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Le règlement de copropriété et non le règlement d'ordre intérieur.
Oui, en effet, pardon, j'aurais dû écrire "Règlement de Copropriété". Au temps pour moi
Cette imprécision ne contredit toutefois pas mes "remarques". Le copropriétaire a heureusement beaucoup de latitude, mais il ne peut jouir de son bien comme il l'entend ; il vaut mieux consulter le RdC et le ROI avant d'entreprendre des travaux importants, afin de s'assurer qu'il n'y a pas lieu de les soumettre à une autorisation de l'AG et/ou de consulter le Syndic.
Et, voyez le point 12 de la partie "ROI" du document dont j'ai posté le lien :
"12) Isolation des éléments privatifs
Aux fins de prévenir des bruits de pas pouvant gêner le voisinage, les propriétaires des lots privatifs qui
habitent leur appartement eux-mêmes ou qui les louent, devront veiller à ce que cinquante pourcents au
moins des surfaces carrelées ou parquetées de leur lot privatif, soient recouvertes de tapis. Ils devront
veiller à ce que la destination de leur lot privatif ne soit aucunement en désaccord avec le standing de
l’immeuble."
ça fait envie d'être propriétaire et d'avoir un bon syndic, non ? 
1° Donc le chauffage de cette copropriété est PRIVATIF et en principe le syndic n'aurait pas à s'ingérer dans les solutions individuelles ( privatif)
Si je me réfère au ROI de "mon" immeuble, certains points cadrent les travaux privatifs, notamment ceux susceptibles d'avoir un impact sur les communs.
Or, le Syndic a pour rôle de faire appliquer le ROI.
Dans cet exemple de ROI (http://www.immolln.be/site/wp-content/u … 6.2018.pdf), voir également le point 10 :
"Rien de ce qui concerne le style et l’harmonie de l’immeuble s’il s’agit de choses privées ne pourra être
modifié que par décision de l’assemblée générale prise à la majorité des trois quarts des voix et avec
l’accord de l’architecte de l’immeuble.
Il en sera notamment de même des portes d’entrée des locaux privatifs, des fenêtres, des garde-corps, des
persiennes, des volets et de toutes les parties visibles de la rue, et cela même en ce qui concerne la peinture.
La teinte des tentures et des rideaux des fenêtres donnant en façade à rue sera de couleur blanche.
L’assemblée pourra fixer d’autres couleurs différentes suivant les étages."
Il serait utile que quelqu'un d'avisé confirme que le Syndic ne réagira que s'il y a plainte d'un ou de plusieurs copropriétaires.
Si le Syndic tient un registre de ses visites et de ses constats, il serait utile que le CDC, s'il y en a un, y accède...
Je serais tenté d'écrire que pour assumer "honorablement" sa mission, le Syndic est de facto obligé de procéder à des inspections régulières du bâtiment : mais il se peut que ce soit laissé à l'interprétation/à l'appréciation du Juge (de Paix ?).
Alors pour être plus précis:
Il s'agit d'une petite co-propriété de 6 lots (5 co-propriétaires)
Elle a été construite entre 1960 et 1962 (date de la dernière vente) sur un terrain agricole situé dans le quartier de la maison communale de Woluwe Saint Lambert.
Le syndic est un des co-propriétaires et aucun co-propriétaire ne l'habite, tous les lots sont en location.
Si je comprends bien la situation "technique", votre bien est susceptible d'être affecté par cette installation. En tant que copropriétaire, vous avez le droit d'introduire une plainte auprès du Syndic, et de demander à ce dernier d'appliquer la Loi + le ROI (qui fixe en principe toutes les règles portant sur les travaux concernant les communs, mais aussi, dans une certaine mesure, sur les travaux privatifs).
Compte tenu des probables conséquences financières pour plusieurs parties prenantes, un accord à l'amiable risque d'être difficile à établir, mais c'est la première démarche à tenter.
