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giannigianni a écrit :
Pour les mainlevées je suis d'accord. Je me demande pour l'inscription en 2e rang, si le premier donne son accord. Reste que les recherches hypothecaires ne seraient pas necessaires mais l'accord des creanciers oui. Quant à l'obligation du Notaire, il a bien certe un'obligation envers l'acquereur (peut on le dispenser?) mai je me demande s'il faut faire tout ça quand l'acte de vente a seulment valeur declaratif. J'ajoute qu'il ne s'agit pas de vrais vente mais une serie de cessions de quotites dans le partie communes...
C'était trop beau : pour une fois, cela avait l'air simple. Mais cela n'a pas duré longtemps
"il ne s'agit pas d'une vraie vente mais une série de cessions de quotités dans les parties communes" ??? : faudra qu'on m'explique...je vais donc en rester à la question supplémentaire simple: si inscription en 2e rang, faut-il l'accord du premier rang ?
A ma connaissance, non : celui qui a le premier rang est couvert en premier rang (= priorité) à concurrence du montant de son inscription. Cela ne change rien pour lui qu'il y ait 6 inscriptions derrière lui.Par contre pour un acheteur, s'il y a 7 inscriptions, il faut l'accord de mainlevée des 7.
Dans la vente d'une partie commune, les recherches hypothecaires et le mainlevees seraient necessaires pour rendre "quitte et libre" les quotes-parts dans les communs de chaque coproprietaire qui "cede" des milliemes pour ladite vente.
Donc personne vende son bien mais les creanciers de tous ceux qui ont un credit hypothecaire seraient censées donner leur accord parce que un coproprietaire/appartement est passé de x/1000emes à x/1010emes.
On peut imaginer qu'on veut essayer de reduire les nombres de recherches et mainlevées sur chaque coproprietaire...d'où ma demande initiale toujours sans reponse...
Grmff a écrit :A mon sens, pour faire casser le bail, vous devrez passer en justice. Premier pas à faire: la conciliation. C'est gratuit, rapide et efficace si chacun est de bonne volonté.
Remarques: ce n'est pas malhonnête de sous-louer pour plus cher. C'est juste malin...si c'est légal. Le bail le prévoit-il?
Bonjour,C'est interdit sur le bail, ... mais très difficilement prouvable.
En gros, il reconnait qu'il n'exploite pas le terrain, mais le met "à disposition" (donc gratuitement) à un tiers.
Tiers, qui lui, déclare ne rien payer bien entendu !
De ce fait, il n'y a pas de moyen de prouver l'infraction.
Malin, oui, sûrement, mais surtout malhonnête !
Verifiez bien la sous location sous quelque prétexte que ce soit, même à titre gratuit. Si elle est interdit...
Lu en France
"la cour de cassation conclut que dès l'instant où une parcelle est mise à disposition à titre gratuit, elle n'est pas soumise au statut du fermage et n'est pas caractéristique d'un bail rural (verbal ou écrit). La personne qui en bénéficie n'a aucun droit et son propriétaire peut la récupérer à tout moment sans formalité. En cas de litige, le tribunal d'instance est compétent."
giannigianni a écrit :
Merci mais la question est toujours la: Est le notaire obligé toujours de faire des recherches hypotecaires? Ce cui coute le plus sont les recerches, le certificat, etc. quand ici on a besoin que d'un tout petit mainlevée...
Ben oui
Il y va de la sécurité de l'acheteur...Quid si par exemple il y aurait une inscription en 2e rang pour une autre banque ?, s'il y a des dettes fiscales ?, etc.
Le Notaire a l'obligation d'obtenir TOUTES les mainlevées requises pour que la vente puisse avoir lieu et il n'a donc pas le choix que de faire ces recherches officielles pour avoir un état exact de toutes les inscriptions existantes...
Pour les mainlevées je suis d'accord. Je me demande pour l'inscription en 2e rang, si le premier donne son accord. Reste que les recherches hypothecaires ne seraient pas necessaires mais l'accord des creanciers oui. Quant à l'obligation du Notaire, il a bien certe un'obligation envers l'acquereur (peut on le dispenser?) mai je me demande s'il faut faire tout ça quand l'acte de vente à seulment valeur declaratif. J'ajoute qu'il ne s'agit pas de vrais vente mais une serie de cessions de quotites dans le partie communes...
giannigianni a écrit :
Essayons de faire un example pratique, je sais que vous aimez pas les questions tordues ou entonnoires, mais c'est ne pas vraiment sa que je cherche:
Dans un meme acte de vente je vois qu'il y a une inscription hypotecaire sur deux biens 1 appartement et 1 garage a deux adresses differents.
