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Il y a aussi la solution de l'appel à un expert immobilier compétent, un géomètre par exemple
Ne pas oublier de tenir compte de la vétusté et de l'état initial de la peinture. La remise à neuf, sauf cas particulier, n'est jamais 100% à charge du locataire.
Il me semble que la rémunération et les conditions de prestation de service sont fixée par le juge dans son jugement.
J'ai parcouru le texte de votre lien mais je ne vois pas où il indique qu'une convention doit être conclue entre l'ACP et le syndic nomme par le juge. Ou cela m'a échappé dans le texte , ou votre lien est incorrect. A quel endroit est ce mentionné?
Selon moi, il ne faut pas de convention. Le jugement en fait office et est contraignant pour les parties. J'imagine très mal un juge désigne un syndic provisoire mais laisser aux parties le soin de délimiter sa mission, fixer sa rémunération , etc.
Conflit d'assurances: Dans les grandes compagnies d'assurance, ce type de situation est fréquent mais ne pose généralement pas de problème .
Si c'est un expert qui établis l'ELS, il peut faire signer un document, mandat ou ordre de mission par le locataire et procéder à la visite sans lui.
J'ai souvent des cas pareils et on arrive très souvent à une solution.
Il faut tenir bon, la fin de location est un événement de vie important qui mérite une demi journée de congé. Généralement on ne déménage pas tous les 6 mois !
Ce sujet dérape !
Pour la question initiale, si la terre n'est pas conforme pour un cap en particulier, comme il s'agit d'une "partie commune", seule la copropriété peut intervenir. Comme c'est urgent étant donné que dans le cas d'un renforcement de compteur notamment, la cie d'électricité ne veut/peut placer ou ouvrir un compteur, la mise aux normes peur être décidée par le syndic, qui fait pour le bon ordre avaliser sa décision a l'AG suivante.
Je ne vois vraiment pas la de quoi couper les cheveux en 4.000.000 !
Normalement l'état des lieux de sortie, lorsqu'il est bien établi, reprend le détail des clés remises, comme les index des compteurs, le montant de l'indemnité compensatoire, la nouvelle adresse du locataire, etc.
Des décisions hors AG à l'unanimité sont très difficiles à obtenir, surtout lorsque vous voyez les problèmes pour des décisions en AG avec des simples majorités qualifiées. Il suffit d'une seule personne qui ne répond pas pour bloquer une décision requérant l'unanimité.
Il me semble qu'une installation de 1950 qui n'a fait l'objet d'aucune rénovation n'est plus aux normes et l'excuse que les autres cp s'en accommodent n'est pas valable . Si l'ascenseur n'est plus aux normes, il n'y a pas de choix, on l'arrête où on le met aux normes. Ici, peut on se passer d'électricité ?
Selon moi, mais je ne suis qu'un ancien syndic dont le côté "gestionnaire d'immeuble" était assez reconnu dans les acp dont je m'occupait, il y a obligation de la copropriété a mettre à disposition des CP une mise à la terre conforme. Pour moi, c'est indiscutable !!!
Faut-il retarder les travaux pour avoir une décision d'AG ? C'est contreproductif et coûteux ! Seule une lecture orientée de la la législation donnerait l'impression à certains qu'il ne faut pas effectuer ce travail... A charge de l'ACP !
J'ai été confronté a ce problème il y a quelques années lorsque j'étais syndic et j'ai décidé, seul , de faire réaliser une misez la terre réglementaire suite à la demande d'un propriétaire qui faisait des travaux. J'ai estimé qu'il s'agissait de travaux de peu d'importance et assez urgent mais qui ne justifiait pas le coût d'une AG extraordinaire. L'électricien habituel de l'immeuble est intervenu, sur base d'un devis comparé avec 2 autres. Et l'AG suivante à validé ma décision. Le coût était je crois de l'ordre des 700 €.
Il m'est arrivé d'aller en justice pour des principes, ou pour 25€, ou parce que je n'aime pas qu'on me ch.. dans les bottes. Il faut examiner chaque cas, mais personnellement j'estime préférable de risquer d'investir à perte dans une action en justice que de le regretter pendant des années.
N'oubliez pas que vous devez avoir la preuve de cette destruction !
On est parfois surpris de la suite de certains dossiers.
J'ai fait condamner un locataire qui avait déjà quitté les lieux aux paiements des loyers "oubliés", etc. sans trop y croire mais je devais agir par voie de justice dans ce cas là.
Le locataire est vraiment très peu solvable et "exotique".
Cela fait près d'un an que je reçois de l'huissier des versements ± réguliers. La dette est presque entièrement apurée, y compris les frais d'huissier et de justice !
Je ne peux pas vous fournir la référence légale mais le principe me semble indiscutable: on ne peut détenir de clés d'un bien pour lequel on ne jouit d'aucun droit sans accord du propriétaire ou du détenteur d'un droit. Donc les clés réalisées par les locataires doivent être données au propriétaire, avec éventuellement remboursement du coût, ou détruite. Il suffit d'une bonne pince pour plier et casser une clé. J'explique très souvent cela à des locataires et je n'ai que peu de contestation. J'ai régulièrement détruit des clés. à partir du moment ou vous avez la preuve que des clés supplémentaires ont été réalisées, il faut que leurs destructions soit également indiscutable, soit devant vous ou un témoin comme l'expert lors de l'état des lieux.
Mais pour faire simple, et comme on a toujours besoin de clés, à votre place je rachète les clés.
actuellement la procédure normale pour une vente en lot est la suivante:
un géomètre mesure et dresse un plan de division qu'il communique au "cadastre" qui lui donne un n° de pré-cadastration.
Sur base de ce plan de division, le notaire établi un acte de division, ou un acte de base !
Ici si c'est simplement pour louer, il suffit (sic) d'avoir une autorisation (permis) de l'urbanisme communal considérant qu'il y a 2 logements dans le bien !
@ apilou. L' "expertise préalable", c'est toujours dans le cadre d'une succession ou d'une déclaration de valeur lors d'une cession ou acquisition d'un bien immobilier. Autrement on parle d'évaluation....
Pas perdre de vue que l'important est la valeur du bien qui est acceptée par l'administration.
Généralement , les experts désignés pour ce type d'expertise, de commun accord par l'administration et les héritiers, sont expérimentés et reconnus.
La valeur au m2 est bien sûr différente pour un appartement ou pour une cave et un garage.
Selon moi, le syndic ne peut pas appliquer cette décision de l'AG prise sur base de renseignements frauduleux. L'appliquer alors qu'il est informé de cette irrégularité (si elle est importante bien sur) serait une faute professionnelle. Toujours selon moi !
De la même façon, le conseil de copropriété avisé de ce problème devrait, dans sa mission de contrôle du syndic, lui signifier le risque à appliquer cette décision.
C'est typiquement un cas de grivèlerie locative que certains voudraient voir sanctionnée. Et je suis pour !
Votre locataire avait un boulot, donc, tentez quand même l'action en justice de paix. Faites un constat avec des personnes témoins de confiance, pas de votre famille ni amis, avec beaucoup de photos.
Faites parvenir votre dossier au SNPC, même si vous n'êtes pas membre !