Dans tous les cas, il est indispensable que vous retrouviez le PV d'AG dans lequel figure l'approbation de l'ACP. Si vous ne trouvez aucune trace de cette approbation, le copropriétaire concerné sera sauf erreur de ma part, entièrement en tort, à moins que l'on considère que si le Syndic habite l'immeuble, il ne peut pas ne pas avoir "vu" ; et dans ce cas, selon moi, il devient coresponsable.
Je vous souhaite bon courage, et beaucoup de ténacité dans votre entreprise de "normalisation". Notez : tous les conflits n'en valent pas la peine, et à vous de voir s'il est judicieux dans votre cas...
Au vu de la photo, je ne vous cache pas que ma première inquiétude se porte sur la stabilité de l'immeuble.
Si c'est un immeuble construit sur une ossature en béton armé, il aura foré dans une des colonnes et un des linteaux. Et il aura déforcé la structure de l'immeuble.
Il s'agit sans doute d'un immeuble des années '60 ou '70... Soit la "pire période" en termes de qualité des bâtiments, notamment à Bruxelles. C'est la période durant laquelle l'appât du gain mena à la démolition de nombreux immeubles style hôtels de maître, pour reconstruction d'immeubles à flats, beaucoup plus rentables.
Donc votre inquiétude semble légitime...
Donc premiers gros frais à prévoir : expertise du bâtiment pour contrôle des éventuels dommages structurels. Et je crois que ça chiffre très très vite !
Il est évident que le SYNDIC (IPI) a sa part de responsabilité : il vient voir ce bâtiment de temps en temps une fois par mois
ou jamais ?
La responsabilité première d'une installation non conforme, dans le cas présenté, est celle du copropriétaire s'il n'a pas appliqué la procédure adéquate auprès du Syndic.
Si la procédure adéquate a été appliquée, et que l'installation a été approuvée en AG, malgré les avertissements du Syndic quant à l'illégalité du dispositif, il me semble que la responsabilité devient partagée.
Si la procédure adéquate a été appliquée, et que l'installation a été approuvée en AG, sans avertissement du Syndic quant à l'illégalité du dispositif, il se peut que la responsabilité du Syndic pourrait être engagée, mais c'est à vérifier.
Les installateurs de chaudières sont aussi censés connaître la loi : dès lors, leur responsabilité pourrait aussi être engagée s'ils procèdent à des installations qu'ils savent non conformes/illégales.
Compte tenu de ce que l'on voit sur la photo, il me semble certain qu'une remise en état sera justifiée ; pour déterminer la façon dont les frais seront assumés et éventuellement partagés, il nous faut en savoir plus sur la façon dont on en est arrivé là.
Article intéressant (arrêt Cour de Cassation ; française, mais dans bien des cas, les Lois belge et française sont très proches) : https://www.batirama.com/article/48606- … touse.html
Selon cette discussion, l'installation de chaudières à ventouse est interdite dans la Région de Bruxelles-Capitale : https://www.bricozone.be/t/evacuation-c … me.111151/
Selon cet article, l'installation de chaudières à ventouse est interdite en Belgique depuis 2015 : https://chauffagiste-bruxelles.net/chau … -bruxelles
... ça va coûter cher au commanditaire de cette installation...
Mais il n'avait qu'à se renseigner avant !
Bonjour,
Dans tous les cas, toute installation susceptible d'altérer les communs doit faire l'objet d'une approbation en AG. De plus, si les travaux lourds qui ont permis l'installation de cette chaudière et de son évacuation altèrent la structure du bâtiment, il est possible que l'architecte de l'immeuble ait du donner son approbation (s'il est encore en vie).
Ensuite, il est selon moi pratiquement certain qu'une telle altération d'une façade visible depuis l'espace public doit faire l'objet d'un permis d'urbanisme.
La liste des présences reprend les noms des CP présents OU représentés. Soit un CP est présent, soit il est représenté. Et ceci pour la totalité des quotités dont il dispose.
En fait si j'ai posé ma question à G.B., c'est parce que je voulais savoir ce qu'il avait dans sa tête.
