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Hello,
N'ayant trouvé aucune mention de ce sujet sur le forum, je me lance...
J'ai donc appris qu'il était possible d'utiliser son assurance groupe dans le cadre d'un achat immobilier, soit pour une avance, soit comme gage.
Je suis intéressé par la deuxième possibilité (le gage), mais avant d'aller voir mon banquier, j'aimerais mieux comprendre. Est-ce que quelqu'un a déjà utilisé ce genre de montage financier ?
Dans mon cas, la réserve de l'AG est de 30.000EUR et son montant final tourne aux alentours de 400.000EUR. J'ai déjà un PH en cours.
J'envisage l'achat d'un appartement pour 150.000EUR environ, que je compte mettre en location.
En particulier, je me demandais:
- est-ce que toutes les banques proposent ce service ? est-ce que certaines sont plus ouvertes que d'autres à ce niveau ?
- puis-je emprunter 100% de la somme ? 120% ? en gageant mon assurance groupe
- je comprends donc que je paierai les intérêts chaque mois, mais est-il possible et intéressant de rembourser en une fois, le capital + les intérêts ? (donc au lieu de payer par exemple 400EUR/mois et dans 20 ans 150.000EUR, payer uniquement dans 20 ans 200.000EUR par exemple)
- si vous aviez des retours d'expérience
- et les risques
Merci
Vu comme ça...
Je suis quand même naïf, je n'aurais pas pensé qu'il était possible de vivre 3 ans "sans domicile" !
Bonjour,
J'ai dû procéder dernièrement à une convocation de mes ex-locataires chez le juge de paix.
L'avocat qui s'occupait de mon dossier m'a averti que l'homme a été radié d'office du registre de la population il y a 3 ans environs, soit 1 an après la signature du bail (mais son dernier domicile avant radiation était l'adresse précédant celle de la maison que je lui donnais en location -> il ne s'est donc jamais domicilié à l'adresse de ma maison). La dame est bien inscrite, par contre.
Ce qui a comme conséquence de devoir envoyer la convocation par huisser, non par lettre recommandée (pourquoi ?).
Est-ce que quelqu'un sait comment on peut être radié d'office, alors que manifestement il a habité dans la maison que je lui louais plus de 4 ans ?
Bonjour,
Est-il encore obligatoire à ce jour de lancer la procédure en conciliation ? Ou dois-je attendre la publication de la loi ? Et dans ce cas, avez-vous une idée du laps de temps entre le vote et sa publication ?
Merci,
Bonjour,
Il y a quelques semaines, j'ai informé mon locataire de ma décision de vendre l'immeuble qu'il occupe. Le bail de location (initial: court terme de 3 ans, prolongé automatiquement) en est dans sa 5ème année, et est enregistré.
Le locataire m'a indiqué alors qu'il allait chercher un autre logement, étant donné la forte probabilité que l'acheteur mettrait fin au bail pour occupation personnelle. J'ai alors indiqué au locataire que ça ne me posait aucun souci, je lui ai rappelé qu'il devait m'informer avec un préavis de 3 mois, mais - en ce qui concerne cette durée - je comprenais sa situation et qu'il y aurait certainement moyen de s'arranger (sous-entendu: je ne comptais pas demander ces 3 mois).
Réaction du locataire: 2 semaines plus tard, je reçois un recommandé m'indiquant qu'il mettait fin au bail un mois plus tard, et que:
- il était hors de question qu'il paie les 3 mois que "je souhaite", vu qu'il est obligé de partir suite à ma décision de vendre - il me concède maximum 1 mois
- le mois de loyer (càd le 1er mois de préavis) serait déduit de la caution
Le locataire est à présent parti, et la maison est toujours en vente, donc vide à ce jour. Nous avons fait l'état des lieux, et le montant des dégâts (agrées par toutes les parties) + le mois non payé se montent à environ 90% du montant de la garantie locative.
Alors que j'étais ouvert au départ, ces deux remarques font que je souhaite à présent recouvrer l'intégralité des montants dus: je n'apprécie pas du tout d'être mis devant le fait accompli. De plus, certains comportements durant la mise en vente de la maison (rdv non honorés pour les visites, refus de m'ouvrir la porte pour une réparation urgente, etc) ont également influencé ma décision.
