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Néanmoins, il est prudent pour un nouveau syndic de demander la confirmation de l'AG quand 3 propriétaires sur 14 ont changé (ou sont en train de changer)
Manifestement, si cela a été postposé jusqu'ici, il n'y a pas d'urgence.
Je ne comprends pas pourquoi ni en quoi, demander la confirmation des travaux votés il y a 2 ans, bien avant la mise en vente des 3 appartements pour les 3 nouveaux corproprietaires, est plus prudent.
Il me semblait que ce qui était voté en AG, était irrévocable si les décisions étaient prises dans les règles.
Et même si le syndic est bénévole et copropriétaire et qu'en plus, il connait bien la situation (les travaux à effectuer), je ne comprends toujours pas l'explication.
En terme d'urgence, ce problème existe depuis plus de 10 ans et d'AG en AG, malgré le fait de faire voter les travaux en ODJ, ceux-ci ont été repoussés jusqu'à l'AG d'il y a 2ans.
En effet, il n'y a pas d'urgence mais comme les travaux ne sont pas faits, ce sont plusieurs factures de débouchages par an et je suis celui qui a les toilettes qui refoulent à cause de plusieurs coudes dans la tuyauterie situés à l'etage inferieur. Donc, cela ne dérange personne sauf moi qui nettoye et tout le monde qui paye.
Pour le fond de réserve, le montant était insuffisant pour les travaux. L'ancien syndic ne respectait pas la quote-part légale annuelle à allouer au fond de réserve et donc le fond de réserve n'augmentait jamais ...
Donc, il semble que le syndic ait une bonne raison non évoquée pour ne pas faire ces travaux ... Je vais donc lui retéléphoner demain pour vérifier que j'ai bien compris son argumentation.
Merci pour les réponses.
Ce cas s'est posé dans notre copropriété il y a 2 ans et l'ancien syndic a remis les compte au 31/12 puis le nouveau syndic les a refait parce qu'il travaillait sur un autre logiciel et qu'il voulait avoir une année complète.... Nous avons payé 2 fois ...
Bonsoir,
Je suis propriétaire d'un appartement dans une copropriété de 14 lots, sur 3 étages.
Il y a 2 ans en AG, des travaux ont été voté. Cela concerne le changement d'une descente de toilettes du 3ieme au Rdc.
Par manque d'argent, les travaux n'ont pas été faits.
Depuis le syndic a changé et de nouveau, la copropriété peut se permettre des travaux.
Lorsque je demande au syndic quand les travaux auront lieu puisqu'il n'y a plus de soucis d'argent, il évoque la raison du changement de propriétaire.
D'après lui, un des copropriétaires est nouveau (alors qu'il y en a 2 autres qui viennent d'acheter) et donc le vote est caduque puisque c'est l'ancien copropriétaire qui a participé à ce vote et à cette decision ...
Il me semblait que les décisions votées en AG sont souveraines et que les nouveaux copropriétaires devaient s'informer à l'achat de leur appartement, des 2 dernières AG et donc des décisions prises pendant celles-ci, ce qui les rendaient tributaires de s'acquiter et d'endosser les choix des précédents propriétaires.
Me suis trompé quelque part ?
Merci GT.
Donc, dès que le fond de réserve est mis en place, chaque année, 5% minimum des charges communes ordinaires de l'exercice précédent sont versés au fond de réserve.
J'ai lu toutes les réponses que vous avez apporté et soit je ne comprends pas ce que vous avez écrit et/ou soit j'ai mal posé mes questions.
Il semble que vous soyez tous d'accord sur le fait de l'initiative émanant du syndic pour le vote du fond de réserve.
Mais ma question porte sur l'obligation.
Les 5% minimum des charges communes de l'exercice précédent sont obligatoires annuellement mais comme les copropriétaires peuvent décider de ne pas avoir de fond de reserve, cette obligation, en pratique, est gérée de quelle Façon ?
Une fois que le fond de réserve obligatoire est voté et mis en place, les copropriétaires versent les 5% minimum annuellement et plus personne n'en parle sauf pour les travaux à faire ou à prévoir OU est-ce-que les copropriétaires ont le choix annuellement en AG de ne pas avoir/verser ces 5% minimum en refusant par vote (point dans l'OJ) le fond de réserve cette année là ?
J'espère être clair ...
Ce que j'ai compris d'une partie de l'article 577-5 par. 3 al.4 :
Le fond de réserve est augmenté annuellement d'un minimum de 5% des charges communes de l'exercice précédent.
Les copropriétaires peuvent décider de ne pas avoir de fonds de réserve à la majorité des 4/5.
Ma question :
Les copropriétaires peuvent-ils décider, si ce point est à l'OJ de l'AG, de refuser les 5% pour le fond de réserve, à la majorité des 4/5 ?
Et si le point n'est pas à l'OJ de l'AG, y-a-t-il obligatoirement augmentation de 5% minimum ?
@GT
Le fait de ne pouvoir se déplacer a fait que le cohabitant a dû se substituer par procuration à la copropriétaire et cohabitante aux AG.
Mais je crois que Grmff à répondu à mes questions et levé les doutes que je pouvais avoir. Merci à tous.
A quelle situation concrète êtes-vous confronté ?
Vous faites mention de cohabitants légaux qui ne sont pas propriétaires.
La situation décrite dans le premier post.
Un cohabitant légal non propriétaire est pour cause de maladie, le représentant de sa cohabitante légale mais avait l'ambition de prendre part au CdC et de participer au débat tel un conjoint.
