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La liste des présences reprend les noms des CP présents OU représentés. Soit un CP est présent, soit il est représenté. Et ceci pour la totalité des quotités dont il dispose.
En fait si j'ai posé ma question à G.B., c'est parce que je voulais savoir ce qu'il avait dans sa tête. Peut-être un AUTRE p'tit Monsieur en train de danser le Funk... avec de la fumée qui sort de ses oreilles ?
J'espère qu'il a de l'humour...
AdemJS a écrit :Bonjour,
Selon vous quel serait l'intérêt de vous présenter pour l'un, et de vous faire représenter pour l'autre ?
Dans le cas évoqué, la question est posée, à mon avis, à G.B
Oui, tout à fait, cela me semblait évident, mais j'aurais dû le citer pour plus de clarté.
La seule circonstance que je pourrais comprendre, c'est le cas où MR est propriétaire d'un appartement, MME est propriétaire d'un autre appartement et le couple est propriétaire de deux garages.
Selon moi, cela représente 3 propriétaires différents et chacun pourrait donc désigner un mandataire différent ou se présenter pour son bien propre mais pas pour les autres.
C'est ce qu'il me semble aussi.
De plus, vu que dans la plupart des cas, les points à l'OJ concernent les parties communes, je me demande vraiment pourquoi provoquer une telle configuration de l'AG (en admettant que ce ne soit pas "interdit" ; une mention explicite d'une incompatibilité de présence entre un copropriétaire pour un lot et son mandataire pour un autre constitue un interdit bien entendu). Et quand bien même le point porterait sur une autorisation de travaux privatifs par exemple, pourquoi se faire représenter tout en étant présent ?
Bonjour,
Selon vous quel serait l'intérêt de vous présenter pour l'un, et de vous faire représenter pour l'autre ?
En droit belge, sauf erreur de ma part, le principe est le suivant : tout est autorisé, sauf ce qui est interdit. Pour autant, ce n'est pas parce que quelque chose n'est pas interdit que cette chose est souhaitable. Dans le cas, évoqué, à part provoquer des complications ?
Bonjour,
En espérant que ce soit utile, voici un partage d'expérience portant sur la gestion d'infiltrations et dégâts des eaux, au niveau de privatifs.
Deux situations :
- Situation 1 :
Mon voisin du dessous me signale que de l'eau perle sur ses murs et par son lustre, depuis une date indéterminée. Après mes premières vérifications, je constate une flaque d'eau sous mon bain assis. Malgré mon pompage, mon voisin me rapporte qu'il recueille au moins 5 litres d'eau par jour... Cela signifie plus que probablement que le sinistre s'était amorcé depuis bien longtemps, et c'est un détail qui dans certains contextes peut ne pas être anodin du tout.
Je contacte le Syndic : celui-ci demande l'intervention d'une société de détection de fuite. Grâce à une caméra thermique, d'importantes fuites sont confirmées, au niveau de pratiquement tout mon circuit d'eau sanitaire.
NB : avec une caméra thermique, vous pouvez analyser les circuits installés au niveau de vos sols et de vos murs, mais aussi au niveau de votre plafond (en fait au niveau de la chape) : il n'est donc pas systématiquement nécessaire d'accéder au bien de votre voisin du dessus pour constater une éventuelle fuite au niveau de ses propres circuits.
Après quoi, le Syndic mobilise son plombier agréé : les sols sont ouverts. Le tuyau d'évacuation d'eau, en plomb, était fortement rongé (trous de près de 10 cm), sans doute du fait de l'usage occasionnel de produits tels "Destop" ; le point d'entrée vers la colonne de service (évacuation) était presque complètement bouché par le tartre ; le circuit de distribution d'eau, en galva, non gainé, comptait de nombreuses fuites du fait de l'oxydation, tant en vertical qu'en horizontal.
Dans mon cas, les travaux d'ouverture des sols, de démolition de la baignoire, de l'évacuation des déchets, de la réfection de la plomberie, ont été pris en charge par l'ACP. J'ignore si l'assurance est intervenue, compte tenu de la franchise (anormalement ?) élevée ; le chantier a été "découpé" en "sous-chantiers" (ex : ouverture des sols et refection de la plomberie, + démolition du bain assis, + ?), dont chacun des montants était inférieur à la franchise.
La réfection du mobilier apparent (ex : carrelage, installation nouvelle douche) était à ma charge, éventuellement indemnisable par mon assurance. Le souci, c'est qu'il fallait que je conserve les lieux "en l'état" après passage du "plombier-démolisseur", le temps que mon assureur procède à l'expertise nécessaire : ce n'était évidemment pas faisable, vu que mon studio ne fait que 40 m².
