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oui, ce n'est pas un peudo (j'assume ce que j'écris) ; si vous deviez le vérifier, rendez-vous sur le site internet www.syndia.eu, à l'onglet "notre équipe", vous prenez mon nom et vous aurez mon numéro de téléphone... je vous répondrai ;-)
Bienvenue sur notre forum.
Je salue également votre absence d'incognito.
Oufti !...
Concernant un bien situé à l'étranger mais occupé par une personne domiciliée en Belgique, la compétence juridictionnelle pour traiter une demande d'indemnité d'occupation est complexe et dépend de plusieurs facteurs.
En droit belge :
- La compétence territoriale repose principalement sur le lieu où le bien immobilier est situé. Pour un bien immobilier, c’est en général la juridiction du lieu de situation de ce bien (le tribunal civil du pays où se trouve le bien) qui est compétente pour les litiges relatifs à ce bien, y compris une indemnité d'occupation.
- Lorsque le bien est à l'étranger, la juridiction belge pourrait être incompétente au fond, sauf exceptions prévues par le droit international privé ou les conventions internationales.
- En Belgique, pour des litiges liés à l’indemnité d’occupation en indivision ou divorce, le tribunal de la famille est compétent si le bien est situé en Belgique. Dans le cas d’un bien étranger, ce sera plutôt le tribunal du lieu du bien à l’étranger.
- Toutefois, certaines procédures annexes ou connexes peuvent être menées en Belgique si la personne occupante y est domiciliée, mais cela ne remet pas en cause la compétence fondée sur le lieu de situation du bien (p.ex. pour exécution ou mesures provisoires).
En résumé, pour un bien immobilier à l’étranger, la compétence principale pour trancher une indemnité d’occupation revient au tribunal du lieu d’implantation du bien, même si l’occupant est domicilié en Belgique. Pour déterminer précisément la compétence, il faut vérifier les règles du pays où se trouve le bien et les règles internationales applicables (règlement Bruxelles I bis, conventions bilatérales, etc.).[1][2][3]
Si besoin, il est conseillé de recourir à un avocat spécialisé en droit international privé et immobilier pour analyser la situationon spécifique.
[1](https://dial.uclouvain.be/downloader/do … 2c7a377bde)
[2](http://latribune.avocats.be/fr/atelier- … -de-sortir)
[3](https://www.stradalex.com/fr/sl_src_pub … 20150310-8)
[4](https://wery.legal/lindemnite-doccupation/)
[5](https://biblio.barreaudeliege.be/index. … custom=136)
[6](https://justice.belgium.be/sites/defaul … 016_fr.pdf)
[7](https://etaamb.openjustice.be/fr/decret … 2018015087)
[8](https://bib.kuleuven.be/rbib/collectie/ … 1-2945.pdf)
[9](https://www.acg-avocat.com/actualites-j … divis.html)
[10](https://www.avocats-picovschi.com/indiv … s_174.html)
[11](https://terralaboris.be/spip.php?rubrique2485)
[12](https://www.droitbelge.be/news_detail.asp?id=1130)
[13](https://www.mi-is.be/sites/default/file … -07-14.pdf)
[14](https://justice.belgium.be/sites/defaul … 013-FR.pdf)
[15](https://orbi.uliege.be/bitstream/2268/2 … 20RCJB.pdf)
[16](https://www.stradalex.com/fr/sl_src_pub … 0181002-12)
[17](https://hofvancassatie.be/pdf/JVRA/Rapp … l_2012.pdf)
[18](https://etude-durand-guillet.notaires.f … re-707.htm)
[19](https://www.ccc-ggc.brussels/sites/defa … ons_fr.pdf)
[20](https://extranet.avocats.be/sites/extra … E_2024.pdf)

Avec les réserves d'usage, réponse de l'ai Perplexity:
L'indemnité d'occupation est une somme d'argent due par une personne qui occupe privativement un bien immobilier sans titre ou contrat de location, pour compenser la privation de jouissance du propriétaire. Plusieurs procédures et raisons peuvent engendrer cette indemnité.
