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Giannigianni bonjour ,
Comme le dit très justement GRMFF , tant que rien n'a été signé , il n'y a que des négociations et vous êtes donc au stade des pourparlers préliminaires .
Pourparlers préliminaires qui prendront fin par la conclusion d'une offre d'achat écrite de votre part qui devra être , à son tour , acceptée par le vendeur.
Pour revenir à l'article 1583 qui stipule "que la vente est parfaite dès qu'il y a accord sur la chose et le prix ", on pourrait penser que dès qu'il y a accord, même verbal , entre les parties sur le prix de l'immeuble , il y a vente.
Si c'était le cas , les ventes d'immeubles se feraient à la vitesse grand V !!!
Nous n'allons peut être pas rentrer dans un débat juridique mais il me semble avoir lu un article qui disait en substance que " AU DELA DE L'ARTICLE 1583 , IL FAUT NON SEULEMENT QUE LES PARTIES SOIENT TOMBEES D'ACCORD SUR LA CHOSE ET LE PRIX ( ELEMENTS ESSENTIELS DE LA VENTE ) MAIS AUSSI SUR TOUS LES ELEMENTS SUBSTANTIELS DE LA VENTE ";
Elements substantiels du contrat c'est à dire les éléments que les parties reconnaissent être important ( état de l'occupation libre ou pas , gros travaux prévu en AG , servitude, ....) et il arrive fréquement que les tribunaux jugent que le contrat n'était pas formé même si il y avait eu ACCORD SUR LA CHOSE ET LE PRIX car les éléments substantiels de la vente n'avaient pas été CLAIREMENT évoqués.
Exemple: un vendeur avait accepté l'offre d'un acquéreur mais ensuite il y avait eu désaccord sur le reste des termes de la vente.
Le tribunal dans ce cas a dû décider soit que ces éléments de désaccord étaient SUBSTANTIELS et alors déclarer que le contrat n'était pas formé soit décider que ces éléments de désaccord étaient SECONDAIRES et alors déclarer le contrat formé.
Bien à vous.
1/A mon avis , il ne faut pas confondre expertise faite par la banque et qui consiste en gros à mettre des croix dans des cases d'un questionnaire établit par la banque et un état des lieux qui fait véritablement une photographie précise du bien . C'est 2 choses différentes.
L' état des lieux peut être utile entre la signature du compromis et l'acte pour voir , comme vous dites, si il n'y a pas eu de dégradations mais dans l'éventualité de dégats (exemple : vitre brisée , tag sur le mur ....) la vente ne serait pas annulée pour cela ( sauf disparition totale du bien dans un incendie )et ce serait la partie qui à la charge du risque qui devrait réparer ( cfr: voir clause du compromis ).
Le compromis stipule souvent que le bien doit rester assuré à suffisance contre l'incendie et les périls connexes jusqu'à la date de l'acte .
2/Je persiste dans cette affirmation que d'autre pourront confirmer :vendre sans la garantie des vices cachés est LICITE ET HABITUEL.
Bien à vous.
Gianni gianni bonjour,
1/La plupart des compromis stipule qu'il ne sera dû à l'acheteur aucune garantie des vices cachés .
C'est certes dangereux pour l'acquéreur et apaisant pour le vendeur MAIS PARFAITEMENT LICITE ET HABITUEL.
L'acquéreur qui signe ce type de contrat et qui se trouve face à un vice caché ne pourra agir contre le vendeur que sur base du dol. ( plus facile si le vendeur est un professionnel de l'immobilier car il est présumé de mauvaise foi )
2/Faire un état des lieux par l'expert de la banque ? Pourquoi pas si il est d'accord, mais il y aura vraisemblablement un supplémént de prix à payer.
Quant à l'idée de faire de l'état des lieux une condition suspensive du contrat ( si j'ai bien compris votre intervention) , ça m'étonnerait que le vendeur accepte.
Bien à vous.
Rebonjour grmff ,
Je vais essayer de m'expliquer un peu plus clairement au sujet de mon intervention précedente.
1/ Je suis tout à fait d'accord avec vous
lorsque vous dites que le receveur se base pour calculer les droits d'enregistrement sur l 'acte et non sur le compromis ( normal , il ne l'a pas devant lui
) .
Ceci étant dit comme l'acte authentique doit être le reflet du compromis qui contient toutes les conditions de la vente ( donc aussi le prix ) , le receveur se base effectivement sur l'acte qui est le reflet du compromis.

