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le prix est un élément parmi d'autres lorsqu'il s'agit de faire un choix entre plusieurs devis et les expériences vécues dans d'autres copropriétés ne font pas des pratiques dans celles-ci une disposition légale.
Absolument d'accord.
C'est précisemment la raison pour laquelle il ne suffit pas que le Syndic et le Cdc présentent un document "comparatif de la pluralité de devis" et "voilà le meilleur devis" car on a étudié le projet pour vous afin que vous n'ayez plus qu'à payer.
Un devis n'est-il pas un "contrat d'entreprise" entre l'ACP et un fournisseur ou alors je n'ai pas encore compris ?
Je ne raconterai pas les anecdotes foireuses qui m'ont sensbilisé au sujet de ce post en faveur d'une modernisation et amélioration et optimisation des couts en copropriété. Etonnant comme collectivement on jette l'argent par les fenêtres assez souvent ...(vécu).
Bonjour Libra, concrètement dans vos coproprietes le copropriétaire dispose de quel délai de réflexion pour se renseigner, se concerter et prendre attitude sur le contenu d'un devis à voter à l'AG ?
Merci et bonne journée à vous
Rien n'empêche un copropriétaire de mettre à l'ordre du jour d'une assemblée générale une décision visant à imposer au syndic des modalités particulières relatives à la convocation d'une assemblée générale (p.e. annexer les devis) .
S'il faut demander le point à l'ODJ ( voir les devis) c'est que dans la pratique il y a vrai souci ( sinon même pas besoin de le demander). Donc en théorie rien d'impossible mais en pratique dans les copropriétés cette idée quoique non illégale ne fonctionne pas pour régler le cas du minoritaire que la majorité prive d'acccès aux devis GT
D'ailleurs est-ce que l'on dit à l'automobiliste qu'il n'a qu'à installer lui-même un feu de signalisation au carrefour pour réglementer la circulation sur la route ? Evidemment non.
hellooo a écrit :
Grmfff a écrit :
La loi, c'est le code civil. La loi est un socle de règles minimales sensées protéger les parties faibles.Qui est d'accord avec cette idée ?
Ce n'est pas une idée, c'est une réalité.
Et légiférer sur tout et n'importe quoi n'est positif pour personne. Le raisonnement de Grmff est très cohérent.
Bonsoir Rexou, ok tu trouves que le raisonnement de Grmff est très cohérent et que la loi est un socle de règles minimales sensées protéger les parties faibles mais penses-tu que les copropriétaires qui n'arrivent pas à voir les devis parce que la loi le permet sont protégées par la législation en vigueur ? Demander à changer cette réalité pour formaliser légalement un délai de réflexion d'1 mois afin que les minorités ( chaque copropriétaire pris individuellement) puisse examiner effectivement le devis envoyé par courriel cela te parait-il demander à légiférer sur tout et n'importe quoi ? Bonne soirée
pour décider en connaissance de cause: 1 à 10 jours (lecture debout dans le couloir du cabinet du syndic...
Oui je confirme comme Luc que dans les copropriétés que je connais un peu avec le système actuellement en vigueur :
1. les devis n'arrivent pas aux mains des copropriétaires ;
2. Très souvent la plage de consultation du devis ( papier) debout dans le couloir du cabinet du syndic sera tardive ( 3 jours avant l'AG) et ouverte sur une durée de plage horaire réduite à 2 fois 2h. Le délai théorique de lecture du devis debout dans le couloir du cabinet du syndic est donc légalement de 1 à 10 jours ( rarement) et seulement si... le copropriétaires n'est pas à l'étranger, retraité ou chomeur et si le "syndic" ouvre son cabinet pour consultation du devis (papier) dès l'envoi de sa convocation.
bref, qui veut me faire croire que dans une copropriété de 250 ou 8 lots les copropriétaires vont aller à la queueleleu défiler dans le cabinet du syndic pour "voir" debout dans le couloir un devis ( papier) avec INTERDICTION de faire une copie via smartphone parce que c'est légal nous disent les syndics la bouche en coeur.
C'est la réalité dans les copropriétés que je connais les devis sont invisibles pour les copropriétaires.
Copropriete77 dit vrai lorsqu'il évoque les dégats causés aux copropriétés par le délai (légal) réduit accordé aux décideurs pour examiner un devis.
