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En copropriété, les statuts font la loi des parties, sauf s'ils s'opposent à une disposition impérative. Le règlement de copropriété s'applique donc à tous les copropriétaires. Les frais sont donc à imputer à ceux qui ont exercé la faculté prévue à l'article 577-6 & 2, sauf si cette disposition est contredite par une autre, plus spécifique, dans les statuts (acte de base, règlement de copropriété ou règlement d'ordre intérieur).
Toutefois, si l'ordre du jour de cette AGE vise l'intérêt de toute la copropriété (rare), que chaque copropriétaire pourrait en retirer un avantage et pas seulement ceux qui ont initié la procédure, l'imputation du coût de cette assemblée pourrait être différente puisqu'il n'y aurait plus uniquement de l'intérêt personnel.
Pour éviter que deux messages ne se télescopent j'invite Pim à installer une petite lampe rouge clignotante avec la mention "Quelqu'un répond à ce message" comme sur Messenger !!
La difficulté, et non des moindres, est de déterminer ce qu'est l'intérêt commun.
Quelle est pour vous, Persévérant, votre définition de l'intérêt commun ?
Est-ce la somme des intérêts individuels ou une notion beaucoup plus abstraite ?
L'expérience vécue dans mon ACP m'a démontré que cet intérêt commun variait uniquement parce que l'on avait changé de syndic .
L'ACP a ainsi dû, supporter des frais exorbitants pour deux actions contradictoires entreprises au cours de la même année au nom de ce soi-disant intérêt commun.
Comme vous, Immorp, je suis très impatient de connaître ces avis !
La solution la moins chère dans une acp non conflictuelle où les statuts prévoient l'unanimité est de décider de la modification des statuts à faire valider en conciliation (de manière abusive, puisque vous n'aurez jamais tous les mandats en main), et d'attendre 3 mois pour le délai de forclusion.
Si personne ne va en justice contre la décision abusive, elle devient définitive. Vous pouvez alors faire le nécessaire...
Voilà un sujet qu'il serait intéressant de soumettre aux orateurs lors du colloque, "La journée des copropriétaires", organisé prochainement par le CNIC .
Que peut faire un copropriétaire devant de telles méthodes ?
PIM, nos messages se sont croisés mais je constate que nous nous rejoignons.
Encore merci à vous.
C'est vrai que j'ai été virulent sur la certification... comme quoi, on change il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis...
Pour ce qui est de l'IPI, des bruits de couloirs me font dire que tout n'est pas parfait. Mais le présent forum est-il le lieu?
Ayant dû déserter le forum durant quelques mois pour des raisons de santé, j’ignorais que vous aviez changé d’avis concernant la certification !
Quant au problème de l’IPI, si ce forum n’est certes pas le lieu pour solutionner les problèmes de son organisation, il doit être l’occasion de pouvoir soulever les problèmes existants qui touchent directement les copropriétaires.
Aussi, je tiens à remercier PIM pour son ouverture d’esprit en m’ayant laissé cette occasion.
Curieusement, il y a un an, presque jour pour jour, un débat animé avait lieu sur ce site à propos d’un sujet marathon, 48 interventions vues 433 fois !!, au sujet de la très controversée « certification de qualité pour les syndics » instaurée par le SNP.
J’invite tous les visiteurs à relire ce sujet.
https://www.pim.be/forum/messages.php?i … ge_index=3
PIM avait voulu me rassurer sur le rôle de l’IPI.
Je le cite:
…C'est ce qui explique sans doute (notamment) le succès électoral de Réflexions Immobilières.
Ce qui montre aussi, indirectement, que la plus grande majorité des agents immobiliers agréés souhaite que l'IPI fasse son travail correctement.
L'ancienne majorité CIB est encore au pouvoir de l'IPI jusqu'au 8 février prochain.
Je suis bien placé pour savoir qu'il y a vraiment beaucoup de pain sur la planche pour rectifier le cap du paquebot IPI.
