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Merci Grmff. Il s'agira donc d'un "ménage de fait" puisqu'il n'y a ni cohabitation légale ni mariage et chacun sera taxé séparément sur ses revenus (https://www.belgium.be/fr/famille/couple/cohabitation). Il y aura juste à prendre qqes précautions à propos des meubles pour éviter des désagréments s'il y a des dettes dans le placard (et éviter les surprises entre cohabitants). Je comprends qu'il n'y a donc pas de souci pour des "étrangers" à être domiciliés dans un même immeuble par convenance.
Bonjour,
Un ami américain et peu au fait de nos lois (comme parfois moi...) doit quitter son logement actuel en BW dans les 3 mois (rénovation par le proprio). Ce moment de l'année est peu propice aux visites immobilières et il cherche un hébergement d'urgence (de 3 mois si ça se passe bien à 3 ans pour disposer du capital nécessaire à un achat). Une de ses relations possède une très grande maison de 5 chambres en Région Wallonne. Suite à son divorce et à son chômage, ce propriétaire ne peut plus assumer l'entretien de l'immeuble. Il se propose de louer deux chambres de la maison, dont une à mon ami, dans une sorte de communauté/colocation de fait où ils disposeraient chacun d'une chambre individuelle et des infrastructures communes (salle de bain, cuisine principalement). Je précise que mon ami travaille et aura besoin d'un domicile, pas d'une chambre d'étudiant.
A priori, cette idée pragmatique me semble ouvrir la porte à des soucis divers:
- peut-on être domicilié chez un ami sans appartenir à un ménage ou à une cohabitation de fait?
- quelles sont les conditions pour prouver cette situation devant des tiers (police locale, fisc, huissier en cas de saisie pour l'un)?
- y-a-t-il des démarches à accomplir ou des précautions à prendre (il ne s'agit pas ici de fraude sociale mais bien de situations personnelles qui se télescopent)
- le propriétaire chômeur ne risque-t-il pas d'être qualifié de cohabitant et voir ses allocations réduites (des parents handicapés, par exemple, qui accueillent un enfant salarié après son divorce)?
Merci d'avance de votre aide.
Bonjour,
Merci de bien vouloir me pardonner si la question a déjà été posée mais je ne trouve pas l'information ni SPF ni ici... Le 30 avril 2020, j'ai vendu un appartement dont j'étais propriétaire en plus de mon domicile et dont je déclarais le RC chaque année. Pour la déclaration de mes revenus de 2020, j'ai donc rempli la case ad hoc au prorata, mais je constate que le SPF a corrigé ma déclaration en m'imputant la totalité du RC annuel. Est-ce normal?
Merci d'avance.
Rexou ne fait, quant à lui, pas nécessairement les bonnes réponses (de mon point de vue) ;-)
Lire
https://www.pim.be/conseils/confier-lexclusivite/
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Pas de "finger-pointing" ici, Rexou secoue parfois le cocotier et c'est productif si on se retire à temps (pour éviter la noix de coco...). Je suis convaincu sur l'avantage de l'exclusivité à la condition, bien argumentée dans la référence, d'avoir bien choisi son partenaire en affaires. Tous les critères exposés dans l'article me semblent pertinents et, si je ne devais pas confier l'exclusivité de la vente à une agence, il me semble que je remplacerai un problème (la vente à un client fiable) par un autre (une cacophonie sur le marché où mon bien finira "brûlé").
Revenons donc à ma question principale: Y-a-t-il un meilleur moment (saisonnier, économique) pour vendre? Et des études auraient-elles, à votre connaissance, approché la question?
Re-
Ce forum reste formidable (je m'y suis fait absent pour diverses raisons) par son enthousiasme et son pragmatisme. Je voulais me prémunir de toute publicité alléchante, j'aurais dû le préciser, car bien sûr comme à tout bien il y a des points faibles et des points forts. Pour répondre à la question : l'appartement est situé au Nord de Bruxelles (à Ganshoren pour être précis) et j'ai acheté là il y a 15 ans car cela correspondait à mes moyens. Je ne donne pas d'autres détails pour situer le bien car il n'est pas dans mes intentions de recruter un intermédiaire ou un acheteur ici, mais seulement de préciser/confirmer/factualiser "mon ressenti".
