forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Effectivement, il y a toujours des heurts aux parties communes lors des emménagements / déménagements.
Quel est le montant de l'indemnité forfaitaire dans vos immeubles ?
Dans cette copropriété c'est 50euros :
D'avance merci pour les réponses que j'espère nombreuses à ce mini-sujet tout simple
La conclusion d'un journaliste n'est que la conclusion d'un journaliste, toutefois cet article du VIF est juste et toujours d'actualité
On se croirait un 1er avril mais qui a eu l'idée d'exhumer et faire la publicité d'une cellule dormante depuis sa création en 2007.
PIM peut se renseigner ( sur le Comité de suivi législatif dormant) si vous doutez qu'il est inutile de lui adresser des requêtes.
Ouui mais c'est de la théorie, donnez-moi votre mail privé et je vous partagerai l'article du VIF en 2019 dont vous semblez douter mais :
1° vous pouvez acquérir l'article ( 1 euro) dont l'extrait ne vous suffit pas,
2° vous pouvez aussi tester votre conseil, avant de faire la promotion d'une cellule dormante qui n'a jamais été en fonction dans la réalité.
Est-ce que je vous l'apprends ?
Mais enfin d'où vous est venue l'idée du "comité de suivi législatif" ?
Pour répondre à la curiosité de Rexou et GT , retenez que le 04 janvier 2019 le journaliste du Vif a publié que le "comité de suivi législatif est une aimable plaisanterie qui dure depuis dix ans, promise à jouer les prolongations. Même si » assurer le service après-vente n’intéresse pas
les élus » "
En substance, cet organe parlementaire n'a jamais été opérationnel.
C'est une cellule dormante.
Effectivement, l'accès à l'article complet est payant ( 1 EURO) dois-je vous l'offrir afin de renseigner PIM?
Pourquoi faut'il une carte?
Exactement , pour accéder aux comptes à partir d'un ordinateur.
@Grmff Le sinistré sera indemnisé par l'assurance ? Voous z'êtes devin ? Vous n'avez jamais rencontré de cas où ça fini au tribunal ? quelle chance vous avez dans la vie
La transposition de la Directive européenne 2015/849 par la loi du 18 septembre 2017 (« loi LBC ») précise à l'article 5, la liste des entités assujetties à l'obligation de déclaration UBO / KYC auprès des banques. Le texte de cette loi du 18 septembre 2017 (« loi LBC ») est ici :
https://www.ejustice.just.fgov.be/eli/l … 368/justel:
Voici un extrait de cet article 5 :
Art. 5.§ 1er. Les dispositions de la présente loi sont applicables aux entités assujetties suivantes, agissant dans l'exercice de leur activité professionnelle [6 réglementée]6 :
....
30° les agents immobiliers visés à l'article 2, 5° et 7°, de la loi du 11 février 2013 organisant la profession d'agent immobilier, qui sont inscrits au tableau [6 ou à la liste]6 [6 visés]6 à l'article 3 de la même loi ou au tableau [6 ou à la liste]6 [6 visés]6 à l'article 3 de la loi du 11 mai 2003 créant des conseils fédéraux des géomètres-experts;
A la demande de l’Institut des Professionnels de l'Immobilier belge, les ACPS indépendemment de leur taille et de leurs budgets, sont dispensées de toute formalité de déclaration UBO/KYC.
Les copropriétés ne figurent pas dans la liste des entités assujetties à l’article 5 du texte de la « loi LBC » sur le fondement de la motivation suivante :
" Suite aux éclairages de l’IPI notamment, le législateur a bien voulu constater que l’activité de gestion des parties communes d’immeubles ne présente aucun risque de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme. En effet, l’argent, destiné à l’entretien des parties communes et des frais communs, est versé par les copropriétaires sur un compte commun, dont le syndic est mandataire. De plus, le montant versé par chaque copropriétaire, destiné à couvrir sa part dans l’entretien des parties communes, dépasse rarement 500 euros par mois. Quant au risque de financement du terrorisme, il semble inexistant.
Pour ces raisons, il n’est plus apparu opportun au législateur de maintenir les syndics ( lire les ACPS) parmi les entités assujetties à la loi. Un projet de loi a été adopté en ce sens le 20 juillet 2017"
Source : IPI Mail 213 du 30/08/17
PS: Et je n'ai aucune question à ce sujet.
Réponse rapide , je lis"Je n'ai jamais évoqué cette hypothèse qui ne me concerne pas.
Le syndic a envoyé un entrepreneur pour enlever les derniers morceaux de plafond qui pendaient et auraient prévenu le courtier pour l'assurance de l'immeuble. Je n'en ai pas confirmation."
Mais bien sûr que si cela vous concerne , c'est comme avoir un ACCIDENT DE LA ROUTE avec une AUTO qui roule sans assurance.
Il est faux de croire que le syndic s'occuppe et déclare tous les sinistres, en particulier lorsque la cause est privative.
