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Vous n'avez pas fait appel à un expert pour l'état des lieux de sortie ?
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Celui de septembre est publié
bonjour a tous voila pour tirer un locataire d'un garage a Bruxelles c'est la même procédure que pour un appartement ou maison et il faut impérativement un document de la commune intitulé certificat de résidence et comme dans les baux il est indiqué qu'il faut une adresse élection de domicile tout est ok sauf quand le locataire a donné une mauvaise adresse ou ancienne ou fausse tout simplement comment faire des lors ? dans mon esprit le locataire est en défaut des le départ car erreur de domicile? or le bail n'est valable entre autre que si il y a élection de domicile afin d'envoyer la requête a la bonne personne via la justice de paix si je n'ai pas la bonne adresse pas moyen non plus de prendre r/v a la justice de paix quel est la solution ? alors
On ne peut évidemment pas se domicilier dans un garage.
Votre bail est un bail de droit commun.
Vous n'avez pas pris / vu copie de sa carte d'identité au moment de la conclusion du bail ?
Question initiale de 2013...
Réactualisée en 2025 par GB, spécialiste du déterrage de sujets: on s'ennuie le dimanche ?
Je ferme le sujet: merci, GB, d'occuper le mien, de dimanche.
Bonjour
Je viens chercher des idées et des lumières.
Un de mes anciens locataires, appelons le "Le Général", est parti en laissant une dette très conséquente.Le Général était dans l'attente d'une décision dans un procès qui l'opposait au Cpas. Le Cpas avait joué au con en lui coupant les vivres. Comme cela a été jugé illégal, il avait pu me payer les arriérés en une seule fois. Mais le Cpas avait recommencé son petit jeu...
En attendant, il avait eu un logement social, et me réglait petit à petit, par montant de 200€. Il était également convenu que, si une décision favorable tombait, le solde serait apuré en une seule fois.
Le Général est décédé inopinément, et son avocat m'écrit pour me dire qu'il clôture son intervention. Je suppose que l'avocat intervenait "pro deo" et que, le locataire étant décédé, il n'est plus payé et donc qu'il considère que sa mission s'arrête illico.
Le Général est sans famille connue en Belgique.
Mes questions:
1. Le décès d'une partie à un procès implique-t-il l'arrêt de la procédure?
2. Est-ce que la dette d'un Cpas envers une personne décédée fait partie de la succession?
3. A-ce du sens de demander la nomination d'un curateur à succession vacante / provisoire afin de tenter de continuer la procédure contre le Cpas?
4. Je n'ai dans l'os. Mais à quel point?
5. Une idée quelqu'un, pour faire cracher le Cpas au bassinet?
Avec les réserves d'usage, voici la réponse de Perplexity:
Voici des réponses détaillées et pratiques pour chaque point concernant la situation du "Général" en Wallonie:
### 1. Décès d'une partie à un procès: arrêt de la procédure?
En principe, le décès d’une partie entraîne l’interruption de la procédure jusqu’à la reprise par les ayants droit ou par un curateur à succession vacante s’il n’y a pas d’héritier connu. Il ne s’agit pas d’un arrêt automatique, mais d’une suspension en attendant que la succession soit représentée.
### 2. Dette ou créance d’un CPAS et succession?
Oui, toute créance (somme due) que le CPAS devrait verser au locataire décédé entre dans l’actif de la succession au jour du décès. Si la succession est acceptée par des héritiers, ils peuvent réclamer cette somme. En l’absence d’héritiers, il pourrait revenir à l’État ou être administré par un curateur à succession vacante.
### 3. Nomination d’un curateur à succession vacante, pourquoi?
Si aucun héritier ne se manifeste, il est possible de demander au tribunal la nomination d’un curateur à succession vacante (articles 803 et suivants du Code civil). Cette démarche permet d’avoir un représentant pour la succession, à qui pourront être versés ou réclamés les fonds, et qui pourra continuer le procès contre le CPAS pour obtenir paiement.
### 4. Risque de perte (“dans l’os”)?
Si personne ne revendique ou ne représente la succession, la créance demeure théorique. Sans curateur désigné ou héritier actif, il y a en effet un réel risque que le solde reste irrécouvré. La procédure de curatelle peut être longue et coûteuse au regard du montant à récupérer.
### 5. Comment faire «cracher le CPAS»?
Vous ne pouvez rien réclamer personnellement au CPAS en tant que créancier du défunt. Vous devez agir au nom de la succession, d’où l’intérêt de la curatelle à succession vacante. Si un jugement favorable intervient, c’est le curateur qui réclamera les fonds au CPAS. Il peut arriver que, par intervention active (lettres, démarches auprès du juge de paix), un curateur soit nommé rapidement, mais tout dépend de la réactivité du tribunal et du montant susceptible d’être récupéré.