## Procédures menant à une indemnité d'occupation
- Lors d'une séparation ou d'un divorce, un époux qui occupe seul le bien indivis doit verser une indemnité d'occupation à l'autre, calculée sur la valeur locative du bien entre la date de la demande de divorce et la fin de l'occupation exclusive. Cette indemnité relève du tribunal de la famille et non du juge de paix.[1][2]
- En cas d'indivision (par succession ou copropriété), si un indivisaire occupe privativement le bien et empêche l'usage par d'autres, il doit verser une indemnité d'occupation. Cette jouissance privative peut par exemple résulter de la détention exclusive des clés d'accès.[3][4]
- En matière de bail locatif, si un locataire occupe le logement après résiliation du bail sans accord, le propriétaire peut réclamer une indemnité d'occupation, qui remplace le loyer à payer jusqu'à l'expulsion effective.[5][6][7]
## Raisons justifiant une indemnité d'occupation
- Usage privatif et exclusif d'un bien indivis, privant les autres co-indivisaires de leur droit d'usage.[3]
- Occupation d'un bien après séparation ou divorce en l'absence d'accord sur la jouissance du logement.[2][1]
- Maintien dans un logement locatif après résiliation du bail sans titre locatif valide.[6][5]
## Calcul et modalités
- La base de calcul est généralement la valeur locative du bien, avec souvent un abattement de 20% pour détériorations, charges non comprises.[4][2][6]
- L'indemnité peut être fixée à l'amiable ou par jugement en cas de désaccord.
- Elle est due sous forme de créance, souvent réglée globalement à la fin de la période d'occupation privative (exemple: liquidation du régime matrimonial).[1][2]
En résumé, l'indemnité d'occupation intervient principalement dans des situations de jouissance privative d'un bien sans droit locatif formel, que ce soit en indivision, divorce ou suite à la rupture d'un bail. Elle vise à indemniser le propriétaire pour la perte de jouissance et les préjudices subis.[4][5][1][3]
[1](https://wery.legal/lindemnite-doccupation/)
[2](https://avocatcompainlecroisey.com/divo … occupation)
[3](https://www.avocats-picovschi.com/indiv … s_174.html)
[4](https://notenseine.notaires.fr/articles … on-350.htm)
[5](https://www.la-loi-pinel.com/lexique/in … ccupation/)
[6](https://www.cabinet-vidalavocate.fr/l-i … _ad34.html)
[7](https://leodium-avocats.be/droit-du-bai … n-de-bail/)
[8](https://www.avocat-sandrinenakad.be/ind … ccupation/)
[9](https://dial.uclouvain.be/downloader/do … 2c7a377bde)
[10](https://www.ucmmouvement.be/Nos-conseil … n-precaire)
Cela ressemble au débat sur "argent liquide" et "uniquement par carte", avec son côté liberticide.
Proposition de loi modifiant le Code civil en vue de permettre la tenue d'assemblées générales hybrides de l'association des copropriétaires
https://www.lachambre.be/FLWB/PDF/56/11 … 152001.pdf
Résumé:
"Au cours de la pandémie de coronavirus, les associations des copropriétaires ont été autorisées par la loi à tenir leurs assemblées en ligne. La possibilité d’organiser une assemblée hybride (partiellement physique, partiellement numérique) n’est toutefois plus prévue à l’heure actuelle. Les auteurs préconisent que cette possibilité soit de nouveau inscrite dans la loi, de manière à permettre aux propriétaires qui ne sont pas
présents physiquement de néanmoins participer à la réunion. Ils proposent que les réunions numériques ou hybrides ne soient autorisées que si elles sont expressément prévues par le règlement d’ordre intérieur, qui doit être approuvé par l’assemblée générale. Ainsi, l’assemblée organisée en présentiel restera la norme, sauf si les copropriétaires en décident autrement."
PIM a écrit :la lecture est réservé aux abonnés! pfffffffffffffffffff
Le lien Facebook donné par Himura est plus explicite
La Wallonie rend obligatoire un certificat amiante dans le cadre des transactions immobilières, des rénovations et des mises en location. Cette mesure vise à cartographier les risques liés à la présence d'amiante dans les bâtiments, à accélérer les efforts de désamiantage et à garantir la sécurité sanitaire des occupants. Cette obligation est inspirée du modèle flamand et concerne principalement les bâtiments construits avant 2001, date d'interdiction de l'amiante en Belgique. Le certificat amiante doit être délivré par un expert agréé après inspection du bien, identifiant les zones contenant de l'amiante.
