forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Nash0474 a écrit :Il y a une pratique récurrente dont j'ai fait les frais.
SI vous avez des servitudes communs ou des dégats des eaux, certains syndics réparent avant l'expertise et sans prévenir la partie endommagée. Et ils disent entre temps, avoir introduit le sinistre auprès de l'assurance, et c'est faux puisque l'assurance l'a infirme même 5 jours apres une AG.
Ils sont malins les syndics.
Ah oui on va me dire ce n'est pas malin de laisser sa porte de grage ouverte après un xieme dégat des eaux.
Vos interventions ne sont pas toujours bien compréhensible....
Vous avez eu une infiltration d'eau dans votre garage ouvert, le syndic a fait réparé la fuite et vous vous plaignez qu'il ne vous ait pas prévenu de quoi ?
Vous aviez des dégâts dans votre garage ?
Certainement pas une indemnité pour perte de jouissance puisque vous ne vous en êtes pas rendu compte....Et pourquoi le syndic aurait prévenu l'assurance s'il n'y avait pas de dégât... ?
Un débordement du décanteur qui s'est écoulé dans le garage et qui a rempli même ma baignoire d'eau usée au rez de chaussée. Il y avait bien des dégats après 4 dégats des eaux successifs en 3 ans.
Il y avait l'intervention urgente, 3 eme dégat cela a duré 7 semaines, 4 eme dégat deux jours.... juste pour déboucher et arrêter la fuite. En février, la syndic avait dit d'introduire le dossier auprès de l'assurance - on a fait confiance.
Toutefois, le problème structurel du décanteur et l'état des tuyaux vétuste, rouillant, se détachant n'ont toujours pas été résolus.
Donc après 34 mois d'attente, nous avons introduit une citation afin d'ordonner les travaux nécessaires et urgents pour éviter un nouveau dégat des eaux.
La syndic a vite fait venir des ouvriers dans mon garage sans prévenir , toutefois sans PV de début de travaux et sans que l'assurance ne soit informé. Donc quand je l'ai appris de la locataire qui n'était pas au courant, j'ai stoppé les travaux par la société qui n'avait aucune autorisation d'effectuer les travaux sans information et sans consentement.
La syndic a dit en AG de juillet d'avoir instruit le sinistre conformément à son engagement de février. 5 jours plus tard l'assurance a infirmé les faits et a donc du faire une expertise 8 mois plus tard. Selon 4 avocats, ils ne sont pas étonnés de cette pratique par les syndics, pratique assez connue apparemment.
J'ai plusieurs témoignagnes de diverses personnes sur ce point là.
Parfois, cela peut etre un avis google ou une personne a juste marqué; fausse procuration. Le syndic avait introduit une autre procuration dans le PV que celle présentée en séance.
J'ai 5 ou 6 personnes ayant subi des attaques d'avocat, dont 4 personnes m'ont l'air sensées dans leurs démarches tant au niveau des faits que de droit.
Il y a une pratique récurrente dont j'ai fait les frais.
SI vous avez des servitudes communs ou des dégats des eaux, certains syndics réparent avant l'expertise et sans prévenir la partie endommagée. Et ils disent entre temps, avoir introduit le sinistre auprès de l'assurance, et c'est faux puisque l'assurance l'a infirme même 5 jours apres une AG.
Ils sont malins les syndics.
Ah oui on va me dire ce n'est pas malin de laisser sa porte de grage ouverte après un xieme dégat des eaux.
copropriétaire engalère a écrit :F) Je filme moi même et picétout!
Sans obtenir l'accord des autres copropriétaire c'est interdit ! et du coup ca ne peut pas etre utilisé
G) Est ce que garder la piste audio est possible ?
:-)
comment faite vous pour les minutes ? je trouve que les meeting online c'est mieux car on peut partager l'ecran et consigner au fur et a mesure en ayant tout le monde qui voit ce qui est consigné ...et demander d'attendre si on est en retard sur les notes... par contre pour signer apres je trouve cela plus compliqué... et il y a deja des jurisprudences que si les gens n'ont pas signé meme si ils etaient presents et ont accepté verbalement ils peuvent revenir dessus...