Si les copropriétaires n'examinent pas les devis alors le vote d'AG n'est qu'un blanc-seing donné par la loi en faveur du syndic.
Cette clause de solidarité m'apparait floue et risquée pour la sécurité juridique.
Cette clause de solidarité envisagé en verrue du code civil belge n'est-elle pas un peu civilement problématique dans le cas d'un viager par exemple où le démembrement de la propriété est instauré ( via notaires) entre des gens qui se connaissent guère et qui de ce fait n'ont pas envisagés d'être financièrement solidaires l'un de l'autre puisqu'il n'ont strictement aucun lien familial entre eux.
Le cas échéant il faudrait peux-être alors envisager de durcir les conditions de viager et que les deux parties à l'acte garantissent les ressources dont elles disposent pour le futur ....
Je dis cela mais je dis rien car je ne connais rien au sujet.
je met en doute comme vous cette majorité manipulée.
Bonjour Luc, merci pour votre témoignage mais est-ce que cela vous gêne de dire quel délai de réflexion ont les copropriétaires dans votre ACP de 250 lots pour lire, réfléchir, prendre des renseignements pour se faire un avis propre , puis se concerter avec les indivisaires et copropriétaires avant de passer au vote d'AG ?
Faire confiance à la majorité ?
Il s'agit de MON argent ....
On a pas tous la chance d'avoir des Ingénieurs aux conseils de la copropriété 
La loi, c'est le code civil. La loi est un socle de règles minimales sensées protéger les parties faibles.
Qui est d'accord avec cette idée ?
qu'entendez-vous par temps réduit?
nous savons TOUS que cette loi du Code Civil Belge prévoit que les copropriétaires en Belgique ont dans les jours précèdant l'AG à partir de leur réception d'une convocation de réunion sous la houlette du syndic une possibilité d'aller défiler pour consulter les éventuels devis dans le cabinet de ce dernier et sur une plage horaire de bureau ce qui aboutit l'impraticabilité du système.
il faut notamment que le copropriétaire soit chomeur ou retraité et pas en vacances aux caraïbes pour réchauffer ses os et qu'il puisse marcher jusqu'au cabinet dudit syndic et que ce dernier ne lui claque pas la porte au nez, vous conviendrez que cela fait beaucoup d'obstacles à la consultation matérielle d'un devis pour une dépense de copropriété en Belgique.
Qui a connaissance d'une loi organisant légalement un délai de réflexion individuelle avant l'engagement de la dépense commune dans le système belge en vigueur ? Et ailleurs en europe ? Au Canada ?
Bonjour à tous,
un message sur le forum a retenu toute mon attention et je pense qu'il mérite un véritable débat en droit de la part des acteurs qui feront la loi :
Bonjour,
la loi de 2010 a visé à augmenter la transparence de la gestion et a réduit le rôle du conseil de gérance devenu conseil de copropriété. Une raison invoquée était que certains copropriétaires avaient le sentiment qu'il existait une collusion entre le conseil de gérance et le syndic. Le projet actuel réduit la majorité de 75% à 66,6 % pour la décision concernant les gros travaux et élargit le champ des travaux qui peuvent être décidés à 51 %. Il y a quelque temps déjâ un journal avait publié un article déplorant les commissions occultes payées par les entrepreneurs aux syndics. Compte tenu du temps réduit laissés aux coproprios pour examiner les offres amenées par le syndic et si celui-ci dispose d'une certaine faconde, bonjour les dégâts.
Meilleures salutations
et vous ?
Combien en secondes ? La loi ne le prévoit pas.
Réponse :
Compte tenu du temps réduit voir inexistant prévu légalement pour examiner les offres amenées par le syndic et si celui-ci dispose d'une certaine faconde, bonjour les dégâts pour l'immeuble ( risque de mauvais travaux et/ou trop chers et/ou mal faits) au désavantage du portefeuille du copropriétaire .
BmcTools un avis pour améliorer la loi à ce sujet ?
lu dans la newsletter de cette semaine cette excellente devise en partage :
The time to repair the roof is when the sun is shinning. (John Fitzgerald Kennedy)

Chaque membre d'une association a le droit de contacter les autres membres d'un organe décisionnel de cette association pour se concerter concernant par exemple les décisions à prendre, ... . Ce principe a été confirmé par un jugement non-publié du 24.06.2015 (JP SJN)
Cela fait 10 ans que ce principe a été acquis mais qu'en est-il dans la pratique ?
