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Si c'est en région bruxelloise, les expulsions sont interdites jusqu'au 31 aout, si les autorités ne prolongent pas encore...
Cadeau de Nawal Ben Hamou, secrétaire d’Etat au Logement à ses électeurs.
Le point n'a pas été validé suite à son refus de quelques points. Sans son vote ca passe...
Je n'ai pas encore vu le pv. Je tente d'aider mes parents.
Bonjour,
Lors d'une AG pour une copro en Flandre, un copropriétaire est parti avant la fin.
Il s'est levé, a dit qu'il devait partir, et dit que pour le point 10 il vote contre.
Le point n'avait pas encore été discuté, on en était au point 8, et il n'a donné aucune procuration.
Est-ce que son vote doit être pris en considération pour le point 10, ou alors les quotités doivent-être recalculées, en considérant ce propriétaire comme absent.
Je l'ai eu un peu en travers de la gorge car ce nouveau copro s'est permis de monopoliser l'AG pendant les 3/4 du temps pour un point qui pour lui était important, et quand enfin il a eu satisfaction, il part, pour voter contre un point que la copro discute et souhaite depuis 10 ans...
Merci d'avance pour votre retour d'expérience,
Bàv
Bonjour à tous,
Excusez moi pour le retour tardif mais WE chargé...
Je ne pensais pas que ce sujet allait intéresser tant de monde aussi.
Je vais tenter de faire une réponse groupée.
En ce qui concerne la démission du syndic j'ai vérifié le contrat et il y est stipulé que :
"Le contrat est conclu pour une durée de un an. Le mandat se renouvellera chaque année, par décision de l'Assemblée Générale, pour la même durée. Il pourra être résilié, de part et d'autre par lettre recommandée, trois mois après une décision prise lors dune assemblée générale ordinaire ou extraordinaire. Le présent contrat est incessible sans un accord mutuel, constaté par écrit."
Ca, c'est la version contractuelle de l'offre que nous avions reçu avant de signer.
Ce qu'on a signé est légèrement différent :
"Le contrat est conclu pour une durée de un an. Le mandat se renouvellera chaque année, par décision de l'Assemblée Générale, pour la même durée. Il pourra être résilié, de part et d'autre, moyennement un préavis de 2 mois. Dans tous les cas de rupture du présent contrat, le syndic s'engage à faire le nécessaire pour que le transfert du dossier soit fait suivant les modalités de l'article 577-8, &4, 9°, C.civ."
Le préavis est donc de deux mois.
Remarque : Les différences entre le contrat proposé et le contrat signé sont nombreuses (je viens de le découvrir). Je trouve ça vraiment limite de leur part, mais plus rien ne m'étonne avec cette corporation.
Pour les 17 jours, comme GT ou panchito l'ont indiqué, c'est très limite pour se retourner.
Il n'y a pas d'avocat ou de médecin dans notre immeuble. Je dirais qu'on est de la classe moyenne inférieur. Beaucoup d'étranger qui ne parle pas forcément bien la langue, et surtout, c'est des sujets qui les dépassent et ne les intéressent pas.
L'année passée, il y a même personne qui s'est présenté au conseil de copropriété, ni même un vérificateur aux comptes.
Moi j'ai plus que donné pour cette copro, et vu que je suis en recherche active d'un autre logement, je ne souhaite pas et ne veux plus m'investir.
Heureusement cette année, il y a un gars qui prend les choses en mains et à qui j'ai proposé mon aide pour avancer malgré tout, mais lui comme moi, on travaille, faut qu'on se rencontre pour établir un plan d'action, qu'on convoque des syndics, qu'on les rencontre, qu'on reçoivent leurs offres, qu'on les analyses, qu'on fassent un tableau comparatif, qu'on les présentes au copro avant l'AGE, et tout cela en travaillant, et tous les autres trucs qu'on a sur le côté, donc c'est pas évident et vraiment juste.
Après je suis d'accord avec grmff aussi. Ca sert à rien de continuer avec ce syndic à partir du moment où il veut arrêter la relation contractuelle.
Par contre, si je peux lui sortir un petit texte de loi qui dirait que ce qu'il fait n'est pas juste (et je précise que ce n'est pas un petit bureau mais ils sont au moins 15), ça me soulagerait un peu.
