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Votre copropriété dispose-t'elle d'un Conseil de Copropriété?
Oui et j'en fais partie.
Chez nous, c'est le cas, et le PV doit être validé par les 3 membres du Conseil (Président et 2 assesseurs) avant envoi par le Syndic.
Le lendemain de l'assemblée, j'ai demandé au syndic de m'envoyer le brouillon du PV car je voulais le relire à tête reposée et il "a fait le mort" (ce qu'il a d'ailleurs fait pendant toute la période de sa gestion).
Si ce n'est pas votre cas, vous pourrez faire valoir vos remarques à la prochaine AG (l'année prochaine?) dont le 1er pont à l'agenda est toujours l'approbation du PV de la dernière AG.
Ce sera donc le nouveau syndic qui mettra ce point à l'ordre du jour.
Je ferai bien sûr mes remarques concernant les erreurs.
Devrai-je donc l'approuver "sous réserve des remarques émises" ?
Bonjour,
Je constate que le PV définitif que le syndic a envoyé n'est pas tout à fait conforme à la réalité de l'AG qui s'est tenue il y a 3 semaines (représentation d'un CP non mentionnée, vote d'un CP en faveur du nouveau syndic non mentionné également...).
Ceci dit ces erreurs ne changent rien aux décisions prises, notamment celle de la révocation du syndic (à la majorité) qui s'est transformée en "démission"(il nous a en effet dit à l'assemblée qu'il démissionnait après le vote de sa révocation...soit, si ça fait du bien à son ego...). Nous avons bien signé le document gribouillé séance tenante mais après lecture rapide et tous pressés d'en sortir. Il faut bien admettre qu'une lecture attentive par tous les CP à la fin d'une AG est totalement irréalisable.
D’un point de vue légal, y aurait t'il une utilité quelconque à demander des rectifications, sachant que si je fais cela, je serai considérée comme celle qui met de l'huile sur le feu, ce que je souhaite éviter si possible (nous avons en effet un syndic qui a bien f____ la m____ dans notre CP !) ?
Question subsidiaire : à partir de quand est-il opportun de prévenir l’IPI des agissements d’un de ces membres (degré de gravité des fautes commises) ?
Merci d’avance.
Donner le quitus n'est pas obligatoire et même à déconseiller dans votre cas.
Oui, bien sur qu'on ne souhaite pas le donner mais je ne savais pas s'il fallait se prononcer obligatoirement sur la question avant l'éventuel départ définitif.
Encore un grand merci pour vos conseils (ceux-ci et ceux que je trouve en général lorsque je parcoure ce forum à la recherche de réponses).
Je cite une partie de cet article:
Citation...) les motifs invoqués doivent être réels (...).
Ils le sont réels mais la réalité de l'un n'est pas la réalité de l'autre ! Si un Juge estime qu'un syndic doit avoir tué un CP ou avoir vidé les caisses pour mériter de perdre la confiance, ces motifs ne seront pas considérés comme réels.
Mais bon là j'exagère et je doute que ce ne soit le cas vu les dispositions relatives au mandat à titre onéreux.
Le syndic a le temps à "reclasser" les archives, avant de les remettre à son successeur. Toute lettre/fax/mail envoyée par/à lui appartient soi-disant à ses archives.
C'est probablement déjà fait (pour rappel la mise en cause de sa responsabilité a été évoquée par l'avocat) !
Il est donc préférable de ne pas montrer ses cartes dès le début. Attendez qu'il vous attaque. Vous n'avez qu'à répliquer à ce moment. S'il vous attaque, puisqu'il doit avancer les provisions pour son avocat fonds lui-même.
C'est ce que je compte faire et j'espère être suivie.
Autre question (si ce n'est pas abuser): quid de la question du quittus ? Quand se prononcer sur ce point si celui-ci n'est pas à l'ordre du jour et que la révocation est immédiate ?
Merci Luc pour cette réponse.
- Par contre son risque est plus grande de devoir payer une indemnité à vous
Non car si sa responsabilité a bien été mise en cause par l’avocat, les choses semblent s’arranger (récupération d’importants impayés suite à une vente) et c’est probablement la raison pour laquelle, contre toute attente, il accepte de convoquer une AGE plusieurs mois après la demande car, comme dit dans mon précédent message, il veut s’attribuer les fruits de ce résultat pour considérer que sa révocation n’est plus d’actualité (et certains CP entrent déjà dans son jeu).
