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Feed back :
j'ai finalement accepté de ne pas en faire une question de principe comme le conseillait Francis. L'expert de mon locataire a fait le relevé des index, et des qq dégâts locatifs, il m'a rendu les clés à temps, j'ai récupéré l'appart. aussitôt.
Et le lendemain, on s'est mis d'accord par téléphone pour une évaluation amiable des dégâts à charge du locataire.
Reste évidemment le point le plus délicat : la récupération des arriérés càd :
a. l'indemnité de rupture de 3mois (clause prévue dans le bail de courte durée) mais l'expert me dit que je ne pourrais prétendre qu'à 2 mois puisqu'on est dans la 2de année du bail (jusqu'où tenir bon ?!)
b. le solde de charges réelles
c. le montant des dégâts locatifs
Sachant que la garantie de 3 mois est bloquée sur un compte bancaire, et qu'elle est insuffisante, je reviendari donc vous raconter la suite.
Bonsoir,
en parlant "expert" avec une connaissance, j'apprends qu'elle - en tant que bailleur - avait désigné un expert pour l'état des lieux de sortie conjointement avec le locataire; Dans son cas aussi, le locataire rompait anticipativement son bail et devait payer à 100% les honoraires de l'expert, comme précisé dans le bail.
L'état des lieux de sortie a lieu, à heure et à temps, toutes les parties sont présentes. Un mois après, toujours pas de rapport de l'expert ni évaluation des dégâts, ni décompte des charges réelles (ce dernier point faisant explicitement partie de sa mission sur base de la convention d'accord de résiliation signée entre parties et devant le Juge de paix à une audience de conciliation).
Mon ami téléphone à l'expert pour connaître la raison du retard de traitement de ce dossier. La réponse est que les honoraires, envoyés aux locataires, n'ont pas (encore) été payés;
donc, pas de paiement, pas de rapport de sortie.
C'est pas très déontologique cela, non ?
Les locataires n'ont pas intérêt à payer (dégâts locatifs et charges de chauffage supérieurs à la garantie locative) mais plutôt à laisser traîner, voir à enterrer le dossier.
L'expert a été désigné par les deux parties dans une convention signée à une audience de Justice de Paix, donc il devrait remplir sa mission, remettre son rapport et mettre en oeuvre les procédures de récupération de sa créance auprès de qui de droit.
Qu'en pensez-vous ? Y a-t-il un expert parmi vous qui connaisse les us et coutumes de cette profession ?
Par avance merci pour lui.
>>Craignez vous des dégats locatifs ou non?
- Non, pas de dégâts locatifs exagérés à première vue.
>> Votre locataire a t il payer tous ses loyers?
- Oui, mais pas le décompte des charges réelles; ni les 3 mois d'indemnité de rupture conformément au bail de 3 ans résilié anticipativement par le locataire après 18 mois,
Il y a une garantie bloquée sur un compte bancaire équivalent à 3 mois, donc il me reste à récupérer le montant des charges réelles(+/-500 euro).
Je devrai probablement saisir la JPaix pour débloquer la garantie et récupérer le solde de charges
>>Votre bail prévoit-il de mettre à charge du locataire les frais d'expert en cas de résiliation ou rupture à ses torts?
- OUI.
Merci pour votre suivi et vos conseils judicieux.
Suite du feuilleton :
Le nouvel expert désigné par le locataire m'a contactée cet après-midi pour m'informer du rdv pour l'état des lieux de sortie prévu aujourd'hui à 17h30 (sic).
Il m'a expliqué que :
- il n'était pas au courant de la désignation d'un autre confrère, et
- que le locataire était libre de se faire assister par l’expert de son choix, et même, qu’il valait mieux que chacune des parties ait son propre expert …
- comme l’expert initial n’avait pas été désigné PAR ECRIT avec document signé, il n’était pas vraiment mandaté et que le locataire peut encore annuler le rdv de lundi,
- qu’en mon absence, aujourd’hui à 17h30, il ne pourrait y avoir d’expertise de sortie (ah bon, quand même !)
MAIS :
Qu’est-ce qu’on fait si le locataire annule l’expert initial de lundi,
conserve son second choix pour l’expert à la sortie – alors que je n’ai point marqué mon accord (tout le monde sur PIM m’encourageant à tenir ma position fermement)
et que moi, je veux garder l’expert initial ?
QUI PAIE QUOI (normalement : état des lieux de sortie à charge exclusive du locataire sortant pour rupture de bail) ?