Peut-être un AUTRE p'tit Monsieur en train de danser le Funk... avec de la fumée qui sort de ses oreilles ?
J'espère qu'il a de l'humour...
AdemJS a écrit :Bonjour,
Selon vous quel serait l'intérêt de vous présenter pour l'un, et de vous faire représenter pour l'autre ?
Dans le cas évoqué, la question est posée, à mon avis, à G.B
Oui, tout à fait, cela me semblait évident, mais j'aurais dû le citer pour plus de clarté.
La seule circonstance que je pourrais comprendre, c'est le cas où MR est propriétaire d'un appartement, MME est propriétaire d'un autre appartement et le couple est propriétaire de deux garages.
Selon moi, cela représente 3 propriétaires différents et chacun pourrait donc désigner un mandataire différent ou se présenter pour son bien propre mais pas pour les autres.
C'est ce qu'il me semble aussi.
De plus, vu que dans la plupart des cas, les points à l'OJ concernent les parties communes, je me demande vraiment pourquoi provoquer une telle configuration de l'AG (en admettant que ce ne soit pas "interdit" ; une mention explicite d'une incompatibilité de présence entre un copropriétaire pour un lot et son mandataire pour un autre constitue un interdit bien entendu). Et quand bien même le point porterait sur une autorisation de travaux privatifs par exemple, pourquoi se faire représenter tout en étant présent ?
Bonjour,
Selon vous quel serait l'intérêt de vous présenter pour l'un, et de vous faire représenter pour l'autre ?
En droit belge, sauf erreur de ma part, le principe est le suivant : tout est autorisé, sauf ce qui est interdit. Pour autant, ce n'est pas parce que quelque chose n'est pas interdit que cette chose est souhaitable. Dans le cas, évoqué, à part provoquer des complications ?
Bonjour,
En espérant que ce soit utile, voici un partage d'expérience portant sur la gestion d'infiltrations et dégâts des eaux, au niveau de privatifs.
Deux situations :
- Situation 1 :
Mon voisin du dessous me signale que de l'eau perle sur ses murs et par son lustre, depuis une date indéterminée. Après mes premières vérifications, je constate une flaque d'eau sous mon bain assis. Malgré mon pompage, mon voisin me rapporte qu'il recueille au moins 5 litres d'eau par jour... Cela signifie plus que probablement que le sinistre s'était amorcé depuis bien longtemps, et c'est un détail qui dans certains contextes peut ne pas être anodin du tout.
Je contacte le Syndic : celui-ci demande l'intervention d'une société de détection de fuite. Grâce à une caméra thermique, d'importantes fuites sont confirmées, au niveau de pratiquement tout mon circuit d'eau sanitaire.
NB : avec une caméra thermique, vous pouvez analyser les circuits installés au niveau de vos sols et de vos murs, mais aussi au niveau de votre plafond (en fait au niveau de la chape) : il n'est donc pas systématiquement nécessaire d'accéder au bien de votre voisin du dessus pour constater une éventuelle fuite au niveau de ses propres circuits.
Après quoi, le Syndic mobilise son plombier agréé : les sols sont ouverts. Le tuyau d'évacuation d'eau, en plomb, était fortement rongé (trous de près de 10 cm), sans doute du fait de l'usage occasionnel de produits tels "Destop" ; le point d'entrée vers la colonne de service (évacuation) était presque complètement bouché par le tartre ; le circuit de distribution d'eau, en galva, non gainé, comptait de nombreuses fuites du fait de l'oxydation, tant en vertical qu'en horizontal.
Dans mon cas, les travaux d'ouverture des sols, de démolition de la baignoire, de l'évacuation des déchets, de la réfection de la plomberie, ont été pris en charge par l'ACP. J'ignore si l'assurance est intervenue, compte tenu de la franchise (anormalement ?) élevée ; le chantier a été "découpé" en "sous-chantiers" (ex : ouverture des sols et refection de la plomberie, + démolition du bain assis, + ?), dont chacun des montants était inférieur à la franchise.