Avant eux on a eu deux syndics qui nous ont mis dans une situation très délicate, et ça fait maintenant 3 ans qu'ils se prennent 400 €/mois pour 19 copropriétaires pour une gestion sans trop de difficultés pour finir...
Et oui en novembre 2017 on a eu une AGE, avec un architecte proposé par le syndic pour nous expliquer notre situation et ce qu'il serait possible de faire, mais nous n'avons pas accroché et avons désigné un autre bureau pour une étude préalable.
Le bureau que nous avions désigné était présent à l'AGO et nous a présenté des solutions. Nous avons choisi des "solutions" pour plus de 250.000 € d'estimations auxquelles il faut rajouter 9% de frais d'architecte et la TVA, en sachant que sur les 5 dernières années, on a déjà dépensé 250.000 € sans architecte et que ça s'est relativement mal passé, les travaux à venir devant être financés par un prêt.
Je précise qu'on parle d'une copropriété de 19 copropriétaires avec des lots de plus ou moins 190.000 €.
La question centrale est bien comme le dit panchito "quelle est la situation urgente que le syndic invoque", et pour moi il aura beaucoup de mal a se justifier.
Je lui ai envoyer un mail exprimant notre étonnement.
Je l'appelle demain matin et vous tient au courant.
Bàv
Bonjour,
Notre syndic nous annonce par mail "qu'il ne peut plus gérer notre immeuble dans de bonnes conditions dû à un contexte particulier" et annonce qu'il convoque une AGE dans 17 jours calendriers.
C'est vraiment bizarre car la relation était bonne, on a eu notre AG il y a exactement 1 mois. On a décidé de gros travaux, et là il nous lâche.
J'ai essayé de l'appeler pour en savoir plus mais sans succès.
En plus il nous propose un autre syndic avec un contrat en pièce jointe, et nous assure le transfert des comptes (car ils utilisent le même logiciel) pour cette société, mais sans préciser qu'il ferait de même si nous en choisissons un autre...
Je vois ça comme si ils avaient une surcharge de travail, et qu'ils ont décider de vendre leurs contrats les moins intéressant, à un jeune syndic en recherche de client, et prêt à payer pour.
Ce n'est que supposition mais je serais intéressé de savoir ce que vous en pensez.
Je reviens à ma question initiale, est-il en droit de convoquer une AGE?
Merci d'avance pour vos retours
Bonjour à tous,
J'aimerais avoir des précisions sur l'abattement en région Bruxelloise quand on est déjà propriétaire.
Je suis propriétaire d'un appart, et j'aimerais acquérir une maison.
Je suis tombé sur un article sur PIM.be qui dit que :
"Bruxelles: quels droits d’enregistrement ?
Règle générale : le taux des droits d’enregistrement reste fixé à 12,5 % de la valeur vénale de l’immeuble vendu.
Mais, à effet du 1er janvier 2017, un abattement de 175.000 € (pour les actes antérieurs au 01/01/2017, l’abattement est de 60.000 ou 75.000 € selon les cas) peut être appliqué, dans certaines conditions.
...
Conditions à remplir pour bénéficier de cette réduction de la base fiscale :
...
2° dans ou au pied du document qui donne lieu à la perception du droit d’enregistrement proportionnel ou dans un écrit signé joint à ce document, les acquéreurs sont tenus de :
a) déclarer qu’ils remplissent la condition visée au 1° de cet alinéa; (ndlr: ne pas être déjà propriétaire d’une autre habitation)
b) s’engager à établir leur résidence principale à l’endroit de l’immeuble acquis dans les deux ans :
...
Vous avez lu ci-dessus que si vous êtes déjà propriétaire d’une habitation, vous ne pouvez pas disposer de la réduction. Il y a un petit correctif: la Région vous remboursera les droits trop versés si vous avez vendu l’immeuble qui a empêché la restitution, pour autant que cette vente intervienne dans les deux ans. S’il y avait plusieurs immeubles concernés, il faut qu’ils soient tous vendus. Voir à ce sujet l’article 212bis (nouveau).
Avertissement: les explications données ici sur l’abattement de 175.000 € reposent sur les textes disponibles au 28/11/2016 et sur base de l’avis favorable donné en Commission des Finances du Parlement bruxellois. Il doit encore être voté en séance plénière.