***
### Synthèse et conseils pratiques
- **Contactez le greffe du tribunal de première instance du lieu du décès** pour en savoir plus sur la procédure et le coût pour la désignation d’un curateur à succession vacante.
- **Préparez tous les documents relatifs à la créance** (jugement, lettres du CPAS, les preuves écrites de la dette et des promesses de paiement).
- **Évaluez le rapport coût/bénéfice**: la curatelle ne se justifie que si le solde attendu mérite la lourdeur de la procédure.
- Si la somme est modeste ou la démarche trop longue, il peut être plus rationnel d’en rester là.
***
**En résumé:**
La seule voie sérieuse pour tenter de récupérer les sommes consiste à demander la nomination d’un curateur à succession vacante, mais cela dépend de la solvabilité de la succession et du montant. En l’absence d’héritier ou de curateur, le CPAS ne paiera rien de sa propre initiative.
***
#### Sources
- : "La procédure après décès d’une partie en justice" (Conseil juridique)
- : "Succession vacante et créances" (Notaire.be)
- : "Le rôle du curateur à succession vacante en Belgique" (Service public)

(c) Voutch
prendre un conteur communicant.
un conteur sachant conter est un bon compteur
Pas une fois l'IA n'a cité directement ce texte
Mais heureusement vous êtes là !
(ce n'est pas dit sur le mode "persiflage", je le pense réellement)
PIM a écrit :Ce montant concerne les actes introductifs d’instance dans toute affaire civile, dont les recours en appel devant la justice de paix, à partir de mars 2025.[1][2]
[1](https://www.droitsquotidiens.be/fr/actu … augmente-0)
[2](https://www.huissier-dessouroux.be/actu … A8me-ligne)Quid d'une requête / d'un recours devant le tribunal de première instance en appel d'une décision du juge de paix ?
En cas de recours (appel) d’une décision du juge de paix devant le tribunal de première instance, la procédure est bien définie et implique des frais spécifiques ainsi que des conditions de recevabilité strictes.[1][2][3]
### Modalités et recevabilité
- Le recours se fait devant le tribunal de première instance quand la décision du juge de paix porte sur une demande supérieure à 2000 euros; en dessous de ce seuil, il n’y a pas d’appel possible, sauf pour certains cas particuliers (par exemple: pourvoi en Cassation).[4][5][2]
- Le délai pour interjeter appel est d’un mois à compter de la notification (ou signification) du jugement du juge de paix.[5][2]
### Frais à prévoir
- **Droits de mise au rôle**: 165 euros pour une requête en appel devant le tribunal de première instance (montant 2025).[6][7]
- **Contribution au fonds d’aide juridique de deuxième ligne**: 26 euros (2025).[8]
- **Frais d’huissier**: si l’appel est introduit par exploit d’huissier (plutôt que par requête au greffe), des frais administratifs d’environ 50 euros ou plus selon les actes posés peuvent s’ajouter.[3]
- **Indemnité de procédure**: la partie perdante doit verser à la partie gagnante une indemnité forfaitaire, fixée selon la nature et la valeur du litige. En 2025, le montant de base pour les litiges civils devant le tribunal de première instance est d’environ 1440 euros, mais ce montant dépend du juge.[9][10][11]
### Procédure
- L’appel peut être introduit par dépôt d’une requête au greffe du tribunal ou par citation via huissier.[3]
- L’acte d’appel doit respecter plusieurs exigences formelles et contenir les griefs. Une assistance juridique est vivement conseillée.[12][3]
### Synthèse – Frais typiques pour un appel devant le tribunal de première instance
| Nature du frais | Montant indicatif (2025) |
|---------------------------------------------------|------------------------------------------------|
| Droits de mise au rôle | 165 euros[6][7] |
| Fonds d’aide juridique 2e ligne | 26 euros[8] |
| Frais d’huissier (si exploit d’huissier) | 50 euros ou plus selon actes[3] |
| Indemnité de procédure (si perdant) | ~1440 euros (base, voir décision du juge)[10][9][11]|
| Honoraires d’avocat | Variable (pas de tarif légal)[9][10] |
En résumé: en dehors des honoraires d’avocat et des frais d’expertise éventuels, le coût minimum pour la procédure est d’environ 191 euros (mise au rôle + fonds d’aide juridique), plus les éventuels frais d’huissier et l’indemnité de procédure à payer si la partie est déboutée.[10][7][8][6][3]
[1](https://www.justice-en-ligne.be/Appel)
[2](https://www.test-achats.be/famille-priv … ge-de-paix)
[3](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr … en-justice)
[4](https://www.droitsquotidiens.be/fr/actu … s-montants)
[5](https://www.huissiersdejustice.be/sites … ours_0.pdf)
[6](https://www.droitsquotidiens.be/fr/ques … en-justice)
[7](https://fin.belgium.be/fr/particuliers/ … se-au-role)
[8](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr/node/1206)
[9](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr/tarifs)
[10](https://www.droitbelge.be/news_detail.asp?id=864)
[11](https://www.rechtbanken-tribunaux.be/fr … -procedure)
[12](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr … /documents)
[13](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr … e-instance)
[14](https://www.rechtbanken-tribunaux.be/fr … elles/info)
[15](https://www.rechtbanken-tribunaux.be/fr … ire-civile)
[16](https://www.socialenergie.be/fr/recours … e-de-paix/)
[17](http://justice.belgium.be/fr/services_e … _e_deposit)
[18](http://justice.belgium.be/fr/themes_et_ … sion/appel)
[19](https://fr.const-court.be/judgments/pending-cases)
[20](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr … ce-de-paix)
grmff a écrit :En justice de paix, il y a 26€ à payer au dépôt. Cela va donc plus vite si on depose en personne au greffe.