La réfection du mobilier apparent (ex : carrelage, installation nouvelle douche) était à ma charge, éventuellement indemnisable par mon assurance. Le souci, c'est qu'il fallait que je conserve les lieux "en l'état" après passage du "plombier-démolisseur", le temps que mon assureur procède à l'expertise nécessaire : ce n'était évidemment pas faisable, vu que mon studio ne fait que 40 m².
J'ai donc profité de ce sinistre pour rafraîchir tout mon studio, à ma charge, évidemment pour ce qui était d'ordre privatif.
Nb : avant réfection des dégâts subis du fait d'un sinistre ne ressortant pas de votre privatif, il importe évidemment que la cause du sinistre soit traitée, avant d'entamer les travaux nécessaires au niveau du privatif de votre ressort.
Situation 2 :
Je constate que des gouttes perlent de la partie au-dessus de ma baie vitrée. Je contacte le copropriétaire de l'appartement du dessus, dont, heureusement, je possédais les coordonnées. Il est venu faire le constat, et a directement entrepris les travaux nécessaire. Le diagnostic était le suivant : le mortier des terrasses était en bien piètre état, et de l'eau s'infiltrait dans la chape . Avec le temps, cette humidité a fini par oxyder l'extérieur de la tuyauterie du chauffage central proche des baies vitrées des studios.
J'ignore s'il s'est fait indemniser ou pas, et si oui dans quelle proportion et sur quelle base.
Pour ma part, je n'ai pas demandé à mon assureur d'intervenir pour la réparation des menus dommages que j'ai subis.
Bonsoir et Merci pour vos réponses.
En fait, j'aurais dû décrire un peu mieux les circonstances:
Une grosse tache au plafond de la salle de bain, puis peinture et plâtre écaillés sur 2 murs,
plutôt une gêne esthétique, pas fonctionnelle, je peux utiliser tout
Bonjour,
Première chose très importante à faire, si ce n'est déjà fait : faire des photos.
Je n'aborderai pas trop la question des assurances ; par contre la question des origines probables du sinistre pourrait vous intéresser.
La tache que vous décrivez peut provenir de dégâts des eaux plus graves que ceux résultant d'un problème de joint : j'ai connu ce genre de situation - mon circuit d'eau en étant la cause, avec infiltrations dans l'appartement du dessous. Dans mon cas, la plomberie, datant des années '60, était littéralement trouée de partout : j'ai dû faire ouvrir les sols et mettre la plomberie en conformité.
En principe, j'aurais dû faire intervenir mon assurance RC, mais les délais étaient beaucoup trop longs : selon mon syndic de l'époque, tous les travaux "apparents" auraient pu être partiellement indemnisés par mon assurance. Les travaux infrastructurels non visibles, auraient pu l'être tout au moins partiellement par l'assurance de l'ACP.
J'ai aussi connu la situation inverse : victime d'une fuite du circuit de chauffage de l'étage supérieur, qui était oxydé du fait d'infiltrations.
Dans tous les cas, si vous apercevez des taches jaunes sur votre plafond, c'est que les infiltrations en sont probablement à un stade avancé : est impératif que vous interveniez en le signalant au propriétaire concerné/au Syndic, car en ne faisant rien, vous endossez une partie de la responsabilité des dégâts sur le bâtiment.
Bien à vous
EDIT : j'espère que cet article répondra à votre question : https://www.ethias.be/part/fr/trucs-ast … cupee.html
Bonjour,
Désolé pour ce déterrage, qui n'est pas de mon fait ; cependant, je vous communique la fin de l'histoire, malgré le climat souvent tendu de ce Forum, que je ne fréquente pas très assidument.
L'invasion a été éradiquée, avec l'aide toute relative (sous certains aspects) du Syndic et du dératiseur.
Première invasion : dépôt de poison par le dératiseur ; près d'une vingtaine de rats exterminés. Mais ce poison était très lent, et manifestement peu efficace. Pendant quelques mois, sacs poubelles éventrés, société de nettoyage débordée. Invasion de mouches également...
