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max11 a écrit :baloo a écrit :Bonjour,
Pour m’être posé la question, j’ai un peu creusé le sujet et j’en avais retenu que si rien n’est spécifié dans le bail, l’usage veut que les frais sont partagés.
Quelles sont les charges que le locataire doit payer?
JE SUIS LOCATAIRE
Isabelle Dykmans
01 janvier 2020 00:00
Les charges se répartissent traditionnellement entre le locataire et le propriétaire selon leur nature. Leur répartition doit être clarifiée dans le bail.
©Filip Ysenbaert
Les frais et les charges locatives couvrent l'ensemble des dépenses relatives aux parties communes d'un immeuble et aux services dont peuvent jouir les locataires, ainsi que les consommations (d'eau et d'énergie) que le propriétaire paie. Les parties sont totalement libres de choisir la répartition qu'ils désirent. Si rien n'est prévu, les charges seront réparties selon leur nature. Sauf convention contraire, les frais et les charges relatifs à la propriété sont à charge du bailleur, tandis que ceux qui concernent l'usage et la jouissance des lieux loués incombent au locataire.
…/…
À charge du locataire et du propriétaire
Étant donné qu'il est difficile de déterminer qui, du locataire ou du bailleur, "profite" le plus des services du syndic, il est fréquent que ces frais soient répartis à parts égales entre les deux parties. Mais le contrat de bail peut tout aussi bien prévoir que les frais de syndic sont à la charge exclusive du locataire ou du bailleur. Mieux vaut déterminer explicitement ce point dans le contrat de bail.RÉSUMÉ
Les parties sont totalement libres de choisir la répartition qu'ils désirent. Si rien n'est prévu, les charges seront réparties selon leur nature. En principe, les frais et les charges relatifs à la propriété sont à charge du bailleur, tandis que ceux qui concernent l'usage et la jouissance des lieux loués incombent au locataire.
…/…
Étant donné qu'il est difficile de déterminer qui, du locataire ou du bailleur, "profite" le plus des services du syndic, il est fréquent que ces frais soient répartis à parts égales entre les deux parties.
Source: MonArgent
D’autres sources ne mentionnent rien d’autres :
Qui paye le syndic d’immeuble ?
Quels frais sont à charge du locataire en Belgique ?max11 a écrit :Bonjour,
Un article (sans aucune référence) d'une journaliste et vous en déduisez que "l'usage veut que....". C'est un peu léger....
Il suffit de cliquer sur le lien (en bleu) ;-) ou lire ce qui est en rouge et vous avez la source
Il s'agit d'un article de l'Echo et l'autre de Immo...b
Le dernier lien renvoie vers Larcier-Intersentia.
Ca vaut ce que ca vaut ou ce que vous pensez que ca vaut. Rien de plus. Ca vous va ?
Je n'ai rien déduit. Je précise juste ce que j'en avais retenu...
Mais bon... c'est parfois à avoir peur de prendre sa plume pour ne pas prendre une décharge de chevrotines en retour...
"Si rien n'est précisé dans le bail... " Quels sont les baux qui ne précisent rien ?
Ma modeste contribution concerne évidement exclusivement les bailleurs ou locataires qui sont confrontés à un bail qui ne précise rien ;-) pas ceux qui comme nous utilisent le bail PIM pour qui la question posée (et la tentative de réponse) n'a absolument aucun intérêt :-)
Idem...
Bonjour,
Pour m’être posé la question, j’ai un peu creusé le sujet et j’en avais retenu que si rien n’est spécifié dans le bail, l’usage veut que les frais sont partagés.
Quelles sont les charges que le locataire doit payer?
JE SUIS LOCATAIRE
Isabelle Dykmans
01 janvier 2020 00:00
Les charges se répartissent traditionnellement entre le locataire et le propriétaire selon leur nature. Leur répartition doit être clarifiée dans le bail.
©Filip Ysenbaert
Les frais et les charges locatives couvrent l'ensemble des dépenses relatives aux parties communes d'un immeuble et aux services dont peuvent jouir les locataires, ainsi que les consommations (d'eau et d'énergie) que le propriétaire paie. Les parties sont totalement libres de choisir la répartition qu'ils désirent. Si rien n'est prévu, les charges seront réparties selon leur nature. Sauf convention contraire, les frais et les charges relatifs à la propriété sont à charge du bailleur, tandis que ceux qui concernent l'usage et la jouissance des lieux loués incombent au locataire.