Contrairement à un accident routier, on a du mal en copropriété à savoir a) qui est le propriétaire et b) prouver ce qui s'est passé, et vous avez intérêt à considérer que ce qui s'est passé vous concerne au 1er chef
Je vous parle d'expérience...
PS: Etes-vous en présence d'infiltrations ou d'une inondation ? , la couverture est différente en fonction de la cause du sinistre
Chers,
Ce n'est pas une question d'opinion mais de réalités de terrain dont la prévalence n'est nullement susceptible d'une polémique.
Dans la vie en copropriété forcée, il faut avoir eu la chance d'avoir un bon courtier qui vous soutient et vous explique le "jeu des assurances et des syndics en copropriétés" pour ne pas se retrouver Gros-Jean comme devant, voir même condamné à indemniser l'auteur coupable du sinistre
Dans le post d'Aqueduc , je note que le sinistre est consécutif à des "travaux à la cuisine à l'étage supérieur" mais peux-être s'agit de travaux "au noir" ce qui expliquerait votre posture et mon manque de connaissance "du jeu des assurances", c'est possible vous avez finalement raison. Un grand merci pour la remarque et bonne journée à tous.
Que voulez-vous insinuer par " je ne suis pas convaincu que vous compreniez réellement le jeu des assurances" ?
J'ai témoigné sur ce forum en connaissant bien ce sujet.
Et il y a un article de loi très clair dans le code civil disant que "le syndic est seul responsable de sa gestion".
Je maintiens, que personne,sauf une décision d'AG peut contraindre un syndic à déclarer un sinistre s'il juge que ce n'est pas juste dans l'intérêt de la copropriété si la responsabilité est privative et qu'il ya le concours d'une autre assurance possible ou un procès pour trancher.
Je maintiens, que personne,sauf une décision d'AG peut contraindre un syndic à déclarer un sinistre s'il juge que ce n'est pas juste dans l'intérêt de la copropriété si la responsabilité est privative et qu'il ya le concours d'une autre assurance possible ou un procès pour trancher.
Voir aussi
https://forum.pim.be/topic-278308-syndi … age-1.html
Sur la base de mes expériences je confirme que :
1° toute déclaration est prise en compte dans la sinistralité de l'immeuble même si la compagnie n'a rien déboursé
2° Même si le responsable du sinistre est identifié ,
Pour nos contrats individuels, au-dela de 3 sinistres on est identifié comme un assuré à risque et la compagnie résilie le contrat.
Le concours de plusieurs polices d'assurances en copropriété est une réalité :
1° Les 2 polices payées par les copropriétaires pour le bâtiment et la PJ de l'ACP
2° L'assurance de l'ENTREPRENEUR qui fait des travaux à la cuisine de l'étage supérieur
3° L'assurance du LOCATAIRE qui a mis le feu accidentellement en fumant dans son lit
4° L'assurance de l'entreprise de nettoyage qui a laissé le sol mouillé et qq'un a lourdement chuté par accident
5° L'assurance de l'ascensoriste qui n'a pas eu de chance avec la chute mortelle de cabine ou l'AT de son personnel
6° L'assurance RC et vie privée du COPROPRIETAIRE qui a inondé l'étage inférieur ( machine qui déborde, joints sdb pas étanches, WC qui déborde parce que la canalisation a été obstruée par un jouet ou des lingettes...)
7° L'assurance protection juridique ARAG du COPROPRIETAIRE BAILLEUR qui n'étant pas un 'assureur indemnitaire" va rapidement aboutir à un procès au tribunal avec des avocats zélés payés pour débouter le copropriétaire de l'étage inférieur dont les plafonds sont tombés pour une cause dont l'ACP n'est nullement fautive.
Le syndic peut faire intervenir "l'assureur indemnitaire" évoqué au point 1°, mais nous savons que rien ne l'y oblige dès lors que l'ACP n'est nullement fautive.
Tous les assureurs sont d'accords avec cette politique "amiable" entre eux et même le copropriétaire disposant d'une super protection juridique DAS ou ARAG ou d'un super avocat spécialisé ne sait pas forcer l'intervention de l'assureur indemnitaire si une autre compagnie peut couvrir le sinistre.
Ai-je oublié qqchose ?
PS: Pour ces motifs, je ne suis donc pas d'accord avec la critique de M. V. E que j'ai trouvé trop "simpliste" et c'est la raison pour laquelle JE PENSE QUE les syndics sont facilement critiqués, comme dit Rexou, à tort et j'explique que la source de ce désamour provient d'un défaut d'information et de compréhension entre les usagers et les syndics
Justement, le "syndic" qui est en fait une grosse srl avec des "petites mains" n'a pas su donner le détail du montant qui fut donné pour la répartition des frais de chauffe.
L'on a découver ceci par suprise un peu tard :
En faisant l'addition des chiffres des décomptes, l'on arrive à 24.308,96 et pas 36.456,18 euros
Certes la dame qui vient de découvrir cette discordance de chiffres a un certain âge.