J'ai donc profité de ce sinistre pour rafraîchir tout mon studio, à ma charge, évidemment pour ce qui était d'ordre privatif.
Nb : avant réfection des dégâts subis du fait d'un sinistre ne ressortant pas de votre privatif, il importe évidemment que la cause du sinistre soit traitée, avant d'entamer les travaux nécessaires au niveau du privatif de votre ressort.
Situation 2 :
Je constate que des gouttes perlent de la partie au-dessus de ma baie vitrée. Je contacte le copropriétaire de l'appartement du dessus, dont, heureusement, je possédais les coordonnées. Il est venu faire le constat, et a directement entrepris les travaux nécessaire. Le diagnostic était le suivant : le mortier des terrasses était en bien piètre état, et de l'eau s'infiltrait dans la chape . Avec le temps, cette humidité a fini par oxyder l'extérieur de la tuyauterie du chauffage central proche des baies vitrées des studios.
J'ignore s'il s'est fait indemniser ou pas, et si oui dans quelle proportion et sur quelle base.
Pour ma part, je n'ai pas demandé à mon assureur d'intervenir pour la réparation des menus dommages que j'ai subis.
Bonsoir et Merci pour vos réponses.
En fait, j'aurais dû décrire un peu mieux les circonstances:
Une grosse tache au plafond de la salle de bain, puis peinture et plâtre écaillés sur 2 murs,
plutôt une gêne esthétique, pas fonctionnelle, je peux utiliser tout
Bonjour,
Première chose très importante à faire, si ce n'est déjà fait : faire des photos.
Je n'aborderai pas trop la question des assurances ; par contre la question des origines probables du sinistre pourrait vous intéresser.
La tache que vous décrivez peut provenir de dégâts des eaux plus graves que ceux résultant d'un problème de joint : j'ai connu ce genre de situation - mon circuit d'eau en étant la cause, avec infiltrations dans l'appartement du dessous. Dans mon cas, la plomberie, datant des années '60, était littéralement trouée de partout : j'ai dû faire ouvrir les sols et mettre la plomberie en conformité.
En principe, j'aurais dû faire intervenir mon assurance RC, mais les délais étaient beaucoup trop longs : selon mon syndic de l'époque, tous les travaux "apparents" auraient pu être partiellement indemnisés par mon assurance. Les travaux infrastructurels non visibles, auraient pu l'être tout au moins partiellement par l'assurance de l'ACP.
J'ai aussi connu la situation inverse : victime d'une fuite du circuit de chauffage de l'étage supérieur, qui était oxydé du fait d'infiltrations.
Dans tous les cas, si vous apercevez des taches jaunes sur votre plafond, c'est que les infiltrations en sont probablement à un stade avancé : est impératif que vous interveniez en le signalant au propriétaire concerné/au Syndic, car en ne faisant rien, vous endossez une partie de la responsabilité des dégâts sur le bâtiment.
Bien à vous
EDIT : j'espère que cet article répondra à votre question : https://www.ethias.be/part/fr/trucs-ast … cupee.html
Bonjour,
Désolé pour ce déterrage, qui n'est pas de mon fait ; cependant, je vous communique la fin de l'histoire, malgré le climat souvent tendu de ce Forum, que je ne fréquente pas très assidument.
L'invasion a été éradiquée, avec l'aide toute relative (sous certains aspects) du Syndic et du dératiseur.
Première invasion : dépôt de poison par le dératiseur ; près d'une vingtaine de rats exterminés. Mais ce poison était très lent, et manifestement peu efficace. Pendant quelques mois, sacs poubelles éventrés, société de nettoyage débordée. Invasion de mouches également...
Après apparente éradication, calme durant quelques mois
Seconde invasion : seulement un individu a priori, mais apparemment résistant au poison
- "Grâce" aux dégâts sur les dessous de porte/les chambranles, j'ai pu identifier la série de caves potentiellement problématiques, toutes contigües.
- Après beaucoup de difficultés, nous avons fini par avoir accès à une partie des caves ; heureusement, elles étaient pratiquement toutes vides.
- Le dératiseur et moi avons constaté qu'un caniveau traversait toutes les caves contigües, côté jardin, au niveau du sol. J'ai constaté des ouvertures entre chacune de ces caves, au niveau du sol : elles communiquent donc entre elles au niveau du sol (trou de la taille d'une brique).