J'aimerais avoir un retour d'expérience, une confirmation, que l'abattement sur les 175000 € sont bien effectif pour un second achat, tout en étant déjà propriétaire lors de la signature du compromis.
C'est super important on parle quand même de 21.875 €.
J'aimerais aussi savoir les modalités pratiques du remboursement par la région du trop versé.
Quels sont les démarches, quand et comment il intervient?
Enfin, comment avez vous financé cette somme sur cette "courte ?" période. Vous l'avez intégré au prêt hypothécaire avec remboursement anticipatif du montant ? Un pret à la consommation ou autre ? Un prêt par la famille mais dans ce cas est-ce considéré comme une donation?
Enfin voilà, je suppose que je ne suis pas le premier à être dans ce cas, et tout retour d'expérience est le bienvenue.
Merci d'avance et bien à vous
C'est intéressant comme formule.
Pour le propriétaire investisseur son rendement locatif est supérieur, avec une certitude de revendre son bien à terme à prix convenu, moyennant une indexation convenue, et cela, qqsoit, l'état du logement ou du quartier à la vente.
Pour le locataire une possibilité de devenir propriétaire à terme, et de pouvoir se projeter sur du long terme.
On rajoute qqrègle pour gérer une rupture de contrat de l'un ou de l'autre
Ca existe déjà?
Bonjour,
Alors comment ça c'est passé?
Au plus je vous lis, au plus je pense qu'on avait le même syndic.
Pour info à tous, les anciennes tuyauteries de chauffage isolée avec ce plâtre blanc, ne contienne pas tous de l'amiante.
Il y a de forte chance que ce soit le cas, mais il veut mieux vérifier.
Il existe en effet des laboratoires indépendants qui proposent ce service.
Ils vous envoient le matériel et les consignes pour les prélèvements, vous les renvoyez par la poste, et pour plus ou moins 100€ et en une semaine vous recevez le résultat.
J'ai fait économiser 6000 € à ma sœur grâce à une analyse. Ca vaut la peine!
Votre syndic, ça ne serait pas xxxx ? [edit Pim: supprimé identificaion potentielle. Faites plutôt un message privé svp]
Autrement dit, ce n'est JAMAIS une bonne idée de se lancer dans des travaux qui n'ont pas été autorisés au prealable si ces travaux necessitaient autorisation. J'ai déjà vu des gens se retrouver dans des situations extremement difficiles quand il s'agissait, des années plus tard, de revendre leur batiment transformé.
C'est exact, mais sincèrement ce n'est pas notre cas.
On gère en bon père de famille et dans le respect des lois, mais dans le cas présent, on nous demande de régulariser une situation bien antérieure à la prise de possession du bien, et je suis persuadé qu'il y a eu un excès de mauvaise/bonne fois de l'administration, pour nous faire entreprendre ces démarches.
Par ailleurs, je suis aussi tombé sur un arrête royal, déterminant les actes et travaux soumis à permis d'urbanisme, dispensés de l'avis SIAMU.
http://www.ejustice.just.fgov.be/cgi_lo … e_name=loi
Mon cas particulier n'y est pas clairement explicité, mais à la lecture de cet arrêté, il me semble que la situation (en gros fermer l'ouverture d'une terrasse en FAR, non accessible par la rue, et ne servant aucunement de chemin de sortie, par un châssis) n'imposait pas de demander l'avis du SIAMU.
En tant qu'architecte, auriez vous demandez l'avis du SIAMU pour ce type de demande, et en quoi cet arrêté n'aurait pas pu être utilisé ?
Egalement (excusez moi, mais je profite d'avoir un professionnel
), dans le permis qu'on a reçu, dans les clauses "suspension et annulation", Article 87 §1 : "Le permis est périmé si dans les deux années de sa délivrance, le bénéficiaire n'a pas entamé sa réalisation de façon significative...".
Dans la mesure ou aucunes demandes imposées par l'avis SIAMU n'a été exécuté pour une mise aux normes actuelles, est-ce que ce permis de 2012 est toujours d'actualité, ou obsolète, ce qui signifierait que les renseignements urbanistiques fournis, ne devrait pas mentionner le permis (et le sous réserve de l'inspection des pompiers), mais juste les infractions constatées antérieurement au permis?
