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Quand on parle d'un ralentissement de la construction, c'est une question de crise générale. Les gens attendent des jours meilleurs.
Mais le crash de 47 à 60%, je n'y crois pas pour la Belgique. Une rectification de 5% est déjà énorme. Et je n'y crois pas non plus.
Et, au risque de me répéter, même avec 5% de baisse par an pendant 5 ans, on est encore gagnant à investir aujourd'hui.
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Il y a de la demande ok mais est ce qu'elle est solvable ?
L'immobilier a déja baisser et il continue à baisser. Pour le moment pas partout et pas pour tout les biens. Mais il y bien des baisses.
Pour l'immobilier neuf, je n'ai pas assez de recul pour juger. Ceci dit lorsque je visite en occasion je refais mon calcul sur la valeur du terrain et la valeur en construction à neuf.
Tiens, est ce que l'on a pas publié récemment pour dire que les chantiers de construction du neuf étaient en recul également ? Que les clients hésitent de plus en plus ?
A lire, les tergiversations des clients inquietent le secteur
-> des baisses de prix attendues pour toucher plus de monde.
Houyoux a construit 3 maisons neuves sur lahulpe affichées à 550 , 600K cela fait des mois que c'est a vendre.... et c'est passé en agence.
Pas évident.
Egalement à lire , Face à la crise....
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1. La demande est présente en terme de logement. Il en faudra toujours plus, et toutes les études le montrent.
2. Les coûts de construction du neuf ne sont pas complètement déconnectés des prix de vente du neuf, qui n'est pas si loin du prix de vente de l'occasion.
3. Les coûts de construction en Belgique ne sont pas prêts à descendre.
4. La vitesse de construction n'est pas prête d'augmenter. C'est pas demain la veille que les administrations simplifieront la vie des administrés. Les services urbanisme mettent toujours plus de temps. Trop de temps.
Avec tout ça, l'immobilier n'est pas prêt de descendre...
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Mais c'est ce que l'étude de l'OCDE prétendait sur base d'analyses chiffrées:
en Belgique l'écart entre les prix de l'immobilier et les loyers est le plus grand comparé à tous les autres pays européens...
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Il faudrait dès lors augmenter les loyers de 47 à 60% pour combler l'écart.
C'est tout à fait impossible.
Voir également autres posts sur l'achat d'un immeuble de rapport; l'offre et la demande solvable ..... etc dans un pays qui a la palme de la taxation sur les salaires
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En fait le problème est que ce sont les loyers qui sont trop bas en Belgique.
C'est que que l'étude a démontré en comparant l'évolution des prix de l'immobilier et l'évolution des loyers qui ont stagné.
Il faudrait dès lors augmenter les loyers de 47 à 60% pour combler l'écart.
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Ce sont les mêmes qui ont dit que l'immobilier belge est sur évalué de 47 à 60% sur base du revenu disponible.
L'immobilier belge est fortement surévalué, confirme S&P
vendredi 24 août 2012 à 08h18 (crf archives Trends )
L'immobilier belge serait surévalué de 47 à 60%, selon une étude de Standard & Poor's, qui a comparé les prix des maisons au revenu disponible des ménages et aux loyers.
(...)
La surévaluation doit en outre être nuancée à la lumière d'autres facteurs, comme les taux faibles, la plus longue durée des prêts et l'épargne importante des Belges. Une fois ces variables prises en considération, l'immobilier ne serait plus que 15% trop cher, calcule S&P.
Reste toujours 15% de trop ....
D'ou mon intérrogation, sur évaluation et pas de baisse sinon très faible alors que l'on est en phase de ralentissement économique, en crise ? Cela n'est pas très logique ( ok l'immobilier défie la logique)
Va t'on observer une accélération à la baisse ?
A suivre....
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L'immobilier européen va continuer à souffrir. Et en Belgique?
C'est le marché résidentiel espagnol, déjà ébranlé par la crise, qui risque de souffrir le plus.
Le climat de récession économique devrait continuer à peser en 2013 sur la plupart des marchés immobiliers résidentiels en Europe. Les prix des maisons sont attendus à la baisse, avant une éventuelle stabilisation en 2014, ressort-il d'une étude publiée lundi par l'agence de notation financière Standard & Poor's (S&P). La Belgique devrait faire face à un ralentissement mais pas à un recul du marché. Pour notre pays, S&P prévoit une stabilisation du marché immobilier résidentiel cette année (+0,5%) avant une légère hausse des prix l'an prochain (+1,5%), ce qui est inférieur ou équivalent aux prévisions d'inflation.
