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Ici dans La Libre
Les prix de l'immobilier sont repartis à la hausse au premier semestre 2010
Et la même info, mais de manière + circonstanciée dans Trends ici (lien)
avec ce commentaire:
"Sur les six premiers mois de l’année, il s’est échangé en Belgique quelque 65.000 biens sur le marché immobilier, soit 56.211 logements et 8.572 terrains exactement, selon les derniers recensements fédéraux. Comparativement aux 130.579 ventes recensées l’an dernier sur le marché secondaire (revente), l’activité se maintient, même si, depuis 18 mois, elle a fondu de près de 8 %. On est loin, sur base annuelle, des 141.000 échanges enregistrés en 2008 encore, alors que la crise frappait déjà l’esprit des consommateurs.
Globalement, les propriétaires vendeurs ont fait le gros dos et gardé plus longtemps leur bien en vente, histoire de soutenir les prix. Ces derniers, globalement, se maintiennent partout. Seules les villas piquent du nez là où leur prix avait anormalement gonflé ces dernières années, poussés par une demande débridée par endroits, comme dans certaines communes bruxelloises ou luxembourgeoises, proches de la frontière grand-ducale."
(suite dans le lien supra)
Hors ligne
Ici dans La Libre
Les prix de l'immobilier sont repartis à la hausse au premier semestre 2010
La commune la plus chère est Lasne (prix moyen de 350.846 euros) et la moins chère est Florenville (74.455 euros).
Par rapport au premier semestre 2009, les prix des maisons et des appartements ont augmenté d'environ 5% et ceux des terrains à bâtir ont bondi de 14% en Belgique sur les six premiers mois de l'année 2010, annonce vendredi le SPF Economie dans un communiqué.
En Belgique, au premier semestre 2010, une maison d'habitation ordinaire coûtait en moyenne 177.775 euros, contre un prix moyen de 169.310 euros à la fin de la même période en 2009. Les villas ont augmenté de 5,4% et coûtent désormais en moyenne 314.852 euros, tandis que le prix moyen des appartements a progressé de 5,5% pour atteindre 184.598 euros.Pour les terrains à bâtir, les prix ont grimpé de 14,4% et s'élèvent en moyenne à 103,6 euros/m2, contre 90,5 euros/m2 un an plus tôt.
Selon le SPF Economie, les tendances sont "à peu près similaires" en Wallonie et en Flandre.Ainsi, une maison d'habitation ordinaire se vendait en moyenne, au premier semestre, à 135.774 euros (+3,4%) en Région wallonne et à 188.630 euros (+4,1%) en Région flamande.
En Wallonie, le Hainaut est la province la moins chère avec un prix moyen de 117.856 euros pour une maison d'habitation ordinaire et le Brabant wallon est la plus chère avec un prix moyen de 213.097 euros. La commune la plus chère est Lasne (prix moyen de 350.846 euros) et la moins chère est Florenville (74.455 euros).
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Il faut reconnaître que le titre ne reflète aucune réalité tangible.... Preuve s'il en est que les journaleux n'y comprennent rien du tout!
Titre et introduction corrigés par Le Soir dans l'intervalle:
"Un baromètre de l’immobilier anormalement en hausse"
"Une série de grosses transactions intervenues en juin ont provoqué une hausse artificielle du baromètre trimestriel des notaires, qui indique une progression de 23,9 % en juin."
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Ce ne sont pas les prix de l'immobilier qui flambent, c'est le prix de vente moyen.
Comme expliqué dans l'article, le marché des grosses bicoques était à l'Arrêt complet... et il a redémarré.
Il faut reconnaître que le titre ne reflète aucune réalité tangible.... Preuve s'il en est que les journaleux n'y comprennent rien du tout!
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On est reparti pour un tour dans le n'importe quoi !
Dans Le Soir de ce 15/07, ici
Les prix de l’immobilier flambent
Les maisons les plus chères, surtout à Bruxelles, ont connu des augmentations de prix conséquentes, rapporte l’Echo.
Au deuxième trimestre de 2010, le prix de vente moyen d’une maison a augmenté de 23,9 % par rapport au premier trimestre. Pour les appartements, la hausse est de 7,7 %.
