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Le problème est qu'on choisit d'abord un syndic.
Mais en fait il faut d'abord proposer un cahier des charges pour le syndic, puis l'amender et approuver. Puis on envoie ce cahier des charges aux candidats-syndics.
Comment y arriver? En nommant un vrai avocat de l'ACP, indépendant du syndic. C'est a lui de guider l'AG dans cette procédure, en absence du syndic en fonction.
Comme il n'y a rien de contrôler, le CG doit (comme organe) s'abstenir de ce débat.
Ce cahier des charges (ou règlement du syndic) formera le check-list pour le syndic. Ce cahier doit être équilibré. Comme le règlement e copropriété prévoit des amendes en cas de non-exécution, le règlement du syndic doit-aussi en prévoir quand le syndic n'exécute pas ses tâches correctement.
Puis (ou d'abord) on fait de la même façon un règlement du conseil de gérance (et ou vérificateurs). Tout CP devrait explicitement accepter ce règlement, s'il est candidat.
Cette solution (cahier des charges) est utilisé pour rénover et/ou construire une maison individuelle. Pourquoi pas pour la copropriété?
merci de faire part de propositions structurées à visées construcitves.
Mais ne proposez-vous pas de faire "plus de la même chose" et de reporter le même problème à un autre niveau ? A savoir ajouter un degré dans le processus de gestion. Il faudra arriver à un accord sur le choix de l'avocat, sur le résultat de son travail (cahier des charges). Sera-ce plus simple que de trouver un accord sur le syndic et sa gestion ?
Le problème actuel, quand problème il y a, ne vient pas d'un manque de directives, réglements ou lois mais du non respect de ceux-ci.
Je ne connais pas le parcours de Curieux, « copropriétaire banalisé » mais je dirai qu’il ne faut pas se voiler la face. La réalité telle que certains la décrivent est malheureusement bien présente surtout dans certaines grosses ACP et je ressens chez lui comme un malaise à envisager cette réalité.
...
Désolé Curieux de vous avoir peut-être perturbé le sommeil.
Puisque vous vous souciez de mon sommeil : il n'est pas perturbé, merci.
J'ai expérimenté comme d'autres un certain nombre de choses désagréables :
- à la signature du compromis : erreur manifeste sur les quotités;
- à la signature de l'acte authentique : texte entièrement différent du projet reçu ;
- syndic "gendarme" persuadée "d'être" la loi (en même temps propriétaire de 15% des quotités). d'où échanges verbaux avec manoeuvres d'intimidation ... qui ne m'ont pas intimidé. J'ai été considéré comme "L"'empêcheur de gérer sans contradiction;
- petites mesquineries à répétition vraiment empoisonnantes, origine : l'un ou l'autre copropriétaire ;
- initiatives intempestives etc...
Nécessité de contacter moi-même le promoteur pour qu'il refasse à ses frais un roofing (200 m2). Rétrospectivement je me réjouis d'avoir agi seul.
J'ai aussi expérimenté :
- certains "taiseux", "effacés", votent les solutions alternatives si quelqu'un d'autre a osé ouvertement exprimer une opinion divergente (situation à priori dificile car fortement minoritaire - rappel des articles de l'acte de base et rejet de la proposition du syndic) ;
- des changements dans les rôles joués par les uns et les autres : arrivée de nouveaux copropriétaires, tempéraments différents, objectifs également.
Ma copropriété :
- différents profils : ceux qui envisagent de manière récurrente des améliorations (ex. viodéophonie, porte de garage, aménagement du hall d'entrée, etc...) et ceux qui envisagent seulement le maintien en bon état d'entretien de l'existant ; des occupations à titre professionnel et à titre privé ;
- (20 ans - 20 entités - peu comparable avec de "gros machins" )
Comme écrit précedemment : "ce n'est pas le paradis sur terre" et "grosso-modo : l'immeuble est correctement géré".
Curieux demande quelle solution simple adopter en cas de problèmes dans une ACP.
