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bonjour!
Ma femme et moi avons acheté une maison en mars cette année.
J'aimerais me séparer de ma femme mais j'aimerais aussi garder la maison. Comment cela se passe? Que vais-je devoir payer comme frais sachant que j'ai bénéficié des droits d'enregistrements réduits? L'emprunt est fait en 50/50, vais-je devoir recheter la part de ma femme ou juste la moitié du capital qui a déjà été remboursé? Nous avons faits des travaux depuis notre emménagement, vais-je devoir rembourser la moitié à ma femme? Quid pour le contenu de la maison également sachant que la majorité des factures de meubles sont à mon nom et achetés avant mariage (contrat mariage régime communauté)?
Merci de m'éclairer...
On prend la valeur actuelle du bien ( via un expert par exemple ) , vous retirer de cette valeur le capital restant dû du credit hypothecaire. L'époux qui reprend l'immeuble versera à l'autre la moitié de cette valeur ( droit d'enregistrement de 1% sur le tout) et supportera seul les charges du crédit hypothécaire pour autant que l'insitution financière marque son accord.
Les biens meubles sont communs ( régime de la communauté ) sauf si vous les avez achetez avec des fonds propres acquis avant le mariage.
Bien à vous.
Il est impératif de prévoir une clause de remploi dans l'acte d'achat.
Détails à ce sujet ici

C'est bien ce que je pensais.
Merci à vous
Si une personne est mariée sous le régime de la communauté ou si cette personne n'a pas fait de contrat de mariage et qu'elle achète un bien immobilier après son mariage avec son argent personnel économisé avant le mariage ; est ce que ce bien est personnel ou commun ?
Bien à vous.
Pour moi il est personnel mais j'veux avoir confirmation.
kaplan a écrit : Vous avez achetez le bien dans l'état où il se trouve.
c'est de la location...
oups sorry 
Vous avez achetez le bien dans l'état où il se trouve.
Il n'y avait pas de machine à laver ; c'est dommage pour vous.
Vous pouvez demander à votre proprio d'intrevenir dans les frais mais il y a fort à parier qu'il refuse ( il en a parfaitement le droit ).
Bien à vous.
Nouveaux développements dans la législation
Suite à de récents développements aux niveaux politique et juridique, notamment une décision de la Cour d'arbitrage, la perpétuation d'une infraction urbanistique n'est pas automatiquement répréhensible. Avant, l'infraction subsistait aussi longtemps que les travaux non autorisés demeuraient. Le délai de prescription est de cinq ans. Si dans cette période, le cours de la prescription est interrompu, par un procès-verbal par exemple, un nouveau délai de cinq ans commence à courir. Le délai maximum de prescription est donc de dix ans. La perpétuation demeure toutefois répréhensible (et il n'y a donc pas de prescription) lorsque les travaux ou constructions non autorisés se situent dans des zones sensibles (zones naturelles, zones forestières, zones agricoles à valeur ou intérêt écologique, etc.), occasionnent un désagrément urbanistique inacceptable pour les voisins ou constituent une infraction grave aux prescriptions essentielles d'affectation.
Par conséquent, il a été mis fin à une période de grande incertitude et les propriétaires d'un bâtiment traînant une ancienne infraction urbanistique bénéficient maintenant d'une certaine sécurité juridique. Étant donné que non seulement le fait de commettre une infraction urbanistique, mais aussi la perpétuation de celle-ci constitue un délit, l'infraction demeurait aussi longtemps que le bâtiment restait en place. Cette situation était particulièrement pénible pour les personnes qui avaient acheté sans le savoir une maison construite en infraction des prescriptions urbanistiques. En dépit de leur bonne foi, ces personnes risquaient encore, trente années plus tard, d'être condamnées à la démolition de leur bien.
Quoi qu’il en soit, vous avez toujours intérêt à vérifier auprès du service technique de votre commune si votre habitation est grevée d'une infraction d'urbanisme, si celle-ci est prescrite ou si elle peut être régularisée
article paru dans livios.
Lorsqu'un défunt laisse des descendants, le conjoint survivant recueille tout l'immeuble en usufruit. En d'autres termes, le descendant recueille le bien en totalité en nu-propriété.
