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Il doit sagir de l'Arrêté du Gouvernement wallon relatif à la certification des bâtiments résidentiels existants du 3 décembre 2009 , apparement non encore retranscrit au CWATUP en ligne du 1er mars 2010, tout comme les articles 558 et suivants ...
A voir ...
Ah ! C'est donc comme expliqué depuis belle lurette dans cette page-ci de notre FAQ
Et bien bravo !!!
Pourquoi tout ce temps perdu ... ?
Cher Monsieur Deckers, vous auriez du nous éviter tous ces palabres ...
Bonne soirée à vous ...
Cordialement,
On peut en savoir un peu plus quant à cette possibilité légale ?....
Bien sur, demandé si gentiment
20 FEVRIER 1991. - Code Civil, Livre III, Titre VIII, Chapitre II, Section 2. Des règles particulières aux baux relatif à la résidence principale du preneur.
...
Art. 9. Transmission du bien loué.
Si le bail a date certaine antérieure à l'aliénation du bien loué, l'acquéreur à titre gratuit ou à titre onéreux est subrogé aux droits et obligations du bailleur (à la date de la passation de l'acte authentique), même si le bail réserve la faculté d'expulsion en cas d'aliénation. <L 1997-04-13/43, art. 11, 002; En vigueur : 31-05-1997; précisions art. 15 de la L 1997-04-13/43>
Il en va de même lorsque le bail n'a pas date certaine antérieure à l'aliénation, si le preneur occupe le bien loué depuis six mois au moins.
Dans ce cas, l'acquéreur peut cependant mettre fin au bail, à tout moment, pour les motifs et dans les conditions visés à l'article 3, §§ 2, 3 et 4, moyennant un congé de trois mois notifié au preneur, à peine de déchéance, dans les trois mois qui suivent (la date de la passation de l'acte authentique) constatant la mutation de la propriété. <L 1997-04-13/43, art. 11, 002; En vigueur : 31-05-1997; précisions art. 15 de la L 1997-04-13/43>
Cher Gof,
Merci pour votre message,
Nous prenons bonne note de vos intentions courtoises et des possibilités d'échanger nos points de vues de façon adulte et ce, sans trop de prise de tête ...
En ce qui concerne notre capacité d'auto-dérision, comptez sur nous pour envisager cette possibilité avec le plus grand sérieux ...
J'étais intervenu dans je ne sais plus quel fil pour dire qu'il ne fallait pas mélanger les sujets et qu'il était possible d'en créer un spécifique pour débattre de votre association.
Bonsoir Monsieur Deckers,
C'est bien entendu comme cela que nous l'entendons, mais vous avouerez que les remarques à nous adressées dernièrement tiennent plus du dénigrement que du débat ...
Bien à vous, avec notre plus parfaite considération.
les pauvres membres de l' AADIP
Pour faire court , c'est non car à mon avis illégal !!
C'est un montage extrêmement risqué. En effet, le congé doit mentionner l'IDENTITE du futur occupant...
A moins que quelque asbl garantit ses membres contre les preneurs qui se sentent floués ...
...
Symptomatique cette rhétorique de l’opposition systématique et les insinuations douteuses quant à nos interventions dans ce Forum …
Bien sur, nous nous y attendions, nous savons que nous marchons, ici, sur des œufs
Comme au bout du compte nous nous voulons avant tout constructif, permettez-nous, à nouveau, de préciser nos vues quant au sens réel de notre questionnement.
En suite de quoi, pouvons-nous vous proposer, comme le suggère aimablement Monsieur Deckers, de créer un fil de discussion exclusivement réservé au dénigrement de notre association, qui, nous ne voyons pas pour quelles raisons, semble vous déplaire …
En liminaire, la question était de savoir si un propriétaire devait être affaibli dans la vente de son immeuble par un laps de temps considérable, vu les contraintes et dispositions légales en matière de bail à résidence principale, qui viennent, sans aucun doute, dévaluer son bien.
Les « montages illégaux » que vous soupçonnez, n’ont pas court, ne vous en déplaise, dans notre association.
Soyez donc convaincus que notre approche de la question était sans malice.
