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C'est impossible de poncer la porte , ce n'est pas une porte peinte mais un" bloc porte " alvéolaire
je parle de poncer la peinture afin de travailler sur une surface égale, sinon couche après couche, vous aurez toujours l'évidence des griffes.
Le plus simple -et le plus sur- serait de faire réaliser vos états des lieux par un expert. Pour l'entrée comme pour la sortie. Ses constatations et le chiffrage du montant des dégâts sont admises en justice.
Sinon, à vue de nez, je dirais environ 50 euros... réparation éventuelle au gupa, ponçage, et peinture/vernissage... mais vous aurez un problème si le locataire conteste...
Ce n'est pas moi qui le dit mais la Société Royale de Géomètres-Experts Immobiliers.
Enfin d'expérience, il n'est pas possible de "simplement" repeindre à l'endroit des griffes. Il faut bien repeindre toute la porte: minimum deux couches... pour le déplacement, le temps de travail, les produits a utiliser, etc. ce montant est en fait raisonnable.
Après, le reste des circonstances est bien entendu à prendre en compte, par exemple:
- amortissement (si la porte a été peinte la dernière fois, il y a 6 ans, bon la peinture est largement amorti...)
- d'autres travaux de peintures à faire: on ne va pas payer le "montant minimum" pour chaque intervention: on calcule les coûts globaux, il ne s'agit que d'un seuil minimum.
etc.
Bonjour,
J'ai eu le même problème. En l'occurence il faut poncer la peinture et repeindre la porte et/ou le châssis.
Or, vous verrez dans le document peinture de l'UGEB/ULEB qu'il est prévu 225 EUR pour une intervention minimale d'un peintre, ou 300 EUR pour le remplacement d'une porte alvéolaire peinte.
C'est difficile à faire comprendre pour le locataire, mais: il s'agit de documents officiels, je mets systématiquement un lien vers ce site dans mes baux et ELE. Ainsi, il est difficilement contestable.
http://www.ugeb-uleb.be/fr/Commissions/ … atifs%20FR
Assurez-vous tout de même qu'il y est suffisamment de "porte essuies" fixes dans le logement, ou que, vous n'avez pas refusé que votre locataire en installe un proprement (NB. ça m'était arrivé étant locataire, l'expert lors de l'ELS a constaté que le boulot été bien fait et qu'il n'y avait aucun porte essuie / serviette etc. dans le logement - j'avais bien entendu contacté l'expert au préalable sur ce point: il me semblait plus intéressant de laisser cela que de retirer et de boucher les trous...).
Il faut aussi rajouter que le montant de l'assurance omnium va évoluer avec les années: plus la chaudière est agée, moins cela devient intéressant - je ne parle pas d'inflation ou autre, simplement Vaillant a une grille et les prix montent au fur et à mesure (comme le risque que l'assurance couvre - logique).
Après 5 ans, cela n'est plus intéressant (sauf en cas de grosse panne... à ce moment là ce qui ne devrait pas arriver mais...) alors si vous visez un souci au bout de 10-15ans vous avez mieux fait de ne pas prendre d'assurance et de vous verser une compensation de côté chaque année en prévision du pépin futur...
Enfin, si l'entretien périodique (obligatoire) pour le gaz est tous les 3 ans en Wallonie, c'était également le cas en RBC mais vient de passer à 2 ans depuis le 01/01/2019. Je ne serai pas surpris que la RW s'aligne sur les 2 ans d'ici quelques temps. Peut-être un autre élément à prendre en compte dans vos calculs.
Newb a écrit :Les revenus locatifs, dit revenus de biens immobiliers ne concernent pas votre habitation propre. Ils sont sinon déclarables en case 1146 et sont comptabilisés sur la base de de votre revenu cadastral.
Le détail pour la région bruxelloise est par ici: https://finances.belgium.be/sites/defau … l-2019.pdf
Voir en particulier les explications cadre III (page 16 et suivantes) et éventuellement cadre IX.Vous indiquez bien "revenus locatifs" et la question était sur les loyers perçus de sa compagne....