Ce qui m'amène aux interrogations suivantes:
1. Si je dois aller devant le juge de paix pour récupérer mes 3 mois, ai-je une chance de les obtenir ? A priori, la loi est claire à ce sujet, mais qui de la pratique ? En tout les cas, même si je devais vendre la maison demain, elle sera certainement vide pour les 2 mois suivant le départ du locataire.
2. Si je choisis d'aller devant le juge, quelle est la solution idéale:
a. libérer la caution pour l'incontestable (1 mois + dégâts), et réclamer devant le juge 2 mois de loyer
b. refuser de libérer la caution, et réclamer devant le juge 3 mois de loyer + les dégâts
Et tout commentaire/conseil sur cette situation est également le bienvenu !
Merci,
Bonjour,
Je fais face au dilemme suivant.
Je suis propriétaire d'une maison que je donne en location depuis bientôt 3 ans. Il s'agissait d'un bail de courte durée (3 ans), qui arrive donc à son terme dans quelques mois, et qui sera donc transformé en bail de 9 ans à ce moment.
Mon problème est le suivant: je souhaiterais vendre cette maison d'ici 2 ou 3 ans. Or, si le bail se prolonge normalement et devient un bail sur 9 ans, je pense que ma maison deviendra invendable à cause du préavis de 6 mois (le bail étant enregistré) que devrait donner l'acheteur à mon locataire actuel (je ne parle même pas ici de la solution qui consisterait à mettre fin moi-même au bail, moyennant le préavis et les indemnités).
Je vois les solutions suivantes:
1. ne pas prolonger le contrat de courte durée et mettre en vente la maison à ce moment
2. ne pas prolonger le contrat de courte durée, et signer un contrat de 2 ans avec un nouveau locataire
Aucune de ces solutions ne m'arrange: la 1 parce que je ne souhaite pas vendre maintenant, et la 2 parce que, en plus de la procédure de remise en location, je prends le risque de ne pas voir ma maison relouée directement, sans parler du fait que je mettrais à la porte un locataire très correct sous le seul motif que la loi le rend quasiment indéboulonnable après 3 ans.
Je pense que le locataire - qui souhaite rester - serait tout à fait d'accord pour resigner un bail courte durée de 2 ans, mais pour autant que je sache, ce genre de renouvellement est illégal, et le locataire pourrait très bien utiliser ce prétexte pour ne plus vouloir quitter dans deux ans.
Voyez-vous une solution à mon problème ?
Extrait du code de déontologie de l'Institut Professionnel des agents Immobiliers (IPI.be)
Citation :Art. 26 L’agent immobilier ne peut, sauf conventions particulières entre toutes les parties concernées, percevoir d’honoraires, d’avantages ou de gratifications que de son commettant ou, le cas échéant, d’un confrère avec lequel il a obtenu un accord de collaboration.
En clair, ce n'est pas contraire à la déontologie, tant que propriétaire et locataire sont au courant.
Je ne suis pas d'accord.
Il ne s'agit pas uniquement d'"être au courant".
Dans le cas rapporté ici, il y a un contrat entre le propriétaire et l'agence (recherche de locataire, état des lieux, etc), contrat dont une partie de la prime est imputée au candidat-locataire.
Le candidat-locataire n'est donc pas une partie concernée par ce contrat (il ne s'agit pas, par exemple, d'un accord entre le propriétaire et le locataire pour demander à l'agence de procéder à une expertise, auquel cas le paragraphe que vous mentionnez ci-dessus serait d'application).
A fortiori, le fait que "Si le propriétaire refuse ma candidature, les 300EUR me sont restitués" prouve que les 300EUR sont dus sans qu'une convention n'ai été signée au préalable.
Pour moi, cette agence (et celle mentionnée dans le lien) contreviennent donc bien au code de déontologie de l'IPI.
L'avis éclairé d'un membre de l'IPI pourrait être intéressant !