Ceci dit, avant toute chose, nous reconnaissons et nous nous réjouissons de la protection qu’à voulu offrir le législateur aux locataires en instaurant une période de 6 mois dans ce cadre afin de lui permettre de se « retourner »
Après analyse de la question par un de nos juriste, il apparaît que dans sa grande sagesse, le législateur a prévu ce cas de figure, et qu’il existe une possibilité légale de pallier à ces soucis en raccourcissant les délais de prise de possession réelles du bien par le nouveau propriétaire.
Nous nous réjouissons de la chose car les membres de notre association seront, à présent, encore un peu plus protégés dans leurs droits, sans risque aucun d’une éventuelle sanction ...
Bien à vous,
Que deviendrait le renom envoyé par le bailleur pour occupation personnelle du futur acquéreur au locataire si la vente n'a finalement pas lieu ?
C'est effectivement une des questions dans la question qui est posée ...
Imaginons un autre cas de figure :
Un bailleur qui projette de revenir habiter dans un bien lui appartenant avise de bonne foi et en bonne et due forme son locataire.
Le renom cours donc pour une période de 6 mois ...
Dans l'intervalle, le propriétaire reçois une offre d'emploi inopinée, qu'il accepte, pour une fonction à prester, ... à l'étranger.
Que devient dès lors le statut du renom adressé précédemment au locataire, puisque au final, le propriétaire n'occupera plus l'immeuble comme envisagé initialement ...
L'autre question est :
Si en partance pour l'étranger, notre propriétaire revend finalement son bien à un amateur désireux d'entrer dans l'immeuble rapidement, étant subrogé dans les droits et devoirs du précédant propriétaire du renom initial, profitera-t-il de cet circonstance ou devra-t-il, attendre la passation des actes de vente pour ré-adresser un nouveau renom ...
Permettez-moi d'en douter et de ne trouver aucune essence d’illégalité à ce concours de circonstances ...
Pour faire court , c'est non car à mon avis illégal !!
Pourquoi, sur quelle base juridique vous appuyez-vous ?
Pourriez-vous étayer ?
D'avance merci.
Je vous ai expliqué que la mise en vente ne génère pas, pour vous, un droit de résiliation.
Ne pensez-vous pas (tenant compte des délais de réalisation d'une vente et du laps de temps encouru pour voir se réaliser le transfert effectif de propriété qui ouvrira, au nouveau propriétaire, le droit d'adresser son congé au locataire pour raisons d'occupation personnelle) que, afin de gagner ce temps, souvent perdu au détriment du vendeur, le bailleur actuel, dont l'acheteur deviendra subrogé dans ses droits, puisse signifier, avant le transfert de propriété, son préavis au locataire pour occupation personnelle ?
Cette façon de procéder offrant de toute façon le délais de six mois de préavis permettant au locataire de se "retourner".
Cordialement,
Pas trouvé d'infos à ce sujet sur votre site. Pas très transparent comme truc. C'est du coaching immobilier ?
AADIP, agent immobilier? arnaque? astuce pour contourner la loi? association de copropriétaire? pas très clair tout cela, mais ce n'est que mon avis.
Il semble que nous nous écartons du sujet de ce forum qui à pour objet l’évolution des prix …
Néanmoins, pour répondre à vos questions, et à votre « saine curiosité » sachez que l’AADIP est née d’attentes de propriétaires de biens immobiliers ne trouvant pas dans les systèmes commerciaux habituels ou dans les services publiques des solutions à leurs attentes.
Que ce soit d’un point de vue juridique, technique, commercial ou simplement humain.
Entre autre, pour rencontrer la demande des propriétaires désireux de vendre par eux même leur propriété dans les meilleures condition de réalisation, ce qui est une demande pour le moins naturelle et fréquente, notre association a développé des techniques et des outils afin de valoriser les immeubles proposés à la vente par leur propriétaire.
Ces techniques font appel tant au Home Staging, qu’à la Photo Staging ou encore qu’au Coaching Immobilier et sont pratiquées par des intervenants spécialement formés à ces pratiques, qu’ils soient agents immobiliers ou non.