Je crois que dans la quasi totalité des copropriétés on fabrique des actes sous seing privés avec des gens capables de refuser de se connaitre et de se parler de leurs affaires communes . C'est dommage et J'espère que les outils modernes changeront cette pratique afin que les copropriétaires se prennent en mains et comparent les prix des choses pour faire baisser des surcouts non-rentables en copropriétés ( pour les locataires aussi).
Pourriez-vous communiquer l'avis de la commission duquel il ressort qu'une liste d'adresses courriel diffusée par erreur devient une liste officielle d'adresses mail de coordonnées de contact des copropriétaires.
Ce bricolage auquel les copropriété et toutes les personnes concernées sont condamnées est utile à diffuser car on a besoin de moderniser la gestion qui est sous-développée dans la majorité des buildings que je connais.
Alors Merci d'avoir osé dévoiler l'astuce dans ce forum.
Cher Paspigeon,
Le contrat fait partie intégrante de l'offre et dois être négocié avant l'assemblée.
OUI et c'est réalisable réalisable avec le train du numérique et les moyens modernes de communication qui permettent d'envoyer à tous les copropriétaires le contrat à lire et étudier soigneusement en phase AMONT DE LA REUNION DE L'AG.
Il faut donc disposer d'une liste des adresses emails des copropriétaires afin qu'ils puissent faire circuler ce projet de contrat et se concerter sur leur avis à ce sujet.
Mais qui a une liste des adresses emails officiellement dans nos copropriétés ?
La facilité de déléguer un pouvoir de signature ne signifie pas une délégation du pouvoir de négocier les termes d'un contrat. il ne faut donc pas que l'AG mandate la ou les personnes pour signer un contrat au nom de l'AG dans le cas où l'AG n'a encore rien lu ( rien étudié) ni rien voté de manière formelle pour exprimer son approbation ( ou l'amendement) de chacune des clauses fixées dans les 30 pages dudit contrat.
l'AG doit faire son travail.
Le CP pigeon qui accepterait de signer un contrat non suffisamment étudié scrupuleusement par les copropriétaires fait du tort à la copropriété par l'acceptation de sa délégation de signature à la légère.
Dans les petites ACP de moins de 20 lots il est bien aisé de faire passer le contrat autour de la table pour le signer en séance ( durée de réalisation de l'opération de signature en séance sans délégation : 10 min)
Dans le dossier de procédure du greffe de la justice, au niveau du plumitif et/ou des procès-verbaux d'audience, je voudrais savoir quelle est la règle de formalisme qui encadre ces documents. Plus précisemment un PV signé uniquement par un greffier est-ce valable ?Si Je pose cette question c'est parce que la fausseté de ce qui a été acté par le greffier que je découvre pose un sérieux souci. Je comprends mieux pourquoi les justices de paix qui arrangent les bidons ainsi refusent l'accès en consultation aux dossiers tenus par le greffe nonostant 725 CJ.
Bonjour Luc,
vu ton message à propos du sujet Cac je n'ai pas compris si tu y évoques un syndic provisoire ou la désignation véritable expert judiciaire certifié en copropriété :
:
http://www.usaintlouis.be/sl/1452.html
ça m'interesse de savoir si tu obtiens la jonction et quelle désignation d'expert neutre et indépendant.
Un grand merci
Il s'agit effectivement de deux AGs :
Il y a une ancienne citation (au rôle).
Si on a déja conclut dans l'ancienne cause ( à sortir du frigo) est-ce encore possible de demander une jonction ?
Je sais que la jonction n'est pas toujours accordé par le Juge (souverain) lorsque la copropriété s'y oppose et cela complique les choses. Votre Juge vous l'accorde toujours la jonction ?
En pratique qu'il faut demander une fixation 730 CJ afin que les deux causes soient en même temps "au rôle" le jour de l'introduction de la nouvelle cause afin que le Juge puisse décider d'une jonction "in limine litis" ? Ou ce n'est pas indispensable techniquement si on formule la demande de jonction par écrit ( note d'audience) ?