Le gouvernement wallon prévoit également la mise en place d'une base de données centralisée regroupant tous les certificats, ainsi qu'un accompagnement des citoyens et professionnels via un guichet unique d'information. Cette démarche devrait s'accompagner d'initiatives pour sécuriser la filière de recyclage de l'amiante et sensibiliser le grand public aux risques sanitaires.
[1](https://www.rtl.be/actu/belgique/societ … cle/769774)
[2](https://www.wallonie.be/fr/actualites/a … demolition)
[3](https://lpost.be/2025/11/07/la-wallonie … abitation/)
[4](https://cbconseil.be/inventaire-amiante … ticuliers/)
[5](https://immovlan.be/fr/article/69178/wa … iante-2025)
[6](https://www.immopass.eu/certificat-inventaire-amiante)
[7](https://vastgoedexperts.be/fr/inventair … -consiste/)
[8](https://asbestverwijderen-jk.be/fr/cert … amiantage/)
[9](https://batibouw.com/fr/articles/957/am … -dici-2026)
[10](https://www.wallonie.be/fr/demarches/si … n-lamiante)
Bonjour,
Au printemps dernier, le syndic a organisé une Assemblée Générale Extraordinaire à laquelle je n'ai pas pu assister. Il veut me facturer dans mon décompte de charges annuel une pénalité de 40€ pour avoir été absent à l'AGE.
Je ne crois pas que ce soit légal, qu'en pensez-vous ? Y a-t-il une jurisprudence en la matière ?
Merci pour vos avis.
Bienvenue sur notre forum.
Aucune base légale ou jurisprudence ne prévoit une pénalité financière automatique pour un copropriétaire absent à une AGE ou AGO.
Si le syndic facture cette pénalité, vous pouvez contester cette charge en lui envoyant une mise en demeure, en rappelant que les frais doivent être pris en charge collectivement et non par mesure pécuniaire punitive à un absent. La jurisprudence confirme que ce type de pénalités est contestable et non prévu par le cadre légal belge en copropriété.
ps: grillé par max11
Et toujours selon cette AI:
L’accès à une base de données exhaustive et gratuite de la jurisprudence rendue en Belgique, notamment en matière de copropriété forcée, reste très limité en 2025 et fait l’objet depuis des années de demandes insistantes du secteur juridique et du public. Malgré différents rapports et incitations à la transparence, la publication effective des jugements reste parcellaire, coûteuse et incomplète, accentuant en effet un déficit démocratique et une inégalité d'accès.[1][2][3]
### État de l’accès aux décisions judiciaires
- Le Registre central des décisions judiciaires, théoriquement mis en route le 30 septembre 2023, regroupe désormais toutes les décisions rendues sous format numérique, mais son accès est réservé aux professionnels du droit et, pour les décisions les concernant, aux parties et à leurs représentants. Il ne s’agit pas d’une base de données publiquement accessible, mais d’une ressource authentique à usage interne et restreint.[3]
- Les arrêts de la Cour constitutionnelle, de la Cour de cassation et du Conseil d’État sont publiés intégralement et gratuitement en ligne, mais ceci ne couvre pas la masse des jugements rendus par les juges de paix et les tribunaux ordinaires.[2][3]
- Juridat, la seule base officielle gratuite, reste très incomplète et n'a qu'une valeur scientifique limitée puisqu’elle repose sur une alimentation volontaire et donc très aléatoire.[2][3]
### Initiatives alternatives et réalités pratiques
- L’accès payant via des abonnements à des revues ou bases privées reste la norme pour la plupart des décisions, coûtant en 2012 plus de 13 millions d’euros annuellement à l’État belge pour accéder à ses propres jugements, d'où la critique persistante d’une « privatisation de la jurisprudence ».[1][2]
- Des initiatives citoyennes et associatives (comme Open Justice ou Omdat) tentent d’ouvrir la jurisprudence au public et aux professionnels en collectant des décisions déposées volontairement, mais ces bases, bien qu’utiles, relèvent du bricolage comparativement à une base officielle exhaustive.[2]
- En pratique, si vous souhaitez un jugement précis du juge de paix en copropriété forcée, il faut souvent solliciter personnellement le greffe, avec une réponse très variable dépendant du temps disponible des greffiers. Les publications universitaires ou thématiques se concentrent elles sur des « bribes » ou des cas jugés pertinents, sans garantir la vision d’ensemble attendue.[1][2]
### Évolutions souhaitées
- Un consensus existe sur la nécessité d'une banque de données ouverte, exhaustive, facilement alimentée par les greffes et accessible (au moins anonymisée) au public et aux praticiens du droit.[1][2]
- Les recommandations issues de la Commission de modernisation et reprises dans la presse militent pour cette réforme, mais à ce jour, il n’y a pas eu de basculement en ce sens, et la Belgique accuse du retard comparé à d'autres systèmes européens.[2]
- Le discours dominant en 2025 reste que le praticien ou le citoyen doit, faute de mieux, continuer à « quémander » ou se reposer sur la bonne volonté des réseaux ou revues spécialisées.