C'est sur ce point et l'erreur de case que j'attirais votre attention !
Tout le reste n'est que du blabla pour essayer de vous justifier et c'est bien inutile. Je voulais juste éviter qu'une conclusion erronée soit prise par rapport à votre intervention erronée (par distraction ou par manque de précision, ça peut arriver mais on ne peut pas laisser passer sans attirer l'attention)Sans rancune
Au risque de faire du "blabla" pour essayer de me "justifier" de façon "inutile": certes, Marston parle de loyer, j'indique par contre de mon côté que le langage courant parlant de revenu locatifs fait ici référence aux RBI dans la langue fiscale. Je recadre donc le débat. Mais je persiste et je signe qu'à aucun moment je n'indique qu'un loyer doit être déclaré: j'indique que les RBI peuvent l'être et qu'ils sont calculés sur la base du RC.
Je n'ai pas de rancune (?), simplement, merci de ne pas déformer mes propos, et, la prochaine fois, merci d'indiquez directement ce qui ne vous convient pas: comme je reconnais volontiers mes erreurs, cela nous fera gagner du temps.
Newb a écrit :max11 a écrit :Newb a écrit :Les revenus locatifs, dit revenus de biens immobiliers ne concernent pas votre habitation propre. Ils sont sinon déclarables en case 1146 et sont comptabilisés sur la base de de votre revenu cadastral.
Le détail pour la région bruxelloise est par ici: https://finances.belgium.be/sites/defau … l-2019.pdf
Voir en particulier les explications cadre III (page 16 et suivantes) et éventuellement cadre IX.olalalalala surtout pas !!! Relisez vous et relisez les explications de votre lien
Je ne vous comprends pas.
Quand on lit ce vers quoi je redirige page 16 du document, il est bien écrit:
"• Certains revenus de biens immobiliers sont exonérés et vous ne devez pas les déclarer au cadre III. Il s'agit :
- des revenus de l'« habitation propre » ;
Par « habitation propre » il faut entendre l'habitation que vous avez occupée personnellement en 2018 en tant que propriétaire [...]"Les points indiqués par PIM et Rexou sont ensuite également repris:
"Attention !
• Si vous n'avez occupé personnellement qu'une partie de votre habitation, l'exonération pour « habitation propre » ne s'applique pas à la partie de l'habitation occupée par des personnes qui ne font pas partie de votre ménage.
• L'exonération pour « habitation propre » ne s'applique pas non plus à la partie de l'habitation que vous utilisez pour votre profession ou pour celle d'un des membres de votre ménage."Je trouve donc que ma réponse est correcte et plus complète, avec un lien vers le document officiel de l'administration.
Mon message indique également que, sinon, ces revenus sont déclarable en case 1146 et sont comptabilisés sur la base du revenu cadastral (en l’occurrence indexation +40% ensuite ajouté aux revenus globaux).Encore une fois, ce que j'indique est correct et complet.
Je ne vous comprend pas.Le loyer perçu d'un particulier pour un logement privé (au contraire d'un loyer professionnel) n'est jamais à déclarer que ce soit l'habitation du propriétaire ou une autre habitation.
C'est le revenu cadastral du bien mis en location (ou non mis en location mais qui n'est pas l'habitation propre) qui doit être déclaré.La case 1146 : c'est pour des intérêts et amortissements de capital, primes d'assurances-vie,....
Le RC d'un bien mis en location à un usage privé ou non loué (mais pas habitation propre) se déclare en case 1106
C'est pour cela que je vous conseillais de vous relire et comparer avec votre lien... vous ne recopiez pas la bonne case (ou le doc est erroné, je n'ai pas vérifié) et vous confondez loyer et revenu cadastral
Je ne crois pas avoir dit qu'il fallait déclarer les loyers, mais bien le "RBI", en précisant qu'il est calculé sur la base du RC. C'est la terminologie du fisc. La compagne de Marston fait partie de son ménage, ce "revenu" est donc exonéré comme indiqué par mes citations du document de l'administration, partant ceci se recoupe également les explications de Grmff qui les qualifie ainsi de participation aux frais de ménage et non de loyer.
