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Y a-t-il eu un état des lieux d'entrée ?
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Si vous n'aviez pas supprimé la clause d'arbitrage, vous auriez pu trouver une solution...
Il est à craindre que votre locataire ne soit, en pratique, dans les lieux pendant quelques mois encore...
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Apparemment, il s'agit donc d'une indivision.
Sauf si pacte d'indivision dans l'acte d'acquisition ou ultérieur, l'un des co-propriétaires peut provoquer le partage (la sortie d'indivision)
(je suppose que les ex-concubins ne sont pas cohabitants dits "légaux").
Il faut voir aussi si dans l'acte d'achat il n'y a pas de "tontine" (ou clause d'accroissement).
Bref : avant de se lancer dans l'aventure, il me paraît prudent de consulter, "dossier en main", par exemple votre notaire qui vous expliquera s'il y a possibilité ou non de règler cette question.
Vous pouvez aussi appeler la legal hotline 0903 99003 qui vus donnera un éclairage judicieux sur les droits et obligations résultant des conventions existantes.
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
Il faut voir sous quel régime a eu lieu l'acquisition.
Qu'entendez-vous par "parts" ?
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Le plus prudent (pour tout le monde), c'est en un chèque certifié à l'ordre du notaire du vendeur.
Et ce aussi bien pour l'acompte que pour le paiement du solde lors de l'acte authentique.
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Merci pour votre message et pour votre intérêt pour notre site www.pim.be
Comme expliqué de manière circonstanciée sur notre site à la page,
https://www.pim.be/pimfichier/assistance.html
ce type de question est traité par le service juridique indépendant « Legal Hotline » avec lequel nous vous invitons à prendre contact, en vous recommandant de PIM :
Téléphone : 0903 99 003 (tarif unique : 1,12 euro/minute, aucun abonnement à souscrire).
Si des documents doivent être transmis pour examen lié à vos questions, ils peuvent l’être :
- soit par fax au n° 071/ 83.53.20
- soit par email à info@legalhotline.be
Nous ne doutons pas que vous trouverez ainsi une solution au problème invoqué ou, à tout le moins, un éclairage judicieux sur vos droits et obligations.
Bien à vous,
Erik DECKERS
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
C'est l'inverse : si le propriétaire récupère les clés et vous signe un reçu, sans réserves.... c'est lui qui sera dans une position juridiquement délicate !
Lorsqu'il y a litige potentiel, il vaut mieux désigner un expert (soit chaque partie ayant le sien, soit un expert désigné de commun accord) pour l'état des lieux de sortie.
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Un bail de 3 ans conclu en 1991 reconduit tacitement ?...
Comme expliqué de manière circonstanciée sur notre site à la page,
https://www.pim.be/pimfichier/assistance.html
ce type de question est traité par le service juridique indépendant « Legal Hotline » avec lequel nous vous invitons à prendre contact, en vous recommandant de PIM :
Téléphone : 0903 99 003 (tarif unique : 1,12 euro/minute, aucun abonnement à souscrire).
Si des documents doivent être transmis pour examen lié à vos questions, ils peuvent l’être :
- soit par fax au n° 071/ 83.53.20
- soit par email à info@legalhotline.be
Nous ne doutons pas que vous trouverez ainsi une solution au problème invoqué ou, à tout le moins, un éclairage judicieux sur vos droits et obligations.
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
Il est évidemment impossible de donner ici une réponse synthétique dans le cadre d'une matière qui a déjà rempli quelques rayonnages des bibliothèques de juristes...
Vu la tournure des événements (faillite, travaux inachevés mais occupation, etc.), il me paraît impératif que vous preniez un avocat.
Dans un premier temps, vous pourriez prendre contact avec la legal hotline tel 0903 99003 qui vous donnera une première appréciation de vos droits et obligations.
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
La question est assez surprenante... Vous avez eu des soucis avec ce notaire ??
Rien ne vous interdit de lui demander un chèque certifié, mais cela va jeter un froid... car c'est clairement mettre en doute sa fiabilité !
