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un baromètre confirme la stabilité des prix à Bruxelles
Le marché secondaire affiche une belle santé avec des hausses de prix modérées. Une tendance apparaît toutefois: la différence de prix entre un bien ancien et un bien neuf s'amenuise dans certaines communes. C'est notamment le cas à Saint-Gilles, Forest et Watermael-Boitsfort. Ce qui pousse certains acquéreurs à délaisser les biens anciens.
(la suite par le lien susmentionné)
ps: ce sujet "évolution des prix" reste célèbre: déjà plus de 100.000 vues !....
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"Immobilier: lentement mais sûrement les prix grimpent toujours" (Trends du 1er septembre 2016)
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le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps
Moi je dirais que le boom dure depuis la fin des années 80 (du siècle passé)....
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La faillite d'Optima aura-t-elle une influence négative sur le marché bruxellois.? Certains se posent la question...
Ces derniers jours, l’inquiétude des professionnels s’est amplifiée. "Jusqu’à présent, ce vide locatif ne semblait pas émouvoir les propriétaires-investisseurs. Mais qu’en sera-t-il maintenant qu’Optima fait l’actualité ? Certains décideront-ils de revendre leur bien, quitte à perdre la TVA, voire même les 10 à 20 % de surcote ? Le marché supportera-t-il cet afflux de biens quasiment neufs ? Avec risque de suroffre et de baisse des prix à la clé ?"
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Les prévisions d'Eric Verlinden (CEO Trevi) dans une interview du Soir: « La fiscalité wallonne fera grimper les loyers »
J'y relève notamment ses piques, sur la pointe des pieds, contre l'augmentation des droits d'enregistrement en RW (3e immeuble) et contre les prévisions ING
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Bonjour, la situation du marché actuel laisse sous-entendre que les taux resteront bas durant encore plusieurs mois. Il semblerait néanmoins que les nouvelles demandes de prêts, ainsi que les rachats de crédit immobilier ont fortement baissé au cours du trimestre dernier. Voici un lien qui vous en dira un peu plus : http://www.leblogpatrimoine.com/cat/immobilier/prix . Bonne fin de journée !
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Le baromètre 2015 (vs 2014) des notaires: ici sur Pim's Blog
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Encore une année de gagnée pour l'immobilier
04 janvier 2016 10:31
Selon le réseau d'agences Trevi, les prix ont augmenté de 2% en Belgique en 2015. C'est à peine plus que l'inflation, mais c'est très bon signe pour une multitude de raisons, selon Eric Verlinden, le CEO de Trevi.
Selon le réseau d'agences Trevi, le marché immobilier belge a progressé de 2% au cours de l'année 2015. L'indice s’élevait au 31 décembre 2015 à 111,47. "Il termine ainsi l’année 2015 par une petite hausse trimestrielle confirmant ainsi pour l’ensemble de l’année 2015 une hausse moyenne de 2% environ correspondante à nos prévisions", selon Eric Verlinden, le CEO de Trevi.
Malgré cette hausse "marginale" - à laquelle il faut encore retirer l'inflation qui s'établissait à 1,5% en décembre - Eric Verlinden retire une impression positive, "surtout si on compare aux performances enregistrées dans certains pays voisins". A cet égard, la hausse constatée en Espagne, au Pays-Bas ou en Grande-Bretagne survient après une baisse spectaculaire. "Il est donc parfaitement logique de voir une hausse plus marquée cette année dans ces pays-là", explique-t-il.
Pour lui, la "hausse" de 2015 présente par ailleurs plus d'intérêt qu'elle n'y parait.
-Elle démontre la stabilité du marché
-Elle témoigne du bon équilibre que nous recensons entre l’offre et la demande tant au niveau de la production de nouveaux logements que des prix pratiqués.
-Elle permet de donner encore un peu plus de poids à notre scénario de hausse plus significative à partir de 2017 après avoir enregistré des gains successifs à peine plus importants que l’inflation pendant les 5 dernières années.
-Elle prouve enfin que la Belgique conserve un intérêt réel pour la brique grâce à des liquidités "dormantes" sur les carnets de dépôt excédentaires.
Concernant la fiscalité immobilière en 2016, Trevi estime que la Flandre est mieux placée que les deux autres régions: la suppression de son "Woonbonus" a déjà été entérinée et elle vient d’assouplir "très intelligemment" les droits afférents aux donations immobilières, donnant ainsi des nouveaux arguments positifs aux petits investisseurs immobiliers.
Source: L'Echo
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trends.levif 03/09/15
Immobilier : des augmentations de plus de 200% observées à Bruxelles sur dix ans
D'une année à l'autre, les hausses et baisses locales de prix sur le marché de l'occasion ont de quoi faire perdre la tête ou la patience tant aux propriétaires qu'aux candidats à l'achat. Mais sur dix ans, ces prix augmentent encore en moyenne de plus de 60% sur tous les segments. Focus sur les tops et les flops par commune et par type de biens.