En effet, erreur de case: 1106 et pas 1146. Le document n'est malheureusement pas complet en ce sens qu'il parle de cadre et pas de case, j'ai mis 1146 de mémoire et c'était une erreur, vous avez raison.
Grmff a raison ensuite de préciser que l'intérêt de cette dernière case se situe dans les intérêts (et qu'on serait bien bête d'y mettre l'assurance vie).
Newb a écrit :Les revenus locatifs, dit revenus de biens immobiliers ne concernent pas votre habitation propre. Ils sont sinon déclarables en case 1146 et sont comptabilisés sur la base de de votre revenu cadastral.
Le détail pour la région bruxelloise est par ici: https://finances.belgium.be/sites/defau … l-2019.pdf
Voir en particulier les explications cadre III (page 16 et suivantes) et éventuellement cadre IX.olalalalala surtout pas !!! Relisez vous et relisez les explications de votre lien
Je ne vous comprends pas.
Quand on lit ce vers quoi je redirige page 16 du document, il est bien écrit:
"• Certains revenus de biens immobiliers sont exonérés et vous ne devez pas les déclarer au cadre III. Il s'agit :
- des revenus de l'« habitation propre » ;
Par « habitation propre » il faut entendre l'habitation que vous avez occupée personnellement en 2018 en tant que propriétaire [...]"
Les points indiqués par PIM et Rexou sont ensuite également repris:
"Attention !
• Si vous n'avez occupé personnellement qu'une partie de votre habitation, l'exonération pour « habitation propre » ne s'applique pas à la partie de l'habitation occupée par des personnes qui ne font pas partie de votre ménage.
• L'exonération pour « habitation propre » ne s'applique pas non plus à la partie de l'habitation que vous utilisez pour votre profession ou pour celle d'un des membres de votre ménage."
Je trouve donc que ma réponse est correcte et plus complète, avec un lien vers le document officiel de l'administration.
Mon message indique également que, sinon, ces revenus sont déclarable en case 1146 et sont comptabilisés sur la base du revenu cadastral (en l’occurrence indexation +40% ensuite ajouté aux revenus globaux).
Encore une fois, ce que j'indique est correct et complet.
Je ne vous comprend pas.
Les revenus locatifs, dit revenus de biens immobiliers ne concernent pas votre habitation propre. Ils sont sinon déclarables en case 1146 et sont comptabilisés sur la base de de votre revenu cadastral.
Le détail pour la région bruxelloise est par ici: https://finances.belgium.be/sites/defau … l-2019.pdf
Voir en particulier les explications cadre III (page 16 et suivantes) et éventuellement cadre IX.
Très bonne nouvelle, j'ai envie de dire "enfin". Par contre, on aurait préféré une recherche uniquement via le numéro du PEB, car via l'adresse n'importe qui peut donc obtenir in fine des informations de caractère privé...
Par contre, je ne suis pas sûr de la pertinence de l'information "seuls les certificats PEB des logements dont la demande de permis d’urbanisme a été déposée avant le 2 juillet 2008 sont repris dans ce registre." Car je viens de vérifier avec deux biens que je connais et ils sont tous les deux disponibles. Il me semble qu'il s'agisse en fait des PEB fait après 2008, une éventuelle demande de PU n'ayant rien à voir là-dedans ?
Ou alors on parle de la demande de PU original, donc tous les biens dont la demande de construction initiale date d'avant 2008 ?
Ensuite, on notera l'expression "surface brute" sur la plateforme, qui ne veut absolument rien dire car les cotes de mesures des PEB sont loin d'être "brut", il s'agit plutôt de surface habitable...
Enfin, la seule information proposée et concernant l'énergie au bout du compte étant la reprise de la classe énergétique et de la consommation - ce qui ne dépend pas que de la "qualité" ou des "prestations" du bien - cela me semble peu informatif. En particulier, le site ne reprend pas les conseils proposés dans les PEB et qui pourraient, si cela est le vrai but, aider aux candidats acquéreurs (acheteurs ou locataires) à avoir des informations additionnelles telles que: la chaudière est âgée, les vitrages ne sont pas (super)isolants, ou encore la seule façon d'améliorer serait de faire isoler par l'extérieur (ce qui pourrait indiquer que le reste est globalement OK)...
