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Ne vaut-il pas mieux attendre l'huissier et de faire intervenir l'expert judiciaire ?
Non. Conservez le mail, trouver un témoin impartial (si possible pas un de vos proches) et allez rapidement sur place pour constater ce qu'il en est et relever les compteurs.
Imaginez le pire : vous êtes tombé sur un locataire "roi de idiots". Tous les robinets sont ouverts et l'eau déborde partout : dégâts considérables et facture d'eau dont il faudra éviter de devenir responsable.
Ne pas traîner est essentiel !
Au plus vite vous agissez, au moins on peut prétendre que c'est vous qui avez généré les dégâts. Mais faîtes le avec un témoin.
J'ai lu dans le forum qu’il est parfois conseillé d’aller sur place avec un témoin pour confirmer que le locataire est bien parti et relever les compteurs, mais que se passe-t-il s’il y a beaucoup de dégâts étant donné qu’il n’y a pas d’état des lieux de sortie ?
Le but de l'état des lieux est de démontrer l'état du logement. Détecter tous les dégâts. Idéalement de manière contradictoire, à défaut grâce à témoin, photos, vidéos...
Le chiffrage en € des dégâts peut, lui, avoir lieu postérieurement avec un expert si besoin.
Mon pif me dit (comme dirais un Pimonaute non modérable) que cela dépend éventuellement de la façon dont la propriété a été démembrée.
Si le démembrement vient d'un acte notarié (acquisition démenbrée, donation de l'usufruit par exemple), il y a peut-être des clauses dans l'acte de démembrement qui impose des règles à respecter en cas de vente.
Prudence donc !
Mais en principe, c'est un point que le notaire doit vérifier avant de passer l'acte authentique.
Si le démembrement est issu d'une succession simple (pas de testament), je peux entendre la réponse de Pim.
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Merci.
Merci pour ces premiers retours.
Vous pouvez donc demander simplement un mandat à votre maman, stipulant que vous la représentez pour tout ce qui concerne le bail. En justice néanmoins, vous devrez obtenir sa signature dur la requête.
Est-ce que vous évoquez ici le mandat extrajudiciaire ?
Dans ce cas, dois-je signer le bail en tant que bailleur ou en tant que mandataire représentant le bailleur ?
Sinon, vous pouvez demander une autorisation à votre maman pour la représenter intégralement, et pour être bailleur à sa place. Un peu comme pour un régisseur de bien.
Point n'est besoin d'être propriétaire pour être le bailleur...
Quelles seraient les formes utiles pour cette autorisation ?
Bonsoir,
La question concerne une habitation principale en région wallonne que je (nous) vais proposer à la location.
Je gère toutes les affaires administratives et bancaires de ma maman qui se fait vieille.
Jusqu'à présent, c'est toujours elle qui signait le bail d'une maison qu'elle met en location.
Le locataire actuel va partir incessamment et je vais chercher un nouveau locataire.
C'est moi qui vais le sélectionner (comme déjà le cas précédemment) et m'occuper du bail, de la caution, de tout éventuel passage en justice ultérieurement...
Vu la situation, j'aimerais apparaître comme bailleur de la maison vis-à-vis du locataire.
Je n'en suis cependant actuellement pas propriétaire (et je ne détiens aucun autre droit dessus).
Nous envisageons une donation avec réserve d'usufruit prochainement, mais cette étape n'est pas encore réalisée.
1) Puis-je signer le bail en tant que bailleur ?
Si oui, quel document devons-nous établir entre nous par ailleurs pour que j'aie le droit de le faire ?
Dans ce cas de figure, le bail peut-il prévoir que le loyer soit versé sur le compte bancaire de maman (qui n'apparaitrait donc pas comme signataire du bail) ?
2) Est-il incontournable que maman reste le bailleur et que donc je ne puisse signer le bail qu'en tant que mandataire ?
Dans ce cas, il va de soi que le document à établir entre nous est un mandat.
3) Dois-je louer la maison avec autorisation de sous-location ?
Un bail de sous-location doit-il le préciser et faire référence au bail principal ?
D'un point de vue fiscal, comme il s'agit d'une habitation à vocation de résidence principale (et sera louée à cette fin), cette solution a-t-elle des incidences pour la déclaration fiscale de maman et la mienne ? Lesquelles ?
4) Y a-t-il une autre possibilité que les 3 citées ci-dessus (bailleur, mandataire, sous-location) ?