La preuve par enregistrement en vidéo ou audio est un moyen de preuve au niveau pénal et de plus en plus accepté au niveau du droit civil comme droit au travail.
En même temps, l'inverse arrive aussi. Les syndics attaquent parfois le copropriétaire pour calomnie ou harcelement, si il demande un point à l'AG, des travaux.... de manière persistante.
J'en ai connu plusieurs.
Il serait important que les conseils Me Mostin, Martine Wahl, ou Eric Ricquier offre plus d'informations.
J'ai eu la chance de rencontrer la première récemment et Me Carnoy il y a quelques temps, ils sont plein d'enseignements sur le droit de la copropriété et d'una analyse profonde sur le métier de syndic en Belgique. Ils demandent à une professionnalisation, formation, régulation du métier service.... ainsi qu'une meilleure protection des copropriétaires qui sont souvent ignorants.
J'espère que la proposition de loi pour que l'acp soit considérée comme consommateurs, et je leur ai passé une vingtaine de PV de plusieurs syndics différents, d'annexes de PV, dossiers, aux signataires de la loi et à un ministre de tutelle.... Ils constatent que la loi de 2018 n'a pas eu les effets escomptés, et qu'il faudrait plus se rapprocher de droits des payers voisins pour le bien de métier de syndic et des citoyens.
Nash0474 a écrit :Voici jurisprudences:
« conformément à l’article 577-8, § 4, 11° du Code civil, tout syndic (professionnel ou non) a l’obligation de permettre à chaque copropriétaire d’avoir accès à tous les documents ou informations de la copropriété à caractère non-privé. Dans l’exercice de ce droit de contrôle, le copropriétaire doit agir de bonne foi, tout comme le syndic qui doit fixer raisonnablement les jours durant lesquels le contrôle peut être effectué et doit laisser le temps aux copropriétaires pour réaliser le contrôle » (J.P. Woluwe-Saint-Pierre, 15 octobre 2012, T. App, 2013/3, p. 27)., l’article 577-8, § 4, 11° du Code civil donne pour mission au syndic de permettre aux copropriétaires d’avoir accès à tous les documents ou informations à caractère non privé relatifs à la copropriété. A cet effet, le juge de paix de Woluwe-Saint-Pierre a dit pour droit que conformément à l’article 577-8, § 4, 11° du Code civil, tout syndic (professionnel ou non) a l’obligation de permettre à chaque copropriétaire d’avoir accès à tous les documents ou informations de la copropriété à caractère non-privé. Dans l’exercice de ce droit de contrôle, le copropriétaire doit agir de bonne foi, tout comme le syndic qui doit fixer raisonnablement les jours durant lesquels le contrôle peut être effectué et doit laisser le temps aux copropriétaires pour réaliser le contrôle » (J.P. Woluwe-Saint-Pierre, 15 octobre 2012, T. App, 2013/3, p. 27).La problématique soulevée : les documents annexés à la convocation.
La jurisprudence telle qu'elle est reproduite ( citée 2 fois, il s'agit de la même jurisprudence, il s'agit du même jugement) concerne le mise en oeuvre du droit d'accès aux documents et informations dont il est question à l'article 577-8, § 4, 11° du Code civil et n'apporte aucune information en ce qui concerne les documents à joindre à la convocation.
Oui mais c'était fondé que le fait des dossiers accessibles des assemblées générales droit de controle se fait principalement en AG sur la décharge et sur les points à voter.
Après, il ne faut pas s'étonner du manque de documents finalisés de la piètre qualité de gestion, de tenue des AG et de rédaction des PV des AG qui manquent clairement de précision juridique et administrative. Heureusement, que les juges de paix sont surchargés et que le contentieux coute cher. Moi vraiment, je veux de vrais syndics, de vrais gestionnaires, et non des simples encodeurs et des secrétaires comme souvent décrits et réalisés.
Le rapport d'évaluation annuelle des contrats a comme objectifs de réévaluer les contrats de manière régulière.