En outre, cela risque de poser un problème technique : c'est la banque qui doit émettre un chèque certifié et elle ne pourra l'émettre qu'après un certain délai.
De toute façon, vous prenez moins de "risques" en recevant un chèque normal de votre notaire que directement de l'acquéreur...
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
La solution réside dans le divorce par consentement mutuel.
La cession forcée de la part du conjoint n'est pas prévue.
N'hésitez p as à prendre contact avec la legal hotline 0903 99003 pour détails et conseils.
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Comme déjà indiqué, prenez contact avec la legal hotline qui vous trouvera certainement une solution...
Ainsi, par exemple, s'il y a des conditions suspensives dans votre contrat, il sera possible d'éviter de "sortir" tout de suite les droits proportionnels.
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Je vois que les problèmes de pâture inspirent notre "Ane Aunim" 
ps: comme indiqué dans ma réponse inititiale : il faut être attentif à la notion de "bail à ferme"
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
Un droit de chapeau pour des cheveux en pâture 
Plus sérieusement :
je suppose que celui qui sengage à remettre les clôtures en état, ce sera le locataire... et pas le propriétaire.
En pratique, il s'agit de faire un contrat de bail (en précisant qu'il ne s'agit pas d'un bail à ferme) dont le prix (car il ne s'agit pas de gratuité) est la remise en état des clotures par le locataire.
Précisez le détail des travaux à effectuer ainsi qu'un délai pour leur exécution.
N'hésitez pas à prendre contact avec la legal hotline 0903 99003 pour des infos complmentaires et pour la rédaction du bail.
Quant au "droit de chapeau".... je ne sais pas ce que c'est !!
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
L’anecdote est amusante : après dix ans d’utilisation intensive du mot courriel (compression de courrier + électronique) par nos cousins québécois pour traduire « email », les Français l’adoptent à leur tour. Courriel devient donc la traduction officielle de e-mail. Son utilisation devient même obligatoire pour les fonctionnaires français. Quant au « spam » et au « chat », ils sont encore à la recherche de leur traduction. « Pourriel » et « clavardage » ont été refusés.
Rien n'est prévu pour forum qui resterait forum : merci César !
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Et il a fait comment "ane aunim" pour avoir tous ces détails ???
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
D'où l'intérêt d'une clause d'arbitrage, comme dans nos modèles téléchargeables sur www.pim.be !...
Pour en revenir au cas soulevé, si le compromis a effectivement été signé par les 2 vendeurs, il faut examiner ce qui est prévu au contrat de vente dans la clause "sanctions" (pour autant qu'il y en ait une...).
Souvent, il est prévu soit l'exécution forcée, soit la résiliation (qui doit être prononcée en justice) aux torts et griefs de la partie défaillante avec "dommages et intérêts" à la clé.
A priori, si c'est le vendeur qui est défaillant et que vous souhaitez toujours acquéreur, vous pouvez demander l'exécution forcée en justice: le jugement peut valoir acte authentique.
C'est vrai - comme le souligne Anne Aunim (qui, soit dit en passant, ferait bien de s'identifier chez le modérateur...) - qu'il faudra "sortir" les droits d'enregistrement... mais il faudra bien le faire de toute façon au moment de la vente.
Quoi qu'il en soit, nous vous conseillons de prendre contact avec la legal hotline 0903 99003 pour examiner, sur base des pièces du dossier, vos recours possibles.
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster
Vous parliez de copropriété et maintenant de maison privée ???
Comme suggéré, appelez la hotline juridique...
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
La question paraît simple, la réponse l'est moins car elle dépend de plusieurs paramètres.
La réponse varie notamment selon que les dégâts constatés concernent les parties privatives ou les parties communes.
A titre conservatoire, il convient en tout cas d'informer la compagnie d'assurance couvrant votre immeuble (mais ce risque est-il couvert ?)
Pour obtenir une perception plus claire de la situation juridique, nous vous invitons à prendre contact avec la legal hotline tel 0903 99003 qui vous guidera utilement, sur base des informations complémentaires que vous pourrez lui donner.
Erik Deckers
Administrateur-délégué de Propriétés Immobilières s.a.