Bref, il s'agit d'une amélioration notable du système PEB, néanmoins, il me semble qu'il y a là à la fois trop d'informations dans le domaine public "direct", et en même temps pas assez pour véritablement aider des acquéreurs à s'informer plus en avant sur le bien.
Personnellement, je considère que trop de lois et de règles compliquent souvent les choses.
Cependant, je suis favorable à une règle claire, simple et pragmatique pour calculer la surface. Que ce soit la loi Carrez ou la surface moquette.
Sinon, il existe une surface déterminée légalement en Wallonie, c'est la surface chauffée reprise sur les certificats PEB. Elle est si peu représentative et si surévaluée que personne ne l'utilise, heureusement.
La question n'est pas de savoir si on achète un chat dans un sac ou non. La question est de savoir à peu près à quoi s'attendre quand on voit une annonce... Le prix au m2 n'est sans doute pas le seul critère à prendre en compte, mais c'est un critère qui a de la valeur et qui fait sens.
A l'époque ou je cherchais à acheter, j'avais découvert que les mesures PEB varient également d'une région à l'autre (je n'y mettrais pas ma main au feu, mais j'en ai le souvenir).
De plus, les m2 indiquées sont ceux dit "habitables", s'en suit tout un tas d'exclusions (escalier dans un duplex, partie sous combles à partir il me semble de moins de 2m de haut, toute surface à l'extérieur telle terrasse, balcon, cour, jardin, etc.) ...
PIM a écrit :Suis tout de même intrigué par ce concept invoqué de "visite virtuelle" ayant généré une suite contractuelle...
C'est le progrès, mon bon Monsieur !
J'ai moi-même fait des visites "virtuelles" cad via WhatsApp ou Skype, avec GSM en main, à plusieurs reprises, quand j'ai créé ma collocation (dans laquelle je n'habitais pas).
La suite se passait par mail, échange des documents (bilatéral), suivi par un entretien, éventuellement à distance à nouveau, pour la lecture et signature du bail par le preneur qui me l'envoie en scan, j'imprime je scanne, je renvoie illico. Obligation de payer 1er loyer et garantie locative après signature du bail et avant remise des clés / prise en possession des lieux, évidemment.
Une fois la collocation lancée, les fois suivantes, les colocataires sortant organisaient les visites (virtuelles compris), et les colocataires restant organisaient des interviews (virtuelles compris) avec les candidats intéressés. La suite se passait ensuite comme ci-dessus, par mail avec moi pour précision et échange des documents avec les différents candidats dans l'ordre choisi par les collocataires restant. Si tout le monde est satisfait, rencontre, éventuellement en ligne, pour la lecture et signature du bail.
Avec le recul, je réalise que j'ai signé une grande partie de mes baux ainsi, sans problème. Après, il s'agissait d'une colloc relativement "nichée": collocation de jeunes professionnels et stagiaires de la Commission Européenne, tout ce beau monde ne vie pas en Belgique. Evidemment je préfère une visite sur place et une signature en personne, mais je n'ai pas non plus envie de mon côté d'attendre le débarquement deux/trois jours avant le début du stage, et certains y trouvent leur compte car ils n'ont pas non plus envie de faire des aller-retour avant et ils sont bien content d'avoir un logement dés l'arrivée. Là encore, la situation d'une colloc, une fois lancée, ouvre bien des possibilités car il est clair que des gens habitent dans le bien et il faudrait être sacrément organisé pour que ce soit un scam. De plus, une fois en contact avec moi via email, il est facile de chercher des informations sur mon compte via les réseaux sociaux et autres. Ceux qui ont eu peur se sont désistés d'eux-même, je ne les blâme pas.
Même en Belgique où nous avons aujourd'hui une grille "indicative" des loyers, avec un mode de calcul suggéré (imposé ?), des m2 sont supprimés.