En résumé : l’accès généralisé, libre et systématique à la jurisprudence belge, notamment en copropriété forcée, reste un enjeu d’actualité et de mobilisation, sans solution pleinement satisfaisante à ce jour.[3][1][2]
[1](https://avocats.be/sites/avocatsbe/file … ecours.pdf)
[2](https://blog.predictice.com/actualites- … ata-europe)
[3](https://www.justice-en-ligne.be/Le-Regi … l-pour-les)
[4](https://www.stradalex.com/fr/sl_src_pub … st_2025-74)
[5](https://www.droitsquotidiens.be/fr/ques … -que-faire)
[6](https://dial.uclouvain.be/downloader/do … =cover-mem)
[7](https://justice.belgium.be/sites/defaul … DEF_FR.pdf)
[8](https://latribune.avocats.be/index.php/ … nvier-2025)
[9](https://justice.belgium.be/sites/defaul … m%20FR.pdf)
[10](https://www.justice-en-ligne.be/Quelles … gles-et-la)
Selon Perplexity:
Plusieurs pays disposent d’une base de données ouverte pour leur jurisprudence judiciaire, à divers degrés d’exhaustivité et d’accès gratuit, ce qui les place en avance sur la Belgique pour la diffusion et la transparence judiciaire.[1][2][3]
### Pays européens avec base de données ouverte
- **Espagne** : pionnier en Europe, grâce au CENDOJ, qui publie chaque année environ 300 000 décisions de la Cour suprême et des juridictions d’appel, en open data et consultables gratuitement après anonymisation automatique.[2]
- **Estonie** : tous les jugements définitifs doivent être publiés et sont accessibles gratuitement en ligne, sauf données confidentielles, selon la loi sur l’information du public.[1][2]
- **France** : depuis 2022, elle a entamé la mise en ligne progressive et gratuite (Judilibre sur la Cour de cassation), avec un échéancier visant la diffusion complète des décisions par instance et type de contentieux à l’horizon 2025.[4][5][1]
- **Pays-Bas** : la jurisprudence est rendue accessible gratuitement sur des plateformes publiques, même si certaines décisions sont occultées pour des raisons de vie privée.[1]
- **Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE)** : toutes ses décisions sont publiées sur la plateforme CURIA, accessible à tous.[6][3]
### Autres exemples et initiatives internationales
- **Canada** : la base de données Canadienne "CanLII" permet l’accès gratuit aux décisions judiciaires, largement utilisée par juristes et citoyens.[7][8]
- **États-Unis, Royaume-Uni, Australie** : il existe des bases gratuites pour les décisions des Cours suprêmes et de nombreuses juridictions inférieures, très avancées dans l’open data judiciaire.[8][7]
- **JURICAF** : une base francophone pour les arrêts de quarante-quatre Cours suprêmes nationales ou communautaires, incluant des pays d’Afrique, du Canada, de France, etc..[7]
- **Organisation mondiale de la propriété intellectuelle** (OMPI) : propose WIPO Lex, base mondiale avec les textes intégraux des jugements dans le domaine de la propriété intellectuelle, consultable gratuitement.[9]
### Précisions sur l’encadrement et les limites
- Tous ces pays et institutions pratiquent l’anonymisation systématique des décisions pour respecter la vie privée, et parfois excluent de la publication les jugements inachevés ou confidentiels.[1]
- La progression vers l’open data est variable et souvent soumise à des exceptions, mais la dynamique européenne favorise l’ouverture maximale, encouragée par la Commission européenne depuis 2020.[2][1]
La Belgique reste donc en retard par rapport à ces exemples, où l'accès à la jurisprudence judiciaire s’effectue librement, numériquement et à grande échelle.[2][7][1]