C’est dans le Brabant wallon qu’on trouve la plus forte augmentation (+28,4 %). Bruxelles suit avec 23,2 %, alors que la province flamande qui a enregistré la progression la plus forte, la Flandre orientale, a vu ses prix moyens n’augmenter que de 15 %.
En trois mois, le prix moyen d’une unifamiliale à Bruxelles est passé de 286.000 à 350.000 euros environ, hors droits d’enregistrement de 12,5 %. Le même type de maison vaudra aujourd’hui 212.000 euros en Flandre et 150.000 euros en Wallonie.
Selon Bart van Opstal, de la Fédération royale du Notariat belge (FRNB), « il y avait sur le marché des biens de valeur plus importante qui se vendaient difficilement », malgré des taux hypothécaires favorables. Entre-temps, les banques ont adopté un comportement plus souple dans l’octroi du crédit, ce qui a facilité les ventes de ces maisons.
Du côté des professionnels de l’immobilier, on ne cache pas un certain étonnement, les hausses moyennes étant d’habitude à cette époque de 5 %.
(belga)
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L'immobilier en Belgique, et particulièrement à Bruxelles pour son large marché locatif, est un investissement de premier plan.
Les prix peuvent varier à la hausse ou à la baisse, mais sur le long terme, ils montent !
Le Belge a une brique dans le ventre, et nous avons un parc immobilier de qualité pour un prix abordable.
Investir dans son logement, c'est se garantir une certaine sécurité, avoir son "chez soi".
Et investir dans l'immobilier de rapport, c'est consentir à des efforts de gestion, accepter une taxation parfois assez lourde (PI + RC indexé s'ajoutant à l'ensemble des revenus taxables), mais c'est aussi se garantir un revenu régulier pour un investissement peu risqué et de long terme.
Il importe peu finalement que l'ensemble des prix fluctue à la hausse ou à la baisse sur une courte période. Le bon choix (achat, construction, localisation, environnement, évolution de l'environn ement, etc...) du bien à acheter, et le bon choix du financier pour le PH sont des critères plus importants je crois que les statistiques de prix...
Les prix de l'immobilier chez nous ne sont pas surfaits.
Maison ou actions ?
Pour "maison" tapez "1 "!!!
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Dans L'Echo
Un article qui illustre bien le niveau de qualité & qualification des "experts".....
Immobilier: ING rejoint les rangs des optimistes sur le marché belge
"De manière générale, on peut dire que les acheteurs sont revenus sur le marché (résidentiel belge) beaucoup plus tôt que ce que nous avions pu anticiper l’an dernier compte tenu de la violence de la crise économique", lit-on dans la dernière édition du "Focus Immo" de la banque ING (1). Un retour qui a eu "un effet stabilisateur (…) sur les prix", ce qui explique que "le creux de la vague ait été atteint (…) après seulement un an". Et que donc "la correction du marché aura finalement été nettement plus modérée que ce qu’il était possible d’anticiper".
Ce faisant, ING rejoint les rangs des optimistes. C’est un euphémisme, il serait sans doute plus exact de dire que la banque néerlandaise fait une croix sur le pessimisme qu’elle affichait il y a un peu plus d’un an. Un pessimisme dont l’exacerbation avait ému le marché et suscité de nombreux remous (voir "L’Echo" du 20 février 2009).
Il y avait de quoi : les analystes immobiliers d’ING prévoyaient rien moins que des diminutions de prix de 15 à 25 % dans les quatre ans, soit à l’horizon 2013. Ces prévisions ont rapidement été démenties par les faits puisque dès l’été dernier, plusieurs sources indiquaient que les prix des biens immobiliers étaient plutôt en voie de stabilisation, ce qui été confirmé depuis. On sait depuis que les prix du résidentiel n’ont baissé que de 2 à 4%, selon les sources. Les analystes d’ING le reconnaissent d’emblée puisque dès les premières lignes de l’étude publiée hier ils font état " d’une correction totale (qui) a atteint tout au plus 4,2% ".
On notera par contre que la banque néerlandaise persiste dans le constat que l’écart se creuse entre les prix de l’immobilier et le revenu des Belges. Un écart comblé jusqu’ici par le recours croissant aux apports personnels (des parents).