Par contre, et en toute logique, lorsque des demandes à nous formulées entrent dans la sphère des actes soumis à la réglementation protégeant la profession d’agent immobilier, c’est tout naturellement que ces missions sont alors confiées, exclusivement, à des agents immobiliers, dûment agréés dans ce sens ... sans plus de mystère.
Cordialement,
Heu ?.... Vous agissez comme intermédiaire ? Vous êtes agréé IPI ? Ou est-ce un lapsus ?...
Cher Monsieur Deckers,
Il est vrai que nous n'avons pas eu l'occasion de nous présenter précédemment ...
Notre association réunit dans ses membres et dans son conseil d'administration des agents immobilier agréés IPI.
De ce fait, c'est en parfaite harmonie en regard des attentes des instances dirigeantes de l'Institut Professionnel des agents Immobiliers, et en parfaite symbiose avec les Lois de 1976 et de 1993 régissant la profession que nous commettons les missions d'intermédiation qui nous sont confiées.
Il n'y avait donc pas de lapsus !
Vous rencontrer prochainement afin d'entrevoir une coopération au bénéfice des propriétaires de biens immobiliers serait pour nous un réel plaisir au vu des vues que nous semblons partager et des initiatives que vous avez initiées, notamment par ce forum.
Normal, la chute du marché immobilier fera la une des journaux courant 2009... Pas avant.
Attendons 2009 alors, puisque nous sommes d'accord aujourd'hui ...
Bien à vous,
On n'a plus qu'à pleurer sur nos maisons achetées à 400000 E et qui ne vaudront bientôt plus que 200000 E... On est tous dans la merdeeeeeee...
Permettez-nous d'intervenir ici pour exprimer un point de vue apparemment opposé au climat ambiant.
Dans toute situation de crise il faut être à même d'assumer et de reconsidérer ses choix d'antan.
L'erreur est humaine ... l'intelligence, aussi.
Pour notre part, notre analyse, issue des ventes réalisées dernièrement par l'intermédiaire de notre association, nous indique clairement qu'il n'existe aucunement un quelconque effondrement du marché ... que du contraire ...
Il nous semble que ce sont plutôt certains "plans sur la comète" qui voient s'effondrer leur château en Espagne.
Toutes les ventes où notre association à prêté son concours dernièrement se sont réalisées en moins d'un mois et de façon tout à fait honorable !!!
Seules quelques ventes furent ou restent confrontées à des difficultés issues de certitudes situées en dehors de toutes réalités du marché.
Allez convaincre un érudit qu'il à peut-être tord ...
Pour résumer : un juste prix, une mise en vente adéquate et vous réalisez votre dû ...
Bien sur, si votre dû est à l'étalon de vos nécessités ... le problème est réel et sans mesures objectives.
A notre sens, il n'y a, là, pas d'autre solution que la qualité de votre promotion pour tenter de rattraper les "pots cassés"
Cordialement,
Je me dois de relever que vous n'étayez pas vraiment votre point de vue (à moins qu'il n'ait changé suite à ma réponse) et qu'il ne suffit pas de dire que l'administration , dans certains cas, a tort... pour que le contribuable ait d'office raison.
Voici donc les faits ...
Un jeune couple avait fait l'acquisition d'une parcelle de terrain à bâtir dans le but d'y ériger une maison uni-familliale pour abriter leur famille.
Malheureusement, lors de la demande de permis de bâtir, les autorités communales concernées ont exigé qu'une voirie d'accès soit réalisée, et ce, aux frais exclusifs des propriétaires.
Cette charge énorme en rapport du budget que le couple comptait allouer à la construction de leur « nid », les contraint à abandonner leur projet et à revendre le terrain.
Un promoteur, leur proposa d'« échanger » le terrain en contre-partie de plusieurs appartements dans le complexe immobilier qu'il envisageait de construire sur le terrain.
Au terme de l'opération, notre jeune couple se vit propriétaire de ces appartements et au final considérèrent que l'opération s'était avérée intéressante d'un point de vue patrimoniale.