Dans les cas graves dénoncés, à savoir un pouvoir dictatorial, abusif et incontrôlé, je pense qu’il n’y a pas d’autre solution que de lui opposer un contre pouvoir comme nous l’avaient suggéré certains responsables de l’IPI …il y a dix ans.
C’est ce que nous avons tenté de faire en créant alors une commission de contrôle des comptes. Nous étions 6 CP sur 102. Nous avons investigué et fait rapport aux CP par un toute boîtes.
Le syndic et le conseil de gérance ont considéré cela comme une déclaration de guerre, arguant que si l’AG avait élu des vérificateurs aux comptes, il n’était pas permis que d’autres CP refassent les contrôles déjà effectués.
Il est bien certain qu'il existe des situations graves où seul les grands moyens (actions en justice) seront pertinents.
Dans les cas banalement insatisfaisants, ne peut-on se dire qu'en cas d'échec d'une stratégie il en existe d'autres. Que demander ponctuellement des justifications, exprimer ses positions, faire rectifier un point précis montre que l'on suit ce qui se passe, et si c'est l'attitude d'un certain nombre de CP cela a une certaine efficacité. Que la mise sur pied d'initiative, par une petite minorité d'une super-commission de contrôle est un choix qui a en effet toutes les apparences de la suspicion (peut-être justifiée) et demande que l'on ait déjà envisagé les actions ultérieures en fonction des résultats possibles.
Allez, courage quand même…klaar om te roeien ? Roeien !
Zeker, mais pas pour aller n'importe où ailleurs.
Comment au quotidien faire avancer Schmilblic ? "Réveiller la passivité des copropriétaires
A lire certaines interventions le "couple infernal CG/syndic" n'est pas le problème majeur mais bien la passivité ou à l'inverse la fougue des CP qui permettent au couple "syndic/CG" de prendre une importance indue.
Réveiller la passivité et obtenir une participation réelle, réaliste, ne se fera ni en déversant d'une plume alerte et douée des propos agressifs ni en citant à l'envie des cas dans lesquels le couple "syndic/AG" apparaît comme tout puissant. Soyons réalistes dans les copropriétés dont nous nous plaignons arriverons nous à modifier ainsi le comportement de quelqu'un ? Donnons plutôt à ceux qui voudraient bien mais qui n'osent pas ou ne savent comment faire, des éléments de solution. Même et surtout les plus simples. Même les plus évidents. Citons des cas où où on a pu éviter une décision, une action, indésirable. Ne dramatisons pas, évitons d'effaroucher à notre tour mais montrons que l'on survit à quelques propos acides.
C'est ainsi et ce n'est pas contradictoire avec l'action structurée en association, que me semble-t-il , l'on stimulera la volonté et l'audace réelle d'agir évitant la spirale perverse qui amène les situations d'extrême soumission d'une majorité et/ou d'action en justice à la portée seulement d'une minorité.
Ceci bien entendu si nous cherchons une copropriété vivable et suffisamment bien gérée. Si nous avons d'autres objectifs, quels qu'ils soient, ces propos ne seront pas pertinents.
PIM a écrit : ...
Je pose cette question pour la raison suivante:
- si c'est un extrait du PV de l'AG : il est tout à fait possible qu'en réalité les copropriétaires présents à l'AG aient reçu une série d'explications complémentaires verbales (et qui ne sont pas actées pour éviter, par exemple, que le PV ne puisse être utilisé en justice.... contre la copropriété) et que ces explications reçues en AG aient, en fait, motivé la décision prise à l'unanimité de renoncer à la poursuite de l'affaire.Luc a écrit : ...Oublier de notuler une phrase essentielle des débats pour "éviter" qu'elle soit utilisé contre le pouvoir en place est une technique courante.
Mais cela est et reste un faux en écriture.
...
Si l'analyse de PIm est exacte, il n'y aurait ni faux, ni omission. Il y aurait référence explicite à l'existence de faits qui demanderaient la discrétion.
On peut être d'accord ou non à propos de cette nécessité de discrétion.
A défaut de connaître les faits de première main, ni d'avoir le dossier, nous ne pouvons affirmer que le PV d'AG est d'une quelconque façon contraire à la réalité des faits.
curieux a écrit :
1° : pourquoi AUCUN copropriétaire n'a-t-il, d'après le récit, pas même posé une question ?