Après un ralentissement au dernier trimestre 2012, l'étude s'attend à ce que le marché reste faible au cours des prochains trimestres en raison de conditions plus difficiles pour les acheteurs. "Toutefois, les prix et la dette des ménages restent modérés en comparaison avec le reste de l'Europe, ce qui devrait permettre d'éviter un recul", souligne l'étude. S&P rappelle que 123.000 biens ont changé de propriétaire en Belgique en 2012, contre 128.000 en 2011, ce qui représente une diminution de 4,2%.
C'est le marché résidentiel espagnol, déjà ébranlé par la crise, qui risque de souffrir le plus, S&P prévoyant une baisse des prix de 8% cette année et 5% en 2014.
Après des années de croissance à deux chiffres, le marché français devrait quant à lui subir une correction de 5%, à l'instar du marché résidentiel aux Pays-Bas (-5,5%).
A l'inverse, l'étude de S&P table sur une croissance modérée des marchés immobiliers résidentiels en Allemagne (+3%) et au Royaume-Uni (+1,5%).
A plus long terme, S&P entrevoit des perspectives positives pour la plupart des marchés européens.
Source: La Libre
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lol, la loi de l'offre et la demande :0)
- encore faut il que l'offre soit de qualité et en suffisance pour ne pas créer de déséquilibre artificiel et avoir un marché illiquide. (crf un autre topic)
- que la demande soit solvable
- que la politique du logement soit homogène et avec une vision de long terme.
Tjs à suivre
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Enfin, si certains biens se tiennent bien sur Bxl, c'est pour moi suite à une manque d'offre de biens sur le marché.
Vous savez qu'il y a un terme technique pour nommer ce phénomène? On appelle cela la loi de l'offre et de la demande.
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Il y a Bruxelles, et Bruxelles..... qui connait aussi son lot de baisses de prix moyens. (crf supplément Trends, évolution sur 1 et 5 ans)
Bruxelles dispose principalement d'une population aux revenus moyens.... circa 1500 euros net/ mois, bcq de chomeurs aussi paradoxalement.
Bruxelles 19 communes, cela laisse juste qqes communes en périphérie Est ou il fait bon vivre et que les personnes plus aisées recherchent.
Le retour à la ville s'observe aussi par la bonne tenue des appartements mais la réalité économique est ce qu'elle est. La confiance dans l'avenir aussi.
Une évolution normale des prix serait de dire , une évolution en // avec l'inflation, sauf que depuis 10 ans, les prix ont explosés à la hausse.... Il y a donc un gap énorme si l'on met les deux courbes l'une a coté de l'autre.
Pour moi, le rattrapage des années 90 s'est amplifié jusque dans les années 2006-8 jusqu'a perdre toute raison.
Enfin, si certains biens se tiennent bien sur Bxl, c'est pour moi suite à une manque d'offre de biens sur le marché.
A suivre donc.
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l'article sur l'echo semble intéressant
à Phoenix
je parlais pour Bruxelles,
depuis 2009 on entends que les prix allaient baisser, ils n'ont fait qu'augmenter, beaucoup moins rapidement qu'autrefois, mais ils ne baissent pas,
la démographie augmentant fortement, je ne crois pas à une chute de prix (sur Bruxelles).
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L'echo/Mon argent :
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certains prix montent, pas tous et pas partout et aprèr des moyennes de prix qui ont triplé, à la hausse, faut quand meme se poser des questions
Répéter que les prix montent sans arrêt; c juste du brain washing , faut savoir prendre un peu de recul
les 2 derniers suppléments du trends immo indiquent visiblement des prix à la baisse un peu partout .... (et qqes hausses aussi, ciblées)
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Des années que l'on prétend que les prix vont baisser, et ils n'ont fait qu'augmenter, moins rapidement qu'autrefois, certes, mais ils augmentent, au minimum au rythme de l'inflation.
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La seconde : si les propriétaires ou les promoteurs ne veulent plus vendre à cause de la baisse des prix, le nombre de transactions va baisser. Tertio : les acheteurs peuvent réagir en mettant plus de cash sur la table, ce qui veut dire que beaucoup d'acheteurs potentiels ne pourront plus suivre. Le ciel s’obscurcit au-dessus du marché immobilier.
Que voilà de bonnes nouvelles pour les bailleurs...
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Tout ça sent la boule de cristal ! ! !