C'était compter sans l'intervention de l'administration fiscale qui jugea bon de tenter de taxer la plus value réalisée par le jeune couple.
C'est ainsi qu'il leur fut adressé une note d'imposition de quelques 161.000 €
Opposition fut faite contre cette tentative de taxation et une action en réclamation fut introduite.
Cette action reposait sur le fait que lors de la revente du terrain, des appartements y étaient déjà construits par le promoteur ... et que, partant, n’était d’application, ni l’article 90.8 du CIR 92 qui considère que sont des revenus divers :
« Les plus-values réalisées à l’occasion d’une cession à titre onéreux sur des immeubles non bâtis. »
Pas plus que l’article 90, 10° du CIR 92 qui vise, quant à lui :
« les plus-values réalisées à l’occasion d’une cession à titre onéreux sur des immeubles bâtis s’il s’agit :
a) de biens bâtis qui ont été acquis à titre onéreux ;
b) de biens bâtis qui ont été acquis par la voie de donations entre vifs ;
c) de biens non bâtis qui ont été acquis à titre onéreux… sur lesquels un bâtiment à été érigé par le contribuable. »* *(c’est nous qui souligons)
Au terme des différents arguments présentés, l'administration fut contrainte de faire volte face et d'annuler la taxation illégalement sollicitée.
Voici donc, cher Monsieur Deckers, l’exemple d’un glissement de terrain tout à fait d’aplomb …
Cordialement,
Je me dois de relever que vous n'étayez pas vraiment votre point de vue (à moins qu'il n'ait changé suite à ma réponse) et qu'il ne suffit pas de dire que l'administration , dans certains cas, a tort... pour que le contribuable ait d'office raison.
Compte tenu d'un agenda chargé, permettez-nous de revenir vers vous dans le courant de la semaine prochaine afin de satisfaire à votre demande.
Dans l'intervalle, nous vous souhaitons un excellent week-end.
J'avais bien compris votre tentative de "glissement de terrain".... mais cela m'étonnerait que cela fonctionne.
Cher Monsieur Deckers,
Pour ne pas glisser dans un sous-entendu délicat qui voudrait laisser croire que nos interrogations soient douteuses, il nous semble opportun de rappeler qu'en Belgique, la Cour de cassation a consacré le droit de la voie la moins imposée.
En "bon père de famille", il est donc légitime que tout un chacun se questionne sur les possibilités que nous offrent les Lois qui nous régissent pour tenter d'en tirer le parti le plus honorable dans le cadre de la préservation de nos intérêts propres.
A ce titre, dans un cas similaire à celui qui nous occupe dans ce sujet, un des membres de notre association à réalisé l'économie d'une taxation de quelques 161.000 € illégalement réclamés par l'administration.
Ce dossier nous laisse à penser qu'il ne faut pas toujours se fier à l'avis de l'administration qui semble, parfois, défendre d'autres intérêts que ceux du contribuable.
Bien entendu, nous conviendrons que ce type de démarche doit en valoir la chandelle ...
Ceci dit, nous ne pouvons que vous féliciter du travail par vous réalisez dans ce forum et de l'éclairage que nous avons conscience que vous offrez à ses participants.
Soyez assuré que notre intervention est donc "participative"
Cordialement,
Cher Monsieur Deckers,
Comment pouvez-vous affirmer que l'achat de la parcelle de 15 are convoitée est "non bâtie" ?
En liminaire, il convient de relever que la parcelle de 80 ares, dans son ensemble, est à présent bâtie.
Si l'acheteur acquière une partie de cette entité à raison des 15 ares désirés AVANT sa séparation cadastrale, il s'agit en l'occurrence d'une partie de parcelle bâtie ...
Cette partie de parcelle pourrait dès lors n'être pas soumise à taxation sur une quelconque plus value ... pour autant que le propriétaire bénéficie de l'application de l'article 93bis invoqué plus avant.
Quant bien même, dans l'éventualité d'une taxation, sur quelle base l'administration déterminerait-elle la plus value réalisée en regard de l'article 340 CIR ?
