeur moyenne des prix des biens du marché considéré) avait déjà été impacté précédemment mais nous constatons maintenant que le moyen de gamme supérieur (Biens correspondant à 2 fois la valeur moyenne des biens du marché considéré) lui aussi connait un tassement. Il sera donc essentiel d’observer le comportement du marché dans les 6 mois à venir. La baisse finira-t-elle par s’imposer dans tous les segments ou au contraire la correction que nous avions entérinée n’est que passagère.
2. Un marché sélectif
Si la baisse des prix est aujourd’hui un élément indiscutable, force est de constater cependant qu’elle est fortement influencée par le type de produit concerné. Il est symptomatique de voir qu’un appartement 2 chambres de 90m² datant des années 50 (assez énergivore mais plein de charme), n’a pas baissé de prix, tandis qu’un appartement de même surface, moins cher, mais dans un immeuble des années 60 banal, subit une correction de ±5% à 7%. Le problème n’est donc pas dans le changement de critère d’acquisition des acquéreurs mais plutôt dans la rareté de l’offre de tel ou tel bien correspondant à leurs critères.
Nous sommes certains que cette dichotomie de marché va s’amplifier dans les mois à venir et les heureux propriétaires de bien correspondant aux souhaits des acquéreurs seront moins voire pas, pénalisés par la baisse du marché. Nous avons remarqué le recul de 4% du nombre de transactions affectant l’ensemble des transactions du marché. Nous estimons que ce recul n’est pas suffisamment significatif pour en tirer des conclusions pessimistes sur l’intérêt de nos concitoyens pour le marché résidentiel belge. En fait la sévérité d’octroi de crédits hypothécaires peut déjà expliquer cette diminution du nombre de transactions.
Le marché du neuf : Bien pricer, une nécessité !
Sur le marché du neuf, nous constatons une tendance à la sélectivité et à la correction des excès. Nous rentrons probablement pour quelques mois, dans une période où les promoteurs doivent veiller, aidés par des agents immobiliers compétents, en contact direct avec la demande, à «pricer » au plus juste leurs produits.
Le pricing sera un des éléments les plus complexes à appréhender pour les promoteurs car tous les professionnels le savent, une erreur dans ce domaine entraîne deux conséquences très fâcheuses :
a) Baisser le prix d’un produit neuf en cours de commercialisation attire les foudres légitimes des premiers acquéreurs mais aussi l’inquiétude des candidats qui préfèrent acheter un bien dans une promotion qui s’écoule à un rythme soutenu. Ils perçoivent cela comme un renforcement positif de leur choix et de la bonne adéquation du prix par rapport à la demande.
b) Vendre aisément certaines unités « pricées » trop faiblement implique que le promoteur restera avec les unités plus compliquées à vendre pour lesquelles il risque de devoir baisser le prix et donc réduire sa marge bénéficiaire.
Le marché du neuf a été sur les 6 premiers mois de l’année moins dynamique que
l’année dernière bien qu’il soit toujours aidé par les investisseurs privés qui accordent leur préférence à ce type de produits. Nous ne pouvons que nous en féliciter et ce d’autant plus qu’ils bénéficient comme tous les acquéreurs d’ailleurs, de taux d’intérêt exceptionnellement bas.
Etre locataire en Belgique : un état de transition.
Voilà d’ailleurs une des raisons qui nous poussent à être optimistes car l’envie de devenir propriétaire aidé par ces taux hyper attractifs reste bien présente dans l’esprit de la toute grande majorité. Près de 70% des locataires, toute classe sociale confondue, aspirent à accéder à la propriété dans un avenir proche. Etre locataire en Belgique reste un état de transition contrairement à d’autres pays comme l’Allemagne où les habitants choisissentle plus souvent de rester locataires de manière permanente.
Sur le marché du neuf : comparer avant d’investir.
Nous conseillons aux promoteurs d’être prudents et circonspects dans leur politique
commerciale et aux candidats investisseurs privés d’analyser et de comparer les prix. En effet, nous observons que certains « conseillers patrimoniaux » ont une fâcheuse tendance à gonfler les prix de vente au détriment des acquéreurs. Vous comprendrez aisément qu’en payant un produit 20% trop cher majoré de la TVA 21%, On atteint plus de 40% du capital investi.