A ce stade, j'entends que la stratégie est de mettre les agents en concurrence (pour vendre vite? pour vendre au juste prix du marché?). Je rebondis sur l'idée que certaines agences font des visites collectives pour mettre les acheteurs en concurrence (j'ai participé à cela il y a 15 ans et j'avais compris que le but était, pour l'agence, de finaliser la transaction au plus tôt, ce qui n'était pas mon intérêt d'alors).
Avec mon amical souvenir (je suis absent ici depuis 2 ans environ mais je vous tiendrai informés, comme toujours).
Bonjour,
Je possède depuis une quinzaine d'années un appartement rénové, avec garage et cave privés, bien situé et lumineux, dans un quartier résidentiel "classe moyenne" (fonctionnaires, enseignants, employés). Dans notre immeuble, les appartements sont en majorité occupés par les propriétaires, les gros travaux (mise en conformité des ascenseurs, remplacement de la chaudière) ont été faits et les charges sont très raisonnables.
Je ne suis pas agent immobilier, j'en prendrai un, j'espère compétent, mais je souhaite maximiser mes chances (pas le prix !) de trouver l'acheteur qui pourrait être intéressé par ce bien.
Donc, je me demande s'il y a des périodes pendant lesquelles le marché est plus actif et les ventes plus rapides et plus fluides. J'imagine qu'entre novembre et février, entre les journées courtes, les rues sombres, les crachins, les Fêtes en famille et les sports d'hiver, les acheteurs sont moins nombreux. Que de mars à juin, avec les beaux jours, ils prospectent et visitent dans les meilleures conditions. Et que juillet et août sont grillés à cause des grandes vacances (ou pas parce qu'on peut prospecter tranquillement car les communications sont rapides).
Existe-t-il des études sur le sujet? Le comportement des acheteurs est-il avant tout lié à la situation économique plus qu'à la saison? Ou, plus simplement, tout ceci serait-il imprédictible et il me reste à fixer un prix honnête et attendre l'acheteur intéressé (un seul me suffira, de toute façon).
Merci d'avance de partager vos avis.
Bonsoir,
Comme je crois l'avoir exprimé plus ou moins clairement, je souhaite avant tout déterminer où se terminent les pouvoirs de la copropriété à laquelle j'appartiens et où commencent (ou se terminent) les obligations du copropriétaire envahi (donc ni a priori en faute manifeste, ni a priori négligent). Parce que ce type de situation, quand toute une copropriété récolte assez de guano pour faire pousser le jardin en façade, personne n'est heureux et cela risque de se terminer devant le tribunal de paix.
Y-a-t-il des précédents? Une jurisprudence? Un angle d'attaque pour le reste de l'immeuble? Une contre-attaque pour le propriétaire stigmatisé?
Voilà donc ce qui m'intéresse, comme membre du Conseil de Gérance, en priorité: le bon sens d'abord, avant les arguties juridiques.
Merci.
Bonsoir à toutes et tous,
J'étais absent et je n'ai pas recadré ce débat qui se disperse un peu au fil des réponses. Revenons donc, s'il vous plaît, aux obligations de chacun.
D'une part, le propriétaire, qui semble de bonne foi, laisse son appartement vide d'occupant en prévision de travaux, d'une location ou d'une vente. Je doute qu'il soit fautif de laisser ce logement vide. Certes, il a peut-être une obligation de moyen pour chasser les pigeons mais je doute qu'il ait une obligation de résultat.
D'autre part, la copropriété (et le syndic) souhaite le contraindre à entreprendre des travaux (placement de piques et/ou de filets) à ses seuls frais, ce qui est assez coûteux et ne résoudra pas la totalité du problème : les volatiles occupent également la toiture plate au-dessus de cet appartement et, parfois, les autres balcons.
Enfin, l'acte de base est assez restrictif quant à l'aspect extérieur de l'immeuble : interdiction de pendre du linge, de placer des affiches, de changer la couleur des châssis... bref les dispositions classiques. Si un filet fermant le balcon est une solution envisageable (et partielle car elle ne couvre pas les seuils de fenêtre), il me semble évident que l'acte de base ne sera plus respecté (au moins jusqu'à trouver un nouvel occupant).
