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La fin de l'histoire est arrivée hier en soirée.
Mon amie ayant rappelé la loi au propriétaire et proposé de bloquer la garantie locative de 1200€ sur un compte. Ce dernier a répondu que la position de demander 1200€ de caution et 600€ de garantie supplémentaire est légale (ou pas... ). Mon amie devait donner suite, positivement ou négativement, avant la fin de journée.
Cette dernière, n'ayant pas eu la possibilité de donner suite, elle est "éliminée" des candidats potentiels.
Bonjour,
J'ouvre ce sujet pour partager avec vous l'expérience d'une amie qui est actuellement en train de chercher un logement. Elle s'est tournée vers moi pour obtenir quelques conseils dans une situation qui peut surprendre.
Situé en Région Wallonne, un petit appartement est annoncé à louer pour un loyer de 600€.
Après une visite et une confirmation d’intérêt mutuelle, le propriétaire loueur demande les éléments suivants:
- 3 Fiches de payes,
- 1800€ de garantie locative,
- 600€ pour le premier mois de loyer.
Mon amie s'étonne auprès de moi de ces 1800€ de garantie locative (soit 3 mois de loyer) demandés par le propriétaire. Les deux autres points ne me paraissent pas trop surprenants.
Suite à une demande de clarification adressée au propriétaire, la réponse suivante est obtenue:
- 1200€ de caution,
- 600€ de garantie supplémentaire pour combler le manquement pour différents dégâts et/ou remise en ordre de l'appartement.
Le tout sera à placer sur un compte bloqué.
Selon ma compréhension des textes wallons, la garantie locative est la caution, qui doit couvrir les éventuels impayés et dégâts, point à la ligne. Cela me donne fortement l'impression de jouer sur les mots.
Pourrais-je avoir vos avis éclairés sur la situation? Mieux vaut-il conseiller à cette amie de tenter de rappeler la loi au propriétaire ou de passer son chemin?
Pour ce qui est des critères de la région wallonne pour l'équipement sanitaire, voyez ici
Extrait:
Section 2. - Equipement sanitaire.
Art. 12.Le critère minimal lié à l'équipement sanitaire est respecté si le logement satisfait à toutes les conditions suivantes :
1° le logement satisfait aux dispositions du règlement général d'assainissement des eaux urbaines résiduaires arrêté sur la base de l'article D.218 du livre II du <Code> de l'environnement;
(...)
4° le logement individuel comprend au moins :
- un point d'eau potable accessible en permanence;
Merci pour le lien, je vais passer quelques heures dessus dans les jours à venir.
Pour ce qui est de l'eau potable, j'ai l'impression qu'il serait possible de jouer sur les mots.
Un point d'eau potable doit être accessible en permanence mais je ne vois pas d'obligation que ce point soit alimenté par le réseau de distribution. Ce point d'eau peut être alimenté par un système de potabilisation privé.
Comme on dit: Ce qui n'est pas explicitement interdit est autorisé
Il est assez singulier de devoir adapter son mode de vie à des réglementations existantes alors que ce devrait être l'inverse.
Malheureusement, je constate que la règlementation est parfois en retard par rapport aux possibilités techniques disponibles sur le marché. De plus, dans certains cas, le règlementation est contraire au bon sens...
ps: la réglementation ne prévoit-elle pas une obligation de l'entretien des routes ?
Lorsque je dois m'aventurer, avec 4 roues, sur les routes wallonnes, je pense souvent aux motards qui y risquent leurs vies: je vois que ma crainte est justifiée: bon courage pour votre convalescence.
J'ai l'impression que les voies publiques, comme de plus en plus de choses en Wallonie, c'est "on dit qu'on fait ce qu'on peut, mais on ne fait rien".
Et lorsque l'accident à eu lieu suite à "on ne fait rien", la procédure pour demander une indemnisation suite à un accident causé par l'état de la route est assez ignoble, je dirais même honteuse pour un pays développé. Vous pouvez voir ici.