Dans ce cas-ci, il semblerait donc que les torts soient partagés:
- le propriétaire n'aurait pas du livrer le frigo dans le couloir commun, et sans prévenir ma connaissance
- celle-ci aurait du le mettre à l'abri, sachant qu'il lui est destiné
Cela dit, j'espère avoir la santé de votre mémé à 70 ans, sachant que le couloir commun ne donne que sur la porte d'un appartement (dont l'occupant n'a aucun contact avec mon ami) et sur une volée d'escaliers (mon ami habite au 3ème, sans ascenseur)
Bonjour,
Voici une histoire arrivée à une connaissance.
Le propriétaire de ma connaissance l'informe il y a quelque temps qu'il allait procéder à l'achat d'un nouveau frigo (il s'agit de ces frigos d'environ 1m de haut), étant donné que celui d'origine avait son compartiment de congélation défectueux.
Un jour, en rentrant dans la maison (partagée en appartements; couloir commun), ma connaissance découvre une caisse dans le couloir d'entrée. Le lendemain, la caisse est toujours là et la personne en conclut, après examen, qu'il s'agit du frigo déposé là par le propriétaire. La personne vivant seule, et ne pouvant pas transporter ce frigo tout seul, décide d'attendre le passage d'un ami pour emporter le frigo.
Une semaine et demi plus tard, le frigo a disparu.
Le propriétaire soupçonne l'occupant d'un autre appartement de l'avoir volé; mais sans aucune preuve ça en reste là.
Cependant, le propriétaire estime que mon ami doit lui rembourser le montant de ce frigo, puisqu'il ne l'a pas transporté directement dans son appartement.
Mon ami soutient que c'est au propriétaire à effectuer le transport et l'installation de ce frigo, ce qui n'a pas été fait, et que de ce fait ce n'est pas à lui à rembourser ce vol.
Quel est votre avis à ce sujet ? Qui doit rembourser ?
Merci pour vos commentaires !
Pour comprendre l'incidence de votre augmentation de 300 euros : on parle de quel montant emprunté ? (+ accessoires de ?)
Dans mon cas, on parle d'un montant de 140.000 EUR (et donc accessoire de 10.000 EUR)
D'après notaire.be, les frais d'actes s'élèvent à 3.450 EUR.
D'après mon notaire, ces frais sont de 3.745 EUR.
Voilà, j'ai reçu la réponse de mon notaire, que je vous résume ici.
Les frais d'acte de crédit liés à un prêt hypothécaire sont les suivants:
1. Le droit d'enregistrement. Il se compose de
a. 1% du montant de l'affectation hypothécaire (capital + accessoires qui
équivaut à 10% du capital)
b. 25EUR par annexe (par exemple, l'offre de crédit et le tableau
d'amortissement)
2. Les frais d'hypothèque, qui se composent de:
a. le droit d'inscription: 0.30% du montant de l'affectation hypothécaire
b. le salaire du conservateur des hypothèques, toujours fonction du montant de
l'affectation hypothécaire: 50EUR jusqu'à 25.000EUR, puis 17.50EUR par tranche
ou fraction de tranche de 25.000EUR au-delà de la première
c. le coût par page de bordereau d'inscription hypothécaire (5.96EUR par page
ou fraction de page)
d. le coût du certificat complémentaire prouvant au créancier que l'inscription
a été prise
e. le coût des timbres fiscaux figurant sur les documents à déposer et émanant
des hypothèques
3. Les honoraires du notaire
4. Les frais de formalite (certificats hypothecaires, documents cadastraux, urbanisme, recherche Registre National, etc...)
5. Timbres fiscaux et vacations
A cela se rajoutent, dans le cas du rachat d'un prêt existant:
- les frais d'acte de mainlevée
- l'indemnité de remploi
- les jours d'intérêt entre l'échéance du prêt et la mise à disposition par le
notaire du montant de remboursement du crédit
Le module de calcul de notaire.be (et partant, celui de ce site) fournit les informations suivantes:
- droits d'enregistrement (correspondrait aux points 1 et 2)
- frais divers (correspondrait aux points 4 et 5)
- honoraires (correspondrait au point 3)
Dans mon cas precis, les differences semblent donc dues a une sous-evaluation du module de calcul. Il serait interessant de savoir comment ce module fonctionne.