Excusez mon propos un peu hors sujet, mais, avez-vous un lien vers cette (fameuse) grille ?
Pourquoi ne pas se baser sur la grille en ligne de l'UGEB-ULEB asbl (Société Royale de Géomètres-Experts Immobiliers).
http://www.ugeb-uleb.be/fr/Commissions/ … atifs%20FR
Certes certaines grilles n'ont pas été revu depuis 2/3 ans, et d'aucun pourrait dire que des révisions/indexations pourraient avoir lieu, mais elles ont le mérite d'exister, d'être relativement officielles et de constituer une base solide et difficilement "négociable".
En ce qui me concerne, j'inclus ce lien dans mes ELE (ils sont à l'amiable mais sont basés sur un premier rapport rédigé par un expert, donc on parle d'un document complet de + 20 pages), et il n'y a pas de surprise lors des ELS tout le monde était au courant et quand bien même l'une des parties viendrait avec un expert, la grille serait légalement applicable.
Pour les ménages, on a donc la grille suivante:
http://www.ugeb-uleb.be/media/f3de9c4c- … 4159566f6d
Soit forfait déplacement de 45 EUR, puis 30 EUR de l'heure, soit pour une demie journée 165 EUR et une journée 285 EUR.
Merci Rexou pour vos explications intéressantes.
Il conviendra à chacun de voir quelle est la situation la plus avantageuse dans son cas de figure.
grmff a écrit :Je pense que vous vous trompez.
Les intérêts restent déductibles de vos revenus immobiliers. Faites les simulation sur taxweb, et vous verrez le montage tordu que les administrations des impôts nous ont concocté pour que le citoyen ne pâtisse pas de la réforme.
J'ai justement posé la question de l'intérêt fiscal de faire un emprunt pour financer un achat immobilier à Bruxelles. Mon notaire me dit que c'est sans aucun intérêt, toutes les déductions qui étaient possibles avant (interêt + capital) sont remplacées par un abattement important à l'achat pour les primo-propriétaires.
Votre notaire (tout comme mon comptable au début) n'a sans doute connaissance que de la partie I du titre IX, or la partie II contient des primes fédérales (que l'on pourrait qualifier de résiduelles), au compte duquel on trouve la réduction des intérêts ordinaires / épargne à long terme (sous B.3) et pour laquelle une réduction d’impôt (montant plafonné puis seulement 30% sur ce montant) existe encore.
B. DEPENSES NON MENTIONNEES EN II, A, QUI NE CONCERNENT PAS VOTRE « HABITATION PROPRE »
Remarque préliminaire
Vous ne pouvez mentionner à la rubrique B que des dépenses qui ne concernent pas une habitation ou qui concernent une habitation qui, au moment où les paiements ont été faits, n'était pas votre « habitation propre » (voyez « Remarques préliminaires » - « Généralités », page 54). Si ces dépenses remplissent les conditions prévues en la matière, elles peuvent entrer en considération pour un avantage fiscal fédéral.
[...]
3. Intérêts autres que ceux visés sub 1, qui entrent en considération pour un avantage fiscal fédéral
NB. le 1 concerne les emprunts de 2005 à 2013
[...]
Remarque préliminaire
Vous pouvez mentionner à la rubrique B, 3 les intérêts qui au moment de leur paiement, ne concernaient pas votre « habitation propre » (voyez « Remarques
préliminaires » - « Généralités », page 58), mais qui entrent en considération pour :
[...]
• la déduction ordinaire d'intérêts (rubrique B, 3, b).
[...]
b) afférents à des dettes autres que celles visées sub a, contractées pour acquérir ou conserver des biens immobiliers qui ont produit des revenus immobiliers non exonérés
Vous pouvez mentionner ici les intérêts de dettes autres que celles visées aux rubriques B, 1 et B, 3, a, que vous avez spécifiquement contractées en vue
d'acquérir ou de conserver des biens immobiliers qui, en 2017, ont produit des revenus immobiliers non exonérés.