Dans mon cas, la chute a eu lieu dans un carrefour entre plusieurs voiries communales (donc gérées par la commune) et une nationale (donc gérée par le SPW) mais côté "communal" donc le SPW se déclare incompétent.
Coté communal: Impossible d'obtenir une procédure dans une conversation téléphonique houleuse suite à un échange de mails. En substance, "Tout le monde sait" que ce carrefour est en mauvais état, "vous deviez faire attention", "Un trou, çà se voit quand même, même dans le trafic", "vous devez toujours rester maitre de votre véhicule". Heureusement que "tout le monde le sait", c'était la première fois que je passais par cette route...
Selon moi, les obligations d'entretien me paraissent très relatives pour ces instances, culpabiliser le blessé est plus simple.
Bonjour à toutes,
Bonjour à tous,
J'ouvre ce petit sujet pour partager une expérience de pensée qui m'occupe depuis quelques semaines. Aux USA et au canada, le "off the grid" semble être de plus en plus à la mode pour peupler des "remote locations". Avec la hausse actuelle des couts de l'énergie et une règlementation parfois un peu "wtf" (taxe prosumer, ...), l'idée d'une habitation optimisée et déconnectée des réseaux pourrait devenir intéressante mais serait-elle viable au niveau règlementation ?
Prenons le cas d'une maison unifamilliale neuve, 4 façades, 130 à 150m². Cela exclu l'habitat "léger" et autres tiny houses. Géographiquement, considérons cette maison à proximité immédiate des réseaux et desservie par les services publics: Banlieue pavillonnaire - Communes peu densément peuplées (Ardennes, botte du Hainaut, ...) - ...
Les entrées/sorties:
L'eau potable: il est facile de récupérer l'eau de pluie et de la filtrer/potabiliser. Techniquement, pas besoin de compteur d'eau.
Les eaux grises/noires: Une micro station d'épuration et des choix avisés de produits d'entretien pour ne pas tuer les bactéries. Techniquement, pas besoin d’égouts.
L'électricité: une installation solaire bien dimensionnée, une petite éolienne privée, un rack de batteries et un "générateur d'appoint" (pile à combustible statique? - la technologie mature petit à petit) et un peu de résilience. Techniquement, pas besoin d'un compteur électrique.
Internet/Télécom/TV: En 4g/5g voir par satellite. Techniquement, pas besoin de ligne téléphonique ou de télédistribution.
Qu'en serait-il au niveau règlementaire? Une telle habitation serait-elle classée "insalubre" car elle n'a "ni eau, ni électricité" ? Faudrait-il installer les compteurs pour ne jamais les ouvrir, donc pas de consommation donc "logement inoccupé" ?
Que pensez-vous de cette petite expérience de pensée? Notre règlementation est-elle prête pour une telle forme d'habitation?
PS: J'ai eu un gros accident en moto la semaine dernière grâce au magnifique état des routes wallonnes. Si le débat se lance, ce petit fil va m'aider à m'occuper l'esprit pendant la convalescence.
Je partage l'impatience de Grmff pour disposer du texte final. J'ai l'impression que cette mesure va être un grand texte inutile.
Dans notre contexte où le prix des matériaux explose, suivi par les délais de livraison, avec une pénurie de main d’œuvre qui force les professionnels à annoncer des délais à plus d'un an, cela risque d'être épique!
Imaginons un jeune couple qui auto-rénove un logement, lequel est inhabitable pendant les travaux. Que va ordonner le juge? "Vous êtes condamnés à faire appel à un entrepreneur et à mettre vos finances dans le rouge pour finir les travaux rapidement" ?
L'entrepreneur va répondre "10 à 12 mois de délais!"
Et là, amende ou pas amende ? On ajoute une taxe communale sur le logement inoccupé ? Alors que cet argent pourrait servir à continuer les rénovations.
Je suis également surpris par ce critère inoccupation de trois mois. Vont-ils se baser sur des constats de l'agent de quartier ou la délation du voisinage ?