En attendant, la situation s'envenime doucement... Je proposerais (j'ai été élu au Conseil de Gérance) des mesures conservatoires aux frais de la copropriété pour vider le contentieux mais un avis juridique me semble judicieux ici.
Merci d'avance de vos avis éclairés.
PS: Il m'est déjà arrivé de sermonner des voisins qui nourrissent les pigeons dans les pelouses en face avec leur vieux pain et je vous assure que j'ai été très froidement reçu...
Bonjour à toutes et tous,
Dans notre copropriété, un appartement en ville est temporairement vide. Malheureusement, des pigeons ont rapidement investi le balcon (et la toiture plate de l'immeuble) et garnissent les balcons des étages inférieurs de leurs déjections. Le nettoyeur de l'entrée au rez doit frotter plus souvent qu'à son tour. Le propriétaire a été prévenu par le syndic des nuisances. Il a mis un système à ultra-sons (rechargeable par cellule photo) et des "épouvantails à oiseaux" qu'on trouve sur le web. Malheureusement, le système le plus efficace, à base de naphtaline, est interdit en Europe (c'est un dérivé du pétrole). Il y a un mieux avec ces bricolages mais insuffisant aux yeux de la copropriété. Celle-ci envisage d'exiger le placement de "piques" sur la longueur de la façade de ce copropriétaire, un filet pour fermer le balcon (perte de jouissance et inesthétique) et à ses frais. Il refuse à cause du coût, du fait que l'entretien de la façade relève de la copropriété et que les nuisances ne sont pas liées à son seul appartement (il y a aussi la plate-forme).
Avez-vous des précédents connus et des suggestions pour régler cette situation au mieux des parties?
Merci d'avance.
Bonjour,
J'ai le même souci que vous. Depuis la succession de mes parents, je reçois, pour des petits montants, le précompte immobilier à payer pour deux terrains dont, mon frère, ma soeur et moi, avons hérité et que nous souhaitons garder. Je présume que je suis taxé pour la totalité, à charge pour moi de recouvrer la part des deux autres. Alors même que le cadastre et le ministère des Finances savent très bien que je n'en possède que 33%. A noter que l'an dernier, j'ai oublié de payer et que j'ai reçu une mise en demeure pour mes seuls 33%. Est-ce que tout ceci est bien légal? Et si mon frère et ma soeur refusent de me rembourser, suis-je tenu pour le tout?
Merci d'avance.
Bonjour,
Quelques héritages nous ont apporté, à ma soeur, mon frère et moi, deux ou trois terrains de petit RC (de 50 à 80 euros/an pour le plus grand). Chaque année, le fisc m'envoie une invitation à payer, adressée à moi seul "M. Tartampion et consort" où il m'impose pour le tout, à charge pour moi de récupérer les parts respectives de mon frère et de ma soeur. Le cadastre connaît pourtant leurs identités et leurs parts.
Est-ce une procédure normale? Suis-je lié pour le tout (cela pourrait se comprendre en cas de contentieux, ce qui n'est pas le cas ici)? Le fisc ne devrait-il pas imposer chacun au prorata de sa part?
Merci de votre aide.
N'oubliez pas que le syndic a un contrat - dont vous avez normalement copie - et que ce contrat devrait prévoir pas mal de choses: recouvrement des impayés, rencontres régulièrement avec le syndic (2 ou 3 par an) etc. C'est aussi une bonne base de contrôle, même si je pense que les moyens de contrôle devraient être inclus dans le contrat: cela aurait le mérite d'être clair pour les deux parties.
Le reste est régi par le code civil.
Merci Luc. En effet le schéma est le même. Je ne suis pas juriste mais j'ai - je crois - de bonnes bases en droit. La liste des inactions du syndic, de ses manquements, de la facturation de prestations inexistantes ou comprises dans son contrat est longue comme le bras. Et comme maintenant la coupe est pleine, je suis arrivé aux mêmes conclusions que vous: un plainte au pénal contre le syndic, une plainte à l'IPI pour les en informer et une citation pour le CdC qui devient complice. Mais franchement, dans une vie active, on n'a quand même autre chose à faire.
