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SVP : votre forum doit s'appeler "ICI ON PERD SON TEMPS ET ON INSULTE TOUT LE MONDE, MEME LES MINISTRES"
1/ Vous changez mon message
pas de TVA devient : TVA ?
Comme ça, toujours la polémique.
2/ Votre membre émérite GRMFF a l'audace de traiter votre vice-premier ministre et ministre des finances d'IDIOT
Ca alors !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
"La mission confiée à un syndic et qui consiste
à gérer un immeuble, détenu ou non en copropriété,
constitue une prestation de services de mandat visée
par l’article 18, § 1er, alinéa 2, 3o, du Code de la TVA
et en principe passible de la taxe au taux de 21%.
1 en 2.
Toutefois, le syndic d’un immeuble ou d’un groupe
d’immeubles bâtis, placés sous le régime de la copropriété
forcée et tombant sous l’application des dispositions
des articles 577-3 à 577-14 du Code civil, doit être
considéré comme l’organe de l’association des copropriétaires,
qui est dotée de la personnalité juridique,
lorsqu’il agit dans les limites des pouvoirs qui lui sont
conférés par la loi, le règlement de copropriété, les
statuts ou, le cas échéant, le mandat de l’assemblée
générale. Dans cette hypothèse, le syndic n’agit pas de
manière indépendante pour l’application de l’article 4,
§ 1er, du Code de la TVA et, dès lors, les prestations de
services qu’il effectue en cette qualité sortent du champ
d’application de cette taxe.
La différence entre le régime TVA applicable aux
prestations d’un syndic d’un immeuble tombant sous
l’application des dispositions précitées du Code civil et
celui applicable aux prestations d’un syndic d’un
immeuble appartenant à un seul propriétaire, se justifie
par le fait que ces syndics n’exercent pas leurs activités
sous les mêmes conditions. Elle peut, à cet égard,
être comparée au traitement différent qui est réservé,
en matière de TVA, aux prestations d’un comptable
salarié et d’un comptable indépendant."
Réponse de Didier Reynders au député Wathelet (question 1524) le 25 janvier 2007
Je trouve que le site Internet de la copropriété est une manière parfaite de rendre la gestion vraiment transparente. C'est sans doute pour cette raison que cela n'existe pas.
Tout a fait.
En Grande-Bretagne tout le monde se sert d'Internet, enfants compris, pour tout.
Et si on est etranger dans une ville, on va a la librairie publique ou c'est gratuit.
Luc est un cas bizarre...
Alors que le permis d'environnement est déjà quelque chose de lourd, dont la plupart des CP n'ont cure ;
Alors qu'un permis classe IA est beaucoup plus contraignant (et onéreux qu'un permis classe IB) ;
Alors que l'IBGE accorde deux permis classe IB, ce qui est moins onéreux et selon l'IBGE, conforme à la réglementation,Voilà que l'homme combat bec et griffes pour avoir absolument son permis classe IA.
Je ne comprends pas... Ou il a trop d'argent, ou il est adepte de l'auto-couillonnage, ou il prend plaisir à tout contester, par principe, parce qu'il est un adepte de l'ordre et de la justice à tout crin... Bientôt, il en viendra à attaquer un juge, si celui-ci venait à ne pas se ranger à sa cause. En psychiatrie, on appelle ça de la quérulence processive.
C'est fou, non ?
?????
En France (cas Foncia), il est possible d'avoir un seul compte bancaire pour plusieurs copropriétés. Incroyable, mais vrai...
En France, certains logiciels de gestion comptable de copropriété prévoient la compta en partie double avec un seul compte pour toutes les copropriétés.
En France, ils payent tout avec des chèques... incroyable mais vrai...
Qu'apportez-vous au débat en vous défoulant contre la France?
Les banques rachètent les cabinets de syndics et même des groupes entiers en masse ; de leur côté les syndics se vendent aux banques.
Exemple récent :
Le groupe Banques Populaires débourse 800 millions pour acquérir 61 % de FONCIA, premier ou deuxième syndic de France, premier de Belgique.
Pourquoi ces grandes manœuvres ?
1) Les syndics disposent de trésoreries considérables.
2) Les grands groupes de syndics ont besoin d’argent pour financer leur développement.
