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Et si on était 10 millions à demander à contrôler les comptes de l’état ? Après tout, c’est notre droit à tous, puisque c’est notre argent…
Mais j’y pense, il faudrait faire un roulement : la moitié contrôlent, pendant que l’autre moitié est payée comme fonctionnaire pour surveiller ceux qui contrôlent….Bon, je sais, c’est absurde, mais dans une grande copropriété, il est matériellement impossible que tous les copropriétaires aient accès aux pièces de la comptabilité… Le syndic, ou un de ses employés, serait occupé à plein temps uniquement pour cela.
A ma connaissance il n'existe aucune disposition légale qui permet à chaque citoyen d'avoir accès individuellement aux documents comptables de l'Etat. Le contrôle est réservé à la Cour des comptes.
En revanche, la loi de 1994 donne un tel droit à chaque copropriétaire et ne réserve pas le contrôle à quelqu'un quelle que soit la taille de la copropriété. Je concède que dans de grandes copropriétés, cela pourrait poser problème si tout le monde décidait de faire usage de son droit, mais dans de plus petites, cela peut parfaitement se concevoir.
Une solution très pratique est de mettre tous les documents comptables sur un pc et elle peut dès lors être consultée, le cas échéant, via un site internet avec mot de passe, par chaque copropriétaire, sans que la présence du syndic ou d'un délégué du syndic doit nécessaire. Qu'on ne me dise pas que ce n'est techniquement pas possible. Scanner des documents est à la portée de n'importe qui. De plus avoir tous les documents sur support informatique facilite grandement le travail du syndic.
tempura a écrit :... Supprimer de la mission du conseil de gérance, celle d'assistance au syndic, c-à-d, de relais entre l'ag et le syndic. ...
Assister n'est pas être le relais entre le syndic, mais assister le syndic à assurer qu'il puisse remplir sa mission.
Exemple:
La sécrétaire d'un directeur règle son agenda, sans s'occuper du contenu des rendez-vous. Donc le conseil de gérance peut fixer les rendez-vous des différents CP lors de la permanence du syndic à la copropriété.Servir comme reliais est maintenir la liaison à double sens, ce qui va plus loin, et implique que le conseil est le porte-parole du syndic envers les CP. Ce qui n'est pas prévu par la loi.
Peut-être le conseil de gérance n'est-il pas le relais entre l'ag et le syndic mais quel contenu faut-il alors donner au mot "assister" ? Le conseil n'est quand même pas le secrétaire du syndic. Pour moi, cette mission d'assistance n'a aucun contenu réel. Dès qu'on veut lui en donner un, on constate qu'il implique que le conseil outrepasse ses pouvoirs.
Ces commentaires sont corrects, mais nous sommes dans le domaine de la théorie. Dans ma copropriété, ont vient de décider à 95 % des participants que seul le conseil de gérance et le commissaire aux comptes avait la possibilité d'avoir accès aux factures ou aux devis. Le CP peut uniquement demander une explication sur un point précis.
[color=#0000A0]C'est une décision contraire aux dispositions impératives de la loi.[/couleur]
N'est ce pas également la position de l'association des syndic néerlandophones ?
En outre si le syndic tolère de vous donner accès à ces documents, ce sera généralement payant.[color=#0000A0]Tolère ? La loi l'oblige à donner accès. Payant ? Pour des photocopies, je comprends, mais pour consulter, je suis surpris qu'il soit en droit de réclamer quelque chose.[/couleur]
Donc sur un plan pratique, mon pouvoir de contrôle est nul. Evidemment en théorie j'ai le droit de consulter les documents et pour vous c'est suffisant. Le vécu, on ne veut pas le connaître, car il est dérangeant et il ne s'applique qu'à une minorité.