Merci d'avance pour votre retour.
Mon idée actuelle est d'annuler le permis délivré pour l'une ou l'autre raison.
Demander une nouvelle demande de permis, sans faire une demande d'avis pompier. Redemander un nouveau "renseignements urbanistiques".
Qu'en pensez-vous?
Ce qui rappelle que ceux qui ont un immeuble transformé avant 1992 ou 1994 (selon les communes) ne doivent pas demander une "régularisation", mais bien, le cas échéant, une "correction" de la situation.
Très intéressant, je vais chercher sur le net, mais si vous avez des documents explicatifs de ces "corrections" urbanistique, je suis preneur.
On a des preuves que les infractions reprochées le sont au moins depuis les années 70...
Effectivement juste les renseignements urbanistiques, sauf que dans mon cas, ces renseignements mentionnent les différents permis délivrés pour l'habitation, dont le dernier de régularisation, qui inclut le rapport du SIAMU, et qui nous demande de mettre l'immeuble aux normes actuelles.
Alors même si ils nous disent que c'est en ordre, ils disent aussi "sous réserve de la visite des pompiers", renvoyant ainsi au rapport du SIAMU qui est une des conditions du permis.
La visite a été demandé depuis mars 2012, elle n'a pas encore été exécutée et ne le sera probablement jamais. On est à Bruxelles....
Et quand bien même elle aurait eu lieu, je suppose que le pompier aurait relevé les discordances entre leur rapport et la situation de l'immeuble.
Je travaille dans une entreprise générale, et je n'ai jamais assisté à une visite des pompiers, alors qu'elles sont toujours demandées par les architectes.
Ils ont facile, et ne souhaite pas se mouiller.
En gros quand on fait une demande de permis, le Siamu vous renvoie la liste des normes actuellement en vigueur, insiste sur certains points primordiaux, corrige deux, trois trucs sur les plans, mais ne valide rarement l'ensemble du bâtiments une fois terminé.
En cas de problème, ils ne sont ainsi pas responsable, et renvoie aux normes, qui sont parfois difficilement interprétables, même pour des professionnels.
Alors oui, on pourrait fermer les yeux, mais si l'acquéreur est un peu malin, qu'il prend connaissance du dernier permis et de ce rapport du SIAMU, il n'hésitera pas à revenir vers nous pour nous réclamer 50.000, 100.000 € pour une mise en conformité pour un bâtiment qu'on estime à 400.000€.
Pire imaginer un incendie avec mort d'homme ! Là on est bon pour une lapidation sur la place communale.
Je tiens néanmoins à préciser que ce bâtiment n'est pas dangereux. Nous ne laisserions pas vivre des gens dans un endroit dangereux. Mais il est à l'image de 50% des bâtiments Bruxellois, à rénover.
Il faut que ces bâtiments se modernise avec le temps, et si on avait décidé d'investir dans cet immeuble on aurait fait les investissements nécessaires.
Ici, on parle d'une régularisation imposée du fait de la carence de l'administration depuis un certain temps.
Il faut rester vigilant à cette problématique, car si on continue, en introduisant un permis pour le remplacement de châssis, cela impliquera de rendre le bâtiment conforme à toutes les normes en vigueur, dont la mise en conformité passive.
Bonjour,
je trouve que la réglementation pompier est un vrai casse-tête.
Je suis dans le cas opposé au vôtre, dans la mesure où je suis acquéreur d’un bien qui ne me semble pas vraiment aux normes niveau pompier.
Mais il ne me semble pas qu’il y ai un document légal pompier à remettre lors de la vente (comme le certificat PEB ou vincotte)…
Quelqu’un va certainement nous préciser ça .Cordialement, ARGALI.
Il n'y a effectivement pas un document légal relatif aux normes incendies à remettre lors d'une vente, seulement les renseignements urbanistiques, qui stipule les différents permis délivrés pour l'habitation, et les infractions quand il y en a.
En revanche, si vous désirez acquérir un bien pour lequel vous comptez introduire un permis d'urbanisme, pour le transformer ou le régulariser, attendez vous également à une mise aux normes au niveau incendie, qui peu s'avérer extrêmement coûteuse.