Newb a écrit :En effet, il n'y a plus grand chose (voir plus rien du tout) dans la partie IX.I pour les emprunts conclus à partir de 2016:
...Une possibilité pourrait-être d'acheter votre nouvelle habitation propre avec une hypothèque sur l'un de vos autres biens (au hasard celui que vous habitez maintenant, qui n'est pas déjà endetté, et que vous prévoyez de louer). Au niveau de la banque, la garantie serait (j'imagine) relativement semblable, et, ne s'agissant pas de votre habitation propre quand vous aurez déménagé, vous pourriez bénéficier de certaines déductions (intérêt de l'emprunt amortissant les revenus de biens immobiliers) et réductions (épargne long terme, mais vous dites ne pas avoir de revenu...) de la partie Fédérale en IX.I.B ...
Moi on m'a expliqué que le bien que je donnes en garantie (=hypotheque) ne change rien, puisque c'est le bien que l'on financera (=la nouvelle habitation) qui compte.
Donc même si je donnerais un autre bien en garanti, l'argent servira a financer la nouvelle habitation propre.Je trouve cela injuste, puisque je considère que le nouveau pret que je contracte au moment d'acheter ma nouvelle habitation, me permets de conserver (= ne pas devoir vendre) l'ancienne..
La descritpion du code 1146 etant "IX.II.B.3.b) afférents à des dettes autres que celles visées sub a, contractées pour acquérir ou conserver des biens immobiliers qui ont produit des revenus immobiliers non exonérés :"
Mon banquier me garanti que conserver c'est uniquement en cas de refinancement, et uniquement pour la partie non remboursé.
Si quelqu'un peut confirmer (ou pas) ...
Je réalise avoir fait deux erreurs:
- tout d'abord je voulais bien référer à la partie IX.II.B (et non I) comme l'indique la mention fédérale.
- ensuite, il semblerait que mon explication en effet ne fonctionne pas et que votre banquier a raison: c'est le bien qu'on finance qui compte. Le document explicatif énonçant:
"Par « acquisition, construction ou transformation de l'habitation », il faut entendre :
- l'achat ;
- la construction ;
- la rénovation totale ou partielle. Les travaux de rénovation qui entrent en considération sont mentionnés à la rubrique XXXI du tableau A de l'annexe à l'arrêté royal n° 20 du 20.7.1970 fixant les taux de la TVA et déterminant la répartition des biens et des services selon ces taux ;
- le paiement des droits de succession ou de donation relatifs à l'habitation visée."
La fiche rajoute également:
"Les intérêts ne sont pris en considération que si la dette pour laquelle les intérêts ont été payés, était réellement destinée et a réellement servi à acquérir ou conserver des biens immobiliers visés."
Je n'avais pas prêté attention à ces précisions lors de ma lecture du document car elles ne me concernaient pas, mais à la relecture, cela semble plus compliqué.
Mea culpa pour cette fausse piste.
Très vite, une réponse sur un point précis : vous n'êtes propriétaire que d'un seul bien. Ce bien a été loué et vous étiez (forcément) domicilié ailleurs. Vous ne devez RIEN déclarer au niveau de vos revenus locatifs. Vous bénéficiez d'un abattement pour habitation propre sur ce bien.
Vous ne devez rien indiquer au code 1106 de votre déclaration.
Bonjour Rexou,
D'après moi, il ne s'agissait pas de mon habitation propre car d'après la fiche explicative du ministère:
Par « habitation propre », il faut entendre l'habitation que vous occupez personnellement en tant que propriétaire, possesseur, emphytéote, superficiaire ou usufruitier, ou que vous n'occupez pas personnellement pour un des motifs suivants :
- raisons professionnelles ;
- raisons sociales ;
- entraves légales ou contractuelles qui vous mettent dans l'impossibilité d'occuper vous-même
l'habitation ;
- état d'avancement des travaux de construction ou de rénovation qui ne vous permettent
pas d'occuper personnellement l'habitation.
Premièrement: je n'ai pas occupé personnellement le bien l'année dernière.