J.Bl.
(1) "Focus on the Belgian Real Estate", 25 mai 2010, ING."
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Ces comparaisons bruxelles et paris (ou londres, ou meme barcelona), c'est un peu comparer anderlecht et uccle. La localisation n'est pas un detail.
Les industries et les fortunes n'y sont pas les memes. De plus, les non-européens fortunés en quete d'un pied a terre en europe (un facteur determinant dans le haut de gamme a paris et londres) vont rarement choisir bruxelles (c'est pas un jugement de valeur sur bruxelles mais un simple fait statistique).
Et si Bruxelles est bas en comparaison a londre ou paris, il y a donc de bonnes raisons pour ca et c'est pas une anomalie temporaire du marché immobilier européen comme certains aiment a le rever.
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Prenons un peu de hauteur...
Dans Le Courrier International
Le studio de vos rêves
Si vous êtes un artiste et que vous ayez besoin d’espace pour créer, vous choisirez plutôt Berlin – une ville très étendue, donc moins chère que Francfort ou Hambourg – ou bien vous vous installerez à Madrid, où les prix de l’immobilier ont fortement chuté depuis deux ans, pour revenir à leur niveau de 2005. A Paris, en revanche, où l’espace est compté, vous aurez toujours du mal, sauf si vous allez en lointaine périphérie. Fin 2008, on pensait que le krach allait faire baisser les prix du mètre carré de 40 % en France : il n’en a rien été. Après s’être tassés en 2009, ceux-ci repartent à la hausse ce printemps, notamment au cœur de Paris !
Si vous êtes un simple particulier et que vous vouliez un pied-à-terre à Londres, il vous en coûtera 6 000 euros du mètre carré, soit trois fois plus qu’à Bruxelles, capitale cosmopolite très agréable, comme le note le Financial Times. Reste une autre solution : investir en Grèce, où la cure d’austérité devrait avoir un effet à la baisse sur les prix –ou carrément outre-Atlantique : à Manhattan, en raison de la crise et de la parité des monnaies, vous aurez à débourser “seulement” 400 000 euros pour un studio.
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Plus je lis Trends, Le Vif/L'Express et tous les dossiers du Soir, de l'Echo et autre journaleux, moins je leur fais confiance.
Disons que pour les chiffres, je leur fais plus confiance qu'aux agents immobiliers. Tout est relatif bien sur
Quant a une analyse, il faut pas demander la lune non plus.
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Plus je lis Trends, Le Vif/L'Express et tous les dossiers du Soir, de l'Echo et autre journaleux, moins je leur fais confiance.
Franchement, ils se contentent de répéter des choses qu'ils ont entendu sans comprendre, sans digérer, sans contenu rédactionnel, car ils n'y comprennent rien.
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Début d'une serie sur l'immobilier de Trends:
http://trends.rnews.be/fr/economie/actu … 325904.htm
La plus grosse baisse de prix est les villas sur bruxelles: -22% et ce malgré une augmentation de 2% du volume.
Enfin il semble que les journaleux n'ont pas suivi les conseils de trevi demandant d'eviter les nouvelles negatives ou alarmantes.
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Dans le haut de gamme Lasne/Waterloo, il y a d'autres facteurs structurels qui expliquent le changement long terme qui est en train de se produire: la diminution nette régulière et long terme des expats.
Oui. Y a encore eu une stat recement sur la diminution des investissements des companies US en Belgique.
Sur Lasne, il y a aussi l'espace enorme disponible (bien que la commune donne les permis de lotir a petit debit).
Enfin il faut esperer pour waterloo que l'exode des expats anglophones n'entrainera pas la fermeture de St John.
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Je rajouterai même que si, en temps qu'investisseur compulsif, vous voulez atteindre un certain niveau d'investissement, il vous faudra de nombreuses opérations.
Et si vous commencez petit, chaque année est une année perdue...
Il reste des opportunités, et même si cela baisse de 5%, votre banquier ne le verra pas. Et vous pourrez enchainer les opérations suivantes, et les remboursements de PH suivants.
Donc, une année perdue en début de "carrière", cela fait combien de % de raté en fin de carrière?