[1](https://www.lemondedudroit.fr/publicati … es-ue.html)
[2](https://blog.predictice.com/actualites- … ata-europe)
[3](https://curia.europa.eu/jcms/jcms/Jo2_7045/fr/)
[4](http://www.courdecassation.fr/acces-rap … ata-et-api)
[5](http://www.courdecassation.fr/en/about- … -decisions)
[6](https://curia.europa.eu/jcms/jcms/p1_5194475/fr/)
[7](https://www.ahjucaf.org/la-base-de-juri … ce-juricaf)
[8](https://uottawa.libguides.com/droit-101 … de-donnees)
[9](https://www.wipo.int/fr/web/judiciaries … /news_0003)
[10](https://www.justice.gouv.fr/sites/defau … %20(1).pdf)
[11](https://www.lexisnexis.com/blogs/fr-jur … s-ouvertes)
[12](https://www.justice.gouv.fr/sites/defau … j_2025.pdf)
[13](https://www.autoriteprotectiondonnees.b … 9-2025.pdf)
[14](https://www.justice.gouv.fr/documentati … ns-justice)
[15](https://info.haas-avocats.com/droit-dig … embre-2025)
[16](https://www.lexbase.fr)
[17](https://www.squairlaw.com/fr/blog/veill … -juin-2025)
[18](https://droit.org/wiki-juriconnexion/in … de_Justice)
[19](https://www.village-justice.com/article … 28273.html)
[20](https://curia.europa.eu/juris/document/ … rst&part=1)
Ils n'ont pas voulu signer les nouveaux plans réalisés par un géomètre. Donc ce dernier les a envoyé au cadastre avec la convention signée.
Contradictoire, non ?
Besoin de mazout, pellets ou autres sources de chauffage ? Attention aux faux sites de vente !
Avec le retour du froid et le besoin de se chauffer, certains consommateurs sont à la recherche de combustibles bon marché. Des arnaqueurs en profitent pour créer de faux sites de vente en ligne de ces produits.
Depuis le 1er janvier 2022, le SPF Economie a reçu pas moins de 1.979 signalements concernant des offres frauduleuses de mazout, pellets ou produits du bois via de faux sites de vente en ligne ou les médias sociaux. Les victimes ont signalé une perte moyenne de 388 euros. Le préjudice financier total rapporté s'élève à 610.311 euros.
L’Inspection économique du SPF Economie analyse les signalements et peut décider sur cette base d’ouvrir une enquête. Les arnaqueurs risquent une peine de prison d'un mois à 5 ans ou une amende de 208 à 24.000 euros.
Comment les arnaqueurs s’y prennent-ils ?
Les arnaqueurs profitent de la demande croissante de modes de chauffage alternatifs dès l'arrivée des mois les plus froids. Ils créent des sites internet pour vendre différents produits de chauffage, comme des pellets, du mazout ou du bois.
Ils vous incitent à faire un achat rapide en vous proposant des prix attractifs dont ils font la promotion via notamment les médias sociaux et les moteurs de recherche. Dans certains cas, ils placent sur leur site web des informations d’entreprises qui existent réellement, telles que l'adresse et le numéro d’entreprise, et essaient ainsi de gagner votre confiance.
Mais une fois le paiement effectué, c’est silence radio. Les produits commandés ne sont pas envoyés, ils n’existent tout simplement pas. La plupart du temps, l'arnaqueur ne réagit même plus. S'il répond, il utilise des prétextes, comme un problème de livraison, pour gagner du temps, voire pour facturer des frais supplémentaires.
Les arnaqueurs espèrent ainsi vous faire patienter pour que vous ne portiez pas plainte immédiatement. Cela leur laisse du temps pour faire un plus grand nombre de victimes avant que le site internet ne soit mis hors ligne à la suite des signalements.
Comment identifier les sites de vente en ligne fiables ?