Et je suppose que les changements de syndic ont été votés en AG.
D'où provient l'asymétrie d'implication, d'intérêt, "d'audace". Les moyens d'ordre intellectuel, financier, social, de personnalité, etc ... sont-ils si différents ?
Ce n'est pas le règne de la terreur quand même ?2° : qu'est-ce qui fait que ce récit soit "publié" maintenant et ici ? Quelle est la position du narrateur ?
Pourquoi personne n'a posé, ou osé poser, de questions est précisément la question que nous nous posons tous ?
Je précise que j'ai apporté une correction au récit en mettant en italique les propos du syndic E repris dans son PV.
S'agit-il de techniques de manipulation de foule, comme l'a dit Luc ?
S'agit-il du règne de la terreur ? Oui, dans de nombreux cas par la perte d'avantages octroyés par les cogestionnaires en cas de "contestation" de la gestion.
J'ai remarqué que la devise dans les grosses ACP était "Moi, couillon, NON, mais TOUS couillons, OUI" pour ne pas sortir du lot !
Il serait certainement judicieux qu'une étude sociologique analyse les comportements des copropriétaires, notamment en AG .
Je peux vous dire que les 7 cas que je vais relater, mais laissez moi un peu de temps, attestent d'une absence totale de transparence de la gestion par le syndic et d'un pouvoir autoritaire du conseil de gérance.
Il faut admettre que les contrôles réalisés au cours du mandat du syndic B par les vérificateurs aux comptes entre 1997 et 2000 ont été inefficaces puisque c’est le syndic C qui constata qu’il y avait des montants injustifiés pour un montant de 8.988 € imputés en charges communes, alors que les contrôleurs avaient donné le quitus au syndic B pour une partie des sommes injustifiées.
Voilà qui devrait conscientiser les copropriétaires à ne pas faire totale confiance aux contrôleurs qui contrôlent, mais contrôlent QUOI.
Comment expliquer l’attitude de l’ACP qui, sans être au courant, lance citation, obtient un jugement favorable et renonce ensuite, sans savoir pourquoi et sans chercher à savoir pourquoi, à poursuivre la procédure ?
Est-ce l’intérêt commun de renoncer à vouloir récupérer une créance de 10.000 €
Peut-on déduire de cette affaire que le syndic, organe de l’ACP, en accord avec 2 membres du CdG (organe de l’ACP) a défendu les intérêts de l’ACP ?
Dans les faits, le syndic E donne quitus au syndic B.
Ne faut-il pas voir dans cette attitude un « arrangement » entre syndics ?De quelle prérogative disposait-il pour aller à l’encontre de ce jugement ?
De plus, son attitude de ne pas rendre compte en détail des arguments retenus pour décider de clôturer le dossier est contraire au principe que tout mandataire doit rendre compte de son mandat.En effet: que signifient les propos du syndic E « sans aller plus loin dans les détails qui pourraient être utilisés contre la copropriété » j'ai décidé de cloturer ce dossier ?
Quel a été le rôle de l’avocat dit « de l’ACP », en fait l’avocat du syndic C qui, lui, n’a pas jugé que l’action était partiellement injustifiée ?
S’agissait-il simplement d’un règlement de comptes entre syndics, sur le compte de l’ACP, puisqu’il faut signaler qu’il y avait de gros problèmes relationnels entre les syndics B et C dans une autre ACP ?
Voilà à quoi peuvent servir les fonds communs !
Dans tous les cas que j'ai connus, ces avocats se sont comportés en exécutants serviles de leur client...le syndic et le conseil de gérance, alors qu'ils ont une déontologie.
Enfin, je réponds à votre question à mon sujet, en vous invitant à relire toutes mes interventions sur le forum de PIM depuis décembre 2004 pour comprendre mon parcours de copropriétaire.
