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Voyez également ce fil de discussion qui peut veut éclairer utilement sur la manière dont se passe un partage lorsque les ex-conjoints ne s'entendent plus.
Cordialement,
Amélie,
Il semblerait en effet que vous ne comprenez pas tout à fait ce que c'est qu'une vente, et une vente d'immeuble en particulier.
Selon la loi, il suffit qu'il y ait un accord sur la chose vendue et sur son prix pour que la vente soit parfaite. Nul besoin donc de témoins. Lorsque vous achetez votre pain chez le boulanger, le faites-vous en présence de témoins ? Avouez que ce ne serait pas très commode. Eh bien, la vente d'une maison ne diffère pas de l'achat d'un pain, du moins sur le principe.
La vente d'un immeuble est un peu plus complexe en ce qu'il faut convenir du délai pour le paiement du prix, les sanctions en cas de défaut, les garanties offertes par le vendeur, l'occupation des lieux, l'entrée en jouissance, le transfert de propriété, la situation urbanistique, et je peux continuer comme ceci pendant encore quelques temps.
C'est pourquoi il est habituellement fait usage d'un écrit, appelé compromis de vente, pour servir de preuve entre vendeur et acheteur de tout ce qui a été convenu à l'occasion de la vente. Vous voyez que c'est une matière relativement complexe, d'où la suggestion de Pim de vous faire assister par un professionnel de l'immobilier, quand bien même cela n'est pas obligatoire. Il y a souvent un prix à payer, qui correspond à un pourcentage du prix de vente en général.
Une fois la vente intervenue, il faut encore passer une formalité qui est obligatoire pour que celle-ci soit opposable aux tiers (c'est-à-dire tout le monde qui n'est ni vendeur ni acheteur) : la vente doit être constatée par un acte authentique. Un acte authentique constate donc une vente intervenue précédemment. Un acte authentique ne peut être reçu que par certaines personnes désignées par la loi, la plus connue étant le notaire. Le passage par un notaire est donc une étape obligatoire dans une vente immobilière.
Il y aurait beau avoir autant de témoins que vous le voudrez, à défaut d'acte authentique, votre grand-mère serait réputée rester propriétaire des lieux à l'égard des tiers, comme par exemple le fisc, des voisins mécontents, ... Vous voyez où je veux en venir ? Pas de possibilité d'y échapper donc.
Si donc vous ne maîtrisez pas la matière et que vous voulez éviter de gros problèmes potentiels, faites recours à un professionnel.
Bien à vous,
faut dire aussi que nous disposons de 30% et que la banque "de woningfonds" va nous preter 70% est ce que ca joue en notre faveur? en ajoutant que je suis invalide a 66%...
Prêter à intérêt sans risque majeur. Vous êtes le rêve de tout banquier en quelque sorte.
Allez, détendez-vous, je sens que c'est bien parti.
Bonne soirée.
Loin de moi l'idée de vouloir vous faire peur.
La loi relative à la Centrale des crédits aux particuliers précise que "Afin d'obtenir des informations sur la situation financière et la solvabilité de l'emprunteur, les prêteurs consultent la Centrale préalablement à la conclusion d'un contrat de crédit à la consommation ou à la remise d'une offre de crédit hypothécaire."
L'offre de prêt est le document dans lequel se retrouvent les éléments essentiels du prêt proposé (taux, durée, révisions, tableau d'amortissement, modalités de remboursement, causes d'exigibilité avant terme, etc.). Lorsque ce document vous est transmis, c'est que le contrat est prêt à être conclu.
Je ne sais pas quand vous avez fait votre demande de prêt, mais il suffit d'expliquer le gros stress que vous vivez et de compléter spontanément votre demande de prêt de cette nouvelle information. Si les ouvertures de crédit en cause ne sont pas prélevées, il ne devrait y avoir aucun problème majeur, quitte à convenir que vous annulerez ces contrats.
Autrement dit, cartes sur table, c'est souvent le système qui fonctionne le mieux. Saviez vous que créance et croyance ont la même racine etymologique, à savoir credere en latin ?
Au fait, si vous en êtes à la signature du compromis, vous avez bien prévu une condition suspensive en sorte qu'en cas de refus de prêt par le Woningfonds, le vendeur et vous, vous vous quittez en bons amis ?