[color=#0000A0]Je n'agresse personne, je m'informe et je donne mon avis sur la base de ce que je connais. Mon avis n'est pas une position que je veux défendre envers et contre tout.[/couleur]
Dire que soudainement la majorité silencieuse va vouloir participer au conseil de vérification est également un pure vue de l'esprit. En théorie, c'est vrai cela pourrait arriver, mais en pratique c'est inimaginable. D'accord accepter tout le monde n'est peut être pas la bonne méthode, on pourrait peut-être trouver une meilleure solution.
Si vous semblez satisfait de ce qui existe, moi je ne le suis pas et quand on a lu le cahier de doléances, on constate que maintenir ce qui existe pour le conseil de gérance n'est pas une solution acceptables pour tous les propriétaires léses par le couple syndic/conseil de gérance.[color=#0000A0]Je ne suis pas satisfait de ce qui existe, mais je pense que votre suggestion n'est pas la meilleure possible. Elle a cependant le mérite d'exister. Pour moi, on peut également supprimer le conseil de gérance et imposer un contrôle des comptes par des professionnels INDEPENDANTS, pas par des copropriétaires. Dès lors que cela a un coût, ce n'est peut-être pas davantage la meilleure solution possible, mais elle fait peut-être avancer le débat, comme la vôtre.[/couleur]
On peut amender ma proposition, voir proposer autre chose. Tout est bon, pour autant que sur un plan pratique, je puisse avoir accès aux pièces, gratuitement et sans aller en justice tous les ans.
D'accord de solliciter le syndic uniquement en respectant certaines règles d'organisation. Par exemple une séance d'informatiojn et de contrôle serait programmée tous les trois mois et accesible aux copropriétaires qui le souhaitent. Chez nous, c'est 3 jours avant l'AG avec un maximum de 10 minutes et uniquement pour des problèmes personnels.
Tintin
1) Je ne comprends pas pourquoi on demande aux copropriétaires d'accorder oui ou non le quitus au syndic en approuvant ses comptes. A partir du moment où le conseil de gérance et le(s) commissaire(s) aux comptes, ont validé ces comptes, il ne doit plus y avoir de débat. Ce point devient une information qui ne demande plus un vote. D'ailleurs, moi CP, sur quel critère vais-je m'opposer à l'approbation des comptes ? Je n'ai pas droit à l'information, donc quand on ne sait rien on se tait et on écoute les grands parler.
2) Ma position est la suivante : Plus de conseil de gérance, on le remplace par un comité de surveillance. On ne vôte plus pour élire ce conseil de surveillance, en font partie tous ceux qui en expriment le désir. Les copropriétaires qui ont demandés à participer à ce comité, nomment eux-mêmes leur président. Le rôle de ce président sera d'organiser et de programmer avec le syndic les contrôles demandés par les membres.
En principe la majorité silencieuse, ne va pas demander à participer à ce comité, seuls s'inscriront les copropriétaires soucieux de faire valoir leurs droits et de s'assurer de la bonne gestion de leur copropriété.
Au lieu d'avoir des interventions de CP qui fusent de toutes parts, auprès du syndic, elles seront regroupées et programmées. Ce qui permettra un travail plus efficace du syndic qui ne sera plus dérangé pour tout ou pour rien.
Il serait précisé dans la loi, que le CP qui n'a pas demandé à participer à ce comité, n'aurait pas accès au contrôle détaillé de la comptabilité. Ce serait comme pour celui qui a approuvé une décision et qui par la suite ne peut plus la contester. Un nouveau copropriétaire qui a acheté après la tenue de l'AG, pourrait s'il le souhaite, incorporer ce comité en cours d'année.
Comme il n'y a plus de votes, il n'est plus possible de faire des alliances douteuses.Qui est pour cette proposition ?
Qui est contre et pourquoi ?
Il est clair que cette proposition est amendable.
Comme nous l'a dit Madame Nyssens, il est plus facile d'introduire une proposition de modification de la loi, si on lui établit clairement ce qu'on souhaite obtenir. Donc pour la clarté de ce débat, ne pas faire comme Saxo et Tintin, DEFENSE DE SORTIR DU SUJET.