Je suis un copropriétaire "banalisé", comme l'a dit Luc, dans le sens que je n'ai aucun mandat dans l'ACP, mais vous semblez ne pas accepter ce terme "banalisé" car je ne suis effectivement pas un copropriétaire "mouton" comme des syndics et le conseil de gérance aimeraient qu'ils soient (tous).
Quant au choix de ce forum pour publier ce récit, il faut reconnaître la qualité de ce forum qui laisse l'opportunité à chacun de s'exprimer.
Pourquoi maintenant ?
Parce qu'une proposition de modification de la loi de 1994 vient d'être déposée par la sénatrice Nyssens et que ce texte doit encore être amendé.
Les cas que je vais décrire montrent les dangers réels d'un pouvoir étendu, confié au conseil de gérance, car il y a confiscation du pouvoir de copropriétaire.
Je précise que le cas n°1 ne se passe pas dans mon ACP.
P.S. Et vous, Curieux, quelle est votre position, copropriétaire, membre d'un conseil de gérance, syndic pro ou bénévole.
Je suggérerais à PIM, pour une meilleure compréhension des interventions, que figure, sous le pseudo, la qualité de l'intervenant...en lieu et place du très sympathique qualificatif, redondant puisque le nombre d'interventions renseigne sur l'assiduité de l'intervenant.
Merci d'avoir répondu.
Je déduis de votre réponse que les éléments du dossier en votre possession ne permettent pas de répondre aux questions que nous nous posons. Toutes les hypothèses restent possibles.
L'expression "copropiétaire banalisé", au sens de "ne faissant pas partie des structures en place : CG de gérance ou Syndic" a été employée par Luc. Il n'est pas dans mon propos de discuter à son sujet, mon questionnement venait de ce que les faits que vous citez ne pouvaient logiquement pas se passer dans votre copropiiété et je me demandais donc à quel titre vous les connaissiez et vous les citiez.
(je n'ai pas (encoe) relu vos posts)
Enfin, pour répondre à votre question : je suis propriétaire et "copropriétaire banalisé". Je ne fais partie d'aucune structure.
Je m'efforce d'apprendre ce qu'il est utile de savoir pour gérer correctement "mon bien" et le comportement humain m'intéressse.
Merci à ceux qui lisent et qui commentent, Pim, Luc, et tous les autres.
Mais dans le cas 1 décrit par Zitoun, mon interrogation reste entière.
Obtenir en AG
1° une UNANIMITE ;
2° sans même un questionnement - ne parlons pas d'opposition ;
3° qui va à l'encontre des intérêts financiers des copropriétaires qui renoncent à +/- 10.000 €
4° alors qu'un premier procès avait été gagné et AVAIT CONDAMNE LE SYNDIC A PAYER.
est une volte face qui me semble autre chose qu'une "banale" manipulation, illustrée par Luc, qui neutralise une minorité.
Pourquoi ce récit est-il publié ici et maintenant ?
ce forum est intéressant, fort bien "tenu" etc... et il y a peut-etre du changement mais ce n'est qu'un aspect de la question.
Reste sans réponse: "dans quel but" ?
Quant à la position du narrateur ?
ce n'est selon le récit, en tout cas pas un copropriétaire banalisé membre du 1% qui réagiit ouvertement dans cette copropriété.
En relisant l'historique du cas n° 1, je crois qu'une oligarchie existe au sein de cette ACP.
Il en ressort que l'ACP a limogé un syndic C, qui a obtenu la condamnation du syndic B, et ensuite D, pour finalement après quelques mois avoir un syndic E qui veut proposer ce que le pouvoir en place veut. Est-ce les syndics C,D et E ont été mis en compétition à l'AG 2003?
Accuser un syndic de fautes graves est très facile pour un CG. Mieux que le syndic ils savent jouer sur les émotions pour obtenir gain de cause. Le syndic est faible puisque, s'il sait prouver qu'il a raison, il doit continuer à travailler avec ce même CG.
La frontière entre une oligarchie et une démocratie est parfois floue. Mais certains éléments sont toujours pertinents pour faire la différence. Qui a accès à l'information en est un. On est en présence d'une oligarchie quand l'information n'est pas disponible/accessible à tous les CP au moins 8 huit jours avant l'AG (disons au moment de l'envoi de l'invitation).
il est bien possible que votre analyse soit exacte.