2/ Je suis encore une fois d'accord avec vous
lorsque vous dites " qu'il peut y avoir redressement sans fraude et donc sans amende " dans le cas d'une simple insuffisance d'estimation mais mon intervention précédente décrivait le cas où le prix du compromis est VOLONTAIREMENT inférieur au prix de l'offre d'achat ( acceptée par le vendeur ) et donc différent du prix de vente réel.
J'espère que la situation est un peu plus clair maintenant.
Bien à vous.
Bonjour grmff ,
Pouvez vous me dire sur quel point vous n'êtes pas d'accord avec moi car je ne vois pas très bien où est le point de désaccord entre vous et moi ? (?)
Bien à vous.
Giannigianni bonjour,
Si le prix du compromis est supérieur au prix de l'offre d'achat et que vous avez signé le compromis , il n'y aura pas de problême avec le fisc.
Par contre , si le prix du compromis est volontairement inférieur au prix de l'offre d'achat afin de payer moins de droits d'enregistrement , vous pourriez avoir des problêmes avec le fisc.
En effet , le receveur de l'enregistrement se base sur la valeur conventionnelle (compromis )
pour calculer les droits d'enregistrement SAUF si cette valeur est inférieure à la valeur vénale.
Dans ce cas , les droits d'enregistrement seront calculés sur la valeur vénale et le fisc pourra , OUTRE LES DROITS D'ENREGISTREMENT DE BASE , réclamer si dissimulation du prix :
1/ Des droits d'enregistrement complémentaires à l'acquéreur OU au vendeur
2/ Une amende égale au montant des droits d'enregistrement complémentaires A L'ACQUEREUR ET AU VENDEUR .
exemple:une villa achetée 300.000 euros mais déclarée 200.000 euros dans le compromis. Dans ce cas , il y aura 25.000 euros de droits d'enregistrement de base + 12.500 euros de droits d'enregistrement complémentaires payable par l'acquéreur ou le vendeur + une amende de 12.500 euros payable par l'acquéreur + une amende de 12.500 euros payable par le vendeur.
TOTAL : 62.500 euros . Cela fait beaucoup !! 
Bien à vous .
KAPLAN
Les juristes du SNP pourraient effectuer la recherche de jurisprudence et de doctrine précise pour vous fournir cette réponse, si elle existe ce qui n'est pas certain, pour peu que vous soyez affilié.
Bonjour SNP ,
Si les juristes de la SNP trouvent une réponse dans la jurisprudence , ils pourront toujours en faire profiter les membres de la communauté PIM.
Bien à vous.
Maxi bonjour ,
1/Le bien est situé en belgique donc le bail doit respecter la loi belge .
2/Comme vous avez donné votre congé hier ( 19/8/04 ) au propriétaire , le préavis de 2 mois ,( moi j'aurais dit 3 mois ) comme stipulé dans votre bail ,( bien qu'il y ait controverse sur une clause de résiliation anticipée dans un bail de courte durée ) commence le 1er jour du mois qui suit celui au cours duquel le congé a été donné ( soit le 1/9/04 ) pour se terminer le 31/10/04.
Bien à vous.
ON LINE , pas à ma connaissance.
Renseignements:RUE DU PROGRES 80 à 1035 BRUXELLES.
Si j'ai bien compris une des conditions à remplir est la suivant:
"l'acquéreur ne peut posséder, à la date de la convention d'acquisition (ndlr: en pratique: le compromis de vente), la totalité en pleine propriété d'un autre immeuble destiné en tout ou en partie à l'habitation;"
Ca veut dire que si l'acquereur possede seulment 50% (donc pas la totalité et en regime de separation de biens) d'une autre immeuble il peut beneficier de l'abattement?
A mon avis oui .
Ne fait pas obstacle à l'obtention de l'abattement , la propriété :
- d'un immeuble n'étant pas destiné à l'habitation ( ex: rdch commercial )
- d'un terrain à bâtir.
- D'UNE PART INDIVISE DANS UNE HABITATION.
MAIS , MAIS , MAIS , si l'acquisition est faite par plusieurs personnes , elles ne peuvent pas posséder ensemble la totalité en pleine propriété d'un autre bien immobilier destiné en tout ou en partie à l'habitation.
Bien à vous.
1/Applicable à bruxelles , tant pour les petits logements ( qui ne dépassent pas 28 m2 ) que pour les meublés.
2/Applicable aux logements qui sont mis en location à partir du 1/7/2004.