Dans le cas d'une habitation individuelle, ce n'est pas trop problématique. Dans le cas d'une habitation multiple, d'une hauteur supérieure à 10 m, ça peut chiffrer vraiment vite (à côté une mise en conformité du système électrique, c'est peanuts).
Bonjour à tous,
Je vous sollicite pour une problématique particulière, qui nécessite un petit historique, pour une bonne compréhension, que j'essayerai de faire au plus court...
Nous souhaitons prochainement mettre en vente un petit immeuble de rapport.
Cet immeuble, à fait l'objet il y a quelques années d'une visite d'un employé du service urbanisme de la commune, lors de laquelle, il a constaté que les anciennes terrasses avaient été fermées afin de ne pas devoir sortir pour aller aux toilettes. On a des preuves que c'est fermé depuis au moins 50 ans mais soit…
Il nous a demandé de faire les démarches pour une régularisation urbanistique, ce que nous avons entrepris avec un architecte... 3000 € pour faire des plans actualisés etc, plans qui doivent-être approuvés par les pompiers avant d'être rentrés à la commune pour la régularisation.
On reçoit donc un rapport des pompiers, qui nous dit en gros que c'est en ordre, à condition qu'on respecte toutes les normes incendie actuellement en vigueur en région Bruxelloise si on introduit un permis d'urbanisme, porte palière RF, cloisonnement RF des compteurs gaz, faux-plafonds RF (c'est des planchers), exutoire, … absolument tout comme si on construisait du neuf, un simple copier-coller des réglementations en vigueur.
On retourne avec notre dossier à la commune, et on explique bien à notre interlocuteur qu'on allait pas mettre des dizaines de millier d'euros pour satisfaire au rapport des pompiers pour la régularisation d'un immeuble qui est comme ça depuis 50 ans.
Il nous affirme qu'il comprend bien, que ce n'est pas le but, et nous demande « juste » de créer un local gaz en cave, cloisonné RF + porte RF + ventilation, ce qu'on exécute pour quelques milliers d'euros supplémentaires. Soit, super, on est régularisé.
Il y a quelques mois, on décide de mettre en vente l'immeuble. La demande de renseignement urbanistique est donc faite par notre notaire, et ce document mentionne en gros que tout est en ordre, mais que : « La sécurité incendie doit toujours faire l‘objet d’un contrôle par le SIAMU de la Région de Bruxelles-Capitale ».
On est donc un peu perdu, d'autant plus que ça fait deux ans qu'on essayent d'avoir une visite de ces pompiers, afin de savoir ce qu'ils veulent réellement mais sans succès.
D'autant plus déçus qu'on avait des preuves que l'administration avait des documents en leur possession dans lesquelles les terrasses sont fermées, mais qu'on à entrepris ces démarches sous l'insistance de l'agent, qui nous affirmait qu'il n'y aurait pas de problème…
Donc voilà c'est une demande d'aide générale. Vous en pensez quoi ? Dans le cadre d'une régularisation, qu'elles normes incendie sont d'application ? Comment vous faites pour avoir une visite des pompiers ? Comment feriez-vous pour informer justement le potentiel acquéreur de cet éventuel problème, sans pour autant que le bien soit bradé ? Comment se protéger après vente, d'une éventuelle réaction de l'acquéreur ?
Dans mon entourage, notaire compris, tous le monde sèche sur cette problématique.
Oui mais si je prends :
L'article 9 : Parties privatives de l'immeuble
Chaque propriété privative contient les éléments qui composent la partie privative, à l'exception des parties communes; et entre autres :.... en résumé tout ce qui se trouve à l'intérieur des parties privatives et est destiné à l'usage de leurs propriétaires, ou même ce qui se trouve à l'extérieur des parties privatives mais est destiné exclusivement à ces locaux (par exemple : les compteurs et les conduites particulières d'eau, de gaz, d'électricité, de téléphone).
Donc si on prend comme exemple un boiler situé dans l'appartement qui alimente les points d'eau de l'appart, il s'agit bien de partie privative.
Si en refaisant ma salle de bain, je constate que ces canalisations sont corrodées, il est de ma responsabilité de les remplacer à mes frais.