- J'ai fini par moi-même encastrer des briques dans les trous qui permettaient aux caves de communiquer entre elles ; déposé des briques au niveau des chambranles et portes endommagé(e)s ; les nuisibles se sont petit à petit retrouvés "isolés" ; de cette façon j'ai pu détecter au niveau de quelle cave se trouvait le point d'entrée. Notez que ces animaux ont suffisamment de force que pour déplacer une brique (d'où la nécessité de bien les encastrer) !
- Une portion de la grille qui protégeait le caniveau était endommagée ; je l'ai recouverte de dalles.
- Le dernier nuisible en vie a été exterminé manuellement par le propriétaire de la cave concernée : attrapé par la queue, tapé contre un mur. Il était sans doute moins vif du fait du poison.
Nb : j'ai dû insister pour que la société de nettoyage fasse un nettoyage en profondeur, la propreté des lieux étant essentielle pour détecter la présence de nouveaux excréments... Et donc conclure à l'éradication ou non.
Nous avons également acheté des conteneurs à ordures, mais le respect des consignes d'utilisation est très relatif.
Conclusion : si le (co)propriétaire souhaite éradiquer une telle invasion, il ne peut pas se fier uniquement au Syndic et au dératiseur... Il doit jouer un rôle très actif. Et croyez-moi, c'est pénible, et demande une attention de tous les jours.
Ils se fait que lorsque vous cliquez sur le lien depuis votre site PIM, en effet, l'article n'est accessible qu'aux abonnés. Ce n'est pas le cas lorsque vous cliquez par le résultat de recherche Google.
Capture d'écran :
Next
Site belge ? NoN
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : je n'apprécie pas du tout ce genre de ton, d'autant plus que rien ne vous empêche d'en trouver un, de site belge.
Par ailleurs, les lois française et belge sont fort proches, donc l'on peut présumer des dispositions similaires.
Ce n'est ni la politesse ni l'amabilité qui vous étouffe en tout cas !
En voilà un de site belge, qui expose exactement la même chose : https://businessdatabase.indicator.be/c … 01/related
Bonjour,
Je n'ai pas l'article réglementaire sous la main, mais d'après les dernières AG auxquelles j'ai participé, il ressort que le Syndic a l'obligation de permettre à ceux qui le désirent de participer en présentiel, moyennant prise de rendez-vous si les locaux du Syndic sont trop petits.
EDIT : d'après cet article, cela dépend des statuts de la copropriété. Les AG en visioconférence doivent être prévues, sinon c'est présentiel.
Que voulez-vous dire par ces phrases:
- "Et elle demande que ce soit en copropriétaire"?
- "même que les législations du logement a Bruxelles ont été modifiées"? de quelle législation parlez-vous?
Je ne suis pas spécialiste, mais il me semble comprendre qu'elle demande que les travaux soient à la charge de la copropriété. Et finalement, vous voyez bien que vous ne vous adressez pas à une juriste, donc pourquoi faire comme si ?
Plusieurs participants à ces forums sont extrêmement désagréables à répondre de cette façon - même si parfois c'est quelque peu justifié - ... un peu plus de tact et d'empathie ne serait pas superflus.
Mais bon, c'est votre forum...
1. Je prends bonne note de vos habitudes ; ce n'est cependant ni une généralité et encore moins une obligation. C'est une possibilité. Il peut aussi y avoir instructions verbales... ou aucune instruction spéciale de vote, le mandataire ayant toute liberté de choix.
D'accord ; néanmoins, dès lors au au moins un Syndic utilise les procurations standardisées que je décris, ce n'est pas si rare que cela.
2. Oui, "faire nombre" est en effet un des atouts de la procuration. Mais c'est aussi bien plus que cela, vous ne croyez pas ?
Si vous avez une explication, je suis preneur...
Enfin, je ne sous-entends rien.
Ben si... Voir citation précédente
AdemJS a écrit :Bonjour,
En principe le vote du mandaté, pour chaque point repris sur l'OJ, figure sur la procuration.
(1) Non, pas nécessairement. Et même assez rarement. (2) Si tous les votes sont pré-écrits sur la procuration, à quoi donc sert cette dernière ?
1) Pour ma part, cela fait bientôt 10 ans que je reçois plusieurs procurations pour chaque AGO ; le mandant indique systématiquement son vote, pour les points figurant à l'OJ qui lui tiennent à coeur.