Tintin
1) Je ne comprends pas pourquoi un contrôle des comptes par le conseil de gérance, à supposer qu'il n'ait rien révélé d'anormal, empêcherait un copropriétaire de refuser de donner décharge au syndic. Il a parfaitement le droit de ne pas être d'accord avec les conclusions de ce contrôle et a, en outre, droit à consulter personnellement les comptes, sans avoir à se justifier d'ailleurs.
2) Votre proposition en comprend en fait trois.
a) Supprimer de la mission du conseil de gérance, celle d'assistance au syndic, c-à-d, de relais entre l'ag et le syndic. Dès lors que cette mission générale n'a a mon avis aucune portée utile, je suis d'accord pour qu'on la supprime.
b) supprimer le vote pour nommer les membres du conseil de gérance (surveillance dans votre hypothèse). Dans certaines copropriétés, on risque alors d'avoir toute l'assemblée au conseil. C'est un peu comme si tous les Belges siégeaient au Parlement. Cela fait un peu désordre. Par ailleurs, je ne vois pas trop quel est l'intérêt de cette proposition. Qu'est-ce qu'on gagne ?
c) Si b est accepté, supprimer le droit aux copropriétaires individuels d'avoir accès aux comptes. Alors là, je suis franchement contre. Je veux pouvoir continuer, membre ou pas membre du conseil, à pouvoir vérifier en détails si les charges qu'on me réclame sont justifiées ou pas, même si d'autres m'assurent que c'est le cas.
Pour en revenir au sujet, quelqu’un serait-il opposé à l’obligation de tenir une comptabilité à partie double au sein d’une ACP ???
Et contre un plan comptable obligatoire ???
Non, pas du tout opposé à une compta par partie double et à un plan comptable minimal (très minimal) obligatoire mais je ne suis pas sûr que cela va dans le sens d'une plus grande transparence. Combien de copropriétaires vont-ils, grâce à une comptabilité par partie double, mieux comprendre les comptes et dès lors mieux pouvoir en apprécier la régularité ? Une minorité je crois. Il faudrait,pour que ce soit un progrès, être plus créatif et imposer aux copropriétés un plan comptable et une méthode de comptabilité spécifiques et aussi simples que possible, pourquoi pas sur la base du principe de la partie double, mais en restant très concret. Il ne faut pas essayer de transposer ce qui est applicable aux sociétés. On pourrait inviter les experts-comptables à proposer un système spécifique.
Hier soir lors de l'AG annuel le syndic a proposé, avec l'accord du conseil de gérance, d'installer un système d'antennne parabole pour 250 appartements, dispersé en 2 blocs de 3 bâtimenst chacun. L'installation aurait couté 1.000 euros par appartement.
Le projet a été refusé catégoriquement par l'AG. Mais je crois que c'était le bût, tellement l'affaire était mal présenté.
Précédents:
1. l'antenne collective (un par bloc) a été enlevé par le sydnci sans autorisation de l'AG
2. le problème des antennes paraboles individuelles existantes n'a pas été abordé en AG (au moins 5 sont placés actuellement sans aucune autorisation)
3. l'installation temporaire d'une armoire sur une terrasse d'un penthouse a par contre donné lieu à une poursuite devant le Juge de Paix (on attend le jugement).
4. le vidéo-phone, au lieu du parlophone, a été accepté, moyennant que c'était une charge privative.L'AG n'a pas accepté ma proposition d'en faire des frais privatives, comme pour le vidéo-phone. Donc frais du système à charge des copropriétaires qui le demandent (installation et entretien), mais géré par le syndic.
Ceci va non seulement diminuer la valeur locative des appartements (des services de l'EU déménagent dans quelques semaines près de nous) mais n'importe quel copropriétaire peut actuellement demander à de nouveau placer les antennes prévues comme initialement prévue dans l'acet de base.