Je suis interessé par le garage (meme pas par pour le garage mais un quotite que le garage a dans des parties communes - sic).
Est le notaire obligé toujours de faire des recherches hypotecaires?
Pour moi il s'agit soit de faire transferer l'hypotheque sur le seul appartement soit reduire l'hypotheque avec l'accord du creancier.Ah ! Voilà. Je préfère effectivement une question précise. Et elle l'est.
L'approche doit être, à mon avis, la suivante. Il ne s'agit pas d'un problème de transfert d'hypothèque.
Lors de l'achat par M. X du bien "appartement + garage", la banque a pris inscription sur le tout, à savoir l'appartement situé à l'adresse machin et le garage situé à l'adresse truc.Monsieur X veut vous vendre le garage (et pas l'appartement), mais évidemment le prix de vente du seul garage ne va pas "purger" son hypothèque totale.
Il n'y a pas lieu de faire un transfert d'hypothèque (elle existe déjà), mais plutôt d'obtenir l'accord du créancier hypothécaire de donner mainlevée de son inscription prise sur le garage, à l'occasion de la vente de celui-ci.
Cette mainlevée ne devrait pas poser de problème si le créancier hypothécaire considère que son inscription existante réduite au seul appartement (sans le garage) le garantit à suffisance dans le cadre du prêt consenti à Monsieur X.
Il faut voir aussi si ledite créancier hypothécaire voudra ou non recevoir le prix intégral du prix de vente du garage (qui viendra alors en réduction du montant total du prêt à rembourser; ne pas oublier dans ce cas que la partie remboursée anticipativement génère une indemnité de réemploi)
Moralité: pour obtenir cette "mainlevée partielle" (uniquement sur le garage) nécessite l'accord du ou des créanciers hypothécaires.
Moralité 2: opération effectivement assez coûteuse en frais et honoraires notariaux...
Merci mais la question est toujours la: Est le notaire obligé toujours de faire des recherches hypotecaires? Ce cui coute le plus sont les recerches, le certificat, etc. quand ici on a besoin que d'un tout petit mainlevée...
Bonjour, et merci pour le lien.
Il s'agit bien (et c'est assez anormal) d'un bail à ferme.
Le lien est très intéressant, néanmoins, il n'est pas noté (ou ais-je mal lu), les dispositions de résilliation si le bail signé n'est pas exact. A savoir, que : jamais il n'aurait dû être permis de signer un bail à ferme avec une personne ne rentrant pas dans les critères (exploitation, diplômes recquis, ...).
Est-il possible de faire casser ce contrat vu l'absence complète des conditions, et dans ce cas, qui est "responsable" de l'erreur, en quelques mots : les signataires de la fabrique sont-ils juridiquement responsables et risquent-ils des ennuis. (NB : les signataires de l'époque ne font plus partie du comité, ou même décédés)
Merci de m'apporter vos lumières.Grmff a écrit {)ail à ferme ou pas bail à ferme? Pas facile de savoir... La matière du bail à ferme est délicate, et peut-être coûteuse. N'étant pas spécialiste, je me contente de vous copier coller le lien vers la loi:
Loi sur le bail à ferme
Voir ici:
Loi sur les baux à ferme
Travaux loi bauil à ferme
Fisconet
A lire un peu les choses me semble que si il y a eu "contravention" et/ou "s'il abandonne la culture, s'il ne cultive pas en bon père de famille" etc. vous pouvez resilier le bail...
Mais un avis d'avocat peut etre utile....
Sur la sous-location il me semble que: "L’interdiction ou l’autorisation de sous-location devra également être clairement stipulée, ainsi que l’imputation de tous les nouveaux impôts qui pourraient survenir suite aux travaux du preneur (fermier). L’état d’assolement et de fertilité de la terre à la fin du bail doit aussi être stipulé".
"
giannigianni a écrit :PIM a écrit :Donc, s'il y a, par exemple, transfert d'hypothèque, cela veut dire qu'il y a mainlevée sur l'immeuble 1, puis inscription sur l'immeuble 2
Il ne s'agit pas de la transferer à un tier mais de transferer l'inscription sur un autre bien.