Pour les logements déjà mis en location à cette date , le bailleur dispose d'un délai de 2 ans pour obtenir l'attestation de conformité.
Bien à vous.
idem , coupure de presse.
Tant d'éloges pour un simple étudiant en immobilier.
J'en reviens pas ; En espérant que mes profs soient sur pim pour lire cela .

Johnnyboy bonjour,
Les logements meublés à bruxelles ne peuvent être mis en location qu'après avoir obtenu auprès du service d'inspection régionale , une attestation de conformité.
L'attestation de conformité est destinée à attester que le logement répond aux exigences de sécurité , de salubrité et d'équipement .Lorsque l'attestation de conformité est délivrée , le bailleur en communique une copie au locataire.
En vue d'obtenir l'attestation de conformité , le bailleur remet au service d'inspection régionale un formulaire accompagné d'une déclaration certifiée sincère et exacte qui atteste que le logement répond à ces exigences.
L'attestation de conformité est valable 6 ans.
Tout bailleur qui ne demande pas l'attestation prévue pour les logements meublés risque une amende administrative allant de 3000 euros à 25000 euros par logement en infraction.
Bien à vous.
Monsieur Giannigianni rebonjour,
1/L'une des conditions pour obtenir cet abattement est que l'acquéreur ne soit pas plein propriétaire d'une autre habitation au moment de l'achat .( sauf si revente dans les 2 ans de cette autre habitation)
Si j'ai bien lu une de vos interventions vous possédez déjà la totalité en pleine propriété d'un autre bien immobilier destiné en tout ou en partie à l'habitation en belgique. ATTENTION: même les biens à l'étranger affectés au logement doivent être pris en compte
Donc vous n'avez pas droit à l'abattement .
2/Il me semble aussi que l'abattement ne joue pas pour l'acquisition de l'usufruit ou de la nue propriété.
3/Comment calcule t-on l'abattement:
l'abattemant est calculé sur le prix d'achat.
EXEMPLE: maison achetée 200.000 euros moins 45.000 euros d'abattement = 155.000 euros.Dans ce cas , vous débourserez 12,5% de 155.000=19.375 euros en droits d'enregistrement.( économie de 5.625 euros )
Je ne peux que vous conseiller encore une fois de vous rendre chez votre notaire .
Bon courage .
Bien à vous.
Giannigianni bonjour,
La meilleure chose à faire pour vous est de vous rendre chez votre notaire qui vous exposera la solution la plus adaptée pour vous.
Ceci étant dit , je vais quand même tenter de répondre à votre question sur la base imposable mais ma réponse devra être vérifiée par un professionnelle de l'immobilier.
1/base imposable pour US:( vente de l'usufruit par le plein propriétaire )
a/V CUS= prix + charges
b/V VUS=b1/ - revenu annuel ( bien loué )ou valeur locative annuelle ( bien pas loué ) multiplié par coefficient acquéreur.
b2/-V VPP multiplié 4/5
On prend la valeur la moins élevée entre b1 et b2 et on obtient b3. Ensuite , on prend la valeur la plus élevée entre b3 et a. Le résultat sert de base imposable pour le fisc ( 12,5% sur cette valeur )
P.S.:V CUS= valeur conventionnelle de l'usufruit
V VUS=valeur vénale de l'usufruit
V VPP= valeur vénale en pleine propriété
2/base imposable pour NP:( achat de la nu propriété par enfant -usufruit appartient à qq autre à savoir les parents )
a/V CNP=prix + charges
b/V VNP=V VPP moins V VUS
c/V VUS=c1/ -revenu annuel ( bien loué ) ou valeur locative annuelle ( bien pas loué) multiplié par coefficient de la personne qui a l'usufruit.
c2/-V VPP multiplié 4/5.
On prend la valeur la moins élevée entre c1 et c2 et on obtient c3 ( V VUS ).
Avec le c3 on parvient à calculer la valeur de b ( V VNP ).Ensuite vous prenez la valeur la plus élevée entre a et b. Le résultat sert de base imposable pour le fisc ( 12.5% sur cette valeur ).
P.S.: V CNP=valeur conventionnelle de la nu propriété.
V VNP= valeur vénale de la nu propriété.
V VPP=valeur vénale de la pleine propriété.
V VUS=valeur vénale de l'usufruit.
Les coefficient sont décrit à l'article 47 du code de l'enregistrement.
