Bonjour,

Nous sommes propriétaires et nous avons avons souscris aux noms des locataires une assurance locative avec abondon de recour qu'ils nous payent chaque année. Il est bien renseigné dans le contrat de bail qu'ils doivent prendre cette assurance avec nous, que nous renonçons à tout recours contre eux sauf en cas de malveillance ou dégats intentionnels.

Le problème est le suivant, nous avons eu un dégat des eaux. Notre assurance comme prévu, nous indemnise et n'exerce pas de recours contre le locataire "fautif"(Boiler qui s'est vidé d'un coup) mais ne  paye pas la franchise.
Nous avons été réclamer celle-ci au locataire "fautif" mais il ne prétend pas nous la rembourser sous prétexte que l'assurance, ce n'est pas lui qui la souscrite mais bien nous à sa place.
Est-il dans le vrai ?
Nulle part dans le bail il n'est fait mention de la franchise croyant, que c'était implicitement convenu que s'il y avait dégats la franchise était pour eux.
Merci de vos réponses

Bonjour

Un boiler électrique de 200 litres situé au 1 er étage s'est cassé.
En fait le fond du boiler soudé d'origine  à un tuyeau s'est désolidarisé de celui-ci : résultat 200 litres dans les plafonds. Le chauffagiste me dit que c'est de la corosion due à l'acidité de l'eau et que ça arrive qq fois.
les plafonds de l'appartement du dessous sont à refaire mais heureusement pas d'autre dégats car vide actuellement.

L'assurance (nous avons en tant que propriétaire un abandon de recours) ne peut donc pas se retourner contre le locataire mais refuse d'indemnisé le prix de la réparation et du remplacement du boiler prétextant que c'est de l'usure normale(11 ans) par contre aucun soucis pour le plafond.
Est-ce donc bien moi ,propriétaire qui doit payé le boiler et la réparation?
Si c'est le cas ne puis-je demander une participation au locataire sachant qu'ils ont été les seuls à utiliser et user ce boiler (ils sont dans l'appartement depuis le début)
Merci pour vos réponses

Bonjour,
Fin mai 2009 un locataire sous l'emprise de la boisson, s'en prend à un autre locataire de l'immeuble (démoli la porte coupe feu, la porte de la chambre...) la victime ne doit sa vie qu'en sautant par la fenêtre!
Evidemment la police débarque et l'agresseur est mis au cachot. Transfiré devant le procureur du roi.
Retour de ce monsieur qui me dit que le procureur lui a demandé de partir du logement arrangement est pris et le 01 juin il a déménagé, l'état des lieux est signé et il est bien indiqué qu'il me laisse les 2 mois de garantie à titre de dédomagement pour la franchise de l'assurance, le vide locatif...

5 mois plus tard c'est-à-dire maintenant, il m'assigne devant le juge de paix pour récupérer sa caution, pour expulsion de l'appartement et pour ragots sur son compte!!!!
A part l'état des lieux de sortie, je n'ai pas de document me disant qu'il part, c'était un arrangement oral.
L'appartement est resté vide 2 mois donc même s'il voulait revenir sur sa décision il aurait pu faire appel au juge directement et non pas attendre 5 mois.
Quelles sont ses chances et quels arguments avancés pour ne pas se faire lèser.
Prendre un avocat ou attendre ?
Merci pour vos réponses

Bonsoir

Lors d'un précédent sujet j'évoquais la crise de boisson d'un locataire qui avait "attaqué" son voisin de palier. C'était fin mai 2009. La police ainsi que le procureur du roi nous avait alors bien aidé pour l'inciter  à quitter l'appartement. A l'époque le locataire agressé avait émis des doutes quand à sa sécurité dans les lieux. L'agresseur étant parti dans les 48 heures et les réparations de sa porte ayant été fait le jour même, il n'avait pour nous dés lors plus de craintes à avoir.
Ce jour nous venons de recevoir un sms nous demandant de mettre fin à son bail car il prétend qu'il ne se sent pas en sécurité et qu'il pensait que cela irait mieux mais...
Il a un bail de 1 an débutant le 01 mars 2009 pour ce terminer le 28 février 2010.
Notre intention n'est pas de lui faire de cadeaux et nous voulons qu'il preste son contrat jusqu'au bout. Nous estimons avoir fait tout ce qui était en notre pouvoir pour qu'il ai la paisible jouissance du bien.( faire une croix sur 2 mois de loyer,franchise de l'assurance , frais de remise en état de l'appartement du locataire indélicat ...)
Ma question est la suivante : peut-il évoquer ce sentiment d'insécurité devant le juge de paix et ainsi avoir gain de cause ? (J'ajoute que l'agresseur habite à 5km de l'appartement.)Cela fait maintenant 3 mois que cela c'est passé! Le locataire indélicat n'est plus revenu. Cela peut-il le dispenser de prester l'entiéreté de son bail au à tout le moins 3 mois de préavis?
merci de votre attention et de vos réponses