Moi j'dirais plutôt que le descendant recueille la NP de la part du défunt mais pas la totalité de la NP (?) car le conjoint survivant possède tant l' US que la NP de sa part + l' US de la part du défunt (!)
Le conjoint survivant à bien l'US du bien en totalité MAIS le descendant n'a que la NP de la part du défunt.
Je suis d'accord avec grmff sauf si votre père et votre mère n'étaient pas marié alors vous êtes bien à mon avis propriétaire de la moitié de la maison.
A vérifier quand même.
Pour ma part je suis d'avis avec sceptiqueconvaincu , il y a eu bien vente et les droits d'enregistrement sont bien dû dans les 4 mois de la signature du compromis .
Il faudra par la suite demander en justice l'annulation de la vente car le contrat était vicié dès le départ et donc les 4 points que j'énoncais au départ sont d'actualités.
Bien à vous tous.
Ce compromis ne me concerne pas mais mon frère .
Le bien mis en vente était mis en vente par une agence immobilière bruxelloise qui n'a pas fait les recherches adéquates concernant l'affectation urbanistique et qui a donc vendu un bureau en logement.
Pour ma part , je persiste à dire que mes 4 points sont valables ( mais je peux me tromper )et j'aimerais avoir le point de vue des autres intervenants du forum.
Bien à vous.
NON
la vente ne doit pas se faire car il y a erreur sur la chose.kaplan a écrit : A mon avis il devra :1/ Payer les droits d'enregistrement
2/ Demander l'annulation de la vente en justice.
3/ Demander la restitution des droits d'enregistrement
4/ Reclamer l'indemnité stipulée dans le compromis en cas de non signature de l'acte authentique soit 10% du prix de vente.Est ce que cela vou paraît correcte?
A mon avis le fait que le contrat soit vicié n'empêche pas le payement des droits d'entegistrement et les 4 points que j'ai mentionnés sont à mon avis la procédure à suivre.
GRMFF et PIM 
A mon avis il devra :
1/ Payer les droits d'enregistrement
2/ Demander l'annulation de la vente en justice.
3/ Demander la restitution des droits d'enregistrement
4/ Reclamer l'indemnité stipulée dans le compromis en cas de non signature de l'acte authentique soit 10% du prix de vente.
Est ce que cela vou paraît correcte?
Mon frère vient de signer un compromis de vente pour un studio en sous sol à bruxelles or en faisant mes recherches de mon côté je me suis apercu qu'il venait d'acheter un bureau ( dixit l'urbanisme de la commmune ).
Question 1/ Doit il quand même payer les droits d'enregistrements?
Question 2/ Peut il réclamer des dommages et interets car il ne poura pas signer l'acte authentique à cause de vendeurs?
PS: La commune refuse le changement d'affectation .
une cave ne doit pas répondre à mon avis à des normes de salubrité .
comprend rien non plus 
Des volets qui modifient les quotités?
merci pour la réponse fouillée.
Si une persone possède un BRP dont une partie est affectée à l'execice d'une activité professionnel , est ce que :
1/ ce bail bénéficie de la gratuité de l'enregistrement.
2/ le locataire peut partir sans prévis ni indemnité si ce bail n'est pas enregistré.
A mon avis non mais je voudrais avoir confirmation.
bien à vous.
Paru sur le site Livios.be :
Imbroglio autour du contrôle de conformité des installations électriques dans les anciennes habitations - 04/09/2007
Les statistiques montrent que les installations électriques défaillantes sont responsables de 15% des cas d’incendie dans notre pays. Le contrôle de conformité obligatoire de l’installation électrique lors de la vente d’une habitation qui a été construite avant 1981 prendra cours au 1er janvier 2008. La troisième fois c’est la bonne. Le contrôle de conformité avait d’abord été prévu pour le 1er janvier 2007, puis reporté au mois de juillet de cette année, pour finalement entrer en vigueur en juillet 2008. On en perdrait son latin pour moins que ça. Posez seulement la question à la RTBf ou au numéro vert flamand Infolijn.