2) Une procuration sert à :
- permettre au mandataire de représenter son mandant lorsque figurent des questions plus "ouvertes" par exemple.
- augmenter les chances d'atteindre le (double)quorum lors de l'AGO, et d'éviter d'en organiser une deuxième.
Au contraire de ce que vous sous-entendez, une procuration ne tient en principe pas d'un blanc-seing attribué au mandataire.
mais lorsqu’on reçoit des procurations le vote a main levée ne représente pas la réalité . L’an passé j’ai reçu 5 procurations.
Bonjour,
En principe le vote du mandaté, pour chaque point repris sur l'OJ, figure sur la procuration.
Bonjour,
Personnellement, c'est la facturation sur base d'un témoignage "approximatif" qui me laisse perplexe. Sauf erreur de ma part, une telle sanction financière implique le respect d'une procédure bien définie, faisant de préférence appel à un huissier de justice.
Dans le contexte décrit, l'application d'une telle procédure me semble disproportionnée.
Il me semble que de seule la Police est habilitée à vérifier l'identité d'une personne de toute façon (càd vérifier que la photo correspond bien à celle de la personne par exemple).
Donc, en admettant que le Syndic puisse observer une concordance entre la photo dont il dispose et le contenu des images de surveillance, il ne pourrait de toute façon pas vérifier l'identité (dans le sens d'un contrôle de Police) de cette personne. Du coup, la collecte de cette photo par le Syndic s'avèrerait inutile et disproportionnée.
J'ajoute que le traitement de données révélant l'origine ethnique d'une personne - comme une photo - est interdit sans le consentement de la personne concernée. La collecte de photo d'identité n'est pas du ressort de la Loi Caméra : c'est le RGPD qui s'applique dans ce contexte.
Un instant : le propriétaire demande la carte d'identité du locataire pour la constitution du bail, mais a-t-il le droit de l'exploiter à d'autres fins ?
Bonjour,
Si les finalités autres que celles de la constitution du bail n'ont pas été communiquées à la personne concernée, par exemple via une "privacy policy", les données figurant sur la CI ne peuvent pas être utilisées à d'autres fins sans le consentement de la Personne Concernée.
Bonjour,
S'il s'agit bien de parties privatives vous appartenant, il me semble qu'il s'agit d'un viol de propriété privée, qui ne peut pas, selon ce que vous expliquez, être justifié par une quelconque urgence. Et quand bien même il y aurait eu urgence, le Syndic n'a pas à remettre les clés des nouveaux barillets aux autres propriétaires.
Mais avant d'éventuellement déposer plainte au commissariat, il serait judicieux de tenter de résoudre cela à l'amiable.
Pour ma part, j'estime absurde la protection des données poussée au point de refuser de transmettre les coordonnées mail et téléphone. On n'est plus au 19e siècle...
En effet, l'on peut raisonnablement avancer, sur base de l'Esprit du RGPD ("permettre à condition de", plutôt que "d'interdire"), que :
- le Syndic ne peut pas refuser de faire la démarche de demander le consentement des personnes concernées.
- seules les personnes concernées ayant refusé leur consentement doivent être contactées par courrier postal.
- idéalement, le Syndic devrait publier sa "Privacy Policy" sur son site Web (si elle en a un) annonçant les différentes finalités poursuivies par la collecte des DCP telles les adresses eMail, comme par exemple l'envoi des appels provisionnels, ainsi que l'information des différents copropriétaires.
Dans tous les cas, un tel refus "d'office" par le Syndic est souvent mauvais signe : soit un jugement d'un Juge de Paix a été lu partiellement, ou correctement mais le jugement a été ce qu'il a été ; soit le RGPD a été "mal" interprété ; soit, il s'agit de mauvaise foi pure et simple...
Je ne suis pas entièrement d'accord avec votre dernière phrase. En effet, la transmission des adresses email/téléphone est indispensable dans le cas ou un copro souhaite réunir une A.G.E. et pour laquelle le syndic refuse de la convoquer. Dans ce cas, tout copro peut (s'il réunit 20% des partsà peut convoquer lui même cette A.G.E. Or comment un copro pourrait il la réunir s'il ne sait qui est copropriétaire des différents lots de l'immeuble ainsi que leur quotité ?
Bonjour,
Si j'ai terminé par cette phrase, c'est pour prévenir du contre-argument possible. L'on risque de vous répondre que vous devez envoyer des courriers papier sur base de la liste que vous êtes en droit d'obtenir, comportant les informations telles les Noms, Prénoms, et adresses...