Beetlejuice a écrit :
Je vais donc demander plus de precisions a mon notaire sur mon delta de 300EUR.Merci de nous communiquer sa réponse...
Je n'y manquerai pas !
Heu.... si l'enregistrement est de 1%, et que la conservation est de 0.3%.... la conservation est donc bien 30% de l'enregistrement....
C'est bien ce que je pense:
1) "Le droit d'enregistrement, calculé au taux de 1 % [...] est dû sur ces deux montants"
2) "Le droit d'inscription hypothécaire [...] est actuellement fixé à 0.30 %, et il est également calculé sur le montant du capital et des accessoires, comme le droit d'enregistrement."
Par une regle de trois, je conclus que le droit d'inscription hypothecaire est egal a 30% du droit d'enregistrement.
Pour reprendre l'exemple de PIM:
- soit un montant de 100.000EUR (principal)
- l'accessoire vaut environ 10%, soit 10.000EUR
-> le droit d'enregistrement est de 0,01 * (100.000 + 10.000) = 1100EUR
-> le droit d'inscription hyp est de 0,003 * (100.000 + 10.000) = 330EUR, soit 30% de 1100EUR.
Je vais donc demander plus de precisions a mon notaire sur mon delta de 300EUR.
Effectivement, j'avais manqué ce passage.
Et il explique bien mon problème: d'après notaire.be - que vous venez de relever - le coût de l'inscription hypothécaire correspond à 30% des droits d'enregistrement.
Or, d'après le décompte de mon notaire, ce rapport monte à 52% ! Ce qui explique cette différence de 300EUR entre ce décompte, et le calcul via le site notaire.be.
Je vais poser la question à mon notaire.
Merci en tout cas pour votre aide.
Merci pour votre réponse !
Savez-vous comment déterminer précisément le montant des droits d'inscriptions hypothécaires ? Pour les droits d'enregistrement, comme vous l'avez relevé, il s'agit d'un peu plus de 1% du montant emprunté, mais quid du calcul des droits d'inscriptions ?
En ce qui concerne les frais de mainlevée, ils font l'objet d'un calcul séparé, et ne peuvent donc pas expliquer la différence entre notaire.be et mon notaire.
Bonjour,
Un point me paraît obscur dans les frais liés à un emprunt hypothécaire.
Sur notaire.be, on parle de:
1. les droits d'enregistrement
2. frais divers
3. honoraires notaires
J'ai reçu il y a quelques semaines, le décompte de mon notaire pour un refinancement. Et dans celui-ci, je trouve:
1. les droits d'enregistrement
2. le coût de l'inscription hypothécaire
3. frais divers
4. honoraires notaires
D'où sort ce coût d'inscription hypothécaire ?
Je pensais que les droits d'enregistrements tels que renseignés par notaire.be, couvrait les points 1 et 2 tels que mentionnés par mon notaire, mais les montants ne collent pas (300EUR de différence tout de même), or il s'agit de montants bien précis, non ?
Je sais que je peux poser la question directement à mon notaire, mais au préalable toute information est la bienvenue !
Merci pour votre aide.
Il n'y a pas de meilleure idée... pour perdre ses amis
La réponse à apporter dépasse largement le cadre de ce forum.
Nous vous conseillons de consulter au préalable votre notaire qui pourra attirer votre attention sur les aspects positifs et négatifs de l'opérationj projetée (risques liés à l'indivision, aux aléas conjugaux, etc.)
Bonjour,
Merci pour votre reponse.
Desireux de garder mes amis, je vais reflechir plus en profondeur
En attendant, pour ma culture personnelle et avant d'aller consulter mon notaire, connaissez-vous les differentes possibilites ?
- indivision
- societe (comme la SCI en France)
- autres ?
Merci,
Beetle.
Bonjour,
Nous sommes deux couples d'amis, chacun proprietaire de son habitation (pret hypothecaire en cours).
Nous envisageons d'acheter un bien immobilier ensemble, dans un but de placement.
Par la suite, il est possible que nous achetions d'autres biens.
Comment proceder de maniere efficace ? Achat en indivision ?
Quelles sont les choses a savoir ?
Merci,
Beetle.
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