Avant de pouvoir réaliser une plus-value dans cette hypothèse, les investisseurs mal conseillés devront attendre près de 8 ans à 10 ans !
Conclusion :
Nous restons aujourd’hui sur nos perspectives d’une année 2014 stable en matière de prix et globalement couvrant l’inflation.
Nous considérons que dans une vision à 5 ans la hausse de prix s’amplifiera de manière importante car les ressources foncières se tarissent et les pouvoirs publics continuent à rendre l’octroi de permis particulièrement compliqué, aléatoire et long.
Comme la demande globale en logement, elle, offre de belles perspectives, les prix devraient immanquablement reprendre leur courbe ascendante.
Entretemps, le challenge constituera à ne pas inonder le marché de produits mal adaptés soit en terme d’espace soit en terme de prix, pour ne pas voir gonfler une offre qui deviendrait excédentaire, entraînant une baisse de marché et une méfiance de l’investisseur à l’égard de ce dernier pilier de la stabilité patrimoniale.
TREVI GROUP y sera particulièrement attentif et veillera à accompagner ses clients tant promoteurs que privés, pour que l’équilibre actuel du marché reste préservé, aidé par le secteur bancaire, qui octroie des crédits de manière très raisonnable (sans doute parfois même un peu trop) à des taux d’intérêt que Mario Draghi, président de la banque centrale européenne, maintiendra bas tant que la croissance n’atteint pas 2,5 à 3% en moyenne européenne.
Nous sommes persuadés que les acquéreurs d’aujourd’hui se frotteront les mains avec délectation dans les 5 ans à venir à condition d’acheter des biens immobiliers à des prix dans le marché auprès de professionnels reconnus.
Acquérir un bien immobilier au plus vite reste la seule alternative fiable pour se constituer un capital qui, à terme, permettra d’acquérir un autre bien plus adapté aux modifications de ses besoins. Ceux qui n’y parviendront pas devront alors se retourner vers leur famillepour obtenir la partie du capital indispensable à une acquisition immobilière.
Trevi group
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Vive les contradictions...
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@ Phoenix ! DÉJÀ VENDU !
Merci, je ne suis pas sourd.
Pas de sur enchere donc il y a eu vente.
Aussi simple que cela.
P
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Chiffres officiels du 2e trimestre 2014: transactions en hausse.
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La Flandre annonce la fin du bonus logement, en tout cas une revue en profondeur. Bxl et La Wallonnie vont suivre bientot.
On annonce 5 à 10% de baisse à venir.
A suivre.
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Je le sentais venir depuis longtemps en Wallonie.
Mais si déjà la Flandre s'y met alors qu'elle est beacoup plus riche, d'autres surprises vont ne vont pas manquer de tomber sur les propriétaires...en Wallonie et à Bruxelles.
L'investissement immobilier n'étant déjà pratiquement plus rentable, quel investisseur va-t'il encore s'y risquer?
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L'investissement immobilier me semble toujours rentable pour quelqu'un qui démarre.
Sans patrimoine conséquent dès le départ, c'est le seul investissement pour lequel un banquier vous prête.
Après remboursement du crédit, vous avez un capital que le locataire vous a aidé à constituer.
Sans capital de départ, impossible d'avoir un crédit pour jouer en bourse ou acheter des oeuvres d'art.
Un changement de fiscalité implique une moindre rentabilité si on a un capital de départ et qu'on finance l'immobilier en grande partie sur fonds propres. Dans ce cas, d'accord.
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Vrai, mais le capital nécessaire pour l'immobilier est de loin supérieur à ce qu'il faut pour jouer en bourse.
Avec 1000 €, vous achetez déjà des sicavs...
Par ailleurs, les banques ne suivent plus si vous n'avez pas bcp de fonds propres (c'est devenu classique : maison de rapport = quotité d'au moins 80%).
L'avantage de l'immobilier est que le risque est moins élevé... mais de très longue haleine.
Sans capital de départ, impossible d'avoir un crédit pour jouer en bourse ou acheter des oeuvres d'art.
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