à la limite : le locataire serait-il redevable des honoraires pour les deux experts ???
Ou alors, chacun paie le sien.

MERCI pour vos promptes réponses.
Je pensais bien m'en tenir au rdv initial.
J'ai bien entendu essayé de recontacter "notre" expert, sans succès. Et, le locataire ne mentionne pas explicitement de nom d'expert, il est dit "(...) l'expert viendra le 30/9 à telle heure ...".
D'où mon interrogation.
Merci à PIM, le pragmatique webmaster : je m'en vais de ce pas écrire une lettre recommandée pour confirmer le rdv initial à toutes les parties.
Bonjour, bonsoir,
une petite question de divergence de vue :
mon locataire et moi devont faire un état des lieux de sortie pour une fin de bail au 30/9 (oui, après-demain!), nous avions convenu de prendre le même expert qu'à l'entrée (il y a 18 mois), expert dont les honoraires sont à sa charge puisqu'il rompt le bail avant terme. Cet expert nous a signalé qu'il était à l'étranger cette semaine et nous avions dès lors convenu d'un rdv lundi 4/10 (n'ayant pas de candidat locataire pour octobre, j'ai accepté, la locataire aussi selon les dires de l'expert), toutes ces discussions pour se mettre d'accord ont eu lieu par e-mails via l'expert (il y a comme un froid entre mon locataire et moi - voir un des mes autres sujets).
Jusque là, pas de problème.
Aujourd'hui je reçois une lettre ordinaire - pas recommandée - dans laquelle le locataire me prévient unilatéralement que l'expert viendrait ce jeudi à 17h30 !?
Alors, bluff, mystère? (je deviens peut-être moi-même parano ...
).
Je suppose que le locataire essaie de faire un état des lieux de sortie amiable (càd gratuit pour lui) ou avec une connaissance (experte ou non).
Sinon, l'expert m'aurait prévenue directement par e-mail ou téléphone !
Enfin, j'ai l'impression que ce locataire - qui m'a ennuyée (...pour rester polie) depuis le début du bail par des procédures en JP, qui ne LUI ont rien rapporté mais qui M'ont coûté - veut s'en tirer à bon compte.
Ma question est simple :
"quid si ce locataire annule in extremis la visite de l'expert désigné de commun accord (mais désicion pas mise par écrit recommandé) convenue initialement le 4/10 ?
Si l'expert désigné vient quand même à ma demande faire la sortie lundi 4/10, devrais-je payer ses honoraires, entièrement ?
et son rapport sera-t-il opposable au locataire sortant (qui aura peut-être un rapport d'un autre expert) ?"
Chaque fois que je pense en avoir fini avec ce locataire, il y a un rebondissement - dont je vous ferai part, of course
!
C'est vrai qu'il y a longtemps mais il me semble me souvenir ...
- avoir d'abord fait une recherche type Google pour accéder à des bases de données juridiques (minutes de jugement ou jurisprudence) sur des matières immobilières,
- être arrivée sur le site d'un bureau d'avocat (Demine)
- votre site y était référencé pour un forum de discussion
et alléluia, j'ai pu découvrir votre site super utile et efficace.
Cela peut sembler saugrenu sur un forum immobilier, mais c'est bien un point problématique qui se pose à moi en tant que proprio de logement donnés en location. L'immeuble dispose d'une chaudiière commune et de vieux radiateurs en fonte "d'époque" avec un modèle de vannes "d'époque" également, qui devraient être changées parce que vieilles, inefficaces ou bloquées.
Avec mes mots (et vous verrez très vite que je n'y connais rien), je dirais que le diamètre des tuyaux où se fixent la vannes sont plus étroits que le classique 2"1/2.
Je me suis adressée à un plombier mais le prix remis est très élevé pour une dizaine de pièces - autant remplacer tous les radiateurs pour avoir un investissement de plus longue durée !
Quelqu'un connaîtrait-il un endroit + ou - spécialisé où je pourrais trouver un modèle compatible sans devoir changer toute la tuyauterie ?
Y a-t-il un plombier dans l'avion ?