Avec une hausse moyenne d'activité (nombre de transactions) fixée fin juin par la Fédération des Notaires à plus de 6% sur base annuelle et des prix en légère hausse (+1%) ou baisse (-0,6%) à échelle nationale selon les sources (Fédération des Notaires et Bureau d'expertise de Crombrugghe & Partners), on peut dire que le marché de la maison ordinaire d'occasion se porte mieux malgré la crise ambiante. Dans certaines provinces, cette croissance d'activité dépasse les 10 voire les 15%.
Côté prix, on n'en est bien sûr plus aux hausses de valeurs à deux chiffres parfois enregistrées entre 1997 et 2007, souvent jugées spéculatives par les spécialistes. Et tant mieux pour tout le monde, à commencer par candidats à l'achat les moins aisés.
Les évolutions décennales (2004-2014) que nous avons mises en exergue sur base des statistiques de SPF Economie montrent (cfr. carte ci-dessus) que, dans certaines communes de toutes les provinces, des écarts de prix de plus de 100% sont encore fréquents. A ce petit jeu des chiffres, ce sont les communes bruxelloises qui affichent encore, à quelques exceptions près, les valorisations les plus élevées.
Attention donc à bien choisir où loger sa famille ou placer son argent : les variations de prix de la même maison ordinaire sont parfois énormes d'une commune à sa voisine.
http://trends.levif.be/economie/immo/im … 14137.html
On attend toujours +350.000 Bruxellois avant 2025.
A+
Dernière modification par ECO (06-09-2015 20:10:30)
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Un article (29/8/15) de L'Echo: Les prix de l'immobilier résistent mieux que prévu
"Les experts en immobilier interrogés dans le cadre d’une enquête de L’Echo ne croient pas à un effondrement du résidentiel belge. Le marché est soutenu par des taux d’intérêt historiquement bas, le segment locatif, et un "tax shift" favorable au secteur."
suite par le lien ci-dessus
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2e trimestre 2015 selon Baromètre des Notaires: voir ici sur notre blog
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Dans L'Echo de ce 31 mars 2015:
"Selon l'indice Trevi, les prix ont grimpé de 1% au cours du premier trimestre de l'année, et de 1,7% depuis trois trimestres, une progression imputable à une reprise des volumes de transactions et à des taux historiquement bas. Mais on n'aurait encore rien vu: à Bruxelles, la rareté du m² se traduira par une hausse des prix du neuf de 15 à 20% d'ici deux ou trois ans, estime Eric Verlinden, administrateur délégué de Trevi.
Le printemps se confirme dans les prix de l'immobilier résidentiel, et ce dans toutes les régions du pays à l'exception des provinces de Liège et du Hainaut.
S'il est pratiquement stable par rapport à il y a un an, l'indice des prix compilés par le groupe Trevi a opéré une belle remontée depuis trois trimestres (+1,7%), dont 1% imputable au le seul dernier trimestre (à fin mars 2015). Une progression (la plus forte depuis deux ans) due selon Trevi à une hausse des transactions de 3% par rapport au premier trimestre 2014, et ce sur tous les segments du marché.
"Il y a un an et demi ou deux ans, la plupart des transactions concernaient les appartements de 150.000 euros voire 200.000 euros en Région bruxelloise. Mais petit à petit, la plateforme s’est élargie grâce à une reprise du volume des transactions et notre indice s’en ressent. Alors que 30% des biens étaient en hausse et 70% en baisse à l'époque, ce rapport s’est maintenant inversé", commente Eric Verlinden, administrateur délégué de Trevi.
De sorte qu'en rythme annuel, le groupe conclut à une hausse des prix de 4%, conforme et même supérieure à son hypothèse de travail de "3,5% pour ces dix prochaines années".
Une vigueur d'autant plus remarquable que l'inflation est nulle. "En moyenne, ces 30 dernières années, on a une hausse des prix de 5% mais avec une inflation de 2,5 ou 3%", précise Eric Verlinden. Ce qui revient à une hausse des prix réels de 2 à 2,5% donc.
Les prévisions "conservatrices" de Trevi pour 2015, qui étaient une hausse comprise entre 1,5 et 2% "pourraient être dépassées".
Une bonne santé essentiellement due à la faiblesse des taux. "Les taux ne vont plus descendre mais ils ne vont pas remonter non plus et ils sont à un niveau incroyablement bas. L’an passé, l’octroi des crédits était très compliqué. Les banques n’ont pas déserré leurs conditions mais on voit qu’il y a davantage de fluidité". Résultat, même si les volumes venaient à redescendre, "les prix vont continuer à monter car nous sommes clairement dans un marché d’acheteurs. Ils connaissent très bien les prix et savent ce qu’ils veulent".