Pim's webmaster
Les taux baissent tous azimuts, et ceux des créditslogements et autres prêts hypothécaires n'échappent pas à la tendance. C'est évidemment tout bénéfice pour les candidats constructeurs ou acquéreurs dont la mensualité sera moins lourde à supporter, à immeuble égal. Mais c'est (peut-être) aussi salutaire pour le portefeuille des propriétaires qui ont souscrit un prêt il y a quelques années.
Refinancer ou ne pas refinancer, telle est donc la question! Et pour tenter de trancher, L'Echo a rencontré un praticien en la personne de Patrick Janssens, administrateur de Finaco, société active à Bruxelles depuis 25 ans et forte de 7.000 dossiers ouverts actuellement.
Pour juger de l'opportunité de refinancer son prêt hypothécaire existant, la procédure est simple: "on englobe dans le nouveau montant emprunté l'intégralité des frais découlant de l'opération de refinancement, car, d'une manière générale, le client ne veut pas débourser d'argent. Le calcul sera effectué sur la durée restant à courir, généralement dans la même formule (fixe, variable, avec ou sans cap...)", résume Patrick Janssens. Si la mensualité qui en découle est plus faible que celle payée dans le cadre du prêt existant, on refinance. Les seuls frais à devoir éventuellement débourser seront ceux liés à une éventuelle expertise du bien (si l'immeuble jouit déjà d'une plus-value par exemple) et des frais de dossier.
Quand refinancer?
Le spécialiste l'admet d'emblée, "certaines années conviennent mieux que d'autres à un rachat". Pour ceux qui auraient souscrit un prêt en 1999, mieux vaut qu'ils ne se fassent pas d'illusion. Par contre, Patrick Janssens s'intéressera de près aux emprunts souscrits en 1998, 2000 et 2002. Les taux obtenus lors de ces années "millésimes" sont en effet susceptibles d'être assez élevés pour justifier d'un rachat du prêt.
Justement, quelle différence doit-il y avoir entre la formule existante et la formule de remplacement potentielle? Prenons comme base un prêt souscrit sur 20 ans. Si le client se situe au début de la durée de son prêt, l'écart de taux devra être de 1,5% au moins. En fait, plus la durée à courir est longue, plus les frais liés au refinancement seront aisément amortissables. Par contre, s'il s'agit de durée courtes et/ou de montants empruntés relativement restreints, le différentiel de taux devra être au minimum de 2%, selon le spécialiste de Finaco.
Il s'agit évidemment d'un point de repère assez général, mais en réalité, l'appréciation se fait au cas par cas, avertit-il. Il existe en effet toute une série de subtilités, dont, par exemple, le fait que le bien ait pris de la plus-value, ce qui permettrait alors de travailler pour partie en mandat hypothécaire et pour l'autre partie en inscription hypothécaire, une procédure toutefois laissée à l'appréciation de la banque. Avec un mandat, la banque accepte de prendre moins de garantie, mais le client ne doit payer des frais que sur l'inscription. Pas très "chaudes" à l'idée de consentir un mandat hypothécaire il y a encore peu, certaines banques assouplissent quelque peu leurs positions en raison des plus-values générées par certains immeubles et aussi en raison de la concurrence.
Les frais
Quels sont donc les frais à supporter dans le cas d'un rachat de prêt hypothécaire?
Primo, l'indemnité de remploi, soit 3 mois d'intérêts sur le solde du crédit. Autrement dit, il s'agira systématiquement de moins de trois mensualités. "En fait, on regarde le tableau d'amortissement, on y prend l'intérêt du mois où on solde l'emprunt et c'est ce montant qu'on multiplie par trois", explique Patrick Janssens.
Secundo, la mainlevée d'hypothèque, un montant qui dépend de l'inscription initiale, mais qui varie généralement entre 450 et 700 euros.
Tertio, les frais d'acte de prêt qui se montent pour un emprunt "moyen" d'une valeur de 125.000 euros à 3.250 euros.
(...)
(source: ECHONET, 04/07/2003)
Erik Deckers
Propriétés Immobilières s.a.
Pim\'s webmaster