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L'AG de ratification du 15.11.2005, dont on parle dans ce sujet, avait ratifié les décisions de l'AG 2004 sans délibération.
L'AG du 15.11.2005 vient d'être annulé à son tour.
Le Juge a nommé lui-même un syndic provisoire pour une période de 2 ans, avec différentes missions supplémentaires, en supplément de son mandat de gestion générale.
Dont la nomination d'un autre commissaire aux comptes pour les comptes 1999-2005.
Le mandat du syndic provisoire a pris effet le jour du jugement, pour une période de 2 ans. Le syndic, nommé par l'AG 2006, n'est plus en fonction.
Je ne considère cela pas comme une victoire. Dans un procès il n'y a jamais des gagnants.
Mais je suis content que le Juge refocalise l'AG de fait sur l'entretien à longue terme de la copropriété.
Chose que j'avais demandé à discuter dans un groupe de travail lors de l'AG 2001, vu l'état du bâtiment déjà dénoncé en 1998 par un autre copropriétaire.
Serez-vous le prochain président du Conseil de Gérance ?
Ce ne serait que ...justice !
Rendons à la vérité que MarcelDufo n'est NI Casimir, NI Cassenoisette, quoi que puisse en penser Luc. MarcelDufo est un visiteur occasionnel qui est tombé sur le cas de la copropriété de Luc, et surtout sur le cas de Luc qui ne doit plus vivre que pour son ACP. Je n'ose pas imaginer l'ordre du jour de sa prochaine AG si, par un malheureux hasard, Luc devait y faire inscrire plein de petits ou grands points qui le tracassent ou le chiffonnent, demandent précisions ou grandes décisions, pour être en conformité avec soit la Loi, soit même, s'il le fallait, avec le dernier sous-alinéa de l'avant-projet de loi envisagé pour un avenir indéterminé par l'assemblée parlementaire auto proclamée de la République Bananière du Pluforquemoitucas !
Je trouve ça cocasse, simplement.
Mais je crois que son CG ne doit pas trouver cela aussi amusant.
Enfin, si ça l'amuse, ça fera deux heureux : moi qui rigole et ne suis pas victime de ses trouvailles, et lui qui doit y prendre un réel plaisir pathologique... (oserais-je dire : orgastique ?)
Allez, bisous et on fait la paix, hein ! 
Luc est un cas bizarre...
Alors que le permis d'environnement est déjà quelque chose de lourd, dont la plupart des CP n'ont cure ;
Alors qu'un permis classe IA est beaucoup plus contraignant (et onéreux qu'un permis classe IB) ;
Alors que l'IBGE accorde deux permis classe IB, ce qui est moins onéreux et selon l'IBGE, conforme à la réglementation,
Voilà que l'homme combat bec et griffes pour avoir absolument son permis classe IA.
Je ne comprends pas... Ou il a trop d'argent, ou il est adepte de l'auto-couillonnage, ou il prend plaisir à tout contester, par principe, parce qu'il est un adepte de l'ordre et de la justice à tout crin... Bientôt, il en viendra à attaquer un juge, si celui-ci venait à ne pas se ranger à sa cause. En psychiatrie, on appelle ça de la quérulence processive.
C'est fou, non ?
Majorité souvent impossible à obtenir si la syndic ne communique pas les adresses des CP.
Une des nombreuses quêtes de Don (Luc) Quichotte, cette histoire des adresses...
Je me demande ce que l'IPI en pense. Ils vont dépenser d'un côté +300.00 euros en publicité pour dorer leur blason et d'un autre coté ils seraient d'accord avec le fait que le syndic en doit pas communiquer les adresses des copropriétaires. Et ainsi obliger le CP d'aller dépenser de l'argent en justice.
Et quand le CP va en justice, l'ACP (donc, le CP également) va avoir des frais d'avocat etc... qui peuvent monter, monter... Le CP en question va donc, d'une certaine manière, payer (via ses charges) pour se défendre contre lui-même (qui initie l'action contre le syndic). Luc a l'habitude de ce genre de procédure.
Vous êtes de la police ?
Ou du conseil de gérance ?
Vous voilà bien curieux, mon cher !
Avec un peu de bon sens et de logique, en lisant la suite des posts, la conclusion tombe sous le sens.
Tout simplement !
Luc n'est content que quand il cherche, trouve, cause ou (plus rarement) est victime de problèmes, ne vous semble-t-il pas, my old man ?
A force de jouer le légaliste et le réglementaire (son passé professionnel...), on ne se rend plus compte...