Je viens d'envoyer un mail au SPW FIN dans un autre contexte (TMC et TC d'une 125cm³) et je constate que l'accusé de réception automatique a changé.
Votre email a bien été réceptionné.
Il sera prochainement intégré dans notre système de gestion des demandes. Vous recevrez alors un 2ème accusé de réception.
Si vous recevez cet accusé de réception, il est inutile de reprendre contact avec nos services. En effet, nous réceptionnons actuellement un nombre particulièrement élevé de demandes suite à l’envoi de près de 2 millions de courriers relatifs au précompte immobilier. Nos canaux de communication sont donc fortement saturés et nous tentons de résorber notre retard dans les meilleurs délais.
Dans l’intervalle, nous vous invitons à prendre connaissance des documents ci-joints qui répondent aux questions les plus fréquentes en fiscalité des véhicules (automatisés et non automatisés) et précompte immobilier.
Les pauvres...
Oh oui, contactez-les, comme je l'ai fait.
Attendez 1 an, faites une relance, encore 6 mois, et passez par le médiateur pour obtenir une simple réponse par email, mais très à côté de la plaque.
Notre Région est si belle.Bonne chance à vous
C'est exactement ce que je suis en train de faire.
J'avais introduit une demande préalable à la mise au rôle du précompte immobilier pour demander la réduction pour maison modeste.
Le 30/10/2021, après réception de l'AER, j'ai introduit une nouvelle demande, car le site ne précise pas qu'une demande est déjà existante.
Le 4/11/2021, j'ai reçu un e-mail automatique m’annonçant que le dossier balise XML indiquant le numéro de dossier était traité et que la réduction m'était accordée et que l'AER correctif me sera transmis dans les meilleurs délais.
Le 14/01/2022, toujours sans AER correctif, je consulte le site web du SPW: Les deux demandes sont toujours en attente de traitement.
Tentative de contact par téléphone: Injoignable et délai d'attente supérieur à 30 minutes.
Combien de temps pour traiter un e-mail ? D'après la réponse automatique, 15j ouvrables.
[...] Charleroi, par exemple, demande qu'on vienne avec un pli d'huissier pour faire le nécessaire.
Bien que cela ne devrait plus me surprendre, je reste surpris de ce genre de prise de position. Une personne/organisation doit obligatoirement lancer une procédure chez un huissier, donc dépenser de l'argent inutilement, pour que les choses bougent. Quel système de sot!
Mes petites affaires avancent! Je viens d'avoir un nouveau petit échange avec AG Insurance qui m'a fait voir (un tout petit peu) rouge. Pour citer l'un des Pim-o-naute (il se reconnaitra), ce forum coute moins cher qu'un psy!
Pour rappel:
- Depuis plus d'un an, je renvoie les courriers d'AG Insurance avec une mention "Ne réside plus à l'adresse indiquée",
- Dans la foulée, je relance le service plainte qui déclenche une procédure interne,
- Gugusse est radié depuis plus d'un an également.
Suite à la réception courant décembre, d'un autre courrier, j'avais relancé la procédure via le service plainte. J'ai appris ce jour, via le gestionnaire de ma plainte, que le courtier de Gugusse n'avait pas été averti de la situation et qu'il s'étonnait de l'apprendre si tardivement (!!!).
Ensuite, se retranchant derrière la législation, l'assureur me rappelle qu'ils ne peuvent pas unilatéralement suspendre le contrat, ni suspendre les procédures en cours. Dans l'attente d'une solution, le service plainte me conseille de détruire les courriers, en m'avertissant de ne surtout pas les ouvrir, car il est probable que j'en reçoive encore.
On parlait de connerie du système?
Et son ex-épouse n'a pas ses nouvelles coordonnées ?
Malheureusement, madame l'ex-épouse ne semble plus vouloir avoir quoi que ce soit a faire avec lui. J'ai tenté de la contacter par SMS et sur Messenger, aucune réponse et je suis, je suppose, bloqué.