Donc, il est légitime et de bonne gestion, et dans les missions du syndic, que les syndics demandent de réévaluer les contrats tant sur les conditions financières, administratives, garanties. Bonne gestion.
Toute entreprise réévalue ses contrats de manière régulière. N'ayez pas une touffe dans la main, et de toujours trouver des excuses pour ne pas faire, ce qui décrédibilise grandement votre métier de gestionnaire et votre formation 'dont il manque sérieusement de travaux pratiques à la lecture de nombreux pv à ma disposition et des outils de gestion donnés par les syndics aux copropriétaires.
Après moi, qui est défendu le métier de service de syndic à une société francaise, qui voulait implémenter un programme de syndic en Belgique.... je leur ai dit non car je crois aux qualités de gestionnaire et de service de syndic.... a lire les réponses et lecture de beaucoup de choses, je doute.
Certains syndics font bien leur métier encore heureusement.
GT a écrit :rexou a écrit :Cette tartine intéresserait surement les pinailleurs du droit -pardon : les éminents juristes de notre pays- , mais dans le cadre d'un forum dédié à l'immobilier, l'intérêt m'échappe quelque peu.
Quelle est la finalité ?
Quel est l'intérêt réel dans le chef des copropriétés ?La jurisprudence est un une des sources du droit en Belgique., et pas seulement du droit de la copropriété forcée des immeubles.
Dès lors, il n'est, en principe, pas inutile pour les copropriétaires d'y avoir accès.
Prolongement de mon intervention ci-dessus
Extrait du rapport du 30 juin 2014 de la commission de modernisation de l'ordre judiciaire consacré à la question de la publication des décisions judiciaires
"L’absence d’accessibilité de la jurisprudence : un déficit démocratique
La jurisprudence est une source incontournable de la connaissance du droit. A qui en douterait, on présenterait le foisonnement de jurisprudence auquel ont donné lieu les 23 mots qui constituent l’article 1382 du code civil relatif à la responsabilité délictuelle et quasi-délictuelle.
Certes, la jurisprudence n’a pas, en Belgique, le poids qu’elle peut avoir dans les systèmes juridiques qui connaissent la règle du précédent. Elle n’en constitue pas moins l’interprétation la plus authentique de la seule source de droit véritablement contraignante : la loi .
La doctrine elle-même, pour importante qu’elle soit, n’a en réalité que l’autorité que confère le pouvoir de conviction des auteurs, lesquels n’encourent en principe aucune responsabilité et n’exercent d’autre autorité que morale.
Derrière les apparences – la profusion des revues et des banques de données jurisprudentielles – la jurisprudence reste pourtant le parent pauvre du triptyque législation/jurisprudence/doctrine.
Le constat en sera affiné dans les pages qui suivent mais il est brutal : la connaissance et la diffusion de la jurisprudence ne répondent en Belgique à aucun critère scientifique. La seule banque de données générale, publique et gratuite – Juridat – n’est alimentée que de façon aléatoire. De leur côté, les banques de données payantes dépendent de la fiabilité de leurs réseaux et de l’honnêteté intellectuelle des membres des comités scientifiques et des comités de rédaction."La commission estime aussi que des réformes doivent intervenir pour permettre demain de garantir à tous les acteurs et sujets du droit un accès entier et inconditionnel à la jurisprudence.
Elle met en évidence, dans un véritable Etat de droit, un enjeu démocratique majeur : l’accès pour tous à la justice
en ce compris à la justice telle qu’elle se dit et qu’elle se fait, à la jurisprudence, dans le respect du droit à la vie privée du justiciable.
Je souscris totalement à cela. Lors de mes études de droit, il y a 20 ans, nous avions plus acces aux jurisprudences de tout type.
Le conseil d'Etat fait encore son devoir, heureusement, car la première source de droit en droit administratif est la jurisprudence quasiment.
Le but de la jurisprudence n'est pas de savoir qu'un tel a été contre X, mais comprendre la logique et les thèses juridique qui font le développement du droit et des pratiques. En plus en Belgique, avec nos 2 langues - et tant mieux, nous avons peu de doctrines.