Si le dommage est réparé, cela n’enlève en rien le fait qu’il a été négligent (le mot est faible) et que la relation de confiance qui devrait exister entre une ACP (majorité des membres) et le syndic a disparue.
D'un autre côté, je me demande si je ne peux pas lui réclamer en justice les frais d'avocat que j'ai dû engager pour faire entendre mes droits (ces honoraires étant "individuels" et non à chage de l'ACP).
b. NON, si vous nommez seulement un nouveau syndic
Etes-vous sur à 100% de cela ???? Le changement d'ordre des points ne peut-il pas être contesté par le syndic ?
Remarque : ce syndic va probablement « s’accrocher » car de gros travaux sont à prévoir (et donc les grosses commissions qui vont avec).
2. Si vous avez un CdC (= organe de surveillance) , alors il n'a pas fait son boulot. Si vous insistez sur ce point, alors le risque que le futur ex-syndic peut recevoir une indemnité agrandit.
Tout d’abord, je dois préciser qu’il s’agit d’une petite CP.
Il se trouve que les CP mécontents composent le CDC (c’est-à-dire des bénévoles, non spécialistes des règles de la CP comme la majorité des autres proprios, et qui se décarcassent pour celle-ci sans beaucoup de reconnaissance). C’est aussi la raison pour laquelle nous avons sollicité l’intervention de l’avocat (après mûre réflexion car ce n’est pas gratuit !) car l’absence d’action du syndic et surtout l’absence systématique d’informations demandées dans une situation problématique nous faisaient craindre l’invocation d’un défaut de surveillance de notre part (outre, bien sûr, l’intérêt personnel que nous avons dans l’affaire).
Comment pourrait-on nous reprocher, si j’ai bien compris votre réponse, le fait qu’en AG, le syndic ait « discrètement » fait prolonger de plus d’un an son contrat (à supposer qu’il ne puisse pas le faire, ce que nous ignorions) ? A noter aussi, qu’à l’époque de cette « reconduction », les négligences, bien que déjà présentes, n’étaient pas « avérées » et que 2 mois après l’AGO, les choses se sont aggravées et nous avons demandé (valablement) la convocation d’une AGE qu’il a refusé d’organiser car il ne l’estimait pas opportune (plus tard, notre avocat l’a bien remis à sa place sur ce point).
D’ailleurs, toujours à cette époque (il y a donc plusieurs mois), son contrat n’avait pas encore atteint l’échéance de la 2ème année fixée par le contrat (je ne sais pas si je suis claire !).
Bonjour,
Je me permets de me "greffer" à ce post pour poser ma question car le titre me convient très bien.
Il y a environ 2 ans, notre CP a signé un contrat d'un an avec un syndic prenant effet le 1er septembre et renouvelable annuellement au terme de la première année.Il y est prévu qu'il peut y être mis fin chaque année avec un préavis de 3 mois.
A l'AGO de février 2011, le syndic a fait renouveller son contrat jusqu'en septembre....2012 (à vrai dire, sans que personne ne prête vraiment attention à cette date).
Le problème c'est que devant tant de carences du syndic (qui ont d'ailleurs donné lieu à quelques messages sur ce site), une AGE a été demandée et obtenue avec beaucoup de difficultés notamment suite à l'intervention d'un avocat engagé par quelques CP.
Nous avons mis la révocation du syndic à l'ordre du jour de cette AGE qui se tiendra fin du mois. Il est dès lors déjà acquis que les CP insatisfaits (présents ou représentés) sont majoritaires et que cette révocation pourrait être obtenue sans problème.
MAIS certains CP se demandent si le fait de demander la révocation en janvier 2012 (date de l'AGE) alors que l'échéance du contrat est en septembre implique de devoir payer une indemnité et ce même si ce souhait de révocation est dû à des manquements évidents pour lesquels ledit syndic a été interpellé plusieurs fois (mais pas de jugement attestant de ces manquements car aucune action entamée).
Il est clair que ce syndic, qui a eu pas mal de temps pour préparer sa "défense", sera de mauvaise foi car c'est son son mode de fonctionnement depuis le début. Les choses sont en train de s'arranger grâce à la détermination de quelques CP et non grâce à lui mais nous avons déjà compris qu'il va s'attribuer le résultat positif de nos démarches pour considérer qu'il n'a commis aucune faute.
1.La crainte de la demande d'indemnité est-elle justifiée ? Auquel cas, le syndic pourra "sévir" encore quelques mois en toute impunité puisque les CP ne veulent plus y laisser des plumes.