Erik DECKERS
Pim's webmaster (notamment...)
Un an plus tard, Grmf, et à vous lire, il semblerait que l’on mette des bâtons dans les roues de la nouvelle équipe dirigeante.
Merci Luc pour votre explication.
Je suis entièrement d'accord avec ce que vous dites et j'attends depuis des années les statuts de cette entité juridique.
Cette absence de statuts profite bien évidemment au syndic qui la gère....ceci expliquant cela !!
Comme vous, Grmf, je dis que le cas cité ne redore pas la profession d’agent immobilier et ne crédibilise pas l’IPI. Il confirme une de vos interventions précédentes :
Je vous cite:
Perso, et malgré tout le respect que j'ai envers la nouvelle équipe, j'attribue les mêmes qualités à l'IPI qu'à la justice... lente et inefficace.
Je prie certes pour que cela change, mais je ne me fais pas d'illusion: les intérêts des uns et des autres sont trop divergeants. Les prises de positions sont trop exacerbées. Et il y est encore trop question de gros sous mal dépensés, avec trop de dirigeants qui ont les mains liées par les vrais décideurs, cachés.
Grmf!
Moi aussi, Grmf, j’ai mis beaucoup d’espoir dans la nouvelle équipe dirigeante. Votre propos ne me rassure pas.
Je pense qu’il est inutile d’en rajouter sur ce sujet, mais je peux vous assurer que ce cas a fait beaucoup de dégâts collatéraux.
Qui est le vrai responsable ?
Le stagiaire est agent immobilier à part entière. Tant qu'il est sur la liste des stagiaires, il a donc droit d'être syndic à part entière.
Le maître de stage n'a à mon sens aucune responsabilité des actes du stagiaire, face aux clients du stagiaire.
Vous confirmez bien ce que l’IPI m’a toujours affirmé, à savoir que les tiers doivent considérer un agent immobilier stagiaire comme un agent immobilier à part entière.
En consultant hier le site de l’IPI, j'ai constaté que le règlement interne prévoit, en ce qui concerne l'élection des membres des 4 organes de l’IPI, le Conseil National, le Bureau, les Chambres exécutives et les Chambres d'appel, le respect de certaines règles, notamment :
l’élection parmi tous les agents immobiliers titulaires.
Cela signifierait que l’IPI ne reconnaît pas ses agents stagiaires comme des agents, des membres, à part entière ou pas suffisamment aptes pour élire ses dirigeants!
Y-aurait-il une méfiance à l'égard de ces agents qui sont cependant reconnus aptes par l'IPI à gérer notre patrimoine ?
N’y-a-t-il pas là une contradiction ?
En ce qui concerne votre avis sur la durée du stage, vous dites que tant que l’agent reste inscrit sur la liste des stagiaires il reste un agent à part entière.
Ah bon !!
Je peux vous citer le cas de mon ancien syndic qui est inscrit sur la liste des stagiaires depuis …le 4 juin 1999, soit depuis 6 ans et demi !!!!!
Or le règlement de stage prévoit :
Art. 10 Le stage est accompli en Belgique pendant une période ininterrompue d'un an.
Art. 16 §1. Au terme du stage, et au plus tard trois ans après inscription à la liste des stagiaires, le stagiaire demande, par lettre recommandée, son inscription au tableau des titulaires de la profession.
Ce syndic, inscrit en régime néerlandophone, a été omis en décembre 2003 pour stage anormalement long, en effet, la période de 3 ans était déjà dépassée.
Or, en janvier 2005 cet agent s’est réinscrit sur la liste francophone mais avec le même numéro d’agréation.
L’IPI ne pouvait donc ignorer son statut passé, mais il semble que l’IPI n’a plus tenu compte de l’inscription initiale de juin 1999.
Dans ces conditions, cet agent disposerait, selon l’art.16 du règlement de stage, de la possibilité de rester inscrit sur la liste des stagiaires jusqu’en décembre 2008.
