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Cependant, l'absence de document est aussi valable pour lui. Le juge devra donc se baser sur nos versions non ?
La votre où la sienne?
Au fait, j'avais lu que la procédure en conciliation devant le juge de paix est gratuite, rapide, sans frais administratifs et peut se faire sans avocat. Est-ce bien juste ? Si c'est le cas, je souhaite tenter cette procédure qui sera un bon indicateur de la partie ayant raison...
C'est une piste à considérer. L'ennui, c'est que
- certaines greffes vont (illégalement) vous envoyer vous promener ailleurs
- la partie adverse n'a aucune obligation de répondre à la convocation.
Si vous estimez rien avoir à perdre, alors tentez votre chance.
Par ailleurs, avez-vous les coordonnées de l'avocat de la partie adverse? Si oui, prenez contact avec lui et tentez de régler l'affaire avec lui.
Précision: sous quelle forme est constituée la garantie?
Si le propriétaire considère qu'en attendant l'état des lieux de sortie, le loyer lui reste dû.... il n'a aucune raison de se presser pour le faire (sauf s'il avait déjà un nouveau locataire en attente d'occupation)
Si les clés ont été remises et qu'il y a une preuve de la remise des clés, un état des lieux de sortie n'a pas de sens. Le locataire aura beau dire j'ignore ce qui s'est passé dans le bien après mon départ. Et il n'a pas tort.
D'ailleurs à plusieurs reprises ont m'a fait la remarque alors que les clés n'avaient pas été restituées.
Si Ersan voulait bien préciser la nature des documents à la base de ses affirmations, on y verrait plus clair.
Je voulais incidemment montrer que c'est surtout le locataire qui a un intérêt à faire considérer qu'il est valablement dégagé de toute obligation à dater du ../../..
...ce qu'Ersan ne démontre pas.
Oui, je sais que je vous ai donné une description fort détaillée qui vous semble être du blabla donc...
Ce n'est pas votre prose qui cause problème; c'est votre absence apparente de document à l'appui de vos assertions. À la justice de paix, vous êtes tenu de prouver vos assertions. Difficille si pas impossible de prouver il a été dit que ...
Par ailleurs, en justice de paix, si vous n'avez pas gain de cause, vous risquez d'être condamné au paiement d'une indemnité de procédure de 1.320 € (litige non évaluable en argent).
Je trouve aussi que c'est du n'importe quoi. Quand on va en Justice de Paix il faut un dossier bien ficellé. Pas du blabla. Quels sont les documents à la base de vos affirmations.
Par ailleurs il n'y a aucune obligation légale de faire un état de lieux de sortie. Cependant, chacun peut exiger un état de lieu de sortie. S'il n'y a pas d'état de lieux de sortie, le bailleur n'est pas en droit de réclamer une indemnité.
En finale, quand avez-vous remis les clés?
Que disent précisément l'assurance et le règlement de copropriété en ce qui concerne l'assurance habitation ? Quels sont les risques couverts ?
Ce n'est pas très clair ce qui est écrit dans la police d'assurance:
[citation]
Nous assurons les dommages causés par l'infiltration accidentelle (soudaine et imprévue) d'eau à travers des murs extérieurs, des toitures, des terrasses ou des balcons de l'immeuble assuré. Ne sont pas couvert les dommages et les frais de remise en état des conduites encastrées qui sont à l'origine du sinistre.
[fin de citation]
Que dit l'acte de base ou les statuts?
J'aurais dû y penser plus tôt.
[citation]
13. Canalisations - Raccordements généraux
Les descentes d'eaux pluviales, le réseau d'égouts et ses accessoires, les raccordements généraux des eaux, combustibles et électricité ainsi que les compteurs et accessoires y relatifs, les décharges, les chutes et la ventilation de ces dispositifs y compris les accès, en un mot toutes les canalisations de toute nature intéressant la copropriété sont parties communes.
Font exception les canalisations à usage exclusif d'un lot privatif, mais uniquement pour ce qui regarde la section située à l'intérieur du lot privatif desservi, ainsi que celles qui se trouvent à l'extérieur de la partie privative mais sont exclusivement à son usage, par exemple les conduites particulières de l'eau, du gaz, de l'électricité et du téléphone.
[fin de citation]
Vu qu'après le compteur de ville, une conduite est à usage exclusif d'un copropriétaire, j'en conclu que la responsabilité civile incombe au copropriétaire.
Je puis éventuellement envoyer par courriel privé l'acte de base.
J'ai divisé un immeuble en lots que je mets en vente. Un premier lot est d’ores et déjà vendu. L’immeuble est donc une copropriété et dans l’attente de la vente de tous les lots, je suis copropriétaire.
La copropriété a souscrit à une assurance bâtiment. L’expérience m’apprend que la plupart des sinistres ont une origine hydraulique. Par ailleurs, il me semble que les conduites d’eau et de gaz après les compteurs sont la propriété des copropriétaires respectifs.
J’en viens alors à me demander, si l’assurance immeuble couvre un sinistre survenant à la suite d’une rupture d’une conduite et que donc en tant que propriétaire de plusieurs lots, je dois ou devrais souscrire à une assurance complémentaire pour chacun des lots dont je suis propriétaire.
Je crois qu'il vaut mieux de ne pas s'adresser à la commune sans quoi on risque d'être parti pour la gloire. Cependant, il faut informer l'acquéreur des éventuelles infractions si elles vous sont connues. D'ailleurs, qui sait, l'acquéreur s'en incommodera.