Merci de vos bons tuyaux : 
A titre d'exemple
:
« Conformément à la loi du 13 avril 1997 qui a modifié le principe des contrats de courte durée, pour les contrats de courte durée conclus à partir du 31 mai 1997, il convient d’appliquer les dispositions suivantes :
- il reste possible de conclure un contrat écrit ou plusieurs contrats successifs pour une durée totale qui ne peut excéder 3 ans ;
- pareils contrats ne peuvent toutefois être prorogés qu’une seule fois par écrit et sous les mêmes conditions ;
- (…) »
C’est en vertu de ce deuxième alinéa que je considère que le bail initial est réputé de courte durée, prenant fin le ..... conformément au congé notifié au moins 3 mois avant l’expiration.
Bonne chance,
J'ai eu un cas similaire oùu j'avais donné le renon dans les formes à mon locataire. Ce dernier ne souhaitant pas quitté le logement s'était adressé à un avocat qui m'a invoqué aussi une autre durée, en "interprétant" librement le bail.
Ne vous laissez pas intimider par cet avocat, certains avocats y vont au bluff,
purement et simplement !
Répondez à cet avocat une lettre bien tournée en citant la loi (que vous trouverez sur le site du ministère de la justice, et plus particulièrement dans la brochure sur "La nouvelle loi sur les loyers". Mentionnez également dans cette lettre que vous souhaitez éventuellement désigner un expert pour l'état des lieux de sortie et qu'à défaut, vous poursuivrez en justice pour faire acté la fin du bail.
Merci à vous tous pour ce panaché de suggestions plus intéressantes les unes que les autres. 
Bonjour, bonsoir,
quelle formule rédige-t-on à la réception des clés lors de la sortie des locataires (je suis la proprio ...) lorsque l'evaluation chiffrée des dégâts locatifs doit encore être établie et le décompte final des charges réels payé, ainsi qu'une indemnité de sortie qui doit être payée ou retenue sur la garantie bloquée sur compte bancaire ? 
Y a-t-il d'autres précautions à prendre (à part un état des lieux de sortie, of course).
Merci pour vos lumières expérimentées ou inspirées. 
Je viens vous donner un feed-back sur ce dossier :
- suite à mes mises en demeure de paiement des loyers en retard, les locataires ont invoqué des troubles de jouissance (subi durant une dizaine de jours en avril);
- sur mon refus de les prendre en considération, ils se sont adressés à un avocat, qui m'a écrit des lettres salées, exigeant des indemnités disproportionnées, pour me faire peur sans doute ...
- n'obtenant pas le paiement des montants dus, j'ai introduit illico une requête en conciliation en JP, et tout le monde s'y est présenté (avocat, les 2 locataires et bien sûr, moi)
- j'ai obtenu gain de cause auprès de l'avocat, qui a accepté de rédiger un accord signé en JP, prévoyant même la désignation d'un expert pour l'état des lieux de sortie aux frais exclusifs des locataires (conformément au bail) + le paiement des arriérés (moyennant un geste consenti de ma part pour dédommager les locataires des troubles de jouissance) + la remise des doubles des clés pour faire visiter l'appartement avant la fin du bail (l'appartement étant quasi vidé par les locataires qui n'avaient pas envie de revenir pour les 3 x 2 heures de visite par semaine) + une indemnité d'un mois (je voulais vrrraiment me débarraser d'eux aussi vite que possible)
.
- mais j'ai vu l'appartement, avant de le faire visiter et il est dans un état de saleté qui dissuaderait tout candidat locataire, je suis donc quasi obligée d'attendre l'état des lieux de sortie (30/8) pour nettoyer et repeindre après estimation des dommages locatifs, qui selon moi, additionnés au décompte de charges locatives excèdera la garantie locative bloquée sur un compte bancaire
.
Il y aura donc probablement encore un épisode à vous raconter dans cette histoire.
A bientôt.
L'idée de prendre le thé pourrait m'intéresser, surtout s'il y a du gâteau au chocolat, mais pas uniquement entre dames !
Tiutefois, je crois que c'est toujours plus marrant de converser sur le forum, parce qu'on veut écrire vite et clairement et qu'on fait des gaffes puisqu'on arrive pas toujours à y énoncer complètement le fond de sa pensée (en fonction de l'heure, du temps que l'on a, ou de son état).
Bien entendu, je rejoins les remarques sur le sens du respect du travail d'autrui ainsi que la réflexion qu'une estimation professionnelle peut accélérer une décision de vente (surtout après mes aventures encore en cours exposées sur ce forum
).
Pour terminer sur une note
: je trouve aussi le réconfort sur ce site.
Et puis, si c'était si facile, il n'y aurait pas de mérite à être (jeune-)proprio :
"...à combattre sans péril, on triomphe sans gloire ... "
PS : bien qu'étant d'un naturel curieux, je n'ai pas (encore ?) eu recours aux propositions gratuites d'estimation par des agences, ... on n'est pas des bêtes quand même !