Est-ce normal ?
On peut imaginer qu’en janvier 2009 il s’inscrira alors sur la liste germanophone et resterait ainsi un agent immobilier à part entière jusqu’en 2012. Il lui restera 2 ans pour atteindre l’âge de la retraite mais il aura bien berné l’IPI qui l’avait poursuivi pour exercice illégal de la profession d’agent immobilier en 1997.
Ne serait-il pas utile, à l’instar de ce qui se fait pour l’annuaire des avocats, d’indiquer la date de début de stage et la date d’inscription sur la liste des titulaires ?
Pour Zitoun: il est impossible d'avoir trois ACP et deux syndics pour une chaufferie. Une chaufferie est une partie commune d'une et seulement une copropriété forcé, suivant une décision de la Cour de Cassation.
Je pense Luc que vous avez mal compris, il y a 3 ACP qui ont chacune leur syndic, mais il y a une chaufferie commune à ces 3 ACP qui est gérée par un seul syndic.
Nous avons donc droit à 2 assemblées générales distinctes, une pour notre ACP et une pour le "Parc chauffage" et ces 2 syndics utilisent la même méthode abusive pour faire passer leurs desideratas.
Ce sujet fait suite aux préoccupations de chn47 en particulier mais aussi de toute ACP devant choisir un nouveau syndic.
Quelques questions me préoccupent.
Quel est le statut de l’agent immobilier stagiaire IPI ?
Est-il un agent immobilier à part entière ?
Le maître de stage est-il responsable de la gestion de son stagiaire et/ou jusqu’où va sa responsabilité ?
Quel est le statut du stagiaire à la fin de son stage puisque celui-ci dispose de trois ans, soit deux ans après la fin du stage, pour introduire sa demande d’inscription sur la liste des agents titulaires ?
En effet :
Art. 16 §1. Au terme du stage, et au plus tard trois ans après inscription à la liste des stagiaires, le stagiaire demande, par lettre recommandée, son inscription au tableau des titulaires de la profession.
Merci de m’éclairer sur ces points délicats.
La solution la moins chère dans une acp non conflictuelle où les statuts prévoient l'unanimité est de décider de la modification des statuts à faire valider en conciliation (de manière abusive, puisque vous n'aurez jamais tous les mandats en main), et d'attendre 3 mois pour le délai de forclusion.
Si personne ne va en justice contre la décision abusive, elle devient définitive. Vous pouvez alors faire le nécessaire...
En cas de plainte à l'IPI contre un syndic "indélicat" qui utiliserait cette pratique, y-aura-t-il une sanction sur le plan déontologique ?
Je recite l'art.3 du code de déontologie...mais entièrement cette fois:
art.3 Dans l'exercice et à l'occasion de l'exercice de la profession, l'agent immobilier se conforme à la loi et aux principes de dignité et de discrétion inhérents à la profession; il s'abstient de tout acte qui porte atteinte à l'honneur de la profession.
Pas de tarif officiel. Chaque syndic fait le tarif qui lui plait... et qui plait à l'assemblée.
Le tarif IPI de 2002 comptait 20 euros par mois et par appartement, plus tout un tas d'autres frais (lettres, assemblées, tenue des registres, ...)
En effet, il n'y a plus de tarif recommandé par l'IPI.
En raison de mon expérience malheureuse de copropriétaire, je me permets de vous donner quelques conseils lorsque vous prospecterez :
1/ vérifiez si ce syndic est bien inscrit comme agent agréé IPI.
2/ vérifiez aussi auprès de l’OCA (Office de contrôle des assurances, www.cdv-oca.be ) si ce syndic n’est pas inscrit comme intermédiaire d’assurance …et donc qu'il sera intéressé aux primes que votre copropriété souscrira.
Un copropriétaire averti en vaut deux.
3/ préparez un cahier des charges avec vos souhaits concernant la gestion de VOTRE bien par le syndic et particulièrement la question de la gestion des sinistres de la copropriété. Seul ce cahier des charges vous permettra de comparer objectivement les offres des différents syndics.