Et même une baisse de 15% ne ferait que ramener les valeurs de 4 ans. Pas vraiment l'éclatement de la bulle !
Notez que personnellement et même professionnellement une baisse de 15% à tout pour me plaire.
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Le ciel s'obscurcit au dessus de l'immobilier
Le marché de l’immobilier est à un moment charnière. Le prix des biens se stabilise, les taux augmentent et les avantages fiscaux sont peu à peu réduits. Des conditions qui pourraient provoquer un effondrement des prix.
Avec une augmentation de 3%, les prix de l'immobilier sont toujours dans une phase ascendante. C’est ce qui ressort des derniers chiffres de la Direction générale Statistique et Information économique (DGSIE).
Pour Julien Manceaux, spécialiste immobilier de service étude d’ING, « la tendance du marché immobilier reste néanmoins dans la courbe attendue. Nous sommes depuis 2007 face à une augmentation des prix qui suit celle de l’inflation. C’est encore le cas aujourd’hui.»
Un moment charnière
ING a déterminé qu’un remboursement de prêt hypothécaire tournait en moyenne autour 800 euros. Pourtant, le prix de l’immobilier lui ne cesse de croître. « Deux facteurs expliquent cela » , nous dit Manceaux. « Les taux qui baissent et l’augmentation d’un apport personnel. Comme les taux peuvent difficilement baisser davantage, le marché en cette année 2013 se trouve devant un moment charnière. La limite de ce qui est payable est atteinte »
Selon John Romain d'Immotheker, le marché immobilier ne sent les effets de la crise que maintenant .« Avec un chômage grandissant et un sentiment d’insécurité face à l’avenir, les candidats acquéreurs se trouvent dans une situation précaire. Les prix vont presque certainement baisser dans les années à venir. »
Des taux plus élevés
Les notaires sentent déjà les premiers soubresauts du marché. Lors du premier trimestre, le prix des maisons est resté stable, mais celui des appartements a baissé. Selon ING le marché immobilier ne va réellement se trouver dans les problèmes qu’à partir de 2015. « Lorsque les marchés financiers seront stabilisés, la Banque centrale européenne va faire augmenter les taux » dit Manceaux. « Il existe aussi une raison structurelle à cette hausse. À partir de 2014 les Accords de Bâle III vont rentrer en application, ce qui va pousser les banques à augmenter leur fonds propre. Ce qui va du même coup obliger les banques à augmenter leur tarif hypothécaire. Une augmentation de ces derniers a un impact énorme sur le budget des acheteurs puisqu’une augmentation de 1% des taux ( jusqu’à 4.7%) va faire augmenter le remboursement mensuel de 794 euros à 865 euros (+9%).
Avantages fiscaux
Manceaux a encore d’autres mauvaises nouvelles. Au-delà de l’effet des Accords de Bâle III, les possibilités de remboursement des Belges vont encore être affectées par le fait que les mesures de soutien du gouvernement fédéral seront régionalisées. Or, pour l’économiste, les régions n’ont pas les moyens d’offrir les mêmes avantages fiscaux. « La combinaison du choc financier et fiscal peut avoir trois conséquences. La première c’est que le prix des biens peut baisser de 15 % . La seconde : si les propriétaires ou les promoteurs ne veulent plus vendre à cause de la baisse des prix, le nombre de transactions va baisser. Tertio : les acheteurs peuvent réagir en mettant plus de cash sur la table, ce qui veut dire que beaucoup d'acheteurs potentiels ne pourront plus suivre. Le ciel s’obscurcit au-dessus du marché immobilier. »
Hans Brockmans / Trad ML
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Une fois de plus, le marché immobilier belge affiche une éclatante santé. Le prix des appartements en particulier a grimpé de 5% en 2012, selon le SPF Economie. Tout l’inverse de ce qui se passait dans les années 1980, lorsque le marché chutait. C’était l’époque de l’inflation et des taux d’intérêt à deux chiffres.
Le marché immobilier belge est l’un des rares en Europe a n’avoir pas cédé. Il n’a même pas plié, à en juger par les nouvelles statistiques livrées par le SPF Economie pour l’année 2012: les prix globaux grimpent toujours et, en ce qui concernent les appartements à Bruxelles et en Wallonie, ils sont même en hausse de 5%, signe d’une demande soutenue, une fois de plus.
Le grand krach prédit par certains théoriciens n’a donc toujours pas lieu. On peut avancer plusieurs explications à cela.
(suite dans le lien susmentionné)
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Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
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