Question: quelle solution proposez vous dans ce contexte spécifique
Je n'ai malheureusement pas de solution à proposer si ce n'est la télédistribution, mais je suis un peu étonné du coût élevé de l'installation de l'antenne parabolique collective. J'imagine bien qu'il a outre, l'installation de l'antenne, des fils à tirer, mais quand même, cela me paraît cher. Je ne sais pas, par ailleurs, en combien de temps on peut amortir l'installation en tenant compte de l'économie faite en raison de l'inutilité de l'abonnement à la télédistribution.
Chez moi, c'est encore plus stupide :
1) OUVRE-PORTE mis hors service en tout temps - pratique pour l'ambulance/médecin quand on doit descendre de 10 étages pour ouvrir (en peignoir et malade) la nuit (ou le jour d'ailleurs)...
2) PORTES PALIERES fermées a clef (chaque copropriétaire a installé sa propre serrure et sa propre clef)
3) ISSUE DE SECOURS bloquée...Que font syndic/conseil dit de gérance : ils s'en contre-foutent car c'est - selon eux - le seul systeme valable pour assurer la sécurité (je peux fournir le PV de l'AG qui le proclame).
Que celui qui ose contester ce dogme fasse attention : le syndic (qui doit sa nomination au CdG) et le CdG (qui triomphe dans cette tristissime taniere) lui feront les pires ennuis !
Parole de victime !
C'est non seulement stupide, mais c'est dangereux. En pareil cas, je crois que n'hésiterais pas à déposer une plainte contre celui ou ceux qui ont pris cette décision. Ils mettent la vie des occupants en danger.
mon immeuble possede deux portes , la premiere porte donnant sur la rue ferme a clef avec un interphone exterieur, mais sans systeme ouverture automatique a partir des appartement, cette premier porte passée , vous vous trouvz dans le hall avec les boite au lettre ,un deuxieme interphone et la deuxieme porte qui s ouvre automatique a partir des appartement.
est ce que le reglement de la coproprieté peut obliger la fermeture a clef de la premiere porte pour la nuit?? car la nuit , si un medecin doit rentrer ds l immeuble, et que la personne en danger ne peut descendre ouvrir , ce medecin n a pas de moyen pour rentrer
y a til des lois , pour m appuier pour la non fermeture de cette premiere porte???merci
Peut-être serait-il utile de contacter le service prévention des pompiers et de l'aide médicale urgence qui peut donner un avis susceptible de convaincre.
A Bruxelles : http://www.siamu.irisnet.be/francais/prevent.htm
tempura a écrit :giannigianni a écrit :Het betreffende vonnis werd uitgesproken door de Rechtbank van Eerste Aanleg te Brussel op 26 november 2004 en werd gepubliceerd in het "Journal des Tribunaux" (kortweg J.T.) van 2005 op pagina 458
Peut- etre j'appel le service juridique du SNP?
Je l'ai trouvé ce foutu jugement , et sous "forme électronique", mais quand je fais un copier-coller, il ne veut pas partir ! Le texte est trop long je suppose.
Peut-être si je le scinde en petits morceaux ? Je vais essayer lundi prochain ou bien, je peux l'envoyer par messagerie "classique", mais il me faut une adresse électronique.Très bien, mon notaire aussi l'avait recuperé, mais moi je ne l'ai pas encore en francais (si vous avez le link?). Par contre entretemps il a fait l'objet des plusieurs articles meme dans le CRI du SNP et aussi:
Livios.beDans mon cas a été util pour justifier que:
- en justice on peut citer l'ACP representé par son Syndic et pas besoin de citer tous les coproprietaires;
- le syndic peut bien representer l'ACP dans les actes de bases et de vente.
Il est en français, mais je n'ai pas de lien pcq'il provient d'une banque de données qui n'est pas sur Internet.
Het betreffende vonnis werd uitgesproken door de Rechtbank van Eerste Aanleg te Brussel op 26 november 2004 en werd gepubliceerd in het "Journal des Tribunaux" (kortweg J.T.) van 2005 op pagina 458
Peut- etre j'appel le service juridique du SNP?