Deuxièmement: les motifs énumérés ne me concernent pas. En l'occurence, je ne considère pas que ma décision de louer le bien constitue une "entrave légale ou contractuelle". Ces termes s'appliquent à des situations très particulières dans laquelle on est en quelque sorte forcé malgré l'intention claire d'habiter dans le bien (cf. entrave). Le site de l'administration utilise un exemple, vous le conviendrez, fort spécifique: "un locataire, dont le bail est résilié mais n’est pas encore arrivé à terme, y habite encore". On voit bien qu'ici l'exemple n'est pas simplement: un locataire / vous louez le bien. Il a bien volonté d'habiter dans le bien, mais on ne peut pas le faire sans enfreindre la loi (6 mois de préavis). https://finances.belgium.be/fr/particul … inition#q2
On peut aussi le prouver par un argument a contrario: dire le contraire aurait permis sous l'ancien régime d'acheter un bien puis de simplement le louer pendant 20 ans tout en bénéficiant du "bonus logement" pour habitation propre et unique, ce qui semble contraire à la volonté d'accès à la propriété de ce bonus.
Dans mon cas, ayant souhaité louer l'année passé, il s'agissait donc bien d'une épargne à long terme qui m'était applicable (ce qui là aussi en terme d'esprit de la loi à plus de sens).
En effet, il n'y a plus grand chose (voir plus rien du tout) dans la partie IX.I pour les emprunts conclus à partir de 2016:
- exit le 1. du bonus logement,
- exit le 2 puisqu'emprunt après 2016 (peut-être le 2.a à creuser vous concernant... tout ça n'est pas bien clair),
- il faudra voir l'année prochaine si le 3.b est applicable aux emprunts de 2017 (mais épargne à long terme et vous dites ne pas avoir de revenu),
- le 4.b semble accessible mais vous exposeriez un impôt considérable à vos ayants-droits pour une poignée d'euros,
Une possibilité pourrait-être d'acheter votre nouvelle habitation propre avec une hypothèque sur l'un de vos autres biens (au hasard celui que vous habitez maintenant, qui n'est pas déjà endetté, et que vous prévoyez de louer). Au niveau de la banque, la garantie serait (j'imagine) relativement semblable, et, ne s'agissant pas de votre habitation propre quand vous aurez déménagé, vous pourriez bénéficier de certaines déductions (intérêt de l'emprunt amortissant les revenus de biens immobiliers) et réductions (épargne long terme, mais vous dites ne pas avoir de revenu...) de la partie Fédérale en IX.I.B ...
Newb a écrit :La réponse à votre question est non.
La réponse à votre tentative de commotion sous-jacente est non, je ne me suis pas trompé, car ayant épluché de nombreux documents, et les ayant appliqués scrupuleusement et à la lettre, je suis certains de ma déclaration. Je vous laisse vous informer à votre tour sur la déclaration en RBC des fois que vous vouliez faire un commentaire construit qui cherche à promouvoir la discussion ... allez, je ne suis pas bégueule, tenez, voilà même un bâton pour essayer de me taper dessus: https://finances.belgium.be/sites/defau … l-2018.pdf
J'espère que vous ne vous soyez pas trompé et que vos certitudes soient fondées.
Accessoirement, c'est quoi "la déclaration en RBC" ?
La déclaration à l'IPP en ce qui concerne la Région de Bruxelles-Capitale, cad le sujet de ce poste, et dont vous avez l'explication de la Partie 1 faite par l'administration fiscale en lien: je ne les ai pas appelé mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas regardé leurs instructions
La réponse à votre question est non.
La réponse à votre tentative de commotion sous-jacente est non, je ne me suis pas trompé, car ayant épluché de nombreux documents, et les ayant appliqués scrupuleusement et à la lettre, je suis certains de ma déclaration. Je vous laisse vous informer à votre tour sur la déclaration en RBC des fois que vous vouliez faire un commentaire construit qui cherche à promouvoir la discussion ... allez, je ne suis pas bégueule, tenez, voilà même un bâton pour essayer de me taper dessus: https://finances.belgium.be/sites/defau … l-2018.pdf