Et tant qu'on trouve sur internet, beaucoup de commentateurs mais peu de fond et compétences.
Pour avoir écit plusieurs articles juridiques plus en droit public, je pense que le droit me manquait surtout qu'ici c'est allié avec les principes de bonne gestion et de professionnalisation d'un métier de services ou le syndic doit devenir pleinement un gestionnaire, un prestataire de service de qualité d'un immeuble commun en y mettant les moyens humains techniques, règlementaires et financiers adéquats. Et sans la rengaine classique, oui mais c'est pas nous ce sont les CP, l'équilibre est au milieu.
Non. Nous sommes plusieurs à nous échanger de la doctrine, les PV d'AG, les rapports, les contratsn des jurisprudences, des conclusions, jugements, entraide oui, avec quelques avocats aussi...
Ici, sur le contrat de fournitures clairement non. Mais je suis content d'avoir eu les informations de doctrine et des annales parlementaires, les budgets prévisionnels obligatoires par un procès instrumentés par Me Ricquier.
Car chez moi cela s'est limité, c'est ce qu'on trouve sur internet (sans dossier bien entendu)
Et quand on posait des questions sur les polices, les montants, les durées, préavis,... la réponse était euh comme à la consultation. Donc au final, je ne sais toujours pas après 3 heures de réunion car rien préparé et deux demi journée de congé de perdu comme directeur de maison de repos en période covid. En plus batiment pas au normes incendies détectés par un syndic pro cette semaine, de toute beauté.
Meme si le rapprort d'évaluation prévu par le code civil sont des simples principes de bonne gestion de base de sorties secondaire, force de constater le caractère incomplet et non professionnel d'un leader professionnel du marché pris en référence. Problème répété chez plusieurs membres.
Moi je les faisais pour ma famille déjà à 15 ans, des asbl - un père hémiplégique fait prendre ses responsabilités jeunes, et dans des mandats de maisons des jeunes, centre culturel.
Pour être un véritable état de droit, il faudrait que les jugements du juge de paix soient à nouveau publiés article 159 du code judiciaire et article 149 de la constitution.
Cela permettrait de voir les copropriétés avec mention des syndics pour lesquels il y a des problèmes récurrents.... et avoir une jurisprudence et une uniformité d'application de la loi. Malheureusement, peu de copropriétaires lésés introduisent un recours vu le cout d'une procédure et que le copropriétaire doit attaquer la copropriété meme si les actes sont accomplis par le syndic qui est un mandataire. Et souvent, il démissionne avant la décision.
Peu de copropriétés se retournent contre le syndic. D'ou le conseil des avocats, est de voter contre la décharge du syndic et du CDC.... ce qui est dommage.
Le but serait de rétablir la confiance des belges en la justice et aux syndics. La transparence est déjà un premier pas.
Nash0474 a écrit :LaurImmo a écrit :IMMO PASS c'est assez rapide pourtant, j'ai reçu le rapport en 2 semaines pour une grosse résidence multi-pathologique (multiples malfaçons, constructeur en faillite en 2009), l'architecte mandaté par IMMOPASS a même pris contact avec l'architecte de l'époque qui avait fait les plans de la résidence. Mon souci maintenant est que la plupart des travaux doivent être fait dans les 2 ans pour un montant dépassant 500 000 €...
Bonne chance avec les copropriétaires, c'est l'exercice le plus difficile avec certains radins (sans juger la capacité financière de chacun) qui ne voient pas l'intérêt d'entretenir son patrimoine
Nous ne sommes pas loin du Luxembourg... Mes copropriétaires ont souvent les moyens en soit. Mais je pense qu'avec cet audit et le cahier des charges sur les travaux à venir sur le futur... Je vais voir beaucoup de ventes difficiles!
Je vous le souhaite. J'ai déjà vu un refus de mettre un batiment aux normes incendies donc.... et c'était le BW.
Le mieux est que le règlement d'ordre intérieur définit les documents à joindre et mis à consultation de manière adéquate.