Je l'ai trouvé ce foutu jugement
, et sous "forme électronique", mais quand je fais un copier-coller, il ne veut pas partir !
Le texte est trop long je suppose.
Peut-être si je le scinde en petits morceaux ? Je vais essayer lundi prochain ou bien, je peux l'envoyer par messagerie "classique", mais il me faut une adresse électronique.
Tempura,
Un de mes frères est président d'AG et du conseil de gérance avec deux asseseurs d'une copropriété d'une quarantaine d'appartements, avec rez commercial, deux entrées, ... .
Il a été élu contre son gré, parce qu'il avait su calmer une forte dispute lors d'une AG il y a quelques années, en arrangant qu'il n'y avait pas de perdant.
Un assesseur fait le contrôle technique et l'autre le financier. Ils vérifient si les décisions de l'AG ont été exécutées par le syndic. Pas plus et pas moins.
Lui ne s'occupe que du contrôle administratif (arrivée de CP, ...) et des séances. Il fait ce qu'il faut pour que la délibération se déroule normalement et tout le monde puisse s'exprimer. Il ne reçoit aucune procuration et peut ainsi jouer son rôle d'arbitre pleinement.
Le conseil de gérance ne reçoit aucun mandat d'exécution de l'AG. Les propositions préparés viennent du syndic ou d'autres copropriétaires et ne sont soumis au vote que quand ils sont "prêts".
S'il faut une AG extra-ordinaire est tenu avec un sujet spécifique (infiltrations, ...).
Cet ACP n'est pas situé à Bruxelles.
Tout cela pour dire que je suis basé sur enter auters osn expérience contre toute cogérance. Parcequ'il ya un mélange de rôles qui est toujours néfaste.
Essayez une fois la méthode de mon frère ... vous allez voir que tout ce calmera.
Oui, mais pour être concret. Le syndic propose des travaux nécessaires. L'ag est d'accord. Le syndic n'a pas de devis. Le syndic propose un budget maximal. L'ag est d'accord. L'ag propose que le syndic demande 3 devis et, pour éviter de devoir reconvoquer une ag qui choisirait le devis à retenir et les détails (couleur, nature des matériaux etc), l'ag propose que le conseil de gérance choisisse, de commun accord avec le syndic, un devis et la nature précise des matériaux. Le cg est ainsi délégué par l'ag. Le syndic ne tient aucun compte de l'avis du cg (un avis qui respecte strictement les instructions de l'ag, notamment en terme de budget) mandaté par l'ag. Les travaux sont donc réalisés sans respecter la décision de l'ag. Est-ce acceptable ? De mon point de vue non. Contrôler les travaux ? Il est strictement interdit de faire un début de commencement de critique à propos des travaux réalisés, c'est considéré comme une attaque personnelle. Même poser une question est interdit. On ne peut qu'applaudir. Pour le contrôle administratif. Interdit de mettre en cause une méthode ou de faire une suggestion sous peine d'insultes.
Moi, je m'en vais et, par parenthèse, je ferai comme les autres, je verrai plus les crasses qui traînent dans les communs ni les choses détachées, les ampoules grillées, les trottoirs glissants. Si l'ascenseur est en panne, je m'en fous, j'habite au 1er étage. Ceux qui sont ennuyés n'ont qu'à appeler le syndic.
Chacun pour soi.
tempura a écrit :...
Vous avez mis le doigt sur le "problème". Le syndic fait son travail. Dire le contraire serait mentir. Ce qui doit être fait est fait, mais pas selon les instructions données par le conseil de gérance qui a, à cette fin, reçu mandat de l'ag. Il impose "son entrepreneur" bien que le conseil ait été mandaté pour le choisir de commun accord avec lui et décide seul de la manière dont les travaux doivent être faits, contrairement aux instructions de l'ag.
...Je ne crois pas que votre syndic est un caractériel, mais vous faites en réalité de la cogérance: décider ensemble avec le syndic. Il sait que c'est illégal et refuse d'exécuter les ordres du conseil de gérance. Cette procédure augmente en plus ses frais, tout en étant illégale.