La voisine, qui s'entendait très bien avec cette dame, a également tenté de la contacter pour le même résultat.
Bonjour à tous,
J'ouvre ce fil pour vous partager une situation qui dure depuis bientôt deux ans et qui commence un peu à me peser sur les nerfs. Donc, ce sera un mi-coup de gueule / mi-bonnes astuces. Je pense que les conseils échangés ici pourraient servir dans le cas locatif également.
En Mars 2020, juste avant le premier confinement, je suis devenu propriétaire d'une petite maison que je rénove actuellement. J'ai racheté à un couple qui divorçait, madame avait déjà refait sa vie et monsieur a malheureusement sombré dans l'alcoolisme.
Après les actes, monsieur s'est racheté une BMW avec les fonds de la vente mais n'a fait aucune démarche pour changer son adresse légale, ni quoique ce soit d'autre. Donc, depuis cette date, je reçoit encore et toujours du courrier à son nom. J'ai tenté de le recontacter sans succès, le notaire a également tenté de le recontacter, sans plus.
Sur les conseils de l'agent de quartier, qui a été d'une grande aide pour radier l'ancien propriétaire, j'ai entrepris de retourner tous les courriers reçus aux différentes organisations/entreprises. Dans certains cas, "Ne réside plus à l'adresse indiquée" sur l'enveloppe n'était pas suffisant, j'ai dû secouer le service client / service plainte.
Finalement: Sa banque a compris, son employeur a compris, Voo a (a moitié, j'y reviens plus bas) compris.
Le SPW a compris qu'ils ne peuvent pas comprendre (aux environs!), AG Insurance ne veut pas comprendre.
Concernant le SPW, j'ai fini par saisir le médiateur qui m'a transmis la position de l'administration:
Monsieur Zorglub est radié des registres de la population au XY.12.2020. Cette information nous est transmise par le Registre National, source authentique à laquelle le SPW Finances doit se référer.
La fin d’une taxation en VEH ne peut avoir lieu que sur base d’une radiation de la plaque d’immatriculation auprès de la DIV. A défaut, l’enrôlement de la taxe doit avoir lieu et sera réalisé à la dernière adresse légale connue de la source authentique, en l’espèce là où BThadium vit maintenant. Cette règle était déjà d’application au SPF Finances.
Par ailleurs, dans ce dossier, certains avertissements-extraits de rôle et IAP ont été retournés par la poste au SPW FIN, ce qui stoppe tout recouvrement éventuel.
En l'espèce: Nous savons qu'il n'est plus là mais la règle dit que...
Concernant AG Insurance, la situation est digne de Kafka:
- Le t'chat en ligne avec leur agent ne peut pas m'aider, je ne suis pas client.
- Le service commercial ne peut pas m'aider, je ne suis pas client.
- Le service plaintes a compris le problème, a contacté le service contrat, qui a contacté le courtier, qui "a tenté" de contacter l'ancien propriétaire pour venir mettre à jour son adresse, sans succès. A chaque nouveau courrier, je relance le service plainte qui relance la même procédure...
- Comme l'adresse n'est pas mise à jour, le service facturation adresse les courriers à l'adresse connue.
Enfin, ce vendredi, j'ai reçu un courrier d'huissier au nom de l'ancien propriétaire. Renseignement pris à l'étude de l'huissier: Je ne risque heureusement rien! Mais Voo se réveille pour des factures impayées en 2019. Un "loupé" dans la procédure et le courrier fini chez moi.
Comment faites-vous dans une situation analogue ou en cas de départ d'un locataire ?
PS: Libre à la modération d'anonymiser les noms d'entreprises
Je souhaite partager deux réactions à la lecture de ce premier message.