Cependant :
1° : pourquoi AUCUN copropriétaire n'a-t-il, d'après le récit, pas même posé une question ?
Et je suppose que les changements de syndic ont été votés en AG.
D'où provient l'asymétrie d'implication, d'intérêt, "d'audace". Les moyens d'ordre intellectuel, financier, social, de personnalité, etc ... sont-ils si différents ?
Ce n'est pas le règne de la terreur quand même ?
2° : qu'est-ce qui fait que ce récit soit "publié" maintenant et ici ? Quelle est la position du narrateur ?
curieux a écrit : Il m'étonnerait qu'il (le syndic) puisse négocier avec l'ACP l'application ou non de la TVA. Cela se choisit pour l'ensemble de son activité de syndic et "se négocie" (est argumenté) avec l'administration de la TVA; Non ?
Il est vrai que je pourrais être (cfr Marianne) un "fiefffé jobard" !
Techniquement possible si l'agent immobilier agréé est le gérant de deux personnes morales différentes (SPRL, SA, ...) avec une activité come syndic. Je connais d'exemples concrets de cette situation (mais je ne sais pas si le régime TVA est différent).
Si je comprends bien : avec dans ce cas une société ayant opté pour l'application de la TVA et l'aautre pour l'exemption mais les deux sociétés ayant une activité de syndic et le syndic qui négocie à chaque fois avec la copropriété ?
Ca devient en effet du "techniquement possible" et ça me donne aussi le tourni
Voilà un bien vieux sujet qui est abordé dans le Forum. Mon étonnement rejoint celui de Marianne.
Les syndics professionnels travaillent, en grande majorité, non assujetti à la TVA depuis 1995.
....
En faisant quelques recherches sur Internet j'ai trouvé des tarifs
1° détaillant honoraires + TVA ;
2° annonçant TVA compris ;
3° aucune mention --> on ne sait pas si une TVA est ccomprise ou non, sera ajouté ou non
Dans aucun des tarifs annoncé il n'est mentionné sous aucune forme, "prestations exemptées de TVA"
Où trouver des références fiables permettant de savoir la proportion de syndics qui sont (ne sont pas) assujettis à la TVA ?
Merci
oldman a écrit : ...Dans un cas comme dans l'autre, l'application de la TVA est contraire à la 6e directive TVA (qui, comme vous devriez le savoir, est une "loi européenne" à laquelle vous devez vous soumettre, que l'aimiez ou non) et est défavorable aux copropriétaires.
La TVA ne se négocie pas, au contraire des honoraires.
La loi est la loi. De wet is de wet.
Relisez attentivement vos sources. Et la page que je viens de poster.
Et si la directive concerné change, ce sera probablement dans le sens que les syndic professionnels seront soumis à la TVA. L'option actuelle de non-application de la TVA par une "personne morale" est une exception, que la Belgique a obtenu, en principe temporairement.
Quand on dit "opter", cela signifie selon moi que cette personne à la choix. Correct?
Il peut donc "négocier" avec l'ACP l'application ou non de la TVA.
Il m'étonnerait qu'il (le syndic) puisse négocier avec l'ACP l'application ou non de la TVA. Cela se choisit pour l'ensemble de son activité de syndic et "se négocie" (est argumenté) avec l'administration de la TVA; Non ?
Il est vrai que je pourrais être (cfr Marianne) un "fiefffé jobard" !
Les Belges n'aiment pas les taxes et si la loi les en exempte, il ne faut pas chercher plus loin.
c'est un peu court jeune homme.
En application de l'art. 4, § 4 de la 6e Directive du Conseil des Communautés européennes du 17 mai 1977, les prestations des syndics ne sont plus soumises à la T.V.A. à partir du 1er août 1995 comme le prescrit la loi sur la copropriété.
...
??? J'ai l'imrpession de vivre sur une autre planète.
Qu'en disent les syndics ?
Je vois des tarifs avec TVA, de facturations aussi.