…/…
À charge du locataire et du propriétaire
Étant donné qu'il est difficile de déterminer qui, du locataire ou du bailleur, "profite" le plus des services du syndic, il est fréquent que ces frais soient répartis à parts égales entre les deux parties. Mais le contrat de bail peut tout aussi bien prévoir que les frais de syndic sont à la charge exclusive du locataire ou du bailleur. Mieux vaut déterminer explicitement ce point dans le contrat de bail.
RÉSUMÉ
Les parties sont totalement libres de choisir la répartition qu'ils désirent. Si rien n'est prévu, les charges seront réparties selon leur nature. En principe, les frais et les charges relatifs à la propriété sont à charge du bailleur, tandis que ceux qui concernent l'usage et la jouissance des lieux loués incombent au locataire.
…/…
Étant donné qu'il est difficile de déterminer qui, du locataire ou du bailleur, "profite" le plus des services du syndic, il est fréquent que ces frais soient répartis à parts égales entre les deux parties.
Source: MonArgent
D’autres sources ne mentionnent rien d’autres :
Qui paye le syndic d’immeuble ?
Quels frais sont à charge du locataire en Belgique ?
grmff a écrit :Vous pouvez ester en justice pour demander un paiement du loyer à temps et à heure. Le juge vous donnera raison. Il imposera au locataire le paiement à temps et à heure, mais sans doute sans sanction.
Vous pourrez alors suggérer que, comme le locataire paie le dernier jour du mois, c'est qu'il paie avec un mois de retard systématiquement. En fait, il paie son loyer du mois avec la paie de fin de mois, et non avec la paie du mois précédent. Et donc, suggérer un plan d'apurement du loyer en retard en 10 mois, avec un maximum de 2 retard de cette part d'apurement, et à défaut pouvoir considérer que le bail est cassé.
Je ne dis pas que le juge vous suivra, mais c'est ce que je proposerais. Vous pouvez aussi demander de renvoyer au rôle après ce jugement pour le surplus...
Merci beaucoup. Ceci me semble une excellente suggestion et permettra de mettre les chose au clair.
Je reviens vous raconter la suite... Le loyer de décembre a été versé le... 29/12/2022.
La requête a toutefois été déposée le 30/12/2022.
Un pli judiciaire avec la convocation devant le juge de paix est arrivé le 04/01/2023 et miracle ! : le loyer de janvier a été versé le lendemain...
Je me suis quand même rendu devant le juge à l'audience fixée du 20/01.
Vu qu'il n'y a avait plus de retard de paiement du loyer le jour de l'audience, le juge m'a évidement recalé, notamment en me reprochant ouvertement de ne pas avoir tenté la conciliation au préalable (?!?)... J'ai parfois l'impression que lorsque l'on est pas avocat, l'attitude du juge est un peu déroutante sur différents aspects... Conciliation avec un locataire qui ne répond pas au téléphone, ni aux mails, ni aux courriers, ni aux sms ?
Enfin le message est passé : Pas de soucis pour vous monsieur le locataire du moment que vous n'avez pas plus d'un mois et 1 jour de retard de paiement. Au pire, payez votre loyer le jour de l'audience et tout ira bien.
Et vous monsieur le bailleur, faites-vous assister d'un avocat, vous gagnerez du temps...
Enfin il restait encore un retard de paiement du décompte de charge de 2021 réclamé depuis mars 2022 par recommandé AR... et pour une fois retiré.
Comme le locataire jurait ne rien avoir reçu, je n'ai pu comme le juge que constater la mauvaise foi du locataire à qui j'ai soumis l'accusé de réception signé de sa main.
Le locataire a tout de même payé son décompte sur le champ sur injonction du juge, mais il n'a pas été possible de connaitre les raisons pour lesquelles la date de versement du loyer était choisie au petit bonheur la chance par le locataire.
Le juge n'a pas été très clair sur qui allait supporter les indemnités de procédures... La salle était déserte ce jour là, à 09h30 la messe était dite...
Certains Syndic convoquent leur ouailles à 17h00 pour prises des présences à partir de 16h30.