Bonjour et merci de vos réponses.
Je vais préciser l'ordre habituel des points à l'agenda (de mémoire): vérification des présences, quote-part et quorum à atteindre pour ouvrir l'AG, élection d'un président et d'un secrétaire (qui est toujours le syndic car il a décidé que ce doit être comme ça - il vient avec un PV prérempli), rapport et approbation des comptes, quitus et redésignation du syndic. Ensuite seulement, on discute des points à l'ordre du jour amenés par les CP, en général tout ce qu'il n'a pas fait pendant son mandat, qu'il s'engage à faire et qu'on ne verra jamais fait avant l'AG suivante (des exemples, j'en ai plein).
Et quand je souligne qu'il est anormal de voter sa reconduction avant même d'avoir discuté de sa gestion ou que je lui demande de quitter la pièce pour discuter entre copropriétaires, il refuse.
Cette année, j'ai mis au vote que la reconduction du syndic se fera en fin de séance. Si l'AG ne suit pas, je sais que ce qu'il me reste à faire...
Bonjoursoir,
Un souci de détail que, je crois, la loi ne règle pas. Notre syndic place toujours sa décharge et la reconduction de son mandat dans les premiers points de l'ordre du jour. Avant d'aborder ensuite les discussions qui fâchent sur les travaux toujours reportés, le recouvrement des impayés etc.
J'ai déjà fait remarquer en AG que l'ordre des points biaisait les débats et que, en toute logique, décharge et reconduction ne pouvaient venir qu'en fin de séance.
Alors, selon vous, qui a raison et qui est responsable de définir l'ordre des points à l'agenda? Moi, je pense que c'est une prérogative du CdC.
Merci.
Bonsoir et bienvenue au club, mon cher.
L'IPI a un jour "certifié que la compta était juste et transparente" en se gardant bien de remarquer qu'elle n'était pas conforme. Alors, il va un jour falloir se poser la question du rôle de l'IPI. Pour ma part, je crois que c'est une coterie d'avocats sans cause qui profite des cotisations de ses membre en se gardant de toucher à la poule aux oeufs d'or. Car enfin, quand un syndic se fait foutre 3 fois à la porte dans le même quartier et fait l'objet d'une plainte par an, pas toujours bien écrite mais souvent factuelle, l'IPI pourrait au moins débarquer au bureau du syndic et poser des questions. Manifestement, ils ne l'ont jamais fait.
Sur conseil de mes avocats, je ferme ma gueule, je compte les points et un jour j'enverrai le dossier au pénal.
Bonsoir,
Merci du suivi. J'étais en effet arrivé à cette conclusion de faire revoter le point en AG (et en me taisant sur mes raisons).
Il faut bien comprendre que le "copropriétaire moyen" veut avant tout "la paix". Ce qui laisse bien sûr les mains libres au syndic pour facturer des prestations qu'il n'effectue pas et facturer des prestations qu'il effectue mais qui sont dans son contrat de base (authentique !). Tous les coproprios ont reçu le contrat, à ma demande. Croyez-vous qu'ils l'aient jamais lu? Et croyez-vous qu'ils soient contents quand je les confronte à leurs propres manquements?
Pour l'avocat, vous avez entièrement raison. J'en ai un excellent, en effet à 150 euros+TVA. Il m'a déjà coûté un pont pour les quelques procès qu'il a gagnés. Son conseil? Laisser tomber car le jeu n'en vaut pas la chandelle.
Aujourd'hui, chère Panchito, tout le monde s'en fout (dans l'IT aussi, d'ailleurs), ce qui laisse champ libre aux lâches et aux profiteurs. Et demande des efforts démesurés aux gens comme moi. Triste époque.
Bonjour,
Pour Luc, j'ignorais qu'il faille introduire une plainte en Justice de Paix quand une décision de l'AG contrevient à une disposition légale impérative. Et je pense même que personne ne le sait en AG. C'est quand j'avais rappelé cet article pour me plaindre du manque de transparence du Conseil de Copropriété, que l'AG a finalement décidé qu'un suivi semestriel ne l'intéressait pas et a déchargé le Conseil de Copropriété de son obligation.