Y-a-t-il des directives de (ou à l'intention de) l'administation de la TVA en Belgique ?
Pouvez-vous donner un lien pour consulter vos sources aisément ?
Merci
Pim a écrit:
Et le raisonnement spécieux de Cassenoisette, relevé avec pertinence par Curieux, ne laisse rien augurer de bon en matière de démocratie...
Baxter a écrit:
C'est Berlusconi qui dirige cette ACP ?
Cassenoisette avait écrit dans un article paru dans une revue spécialisée en 2001:
Mais afin de permettre au lecteur de percevoir la distinction que j'opère entre une valeur revendiquée et un valeur d'action, je raconterai une histoire vécue dans ce magnifique pays, maudit des dieux (Cette expression peut paraître trop forte à certains, mais je l'emploie en analogie avec le silence de Dieu à Auschwitz), le pays des milles collines.
Il était 17 heures trente. Nous quittions le parc de l'Akagera et l'idée me prit de rejoindre Kigali par de petites routes à travers les collines rwandaises. Sous l'équateur, le soleil se couche vers 18 heures et l'obscurité tombe rapidement. Nous roulions en évitant bosses, trous, dos d'ânes, et autres obstacles. Petit à petit l'inquiétude monta car le soleil commençait à disparaître à l'horizon.
Je m'arrêtai et demandai à un brave homme le long de la route avec multes gestes : "Kigali par là ?". Il me répondit: "Yego". Parfait. J'ai roulé encore quelques minutes et je n'étais pas rassuré car le soleil se couche à l'ouest et il se trouvait toujours derrière moi. J'étais donc en droit de supposer que je roulais vers l'Ouganda d'Idi Amin Dada. Je m'arrêtai encore une fois et je posai la même question à un autre brave homme se déhanchant le long de la route "Kigali par là ?". "Yego" répondit-il. Je repris la route. Les dernières clartés apparaissaient encore toujours derrière moi. Ma femme commençait à s'inquiéter de plus en plus. Il fallait décider assez rapidement. Je m'arrêtai à nouveau et je demandai prudemment (buhoro-buhoro, dit-on en kinyarwanda) à un troisième homme: "Kigali, par là ou par là ?". Il me répondit: "Je n'sais pas, Monsieur". Je le pris avec moi en voiture; il me montra spontanément la bonne direction jusqu'à la grande route. Je le remerciai et lui offris un "cadeau" pour son service. Conclusions: (a) lorsque nous posons une question, nous y répondons souvent nous-mêmes et donc notre question n'appelle que l'approbation ou le silence; (b) la valeur d'une parole se révèle dans l'action qui la réalise. "Uvuyehe? Sinziiyomvuye. ("D'où viens-tu? Je ne sais pas d'où je viens".) (expression rwandaise!)
Que d'énergie dépensée pour une "discussion stérile" (sic) ! Quel en est le moteur ?
Tout syndic bénévole dans le cas de très petites copropriétiés s'engagerait-il donc alors dans cette gestion sans les bases requises pour maintenir l'immeuble en bon état et garder intacte la valeur du bâtiment.
Le syndic doit agir en bon père de famille prudent et dilgent...même bénévole....
Les compagnies d'assurances sont-elles prêtes à couvrir tous les risques inhérents à cette fonction et à quel prix ?
Il existe aussi des statistiques sinistres
Est-ce que vous êtes assuré en RC à quelque niveau ?
Si oui dois-je en conclure que vous n'êtes ni bon père de famille, ni prudent, ni diligent ?
Réticcence possible des assureurs : ne changez-vous pas d'argumentation ?
La loi sur le volontariat ne peut s’appliquer aux syndics bénévoles qui en acceptant cette fonction doivent aussi en accepter les risques et s’assurer personnellement et pas faire payer les primes par les autres.
….
je vois avec plaisir que vous êtes prêt à prendre seul tous les risques pour rendre service à la copropriiété, sans rien demander en retour. Après la participation au CG, la fonction de syndic bénnévole. Bravo.
Le CG dans certains cas, il y aurait peut-etre matière à discussion.