Pour vous aider à reconnaitre les sites de vente en ligne fiables, le SPF Economie a développé le site internet webshopsecurise.be. Il vous donne des conseils pour acheter en ligne en toute sécurité et démasquer les sites internet frauduleux. Voici les 5 principaux conseils :
Vérifiez l’identité du vendeur : qui se cache derrière le site de vente ? Chaque commerçant est tenu de renseigner clairement sur son site internet les coordonnées indispensables : le nom de l’entreprise, l’adresse physique, l’adresse e-mail et le numéro d’entreprise. Mais ne vous y fiez pas aveuglément, car les coordonnées de l'entreprise peuvent avoir été usurpées sur le site web frauduleux. En cas de doute, il est préférable de contacter l'entreprise au préalable en la recherchant via un moteur de recherche et en utilisant les coordonnées trouvées.
Vérifiez la réputation : vérifiez le site de vente sur lequel vous souhaitez passer commande (bouche à oreille, avis, réputation en ligne…). Cela vous épargnera de mauvaises surprises par la suite.
Prenez garde aux offres beaucoup trop alléchantes : méfiez-vous des prix anormalement bas ou des réductions que vous ne trouvez nulle part ailleurs. Comparez les prix : contrôlez les prix affichés et comparez-les avec ceux d'autres sites internet. Le site propose des prix particulièrement avantageux ? Voilà un signal qui doit vous mettre la puce à l’oreille. Si quelque chose semble trop beau pour être vrai, c'est souvent que c’est faux.
Payez en toute sécurité : vérifiez le mode de paiement. Certaines méthodes de paiement sont plus sûres que d'autres. Évitez les transferts internationaux d'argent et les sites de vente en ligne qui ne proposent que des paiements par virement.
Identifiez rapidement un site frauduleux : prenez garde si :
l’URL ne débute pas par httpS ;
l’on vous demande de saisir des données personnelles qui ne sont normalement pas nécessaires pour créer un compte, comme des données bancaires, votre code PIN, le mot de passe ou d'autres données personnelles ;
le site exerce une pression pour que vous vous décidiez rapidement ;
les conditions générales de vente ne sont pas disponibles.
Vous avez été victime ou témoin d'un site de vente en ligne frauduleux ?
Signalez-le via ConsumerConnect. L’Inspection économique du SPF Economie analysera votre signalement et pourra décider de mener une enquête pour mettre fin à ces pratiques frauduleuses. Elle dispose de plusieurs moyens d'intervention. Elle peut même bloquer l'accès au site web. C'est ainsi que les sites web www.jwoil.com, www.intermazout.com, www.interoils.com, www.euromazout.com et www.euro-mazout.com ont par exemple été rendus inaccessibles.
Vous pouvez consulter la liste des sites web que l'Inspection économique a fermé de sa propre initiative sur la page web Fermeture de sites web en cas de pratiques frauduleuses.
Vous avez effectué un paiement et perdu de l’argent ? Prenez contact le plus rapidement possible avec votre banque et déposez plainte auprès de la police locale.
Les données de votre entreprise ont été utilisées par un site frauduleux ?
Un site web frauduleux a copié le contenu de votre propre site ? Il propose vos produits à des prix inférieurs dans le but d'escroquer les consommateurs ou de nuire à la réputation de votre entreprise ?
Voici ce que vous pouvez faire :
Rassemblez des preuves. Faites des captures d'écran détaillées du site web frauduleux, y compris des pages sur lesquelles apparaissent vos produits, descriptions, images et autres preuves de copie. Conservez les documents qui prouvent clairement que vous êtes le propriétaire légitime du contenu (certificats, droits d'auteur, etc.).
Contactez l'hébergeur du site frauduleux. Utilisez un service tel que Whois (https://who.is/) pour identifier l'hébergeur du site frauduleux. Envoyez à l'hébergeur une demande officielle de suppression du site et joignez-y vos preuves. La plupart des hébergeurs ont mis en place des procédures pour traiter ce type de plaintes.
Informez vos clients. Publiez un avertissement clair sur votre site web et/ou vos réseaux sociaux indiquant que vous n'avez aucun lien avec le site web frauduleux.
Signalez le cas au Point de contact du SPF Economie et déposez plainte auprès de la police locale.
Bonjour,
Savez-vous si ces jugements sont accessibles à la lecture afin d'en évaluer la portée :
J.P. Ixelles, 20 mai 2022, R.G. n° 19A26_8/8, inédit.