Ces remarques vous sont, bien entendu adressées dans un but constructif et nous nous réjouirons de l'écho que vous leurs réserverez afin d'éclairer tout un chacun.
Dans l'intervalle, soyez assuré de notre plus parfaite considération.
Le propriétaire est il domicilié depuis plus d'une année dans l'habitation qu'il a fait construire et la parcelle de terrain est-elle d'un lot ?
Si c'est le cas, toute taxation ne devrait elle pas être évitée en vertu de l'article 93bis du code des impôts ?
Extrait du C.I.R.
Art. 93bis. - Par dérogation à l'article 90, 10°, ne sont pas imposables les plusvalues constatées à l'occasion :
1° de la cession à titre onéreux de l'habitation pour laquelle la déduction pour habitation peut, pour toute la période comprise entre le 1er janvier de l'année qui précède celle au cours de laquelle a eu lieu l'aliénation et la date de celleci, être accordée en application de l'article 16
...
Cordialement,
en somme, vous êtes d'accord avec moi pour mieux marquer votre quasi désaccord
Pardonnez-moi si je vous ai heurté, tel n'était pas mon désir, que du contraire ...
Je suis heureux d'avoir, avec votre aide, souligné:
- "l'utilité de sites comme Pim et son forum" (ils sont rares)
- "(plus sérieusement,) la nécessité d'avoir des interlocuteurs professionnels de qualité."
Nous sommes donc bien d'accord, je vous en assure !
En vous remerciant pour vos implications, soyez assuré de notre plus parfaite considération.
Cordialement,
Nous sommes tout à fait d'accord avec vous Monsieur Deckers !
Pour le surplus, cette discussions éclaire une réelle problématique concernant la conscience des parties, non habituées à ces transactions, tant quant à leurs engagements en matière de vente/achat de biens immobiliers et que des incidences encourues en cas d'insolvabilité des acheteurs ou d'absence de capacités de la part des vendeurs.
Vous proposez d'envoyer l'acheteur sur les roses ... par cette prise de position, vous conseilleriez le vendeur à obliger l'acheteur à passer les actes ? ...
( Imaginons que l'acheteur soit au final insolvable ... )
... Ou proposez-vous que le vendeur renonce aux engagements intervenus afin d'éviter une perte de temps considérable avant la remise du bien en vente, à intervenir dans les années à venir en suite d'une décision de justice favorable ?
Cette attitude est-elle encore possible aujourd'hui sans la bonne volonté des parties ?
Quoi qu'il advienne de la situation dont objet, il faut reconnaître que le croisement d'une offre et de son acceptation (bien que bétonnées par le Code Civil) ne sont en soit jamais une fin en réalité, juste une espérance de voir les choses aboutir ...
C'est ce qu'un compromis dûment rédigé permet d'espérer plus avant ...
A ce state des opérations, Monsieur Kalovich ayant formulé une acceptation à une offre qui n'est accompagnée de l'expression d'aucune sanction en cas de retard du respect de ses engagements, à la place du propriétaire, je souhaiterais vivement une clarification des intentions réelles de la partie acheteuse sous peine d'annulation de la vente pour absence de consentements mutuels réels sur les éléments essentiels de cette vente.
A présent, il appartient à Monsieur Kalovich de mesurer l'étendue de la portée de son acceptation quant à l'offre à lui formulée (sans réserve) et nous l'enjoignons à solliciter l'aide d'un notaire de son choix afin de l'éclairer dans ses hésitations.
Cordialement,
Nous signons le compromis de vente la semaine prochaine.
Félicitation Monsieur Kalovich pour votre achat et surtout d'honorer votre engagement ...
Merci pour votre question qui nous a amené à "la réflexion, voir l'hésitation ..."
A défaut d'avoir fixé conventionnellement le délai, ou de pouvoir apporter la preuve de cette condition de la vente, chacune des parties a à mon sens le droit d'exiger que l'acte authentique soit passé dans un délai raisonnable, qui pourrait correspondre à quatre mois à partir de la vente ferme et définitive, le délai souvent d'usage.
Merci Monsieur Gof pour l'éclairage de cette réponse pleine de bon sens.
Cordialement,