3) Pour les banques, ce sont non seulement des prêts immobiliers, des alliances avec les promoteurs, mais aussi de l’assurance, des filiales qui vont finir par couvrir tous les secteurs des « services » (sécurité, aide à la personne, prêts personnels, …).
Les conséquences pour les copropriétaires.
1) « financiarisation » à tout va de la gestion (le but : n’est pas de gérer «en bon père de famille», mais de disposer en permanence d’un maximum de trésorerie) ;
2) incitation aux travaux pouvant justifier l’appel à des prêts collectifs ou individuels, évidemment «accordés» par les banques.
Les syndics ont un intérêt à s’allier avec les banques qui leur apportent une clientèle sur un plateau et leur assurent dans de nombreuses situations un pouvoir total et quasi-définitif sur les copropriétés :
· Le promoteur est lié au banquier pour réaliser son opération.
· Le banquier place son syndic.
· Le syndic gère les logements de tous les petits investisseurs bailleurs et, même avec une minorité de mandats, peut faire et défaire les majorités, comme chacun sait.
· Les copropriétaires occupants deviennent, de fait, impuissants.
· Le syndic a dès lors tous les pouvoirs, il fait ce qu’il veut, il impose ses tarifs, ses filiales, ses entreprises, ses travaux, ses prêts.
Mais ici, ou le politiquement correct étouffe, qui y pense ?
simple motif qu'un syndic + des membres du CdGérance, sans explications, les auraient sans doute hypnotisés ...tous les copropriétaires sont manipulés ou manipulables.
Tout cela me paraît un peu court.
Quel candeur !
N'importe qui peut devenir copropriétaire - mais pas syndic (en principe).
Manipulable - mais oui. Impressionable encore plus. Et aussi achetable par des "cadeaux" divers.
Pourquoi aussi peu de monde aux assemblées générales (quand les dégoutés sont parti il ne reste plus que les ... ?
Pourquoi modifier une loi, avec comme motif de "pacifier" les copropriétés ?
Pourquoi tant d'affaires en justice ?
Dans le Far West immobilier belge, restez les pieds sur terre, SVP, quoique soient vos espoirs dans la justice (ou la démocratie).
Les syndicats d'investisseurs (s'auto) décernent des "Quality Labels" et autres "certifications" aux syndics, y compris leurs membres évidemment,
Les syndicats d'investisseurs font venir leurs juges de paix aux séminaires qu'ils organisent.
Oui, dans ce Far West immobilier belge, le juge sort de son tribunal pour discuter !
Démocratie, séparation des pouvoirs ?
Cause toujours, tu m'intéresses.
Pendant ce temps, les affaires tournent.
La saga immobilière belge (bruxellisation comprise) n'a que faire de la démocratie.
La loi de 1994, censée mettre de l'ordre suite au scandale des années 1980 (les dirigeants de B. mis en prison après le krach boursier qui avait vu s'envoler les fonds de rèserve de toutes ces buildings construites par A. dans toutes les villes de Belgique, sans distinction linguistique) en rendant les syndics seuls responsables de leur gestion et en cantonnant les "conseils de gèrance" (ou "cogérants" comme B. les appelait) dans une mission de surveillance uniquement, ne plait évidemment pas aux investisseurs.
C'est bien pour cela que leur syndicat veut les ramener dans un "conseil d'administration", résurrection de la co-gestion que vous appelez "couple infernal" - dont le copropriétaire lambda est non seulement un intrus mais aussi le coupable de service tout désigné s'il veut y mettre son nez.
Charleroi donne de l'espoir aux innombrables copropriétaires floués qui vont en justice.
Dans ce Far West belge, qui aura gagnera ?
Les Belges n'aiment pas les taxes et si la loi les en exempte, il ne faut pas chercher plus loin.
Résumons-nous (selon les experts documentés Marianne et pim - MERCI ) :
Depuis l'adoption de la loi de... 1994, les prestations de syndic ne sont plus soumises à TVA, sauf si le syndic s'y refuse pour y trouver son compte, son propre compte.
Tous les autres commentaires (Luc et autres) sont inutiles et confus.
Copropriétaires : Vous savez donc ce qui vous reste à faire. C'est mathématique, pas besoin de tourner autour du pot.
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