Que l'AG décide et demande au syndic d'exécuter SANS intervention du conseil. Il le fera comme l'AG l'a décidé, j'en suis persuadé. Et il acceptera tout contrôle par après du conseil de gérance pour voir si la décision de l'AG est exécuté comme il faut.
Quand à la remarque de Grmff et PIM sur le commentaire de Zoum. Étant à 100% justifié, je tiens quand même à faire remarquer que la remarque de Zoum est probablement fondé sur une absence totale de faits qui prouvent que l'IPI fait ce qu'il faut pour éradiquer le type de syndic j'espère minoritaire qui a provoqué cette remarque.
Ce type de généralisation est identique à la réaction d'un syndic qui dit qu'un opposant isolé est un emmerdeur.
Mais je trouve aussi que c'est aux associations de défense des intérêts des copropriétaires de dire aux AG et/ou conseils de gérance quand ils dépassent le cadre légal.
Nous ne faisons nullement de la "cogérance", sauf mandat exprès de l'ag, que le syndic ne respecte d'ailleurs pas. Il est bien là pour exécuter les décisions de l'ag, non ?
Pour le reste, le conseil de gérance a me semble-t-il pour mission d'assister le syndic.
C'est dans ce cadre que nous nous sommes réunis pour fixer l'ordre du jour de la prochaine ag et le syndic n'a aucune raison de m'insulter lorsque je lui soumets une proposition (je suggère donc, je n'essaie pas d'imposer, je viens avec de la documentation que lui n'a pas et je l'informe point barre).
Il peut m'expliquer pourquoi ma proposition est mauvase. Si je ne suis pas convaincu, je l'exposerai à l'ag, comme n'importe qui peut le faire.
Le fait que je veuille laisser décider l'ag m'est d'ailleurs reproché par le syndic qui m'accuse de ne pas "oser" prendre position.
Ce type a la moitié du cerveau givrée et l'autre en ébullition.
Désormais il se passera de moi comme défouloir. Je rends mon tablier. Finalement tant que chez moi tout va bien, je me fous du reste du bâtiment et des désirs des uns et des autres.
Ils viennent à deux. Le non-syndic proprio agissant comme mandataire apparent du syndic puisqu'il n'a aucune fonction officielle dans la société de son frère. Que ce soit l'un ou l'autre c'est pareil, ils sont parfaitement interchangeables et forment une équipe parfaitement rôdée en matière de déstabilisation.
"Zoum" a écrit :Il faut savoir qu'avec 12 copropriétaires, le syndic ne gagne pas grand-chose.
Pour gagner sa vie, il lui faut des travaux...
Cette attaque est honteuse. Sans rien connaître du syndic en question, vous l'accusez de malversations et de toucher des pots de vin de la part des fournisseurs. C'est une insulte à l'ensemble de la profession.
Rien ne me permet de penser qu'il y a des commissions secrètes et jamais je n'ai soulevé cette question.
Citation :Dans ces conditions, le conseil ne sert strictement à rien si ce de permettre au syndic d'avoir à disposition une personne à insulter
s'il est vrai que pour être syndic, il faut parfois être un peut masochiste, je ne connaissais pas de syndic sadique...C'est donc bien un caractériel qui fait bien son boulot. Démissionnez et laissez le faire, sauf si vous avez un tempurament de martyre...
C'est une réponse d'une logique imparable. Je crois que je vais faire ainsi et donc l'affronter une dernière fois 
La question que vous devez vous poser est de savoir si votre syndic fait bien son travail. Au delà de vos idées qui ne passent pas, au delà de votre égo personnel, est-ce que le syndic maintient une certaine harmonie dans la copropriété, propose les travaux nécessaires, fait entretenir la propriété? Travaille-t-il bien, au delà du fait qu'il soit bouché à toute idée qui ne vient pas de lui?