Si je ne fais rien, et que 6 mois après une de ces canalisations explose et engendre un dégât des eaux, en quoi la copropriété est-elle responsable? Pourquoi devrait-elle payer même au travers d'une assurance?
Quoiqu'il en soit, pour Phil, je comprends pas pourquoi on demande de payer une franchise privative pour un défaut de conduite de chauffage commune?
Oui je sais en premier le syndic et c'est ce qu'on va faire... enfin...
"si un tel tuyau était interrompu, mes voisins seraient privés de chauffage".
Dans ce cas oui, ça me semble commun et difficilement contestable, et si on lui dit le contraire il n'a qu'a le bouchonner à l'endroit de la fuite et attendre la réaction du voisin....
Dans mon acte de base :
Article 7. Parties communes de l'immeuble :
Les parties communes de l'immeuble contiennent ....., les conduites d'eau, de gaz et d'électricité de toutes sortes, le réseau d'égouts, à l'exception cependant de la partie de ces conduites et de ces tuyaux se trouvant à l'intérieur des appartements et des locaux qui appartiennent aux appartements, ou même à l'extérieur, quand ces tuyaux et conduites servent à l'usage exclusif et particulier des appartements.
Il y a bien 3 devis, mais les deux autres ne sont pas assujettis à l'onss, donc utilise la sous-traitance comme l'évoquait Max11, ce qui est pour moi encore pire...
Pour l'instant nous sommes sans syndic.
On organise une sorte d'AGE convoquée par des copropriétaires et qui sera tenue par ces même copropriétaires, pour désigner un nouveau syndic. Jusque là je sais que c'est pas trop catholique (comme vous me l'aviez expliqué il y a quelques mois), mais je suis OK.
Par contre ils veulent également désigner l'entreprise pour le remplacement de la chaudière pour faire avancer les choses, ce que je comprends vu qu'on stagne depuis 3 ans maintenant du fait d'un syndic IPI indélicat.
J'ai beau leur expliquer que c'est pas légal et qu'ils prennent beaucoup de risque en leurs noms si ça tournaient mal, mais on ne m'écoute pas.
Je vais donc "les défendre" en désapprouvant les devis et les entreprises proposées dans un premier temps.
Comme le disait un pimonaute à un de mes messages d'il y a deux ou trois ans "au chaos s'ajoute le chaos". Il avait parfaitement raison dans le cas de ma copropriété!
Merci pour les renseignements en tout cas.
Selon moi votre syndic ne devrait même pas les déclarer à l'assurance de la copropriété.
Les actes de base "classiques" (entout cas le mien), différencient bien les canalisations communes des canalisations privées.
Un tuyau en chape dans une partie privée, alimentant uniquement un ou des radiateurs privés est bien de la responsabilité du propriétaire du lot. Ca serait différent si on parle d'une canalisation commune (desservant plusieurs appartements).
En général les syndics déclare ce genre de sinistre, par facilité je pense.
Dans le cas de ma copropriété (un immeuble des années 60), ce genre de problème est devenu fréquent et notre assurance à doublé en 3 ans car ces sinistres étaient déclarés. Maintenant ça ne passe plus, et en gros c'est logique.
En effet, outre l'ancienneté, ce genre de problème est bien souvent (si pas tout le temps) la cause de la nonchalance des propriétaires. Si vous avez par exemple, une baignoire fissurée, ou un joint d'étanchéité craquelé et que vos ne faite rien pour y remédier, il est normal que la chape à proximité soit constamment humide, ce qui provoquera la corrosion des tuyauteries et infine la fuite.
Merci pour votre réponse claire.
Effectivement nous sommes inscrit à la BCE comme personnes morales de forme juridique "association de copropriétaires".
Avant de passer une nouvelle fois pour le gros lourd de service pendant mon AG, pourriez-vous me donner votre sentiment quant à confier des travaux à hauteur de 45.000€ à une entreprise qui demande 30% à la commande et 30 % avant travaux, donc 27000 € avant même d'avoir le moindre matériel et prestation, alors que celle-ci n'existe que depuis février 2014 et présente déjà un défaut de payement de TVA à l'administration. Elle est OK au niveau ONSS (pour le moment).
Bien à vous,