Sur la deuxième remarque, je suis pour la publication de tout jugement du juge de paix comme tout état de droit et prévu par l'article 149 du CJ Tout jugement est public.
Cela permettrait une uniformisation de la jurisprudence (plus difficile qu'avant de les avoir), et je serais pour que les audiences soient publiques. Peu établisse des recours déjà chers car le systeme belge protege plus la responsabilité des syndics sur les missions incombant directement au syndic par le code civil (assemblée générale et surtout l'article 577-8 paragraphe 4 directement par un copropriétaire.
A titre d'exemple, après quelques années, j'ai pu savoir que nous sommes plusieurs copropriétaires de plusieurs copropriétés différentes dont le syndic en question ne donnait pas acces aux documents, ou autres manquements... ils n'ont pas l'air de revoir leur méthode et certaines touchent à la vigileance des normes d'incendie.
Sans maitriser tout sur les droits des consommateurs, j'espère que cela sera vite, car la copropriété et les copropriétaires sont un des derniers d'avoir les droits y conférés.
Je crois vraiment à cette nottion de service, et raison pour laquelle, un nouveau groupe francais m'a sondé si je trouvais utile d'avoir un programme qui aiderait à la gestion.
Voici jurisprudences:
« conformément à l’article 577-8, § 4, 11° du Code civil, tout syndic (professionnel ou non) a l’obligation de permettre à chaque copropriétaire d’avoir accès à tous les documents ou informations de la copropriété à caractère non-privé. Dans l’exercice de ce droit de contrôle, le copropriétaire doit agir de bonne foi, tout comme le syndic qui doit fixer raisonnablement les jours durant lesquels le contrôle peut être effectué et doit laisser le temps aux copropriétaires pour réaliser le contrôle » (J.P. Woluwe-Saint-Pierre, 15 octobre 2012, T. App, 2013/3, p. 27)., l’article 577-8, § 4, 11° du Code civil donne pour mission au syndic de permettre aux copropriétaires d’avoir accès à tous les documents ou informations à caractère non privé relatifs à la copropriété. A cet effet, le juge de paix de Woluwe-Saint-Pierre a dit pour droit que conformément à l’article 577-8, § 4, 11° du Code civil, tout syndic (professionnel ou non) a l’obligation de permettre à chaque copropriétaire d’avoir accès à tous les documents ou informations de la copropriété à caractère non-privé. Dans l’exercice de ce droit de contrôle, le copropriétaire doit agir de bonne foi, tout comme le syndic qui doit fixer raisonnablement les jours durant lesquels le contrôle peut être effectué et doit laisser le temps aux copropriétaires pour réaliser le contrôle » (J.P. Woluwe-Saint-Pierre, 15 octobre 2012, T. App, 2013/3, p. 27).
Sur les annales parlementaires, il faut que je retrouve le passage sur la volonté du législateur.
Mais parfois, c'est aussi une question de facilité et efficacité pour les syndics. J'ai déjà assisté à des AG ou cela durait plus de 3heures car peu de dossiers à l'étude au préalable et peu de préparation de réunions pour pas un grand OJ. La syndic ne savait meme pas dire le texte de la résolution, le contenu des contrats.... il ne faut pas se focaliser sur la loi, au contraire, il est dommage d'arriver à des lois pour juste du bon sens et de la bonne gestion d'une assemblée générale.
Ayant des réunions avec des délibérations quasiment tous les jours, je vois que les jours ou je suis le plus mauvais, c'est là ou il y avait moins de préparation, le manque d'envoi d'information préalable à la réunion à mes collegues ou à mes équipes.
Votre première réponse me paraissait cohérénte et appropriée.
IMMO PASS c'est assez rapide pourtant, j'ai reçu le rapport en 2 semaines pour une grosse résidence multi-pathologique (multiples malfaçons, constructeur en faillite en 2009), l'architecte mandaté par IMMOPASS a même pris contact avec l'architecte de l'époque qui avait fait les plans de la résidence. Mon souci maintenant est que la plupart des travaux doivent être fait dans les 2 ans pour un montant dépassant 500 000 €...