Comme vous pouvez le constater , le calcul est assez compliqué d'où l'utilité de se rendre chez un professionnel ( ce que je ne suis pas ).
Bon courage .
Bien à vous.
Giannigianni bonjour,
1/ Effectivement le droit d'enregistrement réduit de 6% n'existe plus à bruxelles mais vous pouvez bénéficier d'un abattement de 45000 euros ou 60000 euros si le bien est situé dans une EDRLR ( espace de développement renforcés du logement et de la rénovation urbaine définit par le PRAS - renseignement sur www.prime-renovation.irisnet.be ).
Il y a cependant des conditions pour bénéficier de cet abattement:
-L'acquéreur est une personne physique.
-L'acquéreur établit sa résidence principale dans l'habitation acquise.
-L'acquéreur conserve sa résidence principale à bruxelles pendant une période ininterrompue de 5 ans.
-L'acquisition doit porter sur la totalité en pleine propriété.
-L'acquéreur n'est pas plein propriétaire d'une autre habitation au moment de l'achat d'où si vous achetez en US(parent) et NP(enfants) le bien en question et que vous possédez déja un autre bien vous n'aurez plus droit à l'abattement.
2/Achat d'un immeuble au nom des enfants en pleine propriété:
L'achat d'un immeuble au nom d'un enfant est une technique de programmation successorale très utilisée puisqu'elle permet de contourner l'obligation de payer des droits d'enregistrement pour une donation d'immeuble .
l'opération s'analyse en une donation préalable de fonds nécessaires à l'achat à l'enfant suivie de l'achat par celui ci de l'immeuble ( pas de droit de donation sur don manuel d'argent si pas constaté par acte authentique ).
Une certaine prudence est de mise et il convient de se réserver la preuve ,vis à vis du fisc , de cette donation d'argent préalable à l'achat.
La meilleure solution est de réaliser un véritable don manuel avec remise matérielle de l'argent ; le moyen le plus usité étant de faire l'opération à la banque qui constatera le transfert et émettera les documents usuels qui , couplés avec un échange de lettres entre le donateur qui annonce son intention de donner et le donataire qui accepte le don et remercie , constitueront une preuve satisfaisante.
Si la donation a lieu plus de 3 ans avant le décès du donateur , aucun droit de succession ne sera dû . Si décès du donateur dans les 3 ans , il y aura des droits de successions à payer sur le don manuel d'argent.( possibilité de couvrir le risque de décès du donateur dans les 3 ans via une assurance risque décès )
3/achat de US ( parent) et NP(enfant) :
Donation préalable à l'enfant de la somme d'argent nécessaire à l'achat de la NP MAIS ATTENTION AU DECES DES PARENTS( QUELQUE SOIT LA DATE ) IL Y AURA DES DROITS DE SUCCESSIONS A PAYER PAR L' ENFANT SUR LA VALEUR DE LA PLEINE PROPRIETE ( VALEUR AU JOUR DU DECES ) PLUS EVENTUELLEMENT SUR LE DON MANUEL SI DECES DANS LES 3 ANS.
4/Achat de la pleine propriété par les parents puis donation de la NP à l'enfant:
Il faut d'abord payer les droits d'enregistrement sur la pleine propriété puis payer des droits de donation pour la donation de la NP d'où DOUBLE TAXATION.
Je vous conseille de vous rendre chez un notaire qui vous expliquera tout cela en détail.
Bien à vous.
Bonjour GRMFF,
Il est possible que je me trompe ( ça ne serait pas la première fois) mais il me semble que l'article 3 §7 dit effectivement " que l'indemnité due en application de l'article 3 §4 , par le bailleur qui met fin au bail à l'expiration du troisième triennat ou d'un triennat subséquent , est équivalente à 3 mois de loyer " MAIS que cela ne concerne uniquement les baux écrit pour une durée supérieur à 9 ans.( cfr:début du paragraphe 7)
Les baux " classiques " ne sont pas concernés par ce paragraphe 7 et comme monsieur LECHAT n'a pas signé , sauf erreur de ma part , ce type de bail , il n'aura pas droit à 3 mois d'indemnité.
Si votre article 3 §7 paru au moniteur est différent du mien , pouvez vous me l'imprimer sur ce forum afin que je corrige mes notes personnelles.
Bien à vous.
1/ votre bail a bien date certaine , même si vous ne l'avez pas enregistré , car l'une des parties signataires est décédé .
2/De ce fait , le nouveau propriétaire est subrogé au droit du précédent et doit donc respecter le bail en cours.