Notaire.beRelisez ce que j'ai écrit...
transfert = mainlevée/radiation inscription sur immeuble 1 + inscription sur autre immeuble.
je ne parle donc pas de "personnes" ni de "tiers", mais d'immeubles
Bon je ne vois pas la reponse à ma question...
Essayons de faire un example pratique, je sais que vous aimez pas les questions tordues ou entonnoires, mais c'est ne pas vraiment sa que je cherche:
Dans un meme acte de vente je vois qu'il y a une inscription hypotecaire sur deux biens 1 appartement et 1 garage a deux adresses differents.
Je suis interessé par le garage (meme pas par pour le garage mais un quotite que le garage a dans des parties communes - sic).
Est le notaire obligé toujours de faire des recherches hypotecaires?
Pour moi il s'agit soit de faire transferer l'hypotheque sur le seul appartement soit reduire l'hypotheque avec l'accord du creancier.
giannigianni a écrit :Dans quelle mesure les recherches hyphotecaires du notaire sont obligatoires selon la loi?
Si par example il y a eu reduction de l'inscription par jugement ou on sait que l'hypotheque sera transferée, pourquoi faire des recherches très couteuses?Vous mélangez les concepts.
L'inscription hypothécaire est attachée à l'immeuble concerné, pas aux personnes concernées.
Donc, s'il y a, par exemple, transfert d'hypothèque, cela veut dire qu'il y a mainlevée sur l'immeuble 1, puis inscription sur l'immeuble 2Lors de la vente de l'immeuble 1, celui-ci doit être, au moment de l'acte, libre de toute charge hypothécaire.
Aux Etats-Unis, il est possible de vendre un immeuble avec son prêt.
En Belgique, non. La dette hypothécaire n'est pas transférable à un tiers.
Il ne s'agit pas de la transferer à un tier mais de transferer l'inscription sur un autre bien.
Notaire.be
Moralité: les recherches hypothécaires sont indispensables, car l'acquéreur achète l'immeuble sans ses dettes. S'il doit, par exemple, contratcer lui-même un prêt, sa banque devra pouvoir prendre inscription en premier rang (et pas derrière d'autres inscriptions existantes).
Je cherche de savoir si plutot les recherches sont obligatoires selon la loi et devoir du notaire quand on sait deja l'operation qui doit etre faite. Si par example je dois transferer ou reduir l'hypotheque que je sais qui existe je ne suis pas interessé à demander un certificat trentennaire mais simplement à contacter l'organisme preteur...Si il y a eu un jugement qui reduit l'inscription je ne dois pas forcement faire des autres recherches ou bien le notaire est obligé toujours à faire ses demarches?
Dans quelle mesure les recherches hyphotecaires du notaire sont obligatoires selon la loi?
Si par example il y a eu reduction de l'inscription par jugement ou on sait que l'hypotheque sera transferée, pourquoi faire des recherches très couteuses?
Bonjour,
Voici une ptite astuce ... La façon la plus simple pour trouver le nom du propriétaire d'un bien en région bxloise, c'est d'aller rue Joseph Stevens n°7 (8ième étage) à 1000 Bxl. C'est l'administration du cadastre du ministère des finances. Ils ne fournissent pas de renseignements par téléphone. Uniquement par fax au 02/552 54 00.
Ca coûte 4,20€ pour 5 renseignements, et c'est 5,50€ pour obtenir une matrice cadastrale. Voilààà, ... ça peut toujours être utileEt j'en profite pour saluer le SNP, qui indiquait dans le dernier cri qu'un investisseur dans le résidentiel locatif à titre particulier (ou un propriétaire bailleur en général), ... c'est aussi, et d'abord un petit épargnant.
Et enfin, courez découvrir Michel de Kemmeter en librairie.
Bien à vous
Benoît Postiau
Pour la matrice cadastrale meme au 9eme etagé du meme adresse...
Et si après vouz voulez en savoir plus (example inscription hypotheque, transcription actes, etc) chez les Hypotheques - Rue de la Regence 54 Bruxelles. 9.50 € consultation orale ou provision 50 € pour certificat trentennaire.