Et pour une requête en appel d'une décision d'un juge de paix quel est le montant de la contribution obligatoire au fonds d'aide juridique de deuxième ligne ?
Pour une requête en appel d'une décision d'un juge de paix, la contribution obligatoire au fonds d'aide juridique de deuxième ligne est de 26 euros depuis mars 2025, en raison de l'indexation légale appliquée cette année-là.[1][2][3]
### Détail et modalités
- Cette contribution doit être payée lors de l’inscription de l’affaire au rôle, comme pour toute procédure civile, y compris en appel devant le juge de paix.[2]
- Le paiement de cette contribution est indispensable: en l’absence de versement, l’affaire n’est pas inscrite et ne sera pas traitée par la juridiction.[2]
- Certaines dispenses existent (par exemple pour les parties bénéficiaires de l’aide juridique proprement dite, c’est-à-dire « pro deo »), mais en dehors de ces exceptions, le paiement est systématique.[3][2]
### Synthèse du montant
| Contribution fonds aide juridique 2ème ligne | Montant (2025) |
|------------------------------------------------|----------------|
| Par requête en appel devant le juge de paix | 26 euros[2][3][1] |
Ce montant concerne les actes introductifs d’instance dans toute affaire civile, dont les recours en appel devant la justice de paix, à partir de mars 2025.[1][2]
[1](https://www.droitsquotidiens.be/fr/actu … augmente-0)
[2](https://www.huissier-dessouroux.be/actu … A8me-ligne)
[3](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr/faq)
[4](https://www.tribunaux-rechtbanken.be/fr/node/1206)
[5](http://justice.belgium.be/fr/nouvelles/ … ieme_ligne)
[6](http://latribune.avocats.be/fr/indexati … u-fonds-aj)
[7](http://justice.belgium.be/fr/nouvelles/ … les_regles)
[8](https://terralaboris.be/spip.php?rubrique4242)
[9](https://extranet.avocats.be/sites/extra … E_2024.pdf)
[10](https://www.rechtbanken-tribunaux.be/fr … roi-i/info)
https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2025/09/23 … nt-a-nouv/
À partir de 2026, les personnes aux revenus "plus élevés", habitant en Flandre, ne pourront plus bénéficier de la prime à la rénovation. C’est ce qu’a décidé le gouvernement flamand dans le cadre du nouvel accord budgétaire présenté ce lundi.
Ce nouveau changement intervient à peine trois mois après la première modification des primes à la rénovation et à l’énergie, entrée en vigueur en Flandre le 1er juillet. À ce moment-là, les aides flamandes étaient déjà réparties en quatre catégories selon les revenus : les personnes aux revenus les plus faibles (groupe 4) pouvaient se faire rembourser 50 % de leurs travaux, celles du groupe 3 bénéficiaient de 35 %, le groupe 2 de 25 %, tandis que les revenus les plus élevés (groupe 1) ne recevaient que 20 % de remboursement.
Avec la nouvelle mesure, les deux groupes les plus élevés ne pourront tout simplement plus prétendre à la prime "MijnVerbouwPremie" (Ma prime de rénovation).
En pratique, cela concerne les 30 % des revenus les plus élevés, soit environ un quart du budget total consacré aux primes à la rénovation. Selon le gouvernement, cette mesure permettra d’économiser 23 millions d’euros en 2026 et 47 millions à partir de 2027.