2.Comment expliquer que le syndic ait pû faire reconduire son contrat de 16 mois alors que le contrat prévoit un renouvellement annuel au terme de l'année ? Cette reconduction, bien qu'approuvée, est-elle valable ?
Merci d'avance.
Bonjour,
Je suis en train de rédiger un bail d'1 an pour ma nouvelle locataire. Concernant sa durée, il y est prévu que "de commun accord, les parties peuvent proroger par écrit le bail de courte durée aux mêmes conditions" (pour une durée totale de 3 ans tel que prévu par la loi).
Pour des raisons de facilités (locataires expatriés qui ne restent pas en Belgique), j'ai choisi de demander un forfait pour les charges (forfait qui n'est pas surévalué).
Je souhaiterais toutefois pouvoir "indexer" ce forfait en cas de prorogation du bail. Est-il possible de prévoir cette augmentation ? Et dans l'affirmative, comment rédiger la clause ?
Autre question (qui n'a rien à voir avec la première): lors de l'état des lieux de sortie, je constate que le robinet de l'évier de cuisine bouge (il ne semble plus bien fixé au plan de travail). C'est un robinet de bonne qualité (Gr--E) et qui a 5 ans.
Il me semble que la réparation incombe à la locataire sortante. Ais-je tort ? Si j'ai raison, combien puis-je décompter de sa garantie locative (vu qu'un plombier qui accepte de se déplacer pour ce genre de chose, s'il existe, va probablement me ruiner !) ?
Merci d'avance.
D'accord avec votre appellation, Luc. Mais la seule méthode possible pour éviter de faire perdurer le joug d'un syndic autocratique dont la technique de domination est par ailleurs parfaitement rodée.





Je me sens soudain moins seule....
Et bien, je ne savais pas que le sujet de l'organisation d'une AG extraordinaire par les CP déchaînerait autant de passion !
J'avoue que tout cela est assez compliqué pour les non-initiés que sont la plupart des copropriétaires. Et ça ne se simplifie pas avec le temps !
Va t-on devoir un jour imposer un examen de gestion d’immeuble aux personnes désireuses (ou contraintes par leur budget) d’acheter un appart ou un studio ?
Je ne comprends d'ailleurs rien à cette histoire d'inscription de l'ACP à la BCE (même si je sais ce qu'est la BCE).
J'ai de très gros doutes concernant l’inscription de notre ACP.
Si je résume quelques éléments de réponse à ma question:
1) Il faut que le syndic soit averti de l'AG (ou convoqué ?).
Logiquement il devrait se douter qu'une AG risque d'être tenue puisqu'il lui a d'abord été demandé de l'organiser.
Par contre, je n'ai pas bien compris la nécessité de sa présence ou non à cette AG. J'espère qu'elle n'est pas obligatoire car c'est alors "le chat qui se mord la queue" (le syndic souhaitant boycotter une réunion qui va peut-être lui être défavorable, elle ne pourrait jamais se tenir).
2) Il convient d’envoyer les convocations par recommandé.
Dans notre cas, ça complique les choses car un des CP vit à l'étranger (hors Europe) et nous n'avons pas son adresse. J’ai bien sûr là aussi des doutes sur la bonne collaboration du syndic.
Je me demande en outre qui au final supportera les frais de ces convocations (celui qui convoque ou l'ACP) ?
Bref, de toutes façons je constate que si nous souhaitons organiser l'AG avant 2012, c'est assez compromis.
Bonjour,
Des copropriétaires (représentant plus d'1/5ème des parts dans les communs) souhaitent l'organisation d'une AG extraordinaire et ont fait une demande en ce sens au syndic par envoi recommandé avec divers points à mettre à l'ordre du jour (dont sa démission).
Après plus de 5 mois (et 2 rappels d'avocat), notre syndic n'a toujours rien fait.
Conformément à l'article 577 – 6, § 2, al. 3 du C Civil, je souhaite donc convoquer moi-même cette AG le plus rapidement possible (avant 2012).
Cette démarche étant une première, je souhaiterais connaître quelques détails pratiques pour que l'AG ne soit pas invalidée pour des questions de non-respect de la procédure.
Tout d'abord, le syndic doit-il également être convoqué (c'est peut être une question idiote mais je me la pose quand-même d'autant plus qu'on veut le dégommer) ?