Je suis sur le point d'acheter un appartement loué depuis 1989 avec bail 9 ans. On me dit que je n'ai pas le droit de prendre possession des lieux avant 2007, date d'expiration d'un nouveau bail de 9 ans. Raison invoquée : la date de signature du bail (1989) qui était antérieure à la nouvelle loi qui dit que le locataire doit quitter les lieux moyennant un préavis de 6 mois en cas d'occupation par le propriétaire ou un membre de sa famille ...
Merci de m'éclairer !
TM
Ici vous trouvez la reponse
Portail fédérale .be Belgique
giannigianni a écrit :
1. Le Code civil
Les articles 1754, 1755 et 1756 du Code civil donnent une liste exemplative des réparations qui doivent être supportées par le locataire ou le bailleur.Art.1754. - Les réparations locatives ou de menu entretien dont le locataire est tenu, s'il n'y a clause contraire, sont celles désignées comme telles par l'usage des lieux, et entre autres, les réparations à faire: aux âtres, contre-coeurs, chambranles et tablettes des cheminées; au récrépiment du bas des murailles des appartements et autres lieux d'habitation, à la hauteur d'un mètre; aux pavés et carreaux des chambres, lorsqu'il y en a seulement quelques-uns de cassés; aux vitres, à moins qu'elles ne soient cassées par la grêle, ou autres accidents extraordinaires et de force majeure, dont le locataire n'est pas tenu; aux portes, croisées, planches de cloison ou de fermeture de boutiques, gonds, targettes et serrures.
Art. 1755. - Aucune des réparations réputées locatives n'est à la charge des locataires, quand elles ne sont occasionnées que par vétusté ou force majeure.
Art. 1756. - Le curement des puits et celui des fosses d'aisances sont à la charge du bailleur, s'il n'y a clause contraire.
Tout ceci sauf clause ou convention contraire. Licites en principe, ces clauses contraires obéissent à cette tendance constante de la jurisprudence en matière de baux à loyer, que toute dérogation au droit commun qui a pour effet d'agraver la situation du locataire, nécessite une rédaction formelle et précise (Albert Pauwels et Paul Raes, manuel permanent des baux à loyer et commerciaux)
Il faut donc rédiger ces clauses avec attention... Exemple de clause licite et qui ne peut être contestée: "Le locataire s'engage à exécuter tous travaux d'entretien, même ceux incombant au bailleur, y compris les réparations dues tant à la vétusté qu'à la force majeure"
Je sais que dans les baux commerciaux on a tendence à l'utiliser. Moi je ne signerais pas un contrat avec une clause pareil. Une telle clause ne permet pas au locataire de prouver son absence de faute et exonere le bailleur de toute responsabilite alors que je ne vois pas pourquoi un locataire doit payer un cas de vetusté, force majeure ou cas fortuit. De toute facon à mon avis la contropartie pour le preneur d'une telle clause serait de demander un loyer plus bas...
Citation :Grmff a dit Branche tellement grosse qu'elle dépassait chez le voisin, à cheval sur la haie.
Le voisin, a cheval sur sa haie, ..... au trot ou au galop ?
Plus sérieusement:
Suivant ma bible des dégâts locatifs ; « Les arbres de haute futaie sont des produits de la terre ; le locataire ne peut les abattre ou les couper. Lorsque pareils arbres sont brisés ou abattus par accident, le locataire doit en aviser le propriétaire et l’inviter à les enlever.
Et bien voilà la force majeure...mais sur le voisin à cheval sur sa haie Grmff ne ma dit rien...Mais il faudra lui dire de decendre
Peso, je sépare tous mes investissements:
un invest = 1PH+1SRD+1assurance...
Pas de mélange, c'est mieux.
Oui le montage n'est pas evident mais il pourrait y avoir un interet de deductibilité fiscale (meme avec effet retroactif de six mois) à un avoir une seul.
Par contre on paurrait avoir deux ASRD croisé non deductibles fiscalment qui visent le non paiement des droits de successions sur la partie du capital versé par l'assureur qui dépasse la partie de la dette de l'assuré.
Voila que je conseille aussi d'etudier la partie fisc.
giannigianni a écrit :
Il faut voir si une telle clause qui exonére la responsabilité du bailleur ne serait pas une clause abusif et vexatoire....Jusqu’à présent, les obligations concernant les entretiens et les réparations sont librement fixées par les parties dans la convention de bail….