4/ demandez au syndic de clairement tarifer ses missions légales, extraordinaires et complémentaires. A cet effet, je vous renvoie aux directives de l’IPI :
- l’art. 38, selon lequel le syndic agit conformément à un cahier des charges détaillé contenant les différentes énonciations de cet article ;
- l’art. 38 d, qui prévoit qu’en cas de gestion multilingue d’une copropriété, elle fait l’objet d’une rémunération supplémentaire à préciser dans le mandat ;
- l’art. 39, al. 2, qui stipule que toute mission complémentaire du syndic fait l’objet d’une convention distincte.
Le nouveau code de déontologie a malheureusement supprimé ce qui suit, mais je vous invite à le rajouter dans la convention qui liera le syndic à votre copropriété :
Toute autre rémunération, sous quelque forme que ce soit, est interdite.
Cela inclut le commissionnement pour les travaux que le syndic jugerait utile de vous imposer.
5/ refusez les offres « TOUT compris », sans autre spécification, car le tout compris ne concernera certainement que les missions légales (par ailleurs non spécifiées !)… et les surprises ne tarderont pas.
6/ demandez les références des deux dernières années de gestion de ce syndic et contactez ces copropriétés…et peut-être davantage celles que ce syndic a perdues.
7/ en bref, je peux vous assurer que l’offre la moins chère, parce que non détaillée, s’avère souvent la plus chère dans les faits.
Croyez-moi, on n’est jamais assez prudent.
Sorry, je déteste les fautes d'orthographe, alors lisez:
Mais quel "truc" donnez-vous aux copropriétaires minoritaires pour contrer un syndic abusif ? Et croyez-moi, cela existe aussi, je les ai même rencontrés !
Si je suis d'accord sur le fond avec Zitoun et Luc, il est impossible de tout régler par AG.
Vous avez beau croire que "coordonner n'est pas modifier", je pense que cela est faux. Coordonner, c'est modifier le texte.
Or, dans de nombreuses AG, c'est l'unanimité des propriétaires présents à l'AG ou absents de l'AG qui est requise.
Ma proposition vise donc à réduire la possibilité de minorités abusives. Et cela aussi existe...
Il est exact qu'il existe des minorités abusives de copropriétaires qui bloquent toute décision et vous donnez un moyen abusif, donc illégal, pour les contrer.
Pourquoi ne faites-vous pas appliquer l'art. 577-9 §7 qui stipule clairement:
Lorsqu'une minorité de copropriétaires empêche abusivement l'assemblée générale de prendre une décision à la majorité requise par la loi ou par les statuts, tout copropriétaire lésé peut également s'adresser au juge, afin que celui-ci se substitue à l'assemblée générale et prenne à sa place la décision requise.
Cela me semblerait légal et plus honnête et respecterait l'art. 3 du code de déontologie IPI:
Dans l'exercice et à l'occasion de l'exercice de la profession, l'agent immobilier se conforme à la loi et aux principes de dignité .....
Mais quel "truc" donnez-vous aux copropriétaires minoritaires pour contrer un syndic abusif ? Et croyez-moi, cela existe aussi, je les ai mêmes rencontrés !
Bonjour Luc,
nous avons eu tous les deux la même réaction face à l'inacceptable.
La solution la moins chère dans une acp non conflictuelle où les statuts prévoient l'unanimité est de décider de la modification des statuts à faire valider en conciliation (de manière abusive, puisque vous n'aurez jamais tous les mandats en main), et d'attendre 3 mois pour le délai de forclusion.
Si personne ne va en justice contre la décision abusive, elle devient définitive. Vous pouvez alors faire le nécessaire...
C'est ce que l'on appelle de l'abus de pouvoir du syndic et malheureusement ils sont de plus en plus nombreux à connaître ce petit truc que vous venez de révéler.