Après apparente éradication, calme durant quelques mois
Seconde invasion : seulement un individu a priori, mais apparemment résistant au poison
- "Grâce" aux dégâts sur les dessous de porte/les chambranles, j'ai pu identifier la série de caves potentiellement problématiques, toutes contigües.
- Après beaucoup de difficultés, nous avons fini par avoir accès à une partie des caves ; heureusement, elles étaient pratiquement toutes vides.
- Le dératiseur et moi avons constaté qu'un caniveau traversait toutes les caves contigües, côté jardin, au niveau du sol. J'ai constaté des ouvertures entre chacune de ces caves, au niveau du sol : elles communiquent donc entre elles au niveau du sol (trou de la taille d'une brique).
- J'ai fini par moi-même encastrer des briques dans les trous qui permettaient aux caves de communiquer entre elles ; déposé des briques au niveau des chambranles et portes endommagé(e)s ; les nuisibles se sont petit à petit retrouvés "isolés" ; de cette façon j'ai pu détecter au niveau de quelle cave se trouvait le point d'entrée. Notez que ces animaux ont suffisamment de force que pour déplacer une brique (d'où la nécessité de bien les encastrer) !
- Une portion de la grille qui protégeait le caniveau était endommagée ; je l'ai recouverte de dalles.
- Le dernier nuisible en vie a été exterminé manuellement par le propriétaire de la cave concernée : attrapé par la queue, tapé contre un mur. Il était sans doute moins vif du fait du poison.
Nb : j'ai dû insister pour que la société de nettoyage fasse un nettoyage en profondeur, la propreté des lieux étant essentielle pour détecter la présence de nouveaux excréments... Et donc conclure à l'éradication ou non.
Nous avons également acheté des conteneurs à ordures, mais le respect des consignes d'utilisation est très relatif.
Conclusion : si le (co)propriétaire souhaite éradiquer une telle invasion, il ne peut pas se fier uniquement au Syndic et au dératiseur... Il doit jouer un rôle très actif. Et croyez-moi, c'est pénible, et demande une attention de tous les jours.
Ils se fait que lorsque vous cliquez sur le lien depuis votre site PIM, en effet, l'article n'est accessible qu'aux abonnés. Ce n'est pas le cas lorsque vous cliquez par le résultat de recherche Google.
Capture d'écran : 
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Site belge ? NoN
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : je n'apprécie pas du tout ce genre de ton, d'autant plus que rien ne vous empêche d'en trouver un, de site belge.
Par ailleurs, les lois française et belge sont fort proches, donc l'on peut présumer des dispositions similaires.
Ce n'est ni la politesse ni l'amabilité qui vous étouffe en tout cas !
En voilà un de site belge, qui expose exactement la même chose : https://businessdatabase.indicator.be/c … 01/related
Bonjour,
Je n'ai pas l'article réglementaire sous la main, mais d'après les dernières AG auxquelles j'ai participé, il ressort que le Syndic a l'obligation de permettre à ceux qui le désirent de participer en présentiel, moyennant prise de rendez-vous si les locaux du Syndic sont trop petits.
EDIT : d'après cet article, cela dépend des statuts de la copropriété. Les AG en visioconférence doivent être prévues, sinon c'est présentiel.
Que voulez-vous dire par ces phrases:
- "Et elle demande que ce soit en copropriétaire"?
- "même que les législations du logement a Bruxelles ont été modifiées"? de quelle législation parlez-vous?
Je ne suis pas spécialiste, mais il me semble comprendre qu'elle demande que les travaux soient à la charge de la copropriété. Et finalement, vous voyez bien que vous ne vous adressez pas à une juriste, donc pourquoi faire comme si ?
Plusieurs participants à ces forums sont extrêmement désagréables à répondre de cette façon - même si parfois c'est quelque peu justifié - ... un peu plus de tact et d'empathie ne serait pas superflus.
Mais bon, c'est votre forum...