N’est-ce pas à considérer comme étant un peu tôt, surtout si l’on vient de la province et qu’on a la chance d’avoir un boulot, ou suis-je encore de la vieille école ?
Je comprends que es syndic ont aussi droit à une vie de famille, mais les copropriétaires ont droit à pouvoir participer, même éventuellement à distance…
Quel est l’usage ?
Merci d'avance pour vos expériences et réactions.
Bonjour,
Oui mais, quid des baux non enregistrés ?
Je sais, c'est obligatoire. Mais à supposer que l'on n'enregistre pas le bail ? On s'expose à des amendes, on ne peut pas indexer, le preneur peut déguerpir sans coup férir, etc. Mais l'administration n'aura pas connaissance non plus d'un bail. Alors on pourrait se tourner vers la taxe maison non occupée avec un montant par mètre de façade comme dans beaucoup de communes.Vos avis ?
J'ai bien ma petite idée la dessus...
Imaginons par exemple que tout locataire pourrait obtenir un abattement symbolique d'une partie de son loyer...
Faute de bail enregistré retrouvé par l'administration, les parties devraient se justifier...
Les documents sont envoyés, le chrono est lancé: dans combien de temps vais-je recevoir mes sous?
Si je voulais être rigolo, comme je lis parfois, je demanderais... la région concernée
?
Sinon, j'ouvre les paris pour un remboursement avant le 15/12 ?
C'est à en pleurer...
Vous pouvez ester en justice pour demander un paiement du loyer à temps et à heure. Le juge vous donnera raison. Il imposera au locataire le paiement à temps et à heure, mais sans doute sans sanction.
Vous pourrez alors suggérer que, comme le locataire paie le dernier jour du mois, c'est qu'il paie avec un mois de retard systématiquement. En fait, il paie son loyer du mois avec la paie de fin de mois, et non avec la paie du mois précédent. Et donc, suggérer un plan d'apurement du loyer en retard en 10 mois, avec un maximum de 2 retard de cette part d'apurement, et à défaut pouvoir considérer que le bail est cassé.
Je ne dis pas que le juge vous suivra, mais c'est ce que je proposerais. Vous pouvez aussi demander de renvoyer au rôle après ce jugement pour le surplus...
Merci beaucoup. Ceci me semble une excellente suggestion et permettra de mettre les chose au clair.
PIM a écrit :Si bail pour RW: moratoire expulsions...
Toujours pas d'information concernant le Région dans laquelle est situé le bien donné en location
C'est effectivement en RW, mais la région n' a à mon avis aucune incidence sur le sujet de mon post - nécessité de faire un rappel au locataire avant le dépôt d'une requête - sauf l'aboutissement de celle-ci en fonction des moratoires en vigueur ou pas...
Merci pour vos contributions respectives.
loyer versé le 29/11/2022...
Mais je ne pense pas qu'un juge cassera un bail pour moins d'un mois de retard...
Si pas versé le 01/12, il y a aura bien 2 mois de retard. Au moment où l'affaire sera fixée, il n'est pas certain que décembre sera déjà versé...
Il serait aussi bon de savoir si c'est une difficulté temporaire -comme beaucoup de gens en connaissent maintenant- ou si c'est de la mauvaise volonté
Lors du confinement de 2020, ce locataire a reçu à sa demande des facilités pour limiter son loyer pendant 3 mois et rembourser ensuite sur 12 mensualités... les 3 mois sont devenus 4 de façon unilatérale. Tout a été remboursé mais sur une durée plus longue qu'initialement prévue.
Ces derniers mois, je n'ai reçu aucun message indiquant une quelconque difficulté du locataire.
Il y a aussi des spécialistes qui vivent très consciemment au dessus de leurs moyens... et d'autres qui ne sont pas doué pour gerer un budget, même confortable...
En Janvier 2023 l'indexation va faire encore faire bondir le loyer d'environ 10% même si j'ai bien l'impression que les retards de paiement soit plus de la mauvaise volonté qu'autre chose...
Bail de quelle durée ? Date de prise d'effet ?
Bail de courte durée ayant pris effet le 01/01/2018 devenu un bail de 9 ans
Pratiquement, quel est son retard?
Voici pour illustrer la situation. La droite en pointillé est la tendance calculée.
Loyer de septembre payé le 24 octobre.
loyer de novembre pas encore versé...