5) Quels seraient pour vous les points sur lesquels rester vigilants ?
Merci de vos éclairages.
Je n'ai pas très bien compris votre situation "J'ai laissé courir le bail . Le bail a été dépassé de 6 mois".
Si le renom n'est pas valable, il n'est pas illogique que le locataire ne permette pas les visites pour une relocation.
Votre renom est-il bien valable ?
Merci Mr Deckers.
Ca me rassure d'être arrivé au même résultat.
Les données :
1. le montant du loyer de base : 700€
2. la date de signature du bail : 22/01/2022
3. la date de prise d’effet du bail : 01/04/2022
4. région concernée : Wallonie
5. Bail enregistré
6. PEB valide : E
Les index :
12/2021 : 115.6
03/2023 : 127.8
03/2024 : 131.75
Mon calcul :
A - Loyer à partir d'avril 2023 sans limitation : 773.88€ (700*127.8/115.6)
B - Loyer limité (E = 50%) à partir d'avril 2023 : 736.94€ ((773.88-700)/2+700)
C - Loyer à partir d'avril 2024 : 759.72€ (736.94*131.75/127.8)
J'ai des doutes sur mon calcul C. Et je n'ai que 3 étapes et pas les 4 décrites dans le mode d'emploi sur PIM.
Ai-je bon ou me suis-je trompé quelque part ?
Merci de votre aide.
Pour la nouvelle sdb au grenier, il y a une réelle différence (qui peut avoir un impact sur le revenu cadastral du bien).
Par contre, quelle est la différence entre une chambre et un grenier d'un point de vue urbanisme ? Je n'en vois pas.
Si les chambres sont chauffées, cela peut aussi avoir une incidence sur le revenu cadastral (augmentation de la surface habitable et du nombre de pièces). Mais pour l'urbanisme ?
Ce serait différent pour l'urbanisme si ce grenier devait devenir un second logement. Là c'est clair, mieux vaut sécuriser votre offre si votre but est de louer le grenier comme logement.
Mais l'appellation "grenier" ou "chambre"... pour ma part je ne vois pas matiére à fouetter un chat.
Me trompe-je ?
Je mets en location une maison depuis 26 ans. Elle a régulièrement changé de locataire.
Je viens de la relouer cette semaine.
Cette-fois-ci, je constate une situation très différente de ce que j'ai connu jusqu'à présent :
- une trentaine de demandes d'information (traditionnellement moins de 10) ;
- maison louée en 4 jours (traditionnellement de 15 jours à 1 mois) ;
- une douzaine de visites organisées : aucun lapin (traditionnellement il y en a toujours eu plusieurs) ;
- deux annulations de visites, toutes les 2 annulées de très longues heures avant le rdv prévu ;
- les deux candidates ayant visité et n'étant pas intéressées m'ont fait un retour en moins de 24h (traditionnellement on se quitte sur "on réfléchi et on vous rappelle... sans jamais de suite) ;
- j'ai vraiment pu "choisir" mon locataire (ça n'a pas toujours été le cas).
Alors bien sûr; il y a 26 ans, c'était par petites annonces dans les journaux locaux et pas par internet. Mais ce n'est pas non plus la première fois que je mets les annonces sur internet.
Cette expérience n'a bien sûr rien de scientifique et ne reflète certainement pas une généralité.
Je suis néanmoins étonné de toutes ces constatations... et donc je vous le partage.
Ma compréhension de la réponse de GT est qu'il vous a bien répondu :
Le texte légal ne fait pas de distinction pour le délai de transmission selon que le PV contienne les décisions prises par une AGO ou par une AGE.
mais le bail de 3 ans risque de se transformer en bail de 9 ans apres les 3 ans
Oui, mais si après 2 ans et 9 mois je n'ai eu aucun souci avec le locataire, je suis ravi de le laisser poursuivre son bail.
Je croise alors les doigts pour qu'il reste le plus longtemps possible.
Par contre si je ne suis pas satisfait de la relation, j'envoie la confirmation de fin de bail avant l'échéance de 2 ans et 9 mois.
L'avantage du bail court (= max 3 ans), c'est de pouvoir mettre fin à la relation au pire après 3 ans.
Quand c'est un emmerdeur, c'est long, mais c'est un bout de tunnel dont on peut voir la fin.