A partir de 2023, les logements neufs en Flandre seront obligatoirement chauffés avec des pompes à chaleur hybrides. Ces systèmes fonctionnent en partie au gaz naturel et en partie à l’électricité. A partir de 2026, aucun raccordement au gaz naturel ne sera plus possible pour les bâtiments neufs. Il y aura également un incitatif pour les pompes à chaleur dans les maisons existantes.
Je m'étonne de cette disposition alors que pour que le pays sorte de sa dépendance nucléaire, les politiques filent à toute berzingue vers le gaz. Si le gaz est cher, l'électricité sera chère et le fonctionnement de la pompe à chaleur sera cher. De plus, quid des logements sans possibilité de serpentin échangeur thermique? PAC Air-Air pour tout le monde?
Avec la surenchère actuelle, on peut se demander ce qui va nous tomber dessus en Wallonie et à Bruxelles. Mais il ne faut pas se leurrer: la transition énergétique va passer en marche forcée haute vitesse.
Du même avis, mais avec quel degré de maturité dans les mesures qui nous seront imposées? Je rénove actuellement une jolie petite maison de 1927 et je pense faire en sorte d'améliorer son PEB (changement des châssis, nouvelle chaudière, toiture refaite et isolée, poêle d'appoint à bois). Cependant, renseignement pris au services d'urbanisme, l'isolation par l'extérieure de la façade est un NO-GO actuellement, la maison faisant partie d'une petite rue assez typique.
Plus le temps passe, plus je me dis que j'aurais dû construire en containers
@GT:
Un candidat locataire me contacte. Il dispose d'une "épargne locative". Le principe est génial. Tout bénéficiaire du Revenu d'Intégration Sociale est soumis à un plan d'intégration sociale. Sans plan, on ne lui donne pas de Revenu d'Intégration Sociale. C'est un peu logique, le revenu est soumis au plan.
Les SDF ont "droit" à un RIS "plein" de 940€ au lieu du Cpas "cohabitant" de 540€ depuis quelques procès que des SDF ont fait à leur Cpas. Les Cpas donnaient un Cpas de 540€ aux SDF, prétextant qu'ils n'ont pas de frais de loyer, et donc "cohabitent" en rue avec les autres SDF... Ce n'est plus le cas. Les SDF ont droit à 940€.
Le Cpas de Charleroi, et c'est très intelligent sur le principe, a décréter que le logement était une condition d'intégration. Et donc soumet l'octroi du RIS à un plan d'intégration qui contient une clause d'épargne locative. En quelques mois, le SDF a constitué une épargne, qui lui permettra de payer une garantie locative, et donc de se passer de la garantie "Cpas". Quand on sait ce que les propriétaires pensent de la garantie Cpas, on se dit que c'est un plus. Pour ma part, je pense que l'épargne locative mensuelle devrait être de 400€ sur les 940€ qui sont octroyés. Mais bon, qui suis-je pour donner un avis, hein.
Bref, un candidat me contacte, et me dit qu'il a une épargne locative au Cpas de 900€ (6 mois à 150€)
La procédure pour libérer cette épargne locative, bloquée par le Cpas? Il faut un dossier, qui contient au moins un document de demande de garantie Cpas (sic...) et sur base du dossier, le Cpas prendra une décision en conseil pour libérer cette épargne locative.
Moralité, cela prendra autant de temps que l'octroi d'une garantie locative par le Cpas. Bravo les gars, vous avez encore réussi à bousiller un outil formidable...
Source: ici
Très belle conclusion, Grmff.
Malheureusement, ces hautes instances sont dans leurs tours d'ivoire et ne se frotteront que peu à la réalité du terrain, "de la rue" dans le cas de ce jeune de 22 ans. Le rappel à la loi reste une très belle "défense" des organisations qui vivent la dissonance cognitive, ou la schizophrénie...
Il aurait suffit d'un pouvoir de décision et ce jeune était logé. A la place, la politique du parapluie le laisse dans l'incertitude pour la recherche de son logement. Avec les montants brassés par les CPAS (dont certaines utilisations peuvent être discutées), je reste surpris qu'un agent traitant n'ait pas pouvoir de décision "immédiat", surtout si la situation est toujours avalisée par sa hiérarchie.