Au reste, cela me semble un peu facile: il suffit de voter ce qui plaît, attendre 4 mois et le code civil sert à tapisser? Tous les coproprios ne sont pas juristes... Pour ma part, j'ai toujours pensé qu'une disposition impérative prévalait et que si la copropriété forcée est en quelque sorte un contrat, les dispositions contraires au CC sont simplement nulles.
BàV et bon week-end.
Bonjour à tous,
Merci de votre réponse complète et animée mais, comme (presque) toujours professionnelle et aidante.
Quelques réflexions au passage:
- Comme je le soupçonnais, l'intention du législateur est bien que chaque copropriétaire s'implique davantage dans la gestion de "son" immeuble et donc que cette gestion se déroule dans la transparence. Cela étant, Il me semble difficile pour un citoyen "lambda" de s'opposer dans les 4 mois à une décision à priori illégale (la disposition est impérative mais, comme elle n'est pas d'ordre public, si j'ai bien tout compris, il serait possible d'y déroger). En tout état de cause, il aurait fallu - le délai de 4 mois est passé - porter plainte au Tribunal de Paix, engager un avocat spécialisé et en assumer les frais. Pour si peu? Cette démarche vindicative paraît a priori excessive, alors même que les conséquences des décisions de l'AG - qui aurait dû être conseillée par le syndic (cela l'arrangeait bien) et par... un avocat inféodé à l'IPI amené par un coproprio et qui s'est tu (bravo la déontologie) - peuvent être lourdes de conséquences pour tout copropriétaire. Soit.
- Dans un autre article de ce forum - je vous lis encore régulièrement - j'avais compris que les dispositions à l'encontre d'une règle impérative sont nulles (de là ma question initiale). Donc, je comprends moins bien pourquoi j'aurais dû m'y opposer dans les 4 mois.
https://www.pim.be/faq-items/distinctio … suppletive
- Pour Panchito - Je comprends votre agacement à propos de "l'indolence du belge moyen" et je remercie les autres forumeurs d'avoir recadré ma question "pour prendre ma défense". Cela étant, d'autant plus parce qu'il passe par un canal de communication "moderne" et "anonyme", l'impact émotionnel de vos mots est d'office exacerbé. Et donc malvenu. A mes 50+ ans, informaticien de métier, je commence à croire que "ce que l'IT est devenu" (et nous sommes très loin de mes cours idéalistes à l'université) est une des pires communications qui soient. Pour les courriers délicats et les attentions personnelles, je suis revenu depuis quelques années au courrier papier. Cela dit, j'ai appris en travaillant pour les Américains (que je ne vénère pas), qu'il n'y a jamais de question idiote: en général, de l'autre côté de l'Atlantique, quand on pose une question, c'est qu'on a besoin d'une information - ce qui était mon cas. A côté de cela, il y a quelques troglodytes (et ceci est pour vous :-) ) qui traînent encore chez nous et qui, quand on leur demande, alors qu'ils savent, "comment je dois connecter cette imprimante?" répondent "ahahah... on ne t'a rien appris à l'université?" Personnellement, c'est toujours vexant. Socialement, c'est pénalisant et handicapant. A cet égard, nous avons à apprendre de nos éloignés cousins que les questions doivent aider à grandir, non à rapetisser.
Merci à tous.
Bonjour,
La loi du 6 mai 2010 impose dans l'article 577-8/1 "Le conseil de copropriété adresse aux copropriétaires un rapport semestriel circonstancié sur l'exercice de sa mission." Il s'agit donc bien d'un rapport dressé par le conseil de copropriété - et non par le syndic.
Question: cette disposition est-elle d'application impérative ou supplétive? En d'autres termes, si le Conseil de copropriété "s'arrange" (comme chez moi) pour faire voter en AG que cette disposition ne sera pas respectée, ne commet-il pas une faute qui pourrait engager sa propre responsabilité? (des travaux engagés d'urgence mais sans réelle nécessité, par lui seul, sans aucune information des autres coproprios, par exemple).
Merci.