A défaut de syndic présent, qui "dirige" l'assemblée, comptabilise les quorums de présences, les votes....? Qui doit rédiger le PV de cette AG ? Etc...
Si un des copropriétaires réside à l'étranger, peut-on lui envoyer la convocation par email pour plus de facilité (et par souci d'économie) ?
A supposer que cette convocation ne soit pas valablement envoyée et que c'est invoqué par un des CP réticents, cela invalide t-il toute l'AG et les décisions qui y seront prises ?
Enfin, quelqu'un aurait-il un modèle de convocation ( & procuration) que je puisse utiliser ?
Un grand merci d'avance.
Questions:
1. ACP avec moins que 20 appartements ou pas?
2. Syndic professionnel ou pas?
1. Moins de 20
2. "Professionnel" (j'ai du mal avec ce dernier mot en ce qui concerne notre syndic)
Le syndic doit signaler ce problème à son assurance.
Si l'AG (= rapport annuel du commissaire aux comptes) constate qu'il ne rembourse pas, alors une AGE peut nommer un autre syndic, qui pourra engager la procédure judiciaire ... .
Le commissaire aux comptes (ou vous) peut avertir le syndic par une lettre ferme, mais polie, qu'il court le risque d'être mis responsable si le compte individuel ne soit pas à la fin soldé
Oui mais...le connaissant, cette menace ne va très certainement pas l'impressionner et tant que les manquements de gestion ne sont pas officiellement établis...
Mais pourraient-ils l'être vu que, confiants et peu conscients de l'ampleur des dégâts financiers, nous avons donné décharge de sa gestion à la dernière AG (il y a quelques mois).
De plus, entretemps, il a refusé de convoquer une AGE demandée par envoi recommandé signé par le quota légal requis. Cette AGE avait pour but de limiter les dégâts en obtenant l'annulation du vote d'un gros appel de fonds qui n'était pas aussi urgent qu'annoncé et ce en raison de l'insolvabilité du mauvais payeur dont il est chargé de vendre le bien (j'espère que vous me suivez !). La jurisprudence que j'ai trouvée est assez virulente à l'égard d'un tel refus du syndic, refus qui va à l'encontre de la souveraineté de l'AG des coproprios.
Pour vous monter comme il n'est pas vite inquiet...
Avez-vous eu connaissance d'un cas similaire où l'assurance est intervenue alors qu'il n'y avait pas de jugement ?
Il est fort probable, si l'AG le veut, que ce syndic doit solder lui-même le compte individuel négatif du vendeur, après l'avoir majoré des intérêts et indemnités qui auraient du être demandés
Si je vous comprends bien, vous dites que le syndic apurerait, de sa poche, les charges impayées et ce sur simple décision de l'AG, sans jugement qui le condamne à le faire ??? J'en doute fort vu que ce syndic ne se sent aucunement responsable de la situation désastreuse de la copropriété (mais plus de sous pour prendre un avocat et mettre en cause sa responsabilité !).
Mais il est possible qu'il appliquera la loi de 2010 (Art. 577-11 CC je crois).
L'article 577-11/1 dit que Lors de la signature de l'acte authentique, le notaire instrumentant doit retenir, sur le prix de la cession, les arriérés des charges ordinaires et extraordinaires dus par le cédant. Toutefois, le notaire instrumentant devra préalablement payer les créanciers privilégiés, hypothécaires, ou ceux qui lui auraient notifié une saisie-arrêt ou une cession de créance.
Comment le syndic peut-il soutenir qu'un accord entre le vendeur et l'acquéreur sur le sort des charges impayées puisse faire échec à cette disposition ?
Je précise que dans notre cas, il y a peu de chance que le créancier hypothécaire soit totalement désintéressé par la vente, d'où mon inquiétude.
Merci pour votre réponse.
Bonjour,
A ma grande surprise j'apprends que notre syndic, celui-même qui n'a pas fait son boulot en, entre autres, ne réclamant pas de grosses charges impayées pendant plus d'un an, est mandaté pour vendre l'appartement du copropriétaire défaillant condamné à un plan d'apurement qu'il ne respecte pas (vente de gré à gré).
Outre le fait que le syndic nous a caché (par omission) cette activité, la situation me dérange. N'y a t-il pas là un conflit d'intérêts ?
Autre question: un accord dans le contrat de vente qui mettrait les sommes impayées (échues) de la copropriété à charge du nouvel acquéreur serait-il valable et opposable aux créanciers hypothécaires (le syndic prétend que oui) ?