Croyez-vous Grmff que c'est de gaieté de coeur que l'on introduit une action en justice ?
Croyez-vous que l'on dépense avec plaisir 250 Euros (lorsque l'on est capable de se passer d'avocat) rien que pour des frais de citation ?
Dans ma copropriété, par suite d'un "parc chauffage" commun à trois immeubles je suis confronté à deux syndics qui abusent de cette technique et ne s'en cachent d'ailleurs pas.
Que peut-on faire pour contrer de tels abus ?
Zitoun

.....il faudra respecter les majorités requises par l’art.577-7 du C.C.
Une majorité des trois quarts des voix est requise pour toute modification aux statuts pour autant qu'elle ne concerne que la jouissance, l'usage ou l'administration des parties communes;
Idem pour la création et de la composition d'un conseil de gérance qui a pour mission d'assister le syndic et de contrôler sa gestion;
Une majorité des quatre cinquième des voix est requise pour toute autre modification aux statuts, en ce compris la modification de la répartition des charges de copropriété.
Vous oubliez de citer le §1er de cet article:
Sous réserve de conditions plus strictes fixées par le règlement de copropriété, ......
Dans de nombreux actes de base, toute modification des statuts requiert l'unanimité des copropriétaires de l'immeuble.
S'il s'agit seulement de mettre l'acte de base en conformité avec la nouvelle (!) loi de 1995, il n'est pas nécessaire de faire intervenir un notaire puisque cette loi est impérative. Vous éviterez des frais énormes.
Faites une photocopie des 4 pages du Moniteur et insérez-les dans les actes de base. Vous en serez quitte pour moins d'un euro par copropriétaire.
Il n'y a pas que les pro qui profitent de l'occasion pour féliciter PIM.
Bravo pour ce forum qui permet aux non professionnels de poser leurs questions mais aussi de donner des avis, des conseils, faire part de leurs expériences, heureuses et/ou malheureuses, dans le domaine de l'immobilier et aux professionnels d'y répondre avec courtoisie et humour...même parfois grinçant
Un tout grand bravo à PIM pour sa dernière newsletter qui est un aide-mémoire indispensable pour tout qui s'intéresse à l'immobilier. Aide-mémoire tellement volumineux que je n'ai eu le temps que d'en parcourir les titres mais visité quelques liens.
Pour un site qui n'a pas la prétention de défendre les propriétaires ou copropriétaires, son aide est précieuse et les références vers d'autres sites fait preuve d'une grande ouverture d'esprit.
Dommage que la réciproque ne soit pas toujours de mise !
A propos de statistiques, Pim peut-il nous dire le nombre de membres fréquentant le forum "copropriété" ?
Le Code Civil a écrit :§2. Sans préjudice de l'article 577-8, §4, 1°, l'assemblée générale peut être convoquée à l'initiative d'un ou de plusieurs copropriétaires possédant au moins un cinquième des quotes-parts dans les parties communes.
...et l’art.577-8 §4,1° du Code Civil stipule que:
le syndic est chargé de convoquer l’assemblée générale aux dates fixées par le règlement de copropriété ou à tout moment lorsqu’une décision doit être prise d’urgence dans l’intérêt de la copropriété.
En clair, si vous récoltez 20% des quotités vous pouvez demander l’organisation d’une AG, mais c’est au syndic qu’il appartient de la convoquer.
Toutefois, si malgré cette demande le syndic manquait à son devoir de convoquer une AG, vous pouvez la convoquer et l’organiser vous-mêmes.
Je possède une jurisprudence (J.P. Anderlecht, 29/11/2002) qui a reconnu à une majorité de copropriétaires le droit d’avoir organisé eux-mêmes cette AG pour désigner un nouveau syndic au motif que l’ancien syndic négligeait de l’organiser mais également qu’il refusait de communiquer la liste des copropriétaires.
Je précise que par la faute de ce syndic professionnel, seuls 59 copropriétaires sur 98 avaient été convoqués !!!