Trop de frais ??
Je reçois régulièrement des propositions d'estimation GRATUITE de la part d'agences immobilières, qui se déplacent gracieusement pour un premier rdv, bien entendu dans l'espoir d'obtenir un contrat d'exclusivité si vous vous décidez à vendre ou à mettre en location.
Je suis également d'un naturel très curieux. 
Si le nom de l'expert est précisé dans le bail, et que cela porte tant sur l'état de lieux à l'entrée qu'à la sortie, le choix est déjà fait.
Vous pouvez toujours en proposer un autre mais si les proprios refusent, vous ne pourrez rien faire qu'aller en justice de paix. Mais puisque vous dites qu'il avait bien travaillé à l'entrée, pourquoi en changer ...en plus, je doute que vous obteniez encore une audience en JPaix avant la fin juillet (en tous cas si vous habitez une grande ville).
Un rendez-vous pour l'expertise doit convenir à tous et que je sache doit se faire en présence des parties;
supposez donc que ce sera le dernier jour du bail et laissez faire vos proprios, au mieux pour vous, l'expert ne sera pas libre et il y aura juste une expertise contradictoire entre vous (et donc gratuite).
Merci pour la précision.
Et moi qui pensait que les clauses d'un contrat (de bail en l'occurence) faisaient loi aux yeux des parties; tant qu'elles n'allaient pas à l'encontre des clauses impératives de la loi sur les loyers...
Finalement, le bail à court terme (3 ans) n'est pas intéressant, autant conclure 2 fois un bail de 24 mois puis 12 mois; puisque de toutes façons, soit après les 3 ans , soit après le deuxième bail de 12 mois reconduit, on se retrouve dans un bail de 9 ans.
Pour repondre à la question de la durée d'occupation de Grmff! : la locataire occupe l'appartement depuis le 1/4/2003, elle a donné son renon fin mai, son préavis dure 3 mois, de juin à août; soit au total, une occupation de quasi 1an et demi au lieu du bail de trois ans.
De la "chek-liste" , je retiens quand même le bon conseil de l'extrait de compte en plus de la fiche de paie, de nos jours, on fait tant de choses avec un PC.
Mais comment faire constater le refus du droit de visite ! par huissier ? ou simplement par ma lettre de demande qui restera sans réponse ? 
Merci pour les conseils.
A priori, le dialogue ne semblera pas fructueux avec ce locataire qui vit dans "son monde" et n'est prêt à aucune concession (tendance parano-schizo-haute opinion de soi et pas des autres).
Je crains que le coup du locataire remplaçant ne soit à considérer comme risqué. Déjà quand j'ai pu choisir les locataires moi-même sur base de critères stricts, j'ai été négativement surprise.
Alors, un locataire, cherchant son successeur, prendra les premiers candidats venus, et si je le(s) refuse, il aura l'impression que je cherche à revenir sur ma parole et à obtenir quoi qu'il en soit un dédommagement. On reporte donc le problème à la fin du bail.
Lui faire payer les frais d'agence pour la relocation ne serait-ce pas plus "objectif" pour la recherche d'un candidat valable ?
Quid si le locataire parano refuse de laisser accès pour faire les deux visites par semaine, comme le bail le prévoit durant le préavis ?
Retour à la case Juge de Paix ?
Si quelqu'un dispose d'un modèle du type "chek-list" pour la sélection des locataires, ce serait gentil de partager ce privilège; sinon, ce serait peut-être bien un créneau porteur ...
Vos expériences à partager, c'est toujours sympa ...parce qu'on a toujours l'impression que les rôles sont inversés dans une telle situation.
En tous cas, je vous dis quoi de la suite des événements
Non, je n'ai pas de clause d'arbitrage prévue dans le bail.
N'ayant découvert Pim qu'après m'être lancée dans "l'aventure du propriétaire" il y a moins de deux ans, je ne disposais pas de document de ce type. Depuis, ayant lu attentivement les nombreux messages du site et ayant consulté la hotline pour un autre sujet, je suis votre conseil et les derniers baux signés récemment sont bien ceux téléchargés de votre site.
En effet, il est toujours loisible dans ce dernier cas de faire quand même appel à la Justice de Paix sauf si une des parties s'y opposent et invoquent la clause d'arbitrage, n'est-ce pas ?