Les harrassements continuent. Je reçois un coup de fil d'un firme de recouvrement de créances d'Anvers affirmant que je n'aurais pas réglé des factures. N'ayant jamais reçu de facture et n'étant pas client je ne vois pas sur quelle base on pourrait me facturer des biens et services qui par ailleurs ont probablement été facturé au propriétaire précédent.
La firme de recouvrement de créances refuse cependant de me donner des précisions et met fin à la conversation quand je demande la production des pièces.
Sans me faire trop d'illusion, j'ai porté plainte au Ministère des affaires Économiques.
Mais c'est d'une simplicité inouïe: vous les relevez vous-mêmes lors de l'ELS!
Effectivement. Vous pouvez lire le compteur d'eau chaude et probablement les calorimètres:
https://www.ista.com/be/infotheque/faq/ … -mon-index-
Le calorimètre semble donner la consommation depuis le dernier relevé. Vous devriez donc connaître votre consommation à tout moment.
Faire appel d'un jugement rendu par défaut... c'est gros quand même !
J'ai déjà eu affaire à un avocat qui annonçait durant sa plaidoirie, donc avant jugement qu'il irait en appel. Ce qu'il fit. Cependant, il n'a jamais déposé des conclusions. L'affaire est fixée en 2016.
Jusqu'il y a environ dix ans, j'ai eu affaire à Schaerbeek I a un juge du même genre: Madame Béatrice Vanrobays
C'est la date du prochain relevé que j'aurais du demander. Apparament on fait bien les choses: relevé chaque année au 30 septembre. On risque de vous compter des frais de chauffage jusqu'au 30 septembre. En théorie vous devriez faire venir Ista au 24 août prochain. Cependant celà risque de vous coûter plus cher que le trop de frais de chauffage qu'on risque de vous réclamer.
libra a écrit :Quand se termine votre préavis?
Le 31 août 2015
Dans ce cas, vous n'avez rien à payer pour le mois de septembre, ni loyer, ni provision. Il n'y a plus de contrat.
Veuillez tout de même à faire un relevé contradictoire de tous vos compteurs et si possible des calorimètres. Quand vous recevez votre décompte, vérifiez que les frais fixes sont comptés au prorata du temps d'occupation de la dernière année comptable; 11/12è si j'ai bien compris.
À propos, de quand date le dernier relevé des calorimètres?
Quand se termine votre préavis?
Ne vous laissez pas impressionner. Ils n'ont aucun droit. Et surtout pas celui de vous intimider. Ils cherchent juste à savoir qui leur casse le marché et à quel prix.
Pour savoir qui est le nouvel ascensoriste, il suffit de venir voir dans l'immeuble.
Je parie que c'est un des 4 grands. Prenez un petit, vous diviserez votre facture en deux pour l'entretien et par 4 pour toutes les réparations.
C'est un des grands. J'ai pris un tout petit. Les prix ont bien baissé mais pas dans ces proportions.
Il y a des choses bizarres dans ce que vous racontez.
L'état des lieux de sortie est prévu le 24 août et dès à présent vous n'avez plus accès à l'appartement. Dès lors qui assume la responsabilité civile et les consommations durant votre absence? Comment s'est fait la remise des clés?
Vous payez 1.200 € par an de provision alors que votre dernier décompte fait état de consommation de 852 €. En principe vous auriez pû demander une diminution des provisions mensuelles. Quand est-il des consommations des années précédentes? Est-ce du même ordre de grandeur?
Vous avez effectivement aucun recours contre Ista. Cependant, me semble t-il, il ne vous est pas interdit de vous renseigner auprès d'eux. Par ailleurs, un relevé intermédaire est nécessaire pour faire un décompte. S'il n'y a pas de décompte, il se peut que vous pourriez réclamer le remboursement des acomptes. À vérifier.
Le montant qu'on vous a réclamer en début de location est manifestement trop élevé. 188 € pour un mois et demi, soit une moyenne de 125 € par mois d'été alors que pour la dernière année complète vous consommiez 85 € de moyenne par mois, mois d'hivers et d'été confondus. Cependant, je ne crois pas que celà à un sens de s'attarder sur ce point. En effet, il y a probablement prescription.
Que vous n'occupez plus l'appartement depuis le 15 juin ou que vous l'occupiez jusque au 30 septembre ne changera pas grand chose à votre consommation de calories pour le chauffage. Les provisions payées durant les mois d'été servent à couvrir vos frais de chauffage durant l'hiver précédent. Il est donc normal qu'on vous réclame des provisions jusqu'à la fin de l'étél.
Par ailleurs, pour pouvoir faire un décompte exact, il y aurait lieu de faire faire par le releveur des calorimètres un relevé. Celà a cependant un coût. À vous de savoir si celà vaut la chandelle.
J'ai trouvé un texte de loi
http://economie.fgov.be/fr/binaries/201 … -46173.pdf
Je n'y vois rien à propos d'une quelquonque obligation à l'égard d'un ancien ascensoriste.
Au 1er mai 2014, j'ai acquis un immeuble équipé d'un ascenseur. J'en ai informé l'ascensoriste. Par la suite, j'ai été harassé par l'ascensoriste qui aurait voulu conclure un nouveau contrat.
J'aurais bien voulu. Ne nous entendant pas quant aux conditions, il n'y a pas eu conclusion d'un nouveau contrat et j'ai choisi un nouvel ascensoriste.
L'ancien ascensoriste arguant que le propriétaire est responsable de la sécurité des habitants du bâtiment, que dès lors qu'un entretien périodique est obligatoire. Sur cette base, l'ancien ascensoriste me met en demeure de prouver que j'ai conclu un nouveau contrat chez un autre prestataire de service.
Suis-je tenu d'apporter cette preuve?