Les syndics les appelle "des vieilles folles" à l'image de ce vocable injurieux dont Rexou est coutumier sur PIM.
Je vais l'aider à rentrer les chiffres du décompte dans un tableur et s'il existe un joli "modèle" de fichier .XLS des syndics avec une entête et titres de colonnes déja prêtes pour que l'on n'ait plus qu'à remplir les colonnes, n'hésitez pas à partager, ça m'intéresse, pas vous ? D'avance un tout grand merci chaleureux à tous et bon WE, il fait beau chill Rexou chill
On m'a dit récemment que les avocats n'auraient plus accès au Registre National.
Selon mon expérience, dès lors que l'on prend la peine de s'identifier et de remplir et signer le formulaire justifiant la demande "pour usage en justice" jamais une commune refuse de donner l'adresse.
Ce n'est pas correcte ce que vous dites. Il y a une seul assurance RC Incendie qui intervient en copropriété, c'est celle de l'ACP. Cette assurance couvre les parties privatives et communes.
Le syndic va gérer le sinistre. Il va prendre ou faire prendre les mesures conservatoires, organiser la recherche de l'origine du sinistre si nécessaire, demander des devis pour la réparations des dégâts aux parties communes, demander aux copropriétaires des devis pour la réparation aux parties privatives et finalement organiser l'expertise avec la compagnie d’assurance pour déterminer l'indemnisation.
Ce n'est pas correct ce que vous dites.
Je pense que vous visiez un propos générique pour répondre au titre mais réducteur , à la gloire de la profession de syndic réputer s'occcupper de tout comme un concierge ou un directeur d'hotel, mais ce n'est pas la réalité.
Certes, le contrat d'assurance RC incendie de l'ACP couvre les parties communes et les parties communes à usage privatif comme les plafonds car ce sont des "éléments fixés à demeure".
Effectivement, l'intervention de cet "assureur indemnitaire" du bâtiment facilite la couverture du sinistre.
Mais ce n'est jamais le seul contrat d'assurance qui peut amiablement intervenir en copropriété pour l'indemnisation d'un sinistre.
Les syndics ne gèrent pas automatiquement tous les sinistres entre 2 lots, ce qui est le cas en l'espèce puisque les dégats auraient été causés par un entrepreneur qui a fait des travaux à la cuisine de l'étage supérieur,
Le syndic peut donc parfaitement ne pas vouloir impliquer l'assurance de la copropriété, contrairement à ce que vous publiez.
Et ce n'est certainement pas à vous et à Monsieur Eric Deckers que je vais faire la leçon à ce sujet
Le copropriétaire et le locataire sinistré aura tout intérêt à comprendre ce que vous n'expliquez pas car le délai légal de déclaration et d'indemnisation d'un sinistre passe souvent trop vite en pratique.
Lors du relevé annuel des calorimètres, le syndic fait également l'addition des factures d'énergie dont les copropriétaires ont fait l'avance pendant l'année.
Ce total des frais de chauffage est transmis par le syndic à ISTA/TECHEM.
Ensuite, le logiciel de cette société produit la répartition des dépenses à imputer à chaque lot en fonction des consommations relevées sur les calorimètres.
Qui a déja vérifié l'exactitude de ce montant que le syndic indique "manuellement" à Ista/Techem ?
Je constate avec étonnement que plusieurs commissaires aux comptes professionnels de métier ne vérifient pas l'addition du syndic.
C'est souvent un gros montant et l'on pourrait souhaiter que le contrôle s'opère en amont et pas à postériori car il est déplaisant d'avoir à refaire faire une répartition et les décomptes.
Chez vous à qui incombe cette vérification ? Le CAC, le CDC, les copropriétaires ?
Merci
une infiltration d'eau probablement due à des travaux effectués dans la cuisine de l'appartement situé au-dessus : en quoi ce cas d'espèce diffère du cas de l'inondation provenant du WC situé au-dessus ?
Dans la pratique, ce n'est pas tous les syndics qui impliquent l'assurance de la copropriété ( avec la sinistralité que cela entraine pour sa cliente ) lorsque la cause est "privative", mais vous bien ?
Il y a à la base le triangle la cause du sinistre, la victime des dégâts, et les assurances des deux protagonistes. Le syndic n'est concerné que si l'ACP a une part de responsabilité et je suis d'accord avec cette prémisse-là.
Je m'étonne franchement de l'implication exclusive du syndic !
Ce serait un dégat des eaux privatif suite à des travaux de cuisine à l'étage supérieur car je lis " infiltration d'eau probablement due à des travaux effectués dans la cuisine de l'appartement situé au-dessus."
Mais peux-être que le copropriétaire n'y habite pas et que le syndic aurait également la qualité de gestionnaire de l'appartement ?
Bonjour,
Qui peut préciser s'il est fréquent que le commissaire aux comptes dispose d'un accès on-line aux comptes bancaires de la copropriété et le cas échéant le déroulement de la formalité administrative avec la banque ?
D'avance merci