Si pour vous la formule 6 mois c'est trop court (et oui, en milieu rural c'est court), vous pouvez faire n'importe quelle durée qui vous arrange pour autant que vous ne dépassiez pas 3 ans :
- 1 an + 2 ans
- 18 mois + 18 mois
- 2 ans + 1 an
-...
A vous de trouver le bon équilibre entre vos intérêts et ceux des locataires.
Je ne fais que des baux de 3 ans.
Je trouve le bail court plus confortable que le bail de 9 ans, même si je n'ai plus souvenir d'un locataire qui soit resté 9 ans.
Et mon organisation et mes objectifs personnels font que un bail plus court que 3 ans, ça m'emm...
Je trouve l'idée de Grmff du bail de 6 mois une très bonne idée, mais même si je trouve l'idée séduisante, ça ne me convient pas.
Et chaque fois que je suis tombé sur un très mauvais locataire pour lequel j'ai dû aller en justice, sauf une seule fois, avoir fait un bail de 6 mois n'aurait probablement rien changé.
Mais je ne loue ni studio ni appartement. Uniquement des maisons unifamiliales.
Et pour mon marché, je pense (peut-être à tort) que proposer un bail de 6 mois risquerait de faire fuir les candidats à la location.
J'entends plus souvent l'argument "trois ans c'est trop court" que "trois ans c'est trop long".
Mais ce n'est que mon avis.
Quant au bail long de 9 ans : jamais.
J'attire votre attention sur le fait que si vous faites une expertise immobilière dans le but de négocier avec une banque, il est fréquent que les banques aient leurs propres listes d'expert.
Dit autrement, si l'expert que vous choisissez n'est pas agréé par la banque X, celle-ci pourrait ultérieurement vous demander de refaire une nouvelle expertise avec un expert de sa liste à elle (et donc de devoir payer une seconde fois).
Vous m'avez perdu : le preneur demande... le preneur accepte (c'est bien, il est d'accord avec lui-même)... le preneur ne veut rien savoir (ah il n'est plus d'accord avec lui-même ?).
Soit il y a de la schizophrénie dans l'air , soit il aurait fallu écrire bailleur à la place de preneur quelque part, non ?
Je vous demande alors qu'elle application du faux et usage de faux en copropriété car les agents immobiliers et les notaires doivent lire les actes.
Mon étonnement?
Moi j'ai questionne et mes avocats ainsi que des organisme m'ont confirme qu il fallait un syndic ayant habileté et les livres de Moitié et Wahl en parlent ouvertement. Mais je dois me tromper dans l'immobilier? L'ipi avait confirme par hoe indirecte aussi mais je dois me tromper.
Mais au vu de d'autres exemples qui corroborent, je crois toujours aux bons agent mais je crois de plus en plus les détracteurs sur des situations réelles et avec des preuves réelles.
Je ne m'étonne plus des chiffres des dégâts et incendie, j'étais un naïf je reconnais
ChatGPT sort de ce corps !
Si je comprends bien, il y avait un bail écrit en 1997.
Si je comprends bien, il y a eu un nouveau bail écrit en 2012 qui aurait été perdu par toutes les parties.
Si une copie du bail écrit de 1997 existe encore chez l'une des parties ou à l'enregistrement, je ne vois pas en quoi il faudrait retranscrire un bail verbal...
Est-ce que la seule différence entre la version 1997 et la version 2012 est le montant du loyer ou y a-t-il eu en 2012 d'autres modifications ?
Si le seul élément est le prix, recalculez l'indexation depuis le bail de 1997 et continuez sur cette base.
Si on veut être visible, Immoweb me semble être incontournable, de manière générale.
Peut-être que localement sur Charleroi (que je ne connais pas), existe-t-il une alternative concurrente à Immoweb qui soit efficace, mais si le bien peut intéresser du public au delà du cercle local, Immoweb me paraît obligatoire.
Après, si le bien et son prix sont tels que vous savez qu'il partira instantanément au prix, une simple affiche sur l'immeuble peut parfois suffire...
J'ai toujours connu la gratuité de la consultation informative chez un notaire (l'acte est payant, mais l'information était gratuite).
Un notaire annonce une tarification horaire pour de la consultation.
Y aurait-il eu un changement législatif récent qui m'aurait échappé sur ce grand principe ?
le contrat vient d'une agence immobilière alors je ne sais que penser
Pour ma part, ça sent l'agence de branquignolles.
Parce que les durées des baux et les modalités pour y mettre fin, ça fait un paquet d'années que l'extrait que vous avez recopié n'y est plus conforme.