Une clause mettant tous les entretiens et les réparations à la charge du preneur, même celles qui incombent normalement au bailleur, est parfaitement licite.
Il en va de même pour les dégâts occasionnés lors d’un vol, ou des réparations dues à un cas fortuit ou à la force majeure.
Il n’y a la rien d’abusif ou de vexatoire !
Les lois sur la protection du consommateur n’ont rien avoir avec un bail, qui est un contrat librement consenti entre deux parties. On ne peut parler de clauses abusives que dans un contrat conclu entre un commerçant (un professionnel) et un consommateur. Je me trompe ?
1. Le Code civil
Les articles 1754, 1755 et 1756 du Code civil donnent une liste exemplative des réparations qui doivent être supportées par le locataire ou le bailleur.
Art.1754. - Les réparations locatives ou de menu entretien dont le locataire est tenu, s'il n'y a clause contraire, sont celles désignées comme telles par l'usage des lieux, et entre autres, les réparations à faire: aux âtres, contre-coeurs, chambranles et tablettes des cheminées; au récrépiment du bas des murailles des appartements et autres lieux d'habitation, à la hauteur d'un mètre; aux pavés et carreaux des chambres, lorsqu'il y en a seulement quelques-uns de cassés; aux vitres, à moins qu'elles ne soient cassées par la grêle, ou autres accidents extraordinaires et de force majeure, dont le locataire n'est pas tenu; aux portes, croisées, planches de cloison ou de fermeture de boutiques, gonds, targettes et serrures.
Art. 1755. - Aucune des réparations réputées locatives n'est à la charge des locataires, quand elles ne sont occasionnées que par vétusté ou force majeure.
Art. 1756. - Le curement des puits et celui des fosses d'aisances sont à la charge du bailleur, s'il n'y a clause contraire.
Pour couper court à ce genre de discutions, pourquoi ne pas prévoir dans le bail ce qui suit :
"Le preneur s'engage à effectuer les réparations dues à un cas fortuit ou à la force majeure"
Il faut voir si une telle clause qui exonére la responsabilité du bailleur ne serait pas une clause abusif et vexatoire. L'assurance incendie du bailleur pourrait meme couvrir ces types de dommages suit à tempete.
En general "Le cas fortuit ou la force majeure dégagent le locataire si les circonstances de la survenue des dommages satisfont aux conditions requises. Ces expressions désignent un événement extérieur à une personne, qui s'impose à elle, et qui est à la fois imprévisible et insurmontable, c'est-à-dire dont elle ne pouvait éviter les effets. Il peut s'agir d'une tempête exceptionnellement violente qui arrache les volets alors que le locataire avait pris toutes les précautions utiles pour prévenir ces dégâts".
Dans un petit immeuble,9 app,sur 5 ét,et 1 rez commercial à gauche.
Cette partie gauche se compose d'1 commerce et un bureau,totale-
ment indépendant même les entrées.Le propriétaire actuel désire ven-
dre la partie bureau ou la totalité.La division existe en pratique,le seul
changement est 1 ou 2 propriétaires.Rien ne change ni au bât ni au
terrain. Pourquoi changer les quotités de l'immeuble ? Et sur quelles bases ? La personne qui propose les modifications doit-elle les justi- fier? Ts les propriétaires doivent donner leur accord à l'AG prévue à cet effet. Que peut-on faire contre un propriétaire qui sans être in- formé des raisons de ces modifs ne donne pas son d'accord? Quid en cas de prêt hyp avec garantie de l'appart et l'acte reprend les quotités pour les communs de cet app?Quid le prêteur et modif acte? Joseph
En AG pour changer les quotites il faut l'unanimité des coproprietaires. Bien sur il faut la justifier très bien tant en droit qu'en faits (comme devant le Juge de Paix). Comme en AG une tel unanimité est difficile mais on pourra envisager l'unanimité des voix en deuxieme convocation. Mai sur cette deuxieme majorité il faudra verifier car la loi est muette.
Devant la Justice de Paix:
Tout copropriétaire peut demander au juge de rectifier :
1° la répartition des quotes-parts dans les parties communes, si cette répartition a été calculée inexactement ou si elle est devenue inexacte par suite de modifications apportées à l'immeuble.
Pour le reste le notaire s'occupera de la modification et trascriptions des nouveaux status.