Contester un permis deviendra plus cher
Par ailleurs, la Flandre a décidé de limiter les possibilités de contester des permis, entre autres en augmentant le coût d'une telle procédure. C'est ce qu'a annoncé lundi le gouvernement flamand.
La Région espère ainsi éviter la mise à l'arrêt de projets immobiliers d'ampleur, pendant de longs mois, par des recours qui parfois n'aboutissent à rien. Ceux qui introduisent des recours jugés nuisibles pourraient d'ailleurs écoper d'une amende.
"Pour le moment, presque tout le monde peut bloquer un projet pendant des mois, pour 100 euros de frais de dossier seulement", expose le ministre flamand de l'Environnement Jo Brouns (CD&V). "Et celui dont le recours nuisible est rejeté ne porte aucune responsabilité", ce que la Flandre a l'intention de changer.
Parallèlement, le ministre assure miser sur le dialogue pour entendre les inquiétudes des riverains et éviter les procédures. Les propositions doivent se concrétiser dans les prochains mois.

Sans oublier l'éventuelle taxation sur la plus-value
Le bail est devenu d'une durée initiale de 9 ans, avec, ensuite des reconductions successives de 3 ans.
2006 --> 2015
2015 --> 2018
2018 --> 2021
2021 --> 2024
2024 --> 31/3/2027
Préavis de 6 mois à donner au plus tard le 30/9/26, pour y mettre un terme, sans explication à donner ni indemnité à payer..
Pour tenter de s'en "débarrasser" plus tôt, vous pouvez lui notifier dès à présent en précisant que si elle veut quitter plus tôt; vous ne lui compterez pas d'indemnité...
ps: votre bail est enregistré ? Le Peb est réalisé et notifié ?
PIM a écrit :Je suppose (à vérifier) que la langue utilisée en Justice de Paix dépend de votre domiciliation.
Et comme Zaventem est en Flandre...Article 4 de la loi du 15 juin 1935 concernant l'emploi des langues en matière judiciaire.
1935 !
Suite à la publication dans La Libre d'un article complémentaire, la réaction de Gilles Tijtgat:
Alors, là, je suis « scotché »….
Une « étude » menée par des « chercheurs » semble avoir posé que les charges supportées par les bailleurs s’élevaient à une moyenne de 10 % du loyer perçu… cette information a été relayée dans La Libre.
Cet article a, je cite, généré des « réactions multiples de professionnels, parfois teintées d’irritation ».
Je ne vais pas me positionner sur la légitimité d’un débat et/ou d’une étude (je ne suis pas chercheur) !
MAIS…
Un nouvel article considère, en titre, que le débat est inutile et, précise ceci :
« En Belgique, les loyers ne sont en effet pas directement imposés mais le sont sur des revenus fictifs établis en 1975 et depuis indexés appelés revenus cadastraux (RC). Et ils ne le sont que sur une portion de ceux-ci, à savoir 60 %, l'État considérant que 40 % sont des frais d'entretien et de réparation.
Mais s'il était prouvé que ces frais sont moindres… ?
Théoriquement, rien n'empêcherait de diminuer cette portion des frais d'entretien non imposables. Ce que suggèrent d'ailleurs les auteurs de l'étude au vu du manque de logements à Bruxelles. »
Ce passage (qui n'est pas corrigé par la suite) semble vouloir faire croire que les bailleurs (personnes physiques qui louent en résidentiel) ne sont « taxés » que sur 60 % du revenu cadastral indexé et que les 40 % non imposables sont un « cadeau » (sous forme de déduction forfaitaire)…
Il n’en est rien !
Madame la journaliste, Messieurs les chercheurs, puis-je vous rappeler qu’une (brève) recherche vous aurait appris que le bailleur voit sa base taxable majorée du revenu cadastral indexé MULTIPLIE par 1,4 et qu’aucune déduction fiscale ne lui est accordée (hors, et c’est d’ailleurs bientôt terminé, les intérêts de l’emprunt hypothécaire contracté pour acquérir l’immeuble loué.)
Pour que vous compreniez bien, si le revenu cadastral indexé est de 10, le bailleur ne sera pas taxé sur 6 mais bien sur 14… et ne pourra rien déduire de ces 14… (qui se rajoutent à ses autres revenus)
Plutôt que de vouloir opposer les personnes sur base de considérations erronées, ne serait-il pas temps d’exposer OBJECTIVEMENT les difficultés que rencontrent toutes les parties en cause, bailleurs, locataires et professionnels de l’immobilier afin de permettre de concilier leurs intérêts en trouvant l’équilibre ?
Mais bon... c'est moins vendeur...☺