Lien vers la video online de l'émission de "On n'est pas des Pigeons" diffusée ce mercredi 14/5/2014
(à partir de 9 min 30)

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Oui c'est vrai!! Mille mercis.

Ils se chargent de reprendre les clés et puis vous les donnent en mains propres pour éviter au locataire de vous les rendre en direct.

Surprenant alors que j'assiste toujours aux ELS en personne...

Oui parce que je travaille avec lui depuis des années et que ces rapports sont tout simplement parfaits.

Elle ne s'est même pas donné la peine de venir au tribunal.

Le bail a été résolu en date du 28 février et j'ai obtenu 2 mois d'indemnité de rupture, 2 mois d'indemnité de relocation et une indemnité journalière d'occupation jusqu'à totale libération des lieux.
le jugement a été prononcé le 14 mars et depuis blackout total.

La signification va être faite d'un jour à l'autre...puis il faut encore attendre un mois.

Je n'aurais jamais pensé qu'il faille aller jusqu'à l'expulsion...il s'agit d'une villa au milieu d'une vaste propriété...

Citation :Elle semble solvable?? 

Quand ils se sont présentés comme candidats locataires, ils avaient le relevé des biens dont ils avaient confié la gestion à une agence...

Bon Monsieur est dédédé en cours de bail et je ne sais pas qui va devenir propriétaire de quoi et si on peut saisir des biens appartenant à une succession?

C'est évidemment le but de ce forum: partager des informations et récolter les succès des uns et des autres pour mieux pouvoir rédiger les requêtes face à des locataires indélicats.

Il est donc primordial de savoir si les Juges donnent suite à ce genre de demande ou si elles sont rejetées d'office.

Excellent travail de recherche

Merci de partager ces infos qui vont être utiles à plus d'un.

Pour ma part, voici deux extraits de ma citation, validée par un avocat spécialisé :

"Que dès lors, il est impératif de résilier sans délais la convention de bail, aux torts et griefs du défendeur, moyennant le paiement d’une indemnité, et de réduire le délai d’expulsion de l’article 4 de la loi du 30 novembre 1998 (art. 1344quater du Code judiciaire), d’autant que le défendeur ne loge pas sa famille dans les lieux loués, qu’il ne relève pas de l’assistance sociale, et que la fin du bail a été annoncée dès le ***"

"le requérant sollicite la validation du congé avec effet au *** et faculté d’expulsion dans les huit jours de la signification du jugement à intervenir, et au plus tôt à partir du ***"

N.B. : pour demander l'expulsion endéans 8 jours, je fais état du fait que le congé a été donné plus de 3 mois avant la fin du bail, que le bail était de un an, et que donc le preneur savait devoir quitter les lieux bien à l'avance