Et finalement, est-ce qu'un autre ferait mieux que lui?
Parce que ce qui compte, comme vous l'avez très bien compris, ce n'est pas l'égo, c'est la pérénnité de votre investissement...
La démocratie est le pire des système, quant on a exclu tous les autres. Et votre syndic?
Vous avez mis le doigt sur le "problème". Le syndic fait son travail. Dire le contraire serait mentir. Ce qui doit être fait est fait, mais pas selon les instructions données par le conseil de gérance qui a, à cette fin, reçu mandat de l'ag. Il impose "son entrepreneur" bien que le conseil ait été mandaté pour le choisir de commun accord avec lui et décide seul de la manière dont les travaux doivent être faits, contrairement aux instructions de l'ag. S'il a décidé que les poubelles devraient désormais être gérées selon la procédure x, elles le seront ainsi et il me reproche (le mot est faible) de vouloir laisser le choix de la procédure à l'ag entre plusieurs propositions (dont la sienne et la mienne qui, évidemment, ne sont pas les mêmes, ce qui le rend fou furieux).
Le résultat de ses actions est parfois bon, parfois décevant, jamais conforme à ce que le conseil avait souhaité et demandé conformément aux instructions de l'ag qui, dans l'ensemble, s'en fout sauf si un de ses membres a un problème particulier qui devient alors l'"affaire du siècle".
Dans ces conditions, le conseil ne sert strictement à rien si ce de permettre au syndic d'avoir à disposition une personne à insulter. La logique commande donc de se passer de conseil de gérance, mais même une démission sera considérée comme une attaque personnelle scandaleuse contre l'honneur, la probité et le sens du devoir du syndic. Il a vraiment besoin d'une victime pour pouvoir prendre son pied si j'ose dire et peu importe qui, mon prédécesseur en a également fait l'expérience.
Je ne comprends vraiment pas la réaction de votre syndic. S'il n'est pas proprio.
En effet, ce n'est pas au syndic de couvrir les membres de conseil de gérance, mais à la copropriété. Ce sont des frais de copropriétés, et rien d'autre.
La réaction de votre syndic est donc complètement idiote, et démontre sa totale incapacité à comprendre la différence entre sa poche, et celle de la copropriété. Inquiétant. (je répète: sauf s'il est propriétaire...)
Il n'est pas propriétaire, mais son frère l'est et c'est en réalité ce dernier avec qui j'ai tous les contacts. Que ce soit l'un ou l'autre ne change rien, ils sont en accord parfait et ont bénéficié de la même éducation.
Ok, je prends note.
Contrairement à ce que vous pensez, aucune de "mes idées" ne passe, le syndic fait ce qu'il veut sauf lorsque je suis d'humeur à faire "la guerre". Les autres copropriétaires s'en foutent et tant que le bâtiment ne s'écroule pas, ils ne changeront pas de syndic qui lors de l'AG se présente comme la seule personne qui fait quelque chose de concret (ce qui n'est pas faux dès lors qu'il est le seul à avoir un pouvoir réel). Bien sûr personne ne veut devenir président mais tout le monde, y compris le syndic (allez savoir pourquoi) , en veut un.
La solution consiste, en effet, à ne plus me présenter et à laisser faire le syndic, mais quelque part, ça ne me plaît pas trop. C'est certes confortable et c'est ce que je vais faire, mais c'est mauvais pour mon EGO
.
Merci pour les réponses, mais est-ce que je peux trouver quelque part un texte faisant autorité affirmant expressément que cette loi s'applique aussi aux membres des conseils de gérance. Le syndic de mon bâtiment, lorsque je l'ai informé, m'a répondu que le conseil de gérance n'avait aucune responsabilité, que ma "demande" était scandaleuse, qu'il était hors de question qu'il paie une telle assurance, que j'étais un profiteur, que je ne savais pas lire, qu'il était étonné qu'un employeur m'ait à son service. Je crois que c'est tout 
Combien d'appartements compte votre copropriété?
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