Merci d'avance.
Citation :Dommage que vous ne soyez pas notre syndic !
Dieu m'en préserve...

Si vous ouvrez 12 posts pour le même problème, il ne m'est pas possible de faire le lien entre tout cela.... et je suppose que c'est pareil pour les autres intervenants.
Oups...ce n'était pas un reproche
.
En fait, concernant la copropriété, au cours du temps plusieurs questions se greffent sur une situation problématique et c'est pour ça qu'à chaque fois j'aborde un sujet dans un post différent.
En l'occurrence, je parlais de mon post (très technique) qui traitait d'un éventuel privilège qui nous permettrait de récupérer la part impayée des travaux lors de la vente.
Ca semble très compliqué car autour de moi, on ne sait pas me répondre.
Ceci étant dit, après avoir fait une recherche sur vos messages, j'ai pu constater que mes réponses étaient constantes: poursuivre en justice au plus vite pour limiter les pertes....
Ben oui
. Dommage que vous ne soyez pas notre syndic !
Un jugement n'est pas "flou". C'est oui ou c'est non. C'est exécutable ou non exécutable...
Vous verrez....
Visiblement, vous avez gagné votre procédure, même si le juge accorde un plan d'apurement.
Nous n'avons rien gagné.
Le copropriétaire ne conteste pas sa dette (je ne vois pas sur quelle base il pourrait le faire) et avait demandé le plan obtenu.
Il veut simplement retarder au maximum la vente de son appart alors que sa situation financière ne va pas s'améliorer (sauf s'il espère gagner au Lotto mais je ne compte pas trop sur ça). Et, comme je le disais, en attendant sa dette augmente et les travaux urgents sont compromis.
Si je compare avec les plans d'apurement des baux de location, le plan d'apurement devrait imposer le payement des nouvelles échéances. A défaut, il vous est loisible de procéder par voie d'huissier.
Je le pense aussi mais le jugement est vraiment flou sur ce point.
Si ce n'est pas le cas, il vous est possible de relancer une nouvelle procédure! Et le juge devrait être moins accommodant..
C'est ce qui va être fait. Et cette fois-ci, les autres CP comptent se défendre !
Le propriétaire occupe-t-il le bien? Ou est-il loué?
Il occupe le bien.
Ceci étant dit, je ne comprends toujours pas pourquoi l'important appel de fond n'a plus lieu d'être...
Nous ne voulons pas payer notre part dans les travaux, envisagés mais non encore votés, tant que nous n'avons pas la garantie que la part impayée pourra être privilégiée lors de la vente (càd la garantie que nous pouvons nous "servir" avant le créancier hyptohécaire).
Cette part correspond au double de ce qui est déjà dû par le CP défaillant (et ce n'est pas fini).
Il est préférable selon nous d'attendre la fin du litige avant de payer quoique ce soit pour pouvoir nous retrouver avec un nouveau propriétaire solvable lorsque le bien sera vendu (nous ne pouvons malheureusement pas postposer les charges "ordinaires" !!).
J'ai expliqué le souci en détail dans un autre post mais je n'ai pas reçu de réponse
.Cela prouve que ce n'est pas évident !
les intervenants du site n'ont pas l'habitude d'utiliser la langue de bois, sans verser dans les insultes.
En effet, raison pour laquelle je consulte souvent ce forum et que j'y puise des informations très utiles.
Cette AG a eu lieu quand?
Si plus que 4 mois elle doit être exécuté.
L'AG a eu lieu il y a 2 mois.
SI le syndic ne veut pas réunir une AGE, alors il faut réunir les signatures de CP, avec au moins 20% des quotités, et lui envoyer le tout par recommandé et attendre 30 jours.
Merci. Entre temps, j'ai retrouvé l'article de loi qui dit en effet cela. Nous réunissons les signatures suffisantes.
Malheureusement, nous ne pouvons attendre 30 jours car l'exigibilité de l'appel de fonds que nous voulons annuler est fixée fin juin.
Si vous voulez mettre la RC du syndic en cause, il faut d'abord élire un nouveau syndic, puis déterminer les dégâts, être certain que le lien causal existe entre le syndic et ces dégâts existe, puis proposer à l'AG d'attaquer ce syndic devant le Tribunal de 1ère instance en application de l'Art. 1382 e.a. et demander réparation..
Nous n'en sommes pas là (pas de nouveau syndic en vue).