Bien à vous,
Il s'agit de cartes de crédit qui vous ouvrent une ligne de crédit. L'organisme est légalement obligé de consulter la Centrale des crédits aux particuliers et va immanquablement trouver trace de vos crédits. Vous avez donc tout intérêt à les déclarer d'emblée.
Pour ce qui est de l'annulation des lignes/ouvertures de crédit, le mieux est d'en parler avec la personne qui examine votre dossier.
Au fait, vous achetez dans quelle Région (la Flandre je suppose) ?
Bien à vous,
Si un jour, un tel arrêté royal est publié, nous y verrons peut-être plus clair…
A moins que, une fois ce travail herculéen achevé, l'on se rende compte qu'il n'a pas été tenu compte de toutes les situations particulières pouvant se présenter 
Il faut chercher dans le règlement général des installations électriques et oui, à ma connaissance, une installation électrique ne peut être mise en service que si elle est conforme à ce RGIE. A cet effet, un organisme de contrôle agréé (il y en a plusieurs) délivre une attestation de (non-)conformité de l'installation inspectée. Cette attestation reste valable pendant un certain temps (25 ans je pense pour les installations privées).
Il faut en outre distinguer les obligations qui reposent sur un propriétaire de celles d'un bailleur. Le Code du logement bruxellois par exemple impose que le logement loué soit équipé d'une installation conforme.
Idem d'ailleurs en matière d'installations de gaz, sauf en ce qui concerne la conformité lors de la mise en service d'une nouvelle installation.
Ceci est une réponse sans avoir consulté les sources. Mais si vous avez une question particulière, n'hésitez pas de le préciser.
Bonjour,
En cas d'incendie, qui est tenu responsable, le locataire ou le bailleur?
Qu'en est-il d'un abandon de recours?
Le locataire a-t-il une obligation de s'assurer contre l'incendie?Merci pour vos réponses.
Etes-vous confronté à une situation particulière ?
Bien à vous,
Pour rappel, le congé n'a pas été notifié dans le délai requis pour qu'il soit mis fin à votre bail à l'échéance du 1er triennat. Cela reporte les effets du congé à l'échéance du 2nd et le bailleur vous doit une indemnité pour cela.
C'est maintenant à vous de déterminer ce que vous souhaitez faire. Rester, partir, à quel moment, etc. N'oubliez pas que vous pouvez notifier un contre-préavis d'un mois.
Pour mettre les choses bien au point, rien de tel qu'une lettre claire dans laquelle vous exposez votre point de vue sur la situation. Vous pouvez conclure soit en faisant une contre-proposition, soit en demandant au propriétaire de confirmer ses propos.
Cela vaudrait peut être la peine de vous faire assister. J'ai vu dans un autre salon qu'un pimonaute a obtenu d'excellents résultats grâce à la legal hotline ...
Cordialement,
Etes-vous propriétaire ou locataire ?
Cordialement,
yes
mon franc est tombé
Heu, on est passé à l'euro tout de même 
Il y avait en outre des clauses dans l'acte de base qui séparaient les quotités de manière bizarre, en séparant le garage du reste, avec quasi un "hors copropriété"
Parties communes spéciales et parties communes générales ?
C'est une technique assez bien utilisée lorsque au sein d'une même CP, il y a des parties communes qui sont à ce point différentes qu'elles méritent un régime distinct.
Exemple : un copropriété avec un jardin commun, mais avec deux bâtiments distincts ayant des caractéristiques propres et un usage différencié des parties communes générales.
Bien que nous attendions avec impatience l'intervention de Luc, la loi permet une combinaison entre un critère de valeur et un critère d'utilité.
Bien à vous,
www.avocat.be . Pour le prix, il faut poser clairement la question. De plus en plus, les avocats proposent des conventions claires à ce propos.
Cordialement,
Concernant les travaux, je ne suis pas tout à fait d'accord avec Gof. Le propriétaire est tenu de faire les travaux qui lui incombe, afin que le locataire puisse jouir paisiblement dans son bien (j'adore cette expression...) Le locataire est donc tenu de laisser faire les travaux de remplacement et d'entretien: peintures, remplacement de robinets, de baignoire, de carrelage dans les salles de bain, de WC, de tuyauterie vétuste ou en plomb, etc.
Par contre, le locataire n'est pas tenu de laisser faire des travaux qui modifient le bien: percement de fenêtre, pose d'une véranda, nouvelle cuisine équipée, remplacement du jardin par un immeuble à appartement...
C'est pourtant exactement ce que j'essayais d'expliquer. Je suis un nain compris
.