Et si votre locataire a régularisé sa situation entre le dépôt de votre requête et la date de la comparution, vous aurez perdu du temps, de l'argent et de l'énergie pour peu de choses. Cela aura seulement le mérite de lui faire savoir que vous réagissez et qu'il serait préférable d'éviter la répétition des retards futurs.
Ce n'est pas la première fois que nous nous retrouverions devant le juge de paix...
J'ai retrouvé tous mes baux depuis 2007, mais j'en ai moins que 50...
Donc le nettoyage ne semble pas directement lié à la date d'enregistrement...
Bonjour,
Ce locataire dont je compte me séparer dès que possible prend quelques libertés quant à la date de paiement de son loyer.
De très nombreux rappels ont déjà été fait pour les échéances précédentes et la date de paiement est de plus en plus tardive.
Je ne trouve pas normal de devoir faire systématiquement un rappel par SMS tous les mois dont j’ai gardé les traces.
Les recommandés ne sont pas retirés à la poste…
Je compte donc introduire une requête devant le juge de paix après 1 mois et 1 jour de retard.
En revanche j’estime avoir assez fait de rappels pour m’en passer dorénavant.
Le juge pourrait-il retenir contre moi le fait que je n’ai pas fait de rappel de paiement de son loyer au locataire avant d'introduire ma requête ?
Avez-vous interrogé la banque afin de savoir si elle serait d'accord d'accepter de libérer votre garantie en présence du nouveau propriétaire qui justifierait d'un titre de propriété qui pourrait clairement être associé à la description du bien dans votre bail ?
Il me semble que j'ai déjà été dans ce cas comme bailleur et la banque s'était exécutée sans difficultés.
Bonjour,
J'ai trouvé cet article intéressant paru dans l'Echo du 10/11/2022
https://www.lecho.be/monargent/analyse/ … 22623.html
Ewa Kuczynski
10 novembre 2022 16:40
À Bruxelles, le gouvernement a marqué son accord pour la mise en place d’un droit de préférence pour les locataires d’un logement mis en vente.
Si vous êtes propriétaire d’un logement à Bruxelles, actuellement occupé par un locataire, et que vous envisagez prochainement de le vendre, vous serez concerné par cette réglementation.
En Région bruxelloise, le Plan d’urgence au logement 2020-2024 de la secrétaire d’État Nawal Ben Hamou (PS) prévoit la mise en place d’un droit de préférence pour le locataire lorsque son logement est mis en vente, sans que cela puisse entraver la vente du bien.
En quoi ce mécanisme consiste-t-il, et quelles en sont les modalités?
Prioriser le locataire
Si vous êtes propriétaire à Bruxelles d’un logement actuellement occupé par un locataire et que vous envisagez de le vendre, vous serez concerné par cette réglementation.
Le locataire disposera d’un délai de trente jours pour accepter l’offre du bailleur.
Inspirée d’une règle appliquée en France depuis 1989, cette action prévoit que tout propriétaire qui souhaite vendre un bien, même avec son bail, ne pourrait le faire qu’après avoir proposé le bien au locataire. Dans ce cas, le locataire disposera d’un délai de trente jours pour accepter l’offre du bailleur. En d’autres termes, "le locataire sera préféré à toute autre personne qui se montrerait intéressée à l’achat du bien. Ceci ayant pour unique intérêt de laisser le locataire dans les lieux", explique Joëlle Maison (DéFi) avocate et députée bruxelloise, qui fait également partie de la commission logement du Parlement bruxellois.
En pratique?
Le propriétaire devra préalablement informer son locataire de sa décision de vendre son bien - par courrier recommandé avec accusé de réception - en mentionnant le prix et des conditions de la vente projetée et du droit de préférence dont il dispose.
Les notaires et les agents immobiliers auront l’obligation de s’assurer que le locataire du bien initialement loué a bien été prévenu.
Le locataire disposera d’un délai de 30 jours pour répondre favorablement ou non à l'offre de vente.
Les conditions
Ce droit de préférence s’appliquera uniquement aux logements non meublés, qui font l’objet d’un bail de résidence principale de longue durée. Le locataire devra également y être domicilié.