Au numéro vert flamand Infolijn (1700), ils savent avec certitude que la règle est entrée en vigueur au 1er juillet 2007. Et si vous posez la question à quelques notaires, ils ne sont pas vraiment au courant. Au Vlaams Elektro Innovatiecentrum (VEI), ils semblent mieux informés: 1er juillet 2008. “Cet imbroglio tient au fait que la RTBf a diffusé une information incorrecte. Il s’agit effectivement du 1er juillet 2008. Le Ministre de l’Energie, Marc Verwilghen, a modifié l’AR existant le 10 juin dernier. Il est vraisemblable que la RTBf a annoncé que le contrôle de conformité prenait cours au 1er juillet 2007. D’où la confusion,” suppose Paul De Potter du VEI.
RGIE
Le report constitue une bonne nouvelle pour toute personne désireuse de vendre ou céder sa maison ou son appartement. Les instances de contrôle réagissent moins positivement à cette décision, elles qui avaient engagé du personnel supplémentaire.
Mais quid du certificat ? Sans certificat, la vente sera impossible, car le notaire ne peut pas passer l’acte. De cette manière, le législateur espère améliorer la sécurité des anciennes installations électriques. A l’origine, il avait été décidé que le nouvel AR entrerait en vigueur au 1er janvier, mais ceci fut reporté au 1er juillet.
L’année 1981 n’a pas été choisie au hasard. Il s’agit précisément de l’année d’entrée en vigueur du RGIE, le Règlement Général sur les Installations Electriques. Depuis cette date, les propriétaires de nouvelles habitations ne peuvent obtenir un raccordement électrique que s’ils peuvent produire un rapport de contrôle établi par un organisme agréé qui atteste que toutes les prescriptions du RGIE ont été respectées.
Incendie dans les habitations
Pour les habitations existantes bâties avant 1981, il n’existait aucune obligation de se conformer au RGIE. Le contrôle de conformité réalisé par un organisme agréé n’était obligatoire que dans le cas d’un renforcement de la puissance de raccordement ou d’une extension d’une installation électrique existante. Autrement dit, certaines maisons construites il y a plusieurs dizaines d’années et où aucune extension ni aucun renforcement n’avait été demandé ne devaient donc pas satisfaire au RGIE. Pourtant, parmi ces maisons il y en a beaucoup où l’installation est totalement désuète et donc plus du tout sûre. Un risque qu’il ne faut pas sous-estimer. Les statistiques révèlent qu’une installation électrique défaillante est responsable de 15% de tous les cas d’incendie dans les habitations en Belgique.
Pour remédier à cela, le gouvernement fédéral a donc décidé que désormais l’habitation ne peut être vendue si le vendeur n’est pas en mesure de produire un certificat de contrôle de conformité d’un organisme agréé. Il incombe donc au vendeur de demander ce certificat. Un rapport de contrôle coûte environ 120 EUR. L’AR précise également que l’installation doit être soumise à un contrôle tous les 25 ans.
Disposition étonnante
Etonnement, la législation indique que le rapport de contrôle peut être négatif ou positif. Autrement dit, si le vendeur fournit au notaire un rapport où il est indiqué que son installation électrique ne satisfait pas au RGIE, tout est en ordre aux yeux du nouvel AR. Du moment que le vendeur peut produire un certificat (positif ou négatif), l’habitation peut changer de propriétaire, même si celle-ci est équipée d’une installation électrique défectueuse. Nous pensons que cette disposition est assez étrange.
De plus, une part importante des habitations n’est pas concernée par cette réglementation. Toute habitation bâtie avant 1981 où aucune extension ni aucun renforcement n’a été demandé et qui n’a pas changé de propriétaire ne doit donc répondre à aucune prescription de sécurité. Et c’est pourtant dans ce segment de logements que se trouve le plus grand nombre d’installations électriques dangereuses.
J'avais lu ça aussi, mais comment faut-il justifier ces travaux?
Je compte juste repeindre les murs et remplacer le vinyl au sol dans une chambre, tout ça moi-même. Je ne fais appel à aucun corps de métier.
Vous n'allez quand même pas faire appel à un prêt hypothécaire pour poser du vinyl dans une chambre et repeindre les murs?

Bien à vous.