Le raisonnement reste donc valable à toutes les échelles. Pour votre maison modeste. Pour votre belle villa. Pour l'investissement pour vos vieux jours. Pour vos investissements immobiliers compulsifs. Le Belge ne s'y est pas trompé. Il a une brique dans le ventre.
Il y a juste que quand on lit les articles des dossiers spéciaux immobiliers du Trends/Vif/Express/Echo et autres journaleux, on se rend compte que ce n'est pas le journaliste qui aide le belge à investir...
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Au risque de me répéter, même avec une baisse de 4% sur une année particulière, celui qui a acheté reste gagnant par rapport à la location du même bien: en remboursant son PH en 20 ans, cela fait combien de % de remboursés?
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Dans Le Soir, sur base de chiffres statistiques officiels:
Le prix moyen des maisons a baissé en 2009
(vendredi 23 avril 2010, 11:42)
"Pour la première fois depuis de nombreuses années, le marché immobilier sur base annuelle n’a pas été dominé par la hausse des prix de ventes moyens.
C’est surtout dans le segment le plus cher - les villas - que les diminutions des prix ont été importantes, indique vendredi la direction générale statistique et information économique du SPF Economie. Le prix moyen des villas a en effet diminué de 316.338 euros (2008) à 300.816 euros (2009) en un an, soit une baisse de 4,9%.
Les prix des maisons d’habitations moins chères ont aussi baissé mais dans une moindre mesure. Leur prix moyen était de 172.656 euros en 2008 contre 172.005 euros en 2009, soit une légère baisse de 0,4%.
Le prix des appartements ont, quant à eux, poursuivi leur progression constante (+2%). Le prix moyen des appartements oscillait l’an dernier autour de 175.000 euros. Le quatrième trimestre 2009 a vu une très forte augmentation se manifester et les prix atteindre 183.473 euros par appartement.
Les terrains à bâtir ne connaissent pas la même évolution. Au contraire, la hausse des prix s’est légèrement accélérée ces dernières années. Les terrains à bâtir se font en effet de plus en plus rares, ce qui se répercute sur leur prix: au dernier trimestre de 2009, le prix moyen était de 97,5 euros le m2.
En Région flamande, une maison d’habitation ordinaire coûte en moyenne 183.867 euros, contre 134.232 euros en Région wallonne. "
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Dans le haut de gamme Lasne/Waterloo, il y a d'autres facteurs structurels qui expliquent le changement long terme qui est en train de se produire: la diminution nette régulière et long terme des expats.
Pour ce qui est des indices corrigés de l'inflation, avec les prix yo-yo du pétrole, et une situation spéciale (c'est le moins qu'on puisse dire) au niveau de l'index, c'est une bonne indication, mais à prendre avec des pincettes.
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L'indice trevi est a 108.94 pour le 1er trimestre, c'est a dire le niveau du 2eme trimestre 2006 sans tenir compte de l'inflation.
Il s'agit d'un indice des prix demandes et non des prix de vente.
Nos amis de chez Trevi font de tres gros efforts de 'cheerleading' et grondent meme les vilains journalistes qui publient des nouvelles negatives ou alarmantes. Ils admettent neanmoins que les ventes dans le haut de gamme restent anemiques... c'est le moins que l'on puisse dire sur certaines communes comme Lasne ou Waterloo
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C'est une analyse pour la France, mais c'est tout aussi pertinent pour la Belgique !
lire l'article complet sur http://www.universimmo.com/actu/uniactu … e_Code=579
Les chiffres, indices, baromètres et observatoires des prix de l'immobilier et des loyers se sont multipliés ces dernières années, mais la transparence du marché s'est-elle améliorée pour autant ? Pire : des polémiques ont ébranlé la confiance dans les indices publiés par des acteurs historiques tels la FNAIM (Fédération nationale de l'immobilier), poussant l'actuel secrétaire d'Etat au logement à demander une mise au clair des statistiques produites par les uns et les autres, y compris sur celles utilisées par ses services ! la mise à plat révèle malgré la profusion une singulière indigence de la connaissance fine des marchés immobiliers, notamment hors Ile-de-France, à laquelle les acteurs publics ou semi-publics - INSEE, notaires - ont peu de chance de remédier...
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Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
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