Chez moi, une grosse branche s'est cassée sous l'effet de la neige il y a 10 jours. Mais une vraiment très grosse branche, qui se trouvait à 10m du sol: impossible de la balayer... (preuve est donc faite que je ne pouvais pas intervenir...
Comme c'était un résineux, on élague pas les résineux.
Branche tellement grosse qu'elle dépassait chez le voisin, à cheval sur la haie.
Je serais locataire pas équipé d'une tronçonneuse, j'aurais demandé au proprio d'intervenir.
Il me semble qu'alors vous avez le condition pour invoquer la responsabilité du bailleur.
Et le vosin n'a jamais dit rien?
Il faudra aussi voir l'etat des lieux parce que si on peut aussi prouver que le proprietaire n'a jamais entretenu l'arbre dans le passé et les arbres n’avaient pas pu pousser en si peu de temps de l'entrée du locataire la responsabilité du proprietaire est plus claire
Toutefois le fait que le locataire n'a pas la tronçonneuse ou ne peut pas monter à 10 m ne le libere pas de la responsabilité d'une entretien... Surement il peut invoquer la force majeure de ne devoir pas se reveiller la nuit, monter sur l'arbre et le secuer pour faire tomber la neige
Un ami me pose une colle...
A qui incombent les frais (découpe + évacuation) pour les grosses branches cassées (neige) tombées dans le jardin de la villa louée ?
Au locataire ?
Au bailleur ?Est-ce de l'entretien à charge du locataire ou une "grosse réparation" à charge du bailleur ?
A la fois si les branches sont grosses et se sont cassées à cause du poid il se peut que n'ont pas fait l'objet d'elagage... Donc défaut d'entretien du locataire et sa responsabilité est engagé. Voir si mention est fait dans l'état de lieux? J'arrive à dire que si le jardin est privatif comme on est tenu à nettoyer le toit, les balcons, le trottoir etc. de la neige meme les arbres devraient l'etre pour eviter dommages.
Toutefois des réparations concernant des dégâts dus à la force majeure par exemple, les dégâts dus à une tempête sont à charge du bailleur.
Si il y a preuve d'un elagage recent le locataire pourra essayer d'invoquer la force majeure et alors c'est le bailleur qui paye. Mais je crois il faut toujours donner preuve d'avoir veiller à l'entretien du stile "balayer l'arbre"
Si la neige n'etait pas exceptionnelle c'est le locataire qui paye.
Resume sauf accord des parties, à mon avis doit etre le locataire qui paye.
Bonjour,
Voilà, j'ai une petite question à poser : lorsqu'on a un prêt hypothécaire en cours, avec une assurance solde restant du pour ce prêt, et que l'on contracte un 2ième prêt pour un 2ième bien, doit-on obligatoirement prendre une 2ième ASRD distincte ?
Merci d'avance
((=^.^=))
En principe vous pourriez demander d'augmenter le montant et la durée de couverture de la premiere à concurrence du deuxieme pret. Le montage n'est toutefois pas facile car e capital assuré est decroissant et correspond au solde de l'emprunt tel qu'on le retrouve mentionné dans le tableau de remboursement de chaque pret. L'assurance est couplée à un crédit dont le capital est amorti au fur et à mesure de la durée de celui-ci.
Il faut toujours savoir que la loi n'impose pas un ASRD et pouvez choisir librement le pourcentage du prêt qui vous souhaitez assurer. Donc coupler les deux couverture n'est pas facile et n'y peut etre il y a un interet à le faire si les percentages, les durée et les beneficiaires changent. Il faut voir si l'assureur est disponible au montage.
Grmff a écrit :Dans ma courte expérience, je n'ai jamais eu de cas de vandalisme entre le compromis et l'acte.
Et dans ma courte expérience, je ne connais personne qui a fait constater l'état de son bien par un huissier.
Bref, ce cas semble une fois de plus une pétaudière, dont l'auteur ne nous donne qu'une version minimaliste, sans donner les tenants et aboutissants.
En effet, il doit avoir eu une bonne raison de faire passer un huissier après compromis. Et quelqu'un doit avoir une bonne raison de faire du sabotage dans une maison.
Mon gros pif à la grosse louche me signalant une masse d'aléas et agendas cachés, après un court conseil (mais conseil tout de même...), je préfère le remballer là où cela va inévitablement finir: chez les avocats et les notaires.
Test de resistence pour une vie plus longue?