J.P. Ixelles, 17 novembre 2022, R.G. n° 19A26_8/8, inédit.
J.P. Ixelles, 21 avril 2023, R.G. n° 23A1492/8, R.C.D.I., 2023/3, pp. 48-50.
J.P. Ixelles, 20 novembre 2023, R.G. n° 19A26_8/8, inédit.
J.P. Ixelles, 24 novembre 2024, R.G. n° 19A26_8/8, inédit.
SOURCE
https://www.federia.immo/fr/thematiques … s-pensez-y
Ne serait-ce pas plus efficace de poser la question à Federia ou à Me Van Gils, Avocat au sein du cabinet DECODE, auteur de l'article cité ?
Qui est "choisir un syndic"?
L'éditeur du site https://www.choisirunsyndic.be/syndic/
© Editeur du site ChoisirUnSyndic.be : Digital Pepper srl, rue du Château d’Eau 67, 1180 Uccle. TVA: BE0538620511
Communiqué par Statbel:
"À partir de janvier 2026, deux changements majeurs seront apportés à l'indice des prix à la consommation (IPC) et à l'indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH). D'une part, l'année de base passe de 2013=100 à 2025=100 et, d'autre part, les produits sont classés selon la nouvelle classification ECOICOP v.2.
Nous serions ravis de vous expliquer plus en détail l'impact de ces changements et de prendre le temps de répondre à vos questions. C’est pourquoi Statbel organise le webinaire «Modifications du calcul de l'indice»."
En pratique:
Vous pouvez suivre le webinaire le jeudi 27 novembre 2025 à 13h30. Dans un premier temps, nos experts expliqueront les principales modifications (+/-40 min). Vous aurez ensuite l’occasion de poser vos questions (+/-20 min). Pour avoir accès au webinaire (sur Teams), inscrivez-vous ici.
La présentation et l'enregistrement seront disponibles par la suite, ainsi qu’une analyse approfondie des changements.
https://www.lesoir.be/707949/article/20 … s-continue
"Vent debout contre les nombreuses nouvelles mesures de protections des locataires à Bruxelles, les syndicats des propriétaires et des agents immobiliers ont déposé un nouveau recours devant la Cour constitutionnelle. En ligne de mire cette fois : la grille indicative de loyer.
Un recours auprès de la Cour constitutionnelle contre la grille indicative des loyers à Bruxelles, établie pour prévenir les loyers abusifs dans la capitale, a été déposé ce mardi par cinq unions professionnelles des propriétaires et des agents immobiliers. Annoncé depuis juin, le recours aura finalement été introduit à quatre jours de la fin du délai légal.
Motif du recours : une grille de référence qui ne refléterait pas le marché locatif bruxellois actuel, car fondée sur des données « obsolètes » et trop peu nombreuses. Si la grille est en effet basée sur des enquêtes datant de 2017 à 2020 – faute de mieux, l’enregistrement des baux n’étant obligatoire que depuis janvier 2025 à Bruxelles –, les 15.000 loyers qui ont servi à établir la grille ont été indexés, se défendent les promoteurs de l’initiative. Mais cela ne suffit pas à convaincre ses détracteurs. La grille serait « truquée » martèle même Olivier De Clippele, président bruxellois du Syndicat des propriétaires et ex-MR.
Son entrée en vigueur, le 1er mai dernier, avait déjà fait couler beaucoup d’encre. Bloquée plusieurs années, l’initiative a finalement été adoptée au printemps 2025 par une majorité alternative de gauche (PS, qui portait le projet, PTB, Ecolo, Groen, Vooruit et Team Fouad Ahidar), au grand dam du MR, farouche opposant à tout encadrement des loyers. Depuis, il est interdit pour les propriétaires-bailleurs de proposer un loyer dépassant de 20 % le loyer médian, sous peine de devoir le diminuer et même rembourser une partie du trop-perçu.
« Faisons les choses dans le bon ordre : actualisons d’abord la grille avec les baux désormais enregistrés auprès de la Région, puis appliquons-la », plaide Katrien Kempe, de l’Union professionnelle du secteur immobilier. Une mise à jour soutenue aussi par les défenseurs de la fameuse grille, et actuellement en préparation par Bruxelles Logement et Perspectives.Brussels.
La suite au prochain épisode."
Expédition en cours