Ce droit de préférence ne s’appliquera donc pas:
Aux baux de courte durée, soit ceux conclus pour une durée inférieure ou égale à trois ans
Aux logements qui font l’objet d’une sous-location, d’une colocation ou d’un bail de logement étudiant
Lorsque la vente se fait entre membres d’une même famille, à savoir entre parents, alliés ou cohabitants jusqu’au 3e degré inclus
Lorsque la vente concerne un immeuble à logements multiples ou un immeuble mixte occupé par plusieurs locataires différents et qui serait vendu en un lot
Lorsque la vente est réalisée dans le cadre d’une fusion ou une liquidation de société, ou afin de constituer un apport en société
Lorsque qu’il s’agit d’une vente de nue-propriété, d’usufruit ou d’autres droits réels, ainsi que les ventes en viager
Lorsque la vente concerne un logement situé dans un périmètre de préemption et que le pouvoir public fait effectivement usage de son droit de préemption.
Quid si le locataire décline l’offre?
En cas de refus du locataire ou d’absence de réponse dans les délais impartis, le propriétaire pourra proposer la vente en vente publique ou à l’acquéreur de son choix.
Si le bien est finalement proposé à un prix ou à des conditions plus favorables à un autre acquéreur, le propriétaire ou son notaire devra le notifier au locataire qui disposera d’un délai de six jours pour exercer son droit de préférence.
Quid si le propriétaire ne respecte pas le droit de préférence?
En cas de non-respect du droit de préférence, le locataire lésé disposera d’un délai d’un an pour annuler la vente faite à un tiers et acquérir le bien concerné.
Quand cela entrera-t-il en vigueur?
Le projet d’ordonnance sera soumis à l’avis du Conseil d’État et repassera ensuite en seconde lecture au Conseil des Ministres avant d’être transmis au Parlement bruxellois. Il pourrait entrer en vigueur au printemps 2023.
Votre vente pourrait-elle se compliquer?
Cette modalité est loin de séduire toutes les parties, qui estiment que les ventes n’en seraient que compliquées. En outre, l’échéance laissée au locataire serait inadéquate: la plupart du temps, les délais pour l’obtention d’un financement sont plus longs.
"Cela posera problème au locataire, mais aussi à l’acheteur. S'il signe un compromis avec une clause, sous réserve de l’exercice du droit de préférence par le locataire occupant, il sera systématiquement bloqué", explique Eric Mathay, président du SNPC.
Olivier Dubuisson, notaire, corrobore ces propos. Cette procédure retardera les transactions et causerait des tracas administratifs. "Ce sera un problème pour l’acquéreur qui va devoir introduire son dossier auprès d’une banque par exemple (...) Dans le cadre de notre profession, nous allons également devoir vérifier que tout a été fait dans les règles de l’art, que l’avis de vente a été notifié au locataire et qu’il a reçu une offre, pour ne pas craindre de retour de manivelle du locataire. Ce qui ajoutera à la complexité."
Après tout, ce vendeur est le plus susceptible d'être motivé pour vous aider à obtenir votre prêt... Il sera sans doute très à l'écoute de votre souci de respecter les délais ! Il pourra aussi s'il est personnellement présent, répondre aux éventuelles questions de l'expert, et se rassurer quant à la bonne impression que son bien aura laissé à ce dernier...
Est-ce bien aussi le cas dans le cas d'une vente publique (enchère remporté) ?
Je crains que non...
Bonjour,
A ma connaissance, le RGIE(Règlement général sur les Installations électriques) n'est pas (encore) régionalisé.
Si le certificat de conformité est encore valable, ceci veut dire qu'il a été délivré postérieurement à 1997.
Ce que je peux dire, c'est que j'ai obtenu un certificat en 1999 et que celui-ci comprenait la fourniture obligatoire d'un schéma unifilaire.
Donc, il y a fort à penser que ce schéma doit exister.
Mais comme le dit PIM, peu importe que l'installation soit conforme ou pas du moment que l'acheteur en est informé.
Personellement, si il n'y a pas de carence locative, je fais signer le document de transfert des energies lors de l'état des lieux successifs et je remets ensuite une des 2 copies à chacun et j'en garde une pour moi.
Le document classique est ici
Aucun intérêt de demander copie nouveau contrat selon moi.
Pour l'eau le site de la swde est assez bien documenté
https://www.swde.be/fr/que-faire-lorsqu … e-dadresse