La commission de concertation vient de donner son avis:
1. Avis favorable pour les deux demandes de permis classe IB (un par immeuble). Une demande unique aurait été classé IA.
2. Des conditions très restrictives qui en font en pratiquement un IA, en ce qui concerne certains aspects.
3. Entre autres:
a. "mettre les installations électriques en conformité avec les prescriptions en vigueur" (je renvoie à une autre discussion sur ce forum).
b. Un bureau d'études est chargé d'une étude sur la ventilation du parking.
c. Se conformer au rapport SIAMU (à demander parce qu'il manque)
d. "Demander une autorisation pour enlever l'amiante"
e. "Ne pas entreposer de meubles dans les garages."
f. "Se conformer aux plans fournis; ci ça ne reflète pas la situation du dossier de demande de permis d'environnement: demander alors des plans modificatifs."4. La dernière phrase de la motivation est claire: "Considérant que les autorités refusent de s'ingérer dans les conflits antre syndic et propriétaires". Il est donc en pratique impossible de se faire écouter valablement, si on est copropriétaire et que le syndic a une autre opinion.
5. Dans ce cas spécifique la demande du permis a ni été délibéré ni été voté en AG. C'est une initiative du syndic (et de son conseil de syndics adjoints).
6. Une demande de permis peut imposer de fait des servitudes (voir 3.e). C'est pour ce motif que le mandat apparent du syndic n'est pas valable pour une demande de permis.
7. [color=#0000C0]Mais je dois dire que ma plainte initiale[/couleur] (odeur dans ma cuisine) de mars 2004 sera enfin probablement traité, si l'expert à nommer par l'ACP est un expert indépendant. Je rappelle que le syndic à refusé dès le début d'envoyer quelqu'un chez moi pour constater la gravité et chercher l'origine. Son conseil de syndics adjoints l'a suivi dans cette voie.
8. [color=#4B00E0]Comme je vais probablement aller en appel[/couleur], si la décision d'IBGE confirme cet avis, je limite mon commentaire à ce qui précède.
Démasqué par ses écrits, Luc est donc un CP en cause.
Suite à un agenda assez chargé pour les semaines à venir, j'aurai probablement moins de temps à intervenir sur ce forum.
Des AG en vue ? A préparer à fond !!!
MarcelDufo a écrit : PIM a écrit {)ienvenue au club !
Hu ??? (?)
Je veux dire : "Moi pas compris..."club des joueurs de billes dans la cour de récréation
Oh, je ne suis qu'un modeste grain de sable qui tente de dévier quelque peu les "cartaches"...
Bienvenue au club !
Hu ??? (?)
Je veux dire : "Moi pas compris..."
MarcelDufo a écrit :
- Il y a une raison pour laquelle vous avez décidé de vous en prendre spécifiquement à un intervenant en particulier de ce forum ? Et de vous lancer dans des généralités (sans jeu de mot militaire) proches du poujadisme ?
- Décidément, on a beau me dire l'inverse, c'est tout de même systématiquement dans le salon "copropriété" que je dois intervenir comme modérateur pour que ces gamineries cessent !
Cela commence à m'agacer !
Lisez les posts de Luc, vous comprendrez sans peine que, derrière une prose intellectuelle se cache une démarche de nuisible à l'ordre public de sa copropriété ! Il faut être aveugle pour ne pas s'en rendre compte, cher modo !
Grmff a écrit : Bonjour et bienvenue sur le site de pim.be (en mon nom en tout cas)
Si Luc souffre de graphorée, et que cela lui fait du bien de pouvoir échanger sur ce forum avec ceux qui veulent bien échanger avec lui, je trouve tout à fait inutile de l'attaquer de prime abord.
Dès votre 3e message, vous vous permettez de juger, et d'attaquer personnellement les gens, dans ce qui est et devrait rester un débat d'idée.
(et si j'ai parfois dérogé, ce n'est pas dès mon 3e message...)
ACK. Je préfère comme vous de jouer la balle et pas l'homme. Bien que je l'oublie parfois dans la fougue du moment.
Suite à un agenda assez chargé pour les semaines à venir, j'aurai probablement moins de temps à intervenir sur ce forum.
ACK ? Luc est-il un (ancien) militaire ? Cette abréviation est tellement spécifique... La voilà, la grande organisation où il redressa plus d'une affaire bancale : la Défense ! Heureuse Défense, de pouvoir le compter (ou l'avoir compté) dans ses rangs. Ceci est d'autant plus vrai en ces moments où tant de choses se déballent dans les prétoires...
Bonjour et bienvenue sur le site de pim.be (en mon nom en tout cas)
Si Luc souffre de graphorée, et que cela lui fait du bien de pouvoir échanger sur ce forum avec ceux qui veulent bien échanger avec lui, je trouve tout à fait inutile de l'attaquer de prime abord.