Je n'étais pas sûr des droits qu'il pouvait avoir dans sa participation en AG puisque une autre source m'avait informé qu'il y avait une différence entre la cohabitation légale à la maison communale et celle actée devant notaire.
La cohabitation légale devant notaire selon lui, apportait plus de droits en AG (ceux décrits par vos soins) que celle devant la maison communale qui n'était selon lui, qu'une différence de statut dans le régime d'imposition, et qui elle n'apportait quasi aucun droit en AG.
Mais il ne m'a pas dit ses sources, donc j'essaye de défricher le terrain pour être sûr avant de répondre.
• l'art. 577-6, § 1, al. 2 ne s'applique pas puisque le bien n'est pas en indivision (un seul propriétaire);
Les cohabitants légaux qui ont décidé d'acheter un bien en commun en indivision, sont donc obligés de changer de statut pour une autre forme comme le mariage ou peuvent-ils conserver leur statut de cohabitant légal avec un acte authentique devant notaire qui détermine le partage du bien acheté en fonction de l'apport de chacun et détermine ainsi le droit de siéger en AG ?
Et je suppose que dans le cas où c'est un achat à 50-50, les deux cohabitants déterminent entre eux qui va les représenter des deux en AG ?
Je n'ai rien trouvé d'autre concernant le taux légal en matière commerciale...
Personne pour un avis sur la question ?
Merci pour la réponse Luc.
Je suppose ainsi que le cohabitant légal peut faire élire son conjoint (cohabitant légal) copropriétaire dans le conseil de copropriété s'il en fait la demande.
De même, je suppose qu'il ne peut être présent en même temps que son conjoint (cohabitant légal) en AG.
Bonjour,
Quels sont les droits des cohabitants légaux (acte établi à la maison communale mais pas devant le notaire) qui ne sont pas propriétaires lors d'une AG ?
Peuvent-ils assister aux AG ?
Peuvent-ils représenter leur conjoint (cohabitant légal) en AG avec une procuration ?
Peuvent-ils participer aux débats ?
Oui, la source était spécifiée, désolé.
En ce qui concerne notre copropriété, l'AB a été modifié pour répondre à la loi de 2018 sur les copropriétés par une société hors UE et c'est à refaire...
Le syndic en faillite devait s'en occuper cette année écoulée, ainsi que du ROI, mais rien n'a été fait...
Cependant, notre ROI n'indique rien en ce qui concerne les frais judiciaires occasionnés par le copropriétaire défaillant, juste le taux des intérêts des sommes dues.
"Le propriétaire défaillant pourra être assigné poursuites et diligences du syndic, au nom de tous les copropriétaires, le syndic a à cet effet un mandat contractuel irrévocable aussi longtemps qu'il est fonction.
Les sommes dues par le défaillant produiront intérêts au profit de la communauté, aux taux légal en matières commerciales."
Quelqu'un connaît-il la valeur de ce "taux légal en matieres commerciales" ?
@GT
C'est très clair ainsi, merci.
Pourrais-je connaître la source pour les frais comptés en phase prejudiciaires ?
C'est loué mais cela semble être une location d'un type social et peut-être gouvernemental (réfugiés politique, demandeurs d'asile). Même si dans notre AB, le syndic a la possibilité de toucher les loyers, je ne suis pas sûr que dans les faits, ce soit possible. Il faudrait d'abord connaître l'agence ou l'organisme qui loue.
Merci pour vos réponses.
Le copropriétaire défaillant a les moyens de payer mais il semble laisser aller jusqu'en justice.
Quant aux indemnités et intérêts, cela devait être voté lors de l'AG qui n'a pas eut lieu pour cause de faillir du syndic, mais c'est clair qu'il va falloir remédier à cette lacune.
Donc si j'ai bien compris :
- Le copropriétaire défaillant poursuivi par l'ACP pour retard (+++) de paiements participe, ainsi que tous les autres copropriétaires, aux frais des poursuites suivant sa quote-part,
- Quand le jugement est rendu, si le copropriétaire n'obtient pas gain de cause, il paye les dépens (s'il est condamné à le faire).
Si j'ai bien compris et que j'ai bien résumé, je trouve cela un peu léger ...
Un copropriétaire ne paye plus ses charges pour quelques raisons que ce soit et s'il est condamné, il paye sa quotité des frais de procédure engagée par l'ACP contre lui ... La belle vie ...
Nous avons 2 affaires en justice et un total de 4000 euros mini de frais ... Et les 2 copropriétaires ne sont redevables que de leurs quotités ... Magnifique ... Je serais eux , je continuerai
Merci pour cette précision.
Je vais donc détailler ma question.
Quelles sont les frais que devra rembourser à l'ACP le copropriétaire défaillant si l'ACP obtient gain de cause au tribunal et si le copropriétaire est condamné aux dépens ?
S'il est possible de d'tailler la réponse, ce serait bien car je ne savais pas que la mise en demeure s'inscrivait dans la phase pré judiciaire et même que cette phase existait.
D'ailleurs, la mise en demeure et les recommandés adressés à ce copropriétaire défaillant sont acquittables par qui ?
Et Les frais d'huissier et les honoraires d'avocats ?
Merci pour vos réponses.
@GT
C'était en effet la nature de ma question. Meme si certains copropriétaires ont accepté par écrit de recevoir leur convocation d'AG par mail, ils doivent contribuer aux frais d'envoi des convocations d'AG par recommandé.
Cela confirme ma compréhension de ma lecture de l'article du code-civil que vous avez cité.