Dommage, dommage...
@Grmff: Merci pour le retour d'expérience. J'ai dû louper le thread initial où cette mésaventure était contée.
C'était un petit hors sujet mais une expérience de vie à partager pour les autres (dont moi)
[...] N'attendez pas trop, cela pourrait vous être reproché par le juge...
@grmff: Sérieusement? C'est dingue!
Bonjour a tous,
Voila, comme beaucoup de gens sur ce forum, j'ai un soucis de bail.
Les locataires ne payent plus leurs bails depuis Octobre.
Moitié du mois d'Aout encore pas payé ainsi que tout le moi d'Octobre et Novembre.En plus de ça, ils ne payent pas non plus la décompte annuelle (Jusqu'a Juillet 2020) de l'eau et du gas. Voir que surement les charges vont augmenter d'ici la fin de l'année.
Ils ne répondent pas aux lettres recommandées, ni au telephone/emails -
Ils ont demander de libérer la garantie locative pour payer leur prochaine location, dans ce cas j'étais d'accord mais en signant une convention pour nous protéger. Ils n'ont plus voulus la signer.En tout, avec les charges, ils me doivent le double deja de la somme de la garantie locative.
Quand par miracle ils répondent au téléphone, ils m'engueulent au telephone qu'ils ont trois enfant et que la vie est difficile, et je le sais bien mais la je crois que ca commence a exagérer.
J'ai lancé une procedure avec un avocat mais je suis curieux de savoir si quelqu'un a deja été dans une situation pareille et si vous avez des conseils.
Merci
Pour que les autres PIM-o-nautes, plus avertis que moi, puissent vous répondre au mieux:
- Où se situe le bien? Wallonie, BXL, Flandre?
- Bail de courte ou de longue durée?
J'ai été dans une situation similaire avec ma première (et unique) expérience de location à ce jour. Un locataire "gentil" avant d'entrer dans les lieux qui est devenu extrêmement agressif une fois en possession des clés. Toutes les excuses étaient bonnes pour ne pas payer son loyer et quand le stock d'excuses était épuisé, les insultes et autres menaces arrivaient. Il a fini par abandonner les lieux. Procédure couteuse en justice de paix avec avocat, locataire devenu insolvable, je n'aurai jamais le moindre euro... Bref, une leçon de vie.
Ne prenez pas la chose trop à cœur, vous n'en dormirez plus! Restez droit dans vos bottes, dans le cadre légal et laissez les s'énerver. Je vous conseille de ne céder en rien, s'ils ont des problèmes d'argent, ils n'avaient qu'a anticiper et vous prévenir. Pour ma part, je ne leur ferait pas le "cadeau" de libérer la garantie locative tant qu'un engagement ferme n'a pas été conclu.
Je partage votre avis sur l'impression d'un certain manque de gestion que cette pratique provoque.
Lors d'un contact avec un agent particulièrement insistant pour la vente d'un bien, je lui ai posé la question de manière assez frontale. Après la réaction outrée suite à mon audace, la réponse a été simple: "Mais pour prouver que je travaille, moi!".
Moi, je ne travaille pas alors?!? Je n'écris pas sur le forum PIM depuis le travail alors?
grmff a écrit :5. Chaque partie reste avec ses propres dépens.
Non car cela signifie que les frais d'expulsion sont à charge du bailleur.
Si le locataire ne commet pas de faute au regard de l'accord, il n'y aura aucun frais d'expulsion, il partira de lui même.
Sinon, c'est la seconde partie de la proposition de Grmff qui prends le relais :
A défaut pour le locataire de respecter les conditions, le bail sera réputé rompu unilatéralement et fautivement par le locataire. Les clauses suivantes seront alors appliquées:
[...]
5. Tous les dépens sont mis à charge du locataire.
A moins qu'un morceau de la logique ne m'échappe