Le nouveau prtopriétaire peut mettre fin au bail moyenant un préavis de 6 mois :
- A tout moment ,pour occupation personnelle ou par un membre de sa famille jusqu'au 3 ème degré inclus.
-A la fin du 1er et du 2ème triennat, pour travaux.
-A la fin du 1er et du 2ème triennat sans motif mais moyennant une indemnité de 9à 6 mois si rupture durant le 1er ou le 2ème triennat.( pas 3 mois d'indemnité pour les triennats suivant comme le dit GRMFF , sauf erreur de ma part , sauf si il s'agit d'un bail ECRIT DE PLUS DE 9 ANS ce qui semble pas être le cas ici si j'ai bien lu.)
-A TOUT MOMENT POUR TRAVAUX A EFFECTUER A L'ENSEMBLE DE L'IMMEUBLE.
Quant au décompte , il me semble que , comme votre bail a date certaine et a durée indeterminée , la loi s'applique et votre bail est considéré comme ayant commencé à la date réelle de son entrée en vigueur.
Ces informations doivent cependant être vérifiées par des professionnels de l'immobilier .
Bien à vous.
Voici quelques conseils et questions préliminaires avant l'achat de votre terrain:
1/Pas de précipitation:la précipitation est mauvaise conseillière ; ne signer pas n'importe quoi séance tenante sans beaucoup y réfléchir.
2/Demander à un architecte de venir voir votre terrain ; l'oeil d'un expert est toujours le bien venu.
3/La forme du terrain convient-elle au genre de maison que vous désirez construire?
4/Le terrain est -il plat ou présente-t-il des dénivellations importantes ?
5/Devez vous prévoir de travaux de terrassements pour des remblais ou des déblais ?( genre de travaux qui fait grimper la note de façon importante )
5/Connaissez-vous bien l'orientation du terrain? ( si living exposé au nord mieux vaut y réfléchir à 2 fois )
6/Vous êtes-vous informé sur la nature du sol? ( un mauvais sol peut entrainer des frais de fondations supplémentaires d'ou l'importance de faire une analyse du sous sol et au moins 3 essais de sol afin de vérifier si le sol est de qualité suffisante pour reçevoir votre maison- taux de compression du sol-)
7/Avez -vous fait mesurer votre terrain par un géomètre? ( mesurage plus bornage afin de ne pas avoir de litige avec les voisins)
8/Le terrain est-il équipé ? (équipement en eau , gaz , électricité , tv , téléphone ;si c'est pas le cas , ce genre de frais est extrêmement couteux )
9/D'autre frais de voiries sont -ils imposés ?( construction d'égout , de bassin d'orage , aménagement du trottoir...)
10/Le terrain que vous convoitez n'est-il pas grevé de servitudes urbanistiques?
11/Quelles sont les prescriptions urbanistiques attachées à ce terrain ?( On ne peut pas construire n'importe quoi sur une parcelle ; renseignements à prendre à la commune ;les règlements urbanistiques imposent certaines règles comme par exemple l'inclinaison de la toiture , la hauteur sous gouttière , le revêtement de la toiture, la couleur de la façade , l'alignement de la maison par rapport aux autres , une zone de recul , le gabarit de la construction, la surface bâtie au sol ....)
12/Avez vous consulté les projets éventuels auprès des services de la commune?( aujourd'hui votre terrain semble calme mais peut être dans quelques années l'on pourra construire juste à côté de vous un complexe sportif par exemple.)
13/Avez vous demandé au vendeur un certificat d'urbanisme n°1 ou n°2?( document préalable au permis qui permet de savoir les grandes orientations d'un projet -valable 2 ans )
Voila en gros quelques conseils pour l'achat d'un terrain .
Lorsque vous avez collecté toutes ces informations et qu'elles vous conviennent , vous pouvez alors signer le compromis de vente du terrain sous condition suspensive d'octroi du crédit hypothécaire et sous condition suspensive d'octroi du permis d'urbanisme.
Bien à vous.
Ps:Lorsque vous avez obtenu votre permis d'urbanisme (= permis de construire ) il est valable 2 ans . De ce fait, vous devez construire dans les 2 ans de la délivrance du permis .
Droit d'enregistrement : 12,5% à payer sur le terrain au départ avec possibilité de retoucher 6.5% si l'administration attribue à la construction érigée un revenu cadastral = ou inférieur à 745 euros. ( payement de la tva sur la construction )