Quant au lien de causalité, il nous semble évident mais le serait-il pour le Juge ? J'ai des doutes....
Ce que nous reprochons au syndic:
-Avoir laissé un copropriétaire ne pas payer ses charges pendant plus d'un an et ce malgré le fait que nous savions que des travaux très coûteux devraient bientôt être effectués (d'après les comptes annuels, seulement 2 rappels, dont nous n'avons pas la date, lui ont été envoyés);
-Ne pas tenir compte des demandes (malheureusement orales et informelles) du CdC et des autres copropriétaires qui s'inquiétaient de la situation mais qui avaient confiance en sa gestion (syndic récent);
-Avoir seulement agi après une demande plus pressante d'un membre du CdC (moi) et ne pas avoir informé spontanémment celui-ci de l'évolution du litige et du jugement prononcé en notre défaveur et dont le délai d'appel est dépassé.
Le jugement accorde en effet un plan d'apurement ridicule jusqu'à la fin de l'année et ne semble pas imposer le paiement des nouvelles échéances (??) qui ne sont bien sûr pas payées. En outre, aucun argument en notre faveur n'a été avancé pour contrer la demande du copropriétaire défaillant (puisque nous n'avons été ni averti de l'évolution ni sollicité en rien). Or, nos arguments sont nombreux et le copropriétaire défaillant nous a déjà dit qu'il n'avait pas les moyens de payer sa part dans les travaux qui sont pourtant incontournables (puisqu'il ne paie déjà pas ses charges "ordinaires"!).
Il refuse toutefois de vendre, le temps augmente considérablement sa dette à l'égard de notre (petite) copropriété et cette dette ne pourra être récupérée via la saisie du bien acheté +/- récemment.
Si des membres du CdG/CdC ont interférés dans les tâches du syndic, alors ils doivent aussi être mis en cause.
Nous n'avons pas interféré dans les tâches du syndic et celui-ci ne nous accorde pas beaucoup d'importance.
D'ailleurs notre trop grande confiance et notre manque d'"agressivité" à son égard pourraient-ils atténuer le lien de causalité entre sa négligence notoire et la situation financière catastrophique de la copropriété ?
Bonjour,
En raison de nouveaux évènements survenus depuis la dernière assemblée générale, plusieurs copropriétaires souhaitent faire annuler un vote fait à cette assemblée et relatif à un important appel de fonds qui n'a plus lieu d'être et qui risque de nous être préjudiciable.
Pratiquement, comment faut-il faire (quotas ? vote par écrit possible ?...) ?
Autre question: à partir de quand peut-on envisager sérieusement une action en responsabilité contre un syndic dont la négligence et le "je-m'en-foutisme" vont coûter chers à la CP ?
Ce genre d'action a t-elle des chances de succès ou faut-il que le syndic ait tué quelqu'un pour que le juge ne s'émeuve de la situation (second degré !!) ?
Quelqu'un a t-il une expérience à relater en la matière ?
Je sais que cette question ne va pas plaire aux syndics de ce forum qui répondent souvent diligemment et correctement aux questions posées mais comme dans tous métier, il y a des compétents et des incompétents...
Merci d'avance.
La question est de savoir avec qui est réalisé le contrat.
Si le contrat est réalisé au nom de l'ACP, vous êtes solidaire. Vous ne pouvez vous désolidariser de votre propre chef.
Je pensais en effet demander une copie du contrat à la syndic.
Toutefois, je crains qu'il ait été conclu au nom de l'ACP (je ne vois pas au nom de qui autrement).
Existe t-il une possibilité de conclure un contrat où chaque copropriétaire est responsable de ses consommations (pour l'avenir) ?
La vraie question est de savoir pourquoi votre syndic ne poursuit pas en justice le propriétaire en dette. Quitte à faire vendre l'appartement en question.
Oui, c'est en effet la vraie question et sur 10 proprios, je suis la seule à me la poser.
Après 1 an de charges impayées, j'ai enjoins la syndic d'agir et nous attendons un jugement. Mais vu la longueur de la procédure de vente forcée, je suppose que nous sommes repartis pour encore 1 année à payer pour nos voisins (qui pourront se prélasser dans de bons bains et mettre le chauffage à fonds en hiver).
En outre, d'autres problèmes financiers s'ajoutent à celui-ci (gros travaux urgents). J'en ai parlé dans un autre post mais je n'ai malheureusement pas trouvé de réponse.