Dès votre 3e message, vous vous permettez de juger, et d'attaquer personnellement les gens, dans ce qui est et devrait rester un débat d'idée.
(et si j'ai parfois dérogé, ce n'est pas dès mon 3e message...)
Dans certains cas, le mal est tellement évident qu'il faut y mettre fin au plus vite, sous peine de voir le principal intéressé se perdre lui-même !
La phrase « Qui ne dit mot consent, non ? » est extraite d’un article sur les abstentions dans le journal « Le Soir » du 08/06/2006, traitant le sort des abstentions lors de l’AG d’une ACP.
Je suis un partisan fervent de la démocratie. L’ACP est l’essence même d’une démocratie de base (= pas de collège d’électeurs, mais tout le monde décide directement en assemblée comme cela se pratique encore dans certains villages helvétiques).
Facilement manipulé, je l’admets. Mais quand même mieux qu’une oligarchie ou une dictature.
Que dit la loi sur les choix possibles lors du vote ? Les décisions sont pris au moins à la majorité absolue (Art. 577/6 §6 CC) ou plus stricte (Art. 577/7 CC). En fait elle ne parle que du vote positif (le vote « oui ») et ignore les autres possibilités totalement. Sauf qu'elle spécifie que seulement ceux qui ont voté non peuvent "aller en appel".
La disposition essentielle est :
Citation :Art. 577/6 § 6. Les décisions de l'assemblée générale sont prises à la majorité absolue des voix des copropriétaires présents ou représentés, sauf si la loi ou les statuts exigent une majorité qualifiée ou l'unanimité.C’est clair et net. La loi exige un vote positif et constructif d’au moins une majorité absolues des CP présents ou représentés. Tous les autres votes ne sont pas comptés comme un vote positif.
C’est un sophisme d’assimiler sur cette base les votes d’abstentions à un vote négatif. Disons-le d’une autre façon … on brûle un feu rouge, mais brûle-t-on un feu orange ?
La spécificité d’une AG d’une ACP, qui la distingue nettement des assemblées délibérantes cités par Me JAUNIAUX dans son article (J.T., 10.09.2005), est qu’un copropriétaire n’a pas le choix. Il est, qu’il veuille ou non, forcée d’être membre de l’AG. Il ne peut pas démissionner, sauf s’il vend son appartement.
Dans les textes préparatoires de la loi de 1994 on ne trouve aucune allusion à la manière que les abstentions doivent être compté. Alors retournons aux faits.
Pourquoi va-t-on s’abstenir ?
• Par désintérêt ? Possible. Mais alors on a tendance à suivre comme des moutons le pouvoir en place. S’abstenir est déjà un acte de révolte envers le pouvoir en place.
• Mais une observation des cas réels démontre qu’on s’abstient quand on n’y comprend plus rien. Donc par manque d’information.
• Ou on a peur des conséquences pratiques de son vote public. Donc quand il y a d’intimidation dans l’air. Un vote secret n’est pas ressenti comme secret pour le syndic, vu que c’est lui qui note le nombre de quotités sur la feuille de vote.Quelles sont les conséquences, si on tient compte seulement des votes positifs ou négatifs ?
Pour le pouvoir en place : il suffit d’isoler un « emmerdeur » qui votera non. Par l’effet de troupeau la majorité silencieuse n’aura d’autre choix que de voter comme le pouvoir en place veut. Donc cette réforme va favoriser la « cogérance », rendu illégale par la loi de 1994.
Le CP, qui a un doute sur le projet proposé, devra faire un choix douloureux : ou bien courir le risque d’être l’emmerdeur pour les années à venir ou bien se ranger et rien dire. Donc cette réforme va faire taire 90% des CP avec des questions justifiés. « Qui ne dit mot consent, non ?».
Je voudrais donc savoir quelle est votre préférence :
- une oligarchie, qui fait entretenir la copropriété comme le pouvoir en place le conçoit (exemple : les immeubles à la cote), mais fait payer les erreurs de sa méthode par tous.
- une démocratie, où l’administration et la conservation de l’immeuble sont portées par une majorité réelle, bien informé et qui respecte l’opinion des tous les CP. Où un vote d’abstention indique au moins un manque d’information.
- pas encore d’opinion claireTout ce qui précède est juridique et est par ce fait pas à 100% convaincant pour le CP banalisé. Il faut plus.
Alors retournons à la base. Dans un autre sujet « sad » a bien situé l’origine de la loi de 1994 : une fraude des fonds de réserve par un grand syndic.