Bonne chance avec les copropriétaires, c'est l'exercice le plus difficile avec certains radins (sans juger la capacité financière de chacun) qui ne voient pas l'intérêt d'entretenir son patrimoine
Ici, cela permet de donner des références précises, cela peut aider autrui et des non connaisseurs.
Effectivement, le site est intéressant à plusieurs points de vue. Et de deux cela se trouve dans les références citées; Ricquier, Mostin, WAHL, RJCD restent intéressants.
Les jugements je les ai eus par une connaissance des justice de paix d'Etterbeek, WSP, d'un avocat, mais je vous avoue ne plus les avoir - il faurdrait que je les retrouver;) Bien dommage, en Belgique, et pourtant les jugements sont publics par la constitution, que l'on ne publié pas toutes les décisions judiciaires. Cela ajouterait de la jurisprudence, de l'échange, et de l'analyse.
Savoir que peut etre son problème rencontré n'est peut etre pas unique.
Ayant changé de métier, je ne suis plus abonné à certaines doctrines juridiques, je suis plutot dans la gestion actuelle.
Le droit de la copropriété et la gestion des copropriétés est une devenue des branches de droit dont je me spécialise depuis un an, par intérêt et passsion. Et j'ai envie de partager pour faire évoluer
Ici, cela permet de donner des références précises.
Effectivement, le site est intéressant à plusieurs points de vue. Et de deux cela se trouve dans les références citées, Ricquier, Mostin et les annales parlementaires ont peut etre tort.
Les jugements je les ai eus par une connaissance des justice de paix d'Etterbeek, WSP, d'un avocat, mais je vous avoue ne plus les avoir mis Ayant changé de métier, je ne suis plus abonné à certaines doctrines juridiques, je suis plutot dans la gestion actuelle.
Le droit de la copropriété et la gestion des copropriétés est une devenue des branches de droit dont je me spécialise depuis un an, je fais meme des comparaisons avec les législations étrangeres car les annales de la dernière loi font parfois référence à des législations étrangères et ce qui a été repris ou non, et pourquoi. J'ai encore à apprendre.
« Le syndic est tenu de soumettre à l’assemblée générale ordinaire un rapport d’évaluation des contrats de fournitures habituelles. L’objectif consiste à permettre aux copropriétaires de remettre régulièrement en cause les contrats de fournitures, sur base d’un rapport d’évaluation ».
Les entreprises le font souvent sans qu'une loi le stipule juste par critère de bonne gestion de manière claire. Toute conclusion et renouvellement de contrat est une décision d'AG de toute facon aussi de manière stricte.
Le code civil ne dispense pas de mise en concurrence et l’obligation appartient pleinement au syndic en tant qu’organe de l’association et ce, en application de l’article 577-8, § 3, 18° du Code civil. Le concluant l’a requis comme point mis à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale par recommandé en février 2021.
Il pourrait en être de meme pour le contrat de services du syndic d'une durée maximum de 3 ans. Le code civil ne dispense pas de mise en concurrence et l’obligation appartient pleinement au syndic en tant qu’organe de l’association et ce, en application de l’article 577-8, § 3, 18° du Code civil. L’article 577-7, paragraphe 1er, 1°, d) du Code civil impose la mise en concurrence et l’évaluation de ses contrats. L’article 577-8 prévoit même que ‘Le mandat du syndic ne peut excéder trois ans, mais peut être renouvelé par décision expresse de l'assemblée générale’.
Un copropriétaire pourrait demander la mise en concurrence.
Non, il peut y a avoir deux seuils différents selon la doctrine et les annales parlementaires:
1 seuil pour une mise en concurrence et une pluralité de devis
2 seuil pour une mise en concurrenc, pluralité de devis et cahier des charges.
En outre, n'oubliez pas que le cahier des charges dont il est fait mention fait référénce à la législations sur les marchés publics, parfois il peut etre très léger.
Meme dans le premier cas, fixer des critères de sélection et de qualité sont de bon sens aussi sans passer par le formalisme.