Ok pour les travaux de réparation et d'entretien qui incombent au propriétaire. Par contre non à ceux qui ont pour objet de complètement transformer les lieux.
Bien à vous,
Le rôle du juge est de rendre justice sur les demandes qui lui sont soumises. Il ne lui appartient par contre pas de conseiller les parties au procès, bien au contraire.
Par contre, un avocat pourrait vous être de bon conseil. En lui soumettant les pièces de votre dossier, il devrait être à même d'évaluer les possibilités qui s'offrent à vous.
Bien à vous,
A moins qu'il estime avoir commis une faute qu'il entend assumer à charge de sa cassette personnelle.
Le cas échéant, ce serait tout à son honneur.
Cordialement,
En vérité, le bailleur qui souhaite donner un congé à son locataire au motif qu'il souhaite réaliser des travaux dans son bien ne peut le faire, du moins dans votre cas, s'agissant d'une maison du type unifamilial, qu'au terme d'un triennat.
En outre, selon les termes du Code civil, il faut que les travaux
- respectent la destination des lieux telle qu'elle résulte des dispositions légales et réglementaires en matière d'urbanisme;
- affectent le corps du logement occupé par le preneur et
- soient d'un coût dépassant trois années du loyer afférent au bien loué ou, si l'immeuble dans lequel est situé ce bien comprend plusieurs logements loués appartenant au même bailleur et affectés par les travaux, d'un coût global dépassant deux années de loyer de l'ensemble de ces logements.
(...)
Le bailleur doit communiquer au preneur, soit le permis de bâtir qui lui a été octroyé, soit un devis détaillé, soit une description des travaux accompagnée d'une estimation détaillée de leur coût, soit un contrat d'entreprise.Les travaux doivent être commencés dans les six mois et être terminés dans les vingt-quatre mois qui suivent l'expiration du préavis donné par le bailleur au, en cas de prorogation, la restitution des lieux par le preneur.
(...)
Lorsque le bailleur, sans justifier d'une circonstance exceptionnelle, ne réalise pas les travaux dans les conditions et le délai prévu, le preneur a droit à une indemnité équivalente à dix-huit mois de loyer.A la demande du preneur, le bailleur est tenu de lui communiquer gratuitement les documents justifiant de la réalisation des travaux dans les conditions prévues au présent paragraphe.
Les parties peuvent cependant convenir d'exclure ou de limiter cette faculté de résiliation anticipée.
Le bailleur a le droit d'effectuer des travaux dans le bien pendant votre occupation. La plupart des baux prévoient d'ailleurs que dans ce cas le preneur n'a droit à aucune indemnité, même si les travaux dépassent un délai de 40 jours.
Mais une des obligations du bailleur consiste néanmoins à vous permettre de jouir paisiblement des lieux en sorte qu'il faut une certaine mesure dans l'exécution des travaux. J'ai cru comprendre que le projet envisagé par le propriétaire est très important en sorte que cette juste mesure ne puisse être respectée par lui.
D'un autre côté, vous avez trouvé un autre logement au 1er juin.
Il me semble que dans ce cas, il vaudrait mieux suivre le conseil de Grmfff!, à savoir de proposer au bailleur de mettre un terme au bail au 31 mai 2008, à charge pour lui de vous indemniser correctement pour les désagréments qu'il vous fait subir.
Vous êtes dans votre 2e triennat. Par référence à la possibilité du bailleur de mettre un terme sans motif à la fin du 2e triennat moyennant paiement d'une indemnité équivalent à 6 mois de loyers, je lui proposerais cela.
Bien à vous,
J'ai finalement pu obtenir par mon notaire mon abbatement de 7500euro!!
C'est une excellente nouvelle ça.
Par curiosité, comment explique-t-il que cela soit encore possible aujourd'hui ?
Cordialement,
In dubio contra fiscum. La loi fiscale s'interprête de manière stricte et le doute sur l'interprétation d'une clause profite toujours au redevable.
Mais dans l'hypothèse évoquée, il n'y a pas de doute. Il faut, mais il suffit de maintenir votre domicile pendant au moins 5 ans sur le territoire de la Région pour que l'abattement vous soit définitivement acquis.
Bien à vous,
Ma consultation se paye en chocolat. Et celle-ci vaut bien 3 boites d'un kilo!!! (une pour PIm.be, une pour Gof et une pour moi...)