L’article clé de cette loi de 1994 est donc :
Citation :Article 577/8 § 5. Le syndic est seul responsable de sa gestion (envers l’ACP); il ne peut déléguer ses pouvoirs sans l'accord de l'assemblée générale et seulement pour une durée ou à des fins déterminées.Pour l’organisation de l’AG est noté dans la loi :
Citation :Article 577/8 § 4. Quels que soient les pouvoirs qui lui sont conférés par le règlement de copropriété, le syndic est chargé :
1° de convoquer l'assemblée générale aux dates fixées par le règlement de copropriété ou à tout moment lorsqu'une décision doit être prise d'urgence dans l'intérêt de la copropriété;
2° de consigner les décisions de l'assemblée générale dans le registre visé à l'article 577-10, § 3;
3° d'exécuter et de faire exécuter ces décisions;
…Il s’en suit que le syndic doit être impérativement impartial. C’est lui qui décide quels points sont mis à l’OJ, leur contenu exact, leur séquence, … SI lui peut être partial, alors il peut imposer sa volonté aux CP, par la manière qu’il filtre les informations, …
En plus il en ressort donc que l’obligation d’information incombe seulement à lui et personne d’autre. Donc pas au CG, à l’un ou l’autre CP, … .
Me JAUNIAUX réfère aux règlements de la Chambre et dus Sénat pour le comptage des abstentions. Mais ces mêmes règlements sont aussi très stricts quand à l’information des parlementaires. Un point n’est mis à l’ordre du jour, que quand toute une série de conditions sont remplies. Ceci est une responsabilité du président de l'assemblé.
Si un point n’est pas prêt à être mis en délibération, les possibilités suivantes existent :
1. le syndic communique ce fait, ainsi que ce qu’il a fait ou va faire pour résoudre ce problème
2. le président de l’AG constate ce fait et soumet au vote sa proposition de renvoyer ce point au syndic pour être complété.
3. un ou plusieurs CP le constatent, mais le président de l’AG n’est pas d’accord avec eux.Dans ce dernier cas ces CP ont un problème. Ils sont assez souvent pour le projet, mais ont des doutes quand aux devis, offres,… qu’ils n’ont pas su étudier avant l'AG avec leur conseiller.
S’ils votent contre, ils seront stigmatisé, et ne pourront plus demander que ce projet soit discuté lors d’une AG suivant.
S’ils votent pour, ils courent le risque que le projet soit pas exécuté comme il faut, avec toutes les conséquences pratiques, financiers, juridiques, …
Il ne leur reste que le vote « abstention, suite à un manque d’information ».
En somme l’obligation de tenir compte avec les abstentions, force le pouvoir en place de tenir compte avec un groupe plus large de CP. Le projet devra donc être porté par une réelle majorité.
L’argument final pour tenir compte avec les abstentions est simple. Le règlement du parlement ne prévoit pas le système suivant, qui permet d’approuver toute décision dans une 2ème séance, n’importe le quorum :
Citation :Article 577/6 § 3. …
Si ce quorum n'est pas atteint, une deuxième assemblée générale sera réunie après un délai de quinze jours au moins et pourra délibérer quels que soient le nombre des membres présents ou représentés et les quotes-parts de copropriété dont ils sont titulaires.Admettre qu’en plus on ne tienne pas compte des abstentions revient donc à dire que le pouvoir en place reste en place tant qu’une révolution ne le change. Donc ce système avantage les oligarchies.
Socialement souhaitable ? Je ne crois pas.
Au lu de toutes vos "tartines" (comprenez par là : des graphorrhées profuses - terme inventé par analogie avec le terme logorrhée, ne cherchez pas dans le dictionnaire), ne peut-on pas en déduire que votre participation à ce forum relève de la névrose obsessionnelle ? Ou d'un profond ennui quotidien qui vous pousse à écrire de manière compulsive ? Seriez-vous retraité ? Nostalgique d'un certain ordre perdu ?
Luc écrit :
NB: mon syndic n'est pas sur la liste du SNP, mais le CG est membre du SNP, profite de son assistance et fait payer la cotisation par ... l'ACP, sans aucune décision de l'AG ni communication du syndic/CG à l'AG.
Oh, les vilains ! C'est pas bien ça ! Heureusement que Luc veille ! Madame l'institutrice lui donnera sûrement un bon point et un bonbon !
Tant que les copropriétaires auront la stupidité de donner leur procuration à un dictateur, la dictature règnera.
Si les copropriétaires donnent leur procuration à un démocrate, la démocratie règnera.
(Proverbes qui auraient pu être chinois - à méditer par Marianne)