Une hausse de 15 à 20% en vue à Bruxelles!
"Je vois par exemple le segment des appartements avec du charme des années 20-30, disons jusque 90 m² et 350.000 euros, regagner de l’intérêt car il y en a de moins en moins sur le marché. L’autre segment auquel je crois très fort, ce sont les petits appartements de 60 m² à Bruxelles, où la location va encore se développer très fort. Ils se mettent en location entre 650 et 750 euros et se vendent, neufs, aux alentours de 200.000 TTC", témoigne Eric Verlinden.
"Pour les hôtels et les maisons de maître, c’est plus compliqué. L’offre est abondante car peu d’acheteurs souhaitent vivre dans 500 m² avec les charges que cela implique. Or, la division de ce type de biens en appartements est extrêmement longue et hasardeuse. De façon plus générale, "le haut de gamme reste difficile mais l’équilibre est en train de se faire et, d’ici la fin 2015, on aura un marché complétement équilibré sur ce segment".
Les prix vont-ils continuer à grimper au cours des prochains trimestres? "Le foncier est en train de se raréfier très fortement à Bruxelles et on arrive au bout des réserves, je le constate tous les jours. Et je ne vois pas comment on pourrait empêcher une forte hausse des prix dans les deux ans ou trois ans qui viennent. D'autant que c’est très compliqué du point de vue urbanistique, je dirais même dramatique: il faut 1 an pour obtenir un permis si tout va bien, et jusque 2 ou 3 ans pour certains projets, une situation qui ne fait qu'empirer du fait de nouvelles réglementations. Je pense que sur la période 2016-2017, on va assister à une hausse des prix finaux de 15 à 20%", assure le manager.
Il estime toutefois que "ce n’est pas dramatique pour autant : si on était à 3.000 euros/m², on va passer 3.600 euros/m, ce qui reste inférieur à une ville moyenne comme Lille par exemple, où les prix sont 20 à 30% plus cher qu'à Bruxelles. On restera dans des prix raisonnables". Et cette raréfaction du m² disponible se transmettra "forcément, d'une façon ou d'une autre" au marché secondaire "mais probablement de façon plus lente ou moins marquée".
Al la grosse louche, au centre de Bruxelles ou dans une commune comme Saint-Gilles, il faut compter 2.500 euros/m² pour un bien prêt à la location et aux alentours de 2.100 euros/m² si le bien est à rénover. Si l'appartement est comme neuf avec des finitions haut de gamme, les prix grimpent jusque 4.000 euros dans certains quartiers très prisés.
Liège et le Hainaut à la traîne
Les provinces à la traîne? Liège et le Hainaut, "pour des raisons économiques je suppose, je ne vois pas d'autres explications. Il y a pourtant de quoi faire avec des biens à 100.000 ou 150.000 qui peuvent se louer 900 euros par mois. A Charleroi vous avez des prix inférieurs de 25 à 30% par rapport au reste du pays. Mais avec un risque locatif plus important, c'est la prime de risque à payer".
Les provinces où la hausse de prix est la plus marquée sont au contraire le Brabant flamand, la Flandre occidentale, la Flandre orientale et la Région Bruxelloise." (fin de citation)
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-4% sur les prix à Bxl, les ventes publiques marchent moins bien ...
dire que je viens d'acheter ... damned
bon j'ai quand meme eu 20% sur le prix affiché, c'est déja ca. (et la dedans il y a encore les frais de l'agence; le prix réel pour le vendeur est encore plus bas)
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"Tarte à la crème": la suite
La Capitale.be: légère oscillation.... à la hausse..... et à la baisse....
"La valeur des biens immobiliers présents à Bruxelles connaît depuis 2007 des variations annuelles à la hausse ou à la baisse, d’une amplitude de 10 à 15%, relève la Commission du marché immobilier de l’Union des Géomètres-experts de Bruxelles (UGEB), qui dressait jeudi une évolution du marché immobilier résidentiel dans la capitale." (suite online via lien supra)
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Toujours sur l'évolution des prix.....
LaHulpe et Genval en baisse de 10% au moins sur plusieurs segments de marché (crf la libre immo)
Les apparts à la mer en baisse aussi jusque dans certains endroits , -17% !
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Il n'y a certes pas de contradiction. Mais il y a clairement une inadéquation totale.
L'article parle de langueur et de baisse. Et le titre est triomphant. C'est clairement inadéquat. A tel point qu'on peut comprendre ceux qui trouvent une contradiction entre un titre triomphant pour un article annonçant un marché languissant.
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Bonjour,
Pensez-vous que le boom immobilier que l'on connaît en ce moment durera très longtemps ?
Est-ce que quelqu'un aurait par ailleurs un site où je pourrais voir l'évolution des prix du marché immobilier à Bruxelles ?
Merci
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