Pour le syndic bénévole d'une petite copropriété, la contestation de son utilité me semble beaucoup plus difficile sauf à vouloir que tous les copropriétéiares payent beaucoup plus cher qu'une assurance en faisant appel à un syndic professionnel. Pensez-vous que les toutes petites copropriétés 2 ou 3 logements seront mieux servis ?
Dans un autre sujet Grmff a rappelé qu'un fonds de roulement n'est pas obligatoire, mais qu'une saine gestion le rend nécessaire.
Je me suis demandé pourquoi la loi ne l'impose pas.
Finalement j'ai constaté que le fonds de roulement peut être supprimé dans le cas d'une comptabilité d'engagement en partie double.
Comme certains intervenants n'aiment pas lire de longues textes je vais rendre mon raisonnement accessible d'une autre façon.
En tout cas je vais proposer à mon AG de passer à la comptabilité d'engagement à partie double à partir du 01.01.2008. Et supprimer le fonds de roulement à la date du 01.04.2008. Cela exigera une AG spéciale en décembre 2007, pour approuver le budget prévisionnel 2008, fait par le nouveau syndic.
Le contrat du syndic actuel de mon ACP s'expire le 01.12.2007. Sa nouvelle déontologie lui impose de présenter un contrat au préalable à tous les CP. Et d'autoriser que d'autres candidats syndics se présentent.
Et avec la compta d'engagement vous faites les appels e fonds un an à l'avance ?
curieux a écrit : luc a écrit :
Ma proposition était de permettre à tous d'en commander en groupe.
Et vous ne savez pas proposer ça à l'ensemble des copropriétaires ? en AG ou autrement ?
Non. Le syndic refuse de mettre mes points à l'OJ. Je n'ai pas à m'immiscer dans son travail. Il est le professionnel avec 150 ACP et 3000 appartements. Il le sait mieux que moi ce qu'il doit faire (selon lui et le CG).
Et je n'ai eu droit à la parole pendant l'AG que depuis cette année, après des années que j'ai été hué et ridiculisé par une petite minorité de CP. Mais je continue à être hué, ... par ce groupe d'opposants.
Autrement? Je suis en justice pour tous les AG depuis 2004. Le syndic utilise tous les astuces pour déférer les jugements et désinforme les CP. Je refuse à répondre à leurs lettres ouvertes par une lettre ouverte. Cela ne résout rien.
C'est un "démineur" (cfr ex politiqque belge cinnu) qu'il vous faut !
Ma proposition était de permettre à tous d'en commander en groupe.
Et vous ne savez pas proposer ça à l'ensemble des copropriétaires ? en AG ou autrement ?
Absolumment, je confirme que mon exemple est calculé sur 12% (1000 euros par mois sur un bien de 100.000€ = 1% par mois = 12% par an)
Sur Bruxelles, on est plutôt à du 3 à 6%...
voilà qui est plus sage
Mon prochain investissement, ce sera du 9.39% sur prix d'achat frais de notaire compris (et du 14.25% sur investissement personnel...)
Trop beau pour être vrai? Si c'était vrai, est-ce que tout le monde ne le ferait pas? Pourquoi? Ben parce que les gens ont dans la tête que c'est une gestion complexe, avec un risque important d'avoir un locataire mauvais payeur...
Bref, si tout le monde ne fait pas un investissement immobilier, c'est parce que cela ne convient pas à tous...
Ca vous convient manifestement et si ce n'est pas si complexe, cela demande beaucoup plus de temps et de rigueur que l'on pense généralement.
Si pour des raisons évidentes de coût le syndic traite de matière privative en copropriété, il continue à agir en temps que syndic.
Le régisseur met en location, surveille le payement des locataires, organise les visites, la mise en état, etc.
Mettre des détecteurs de fumée dans les appartements, cela n'a rien à voir ave c une tâche de régisseur: la sécurité de tous est améliorée...
J'ai l'impression que vous cherchez midi à quatorze heure, de manière inutile et toursiveuse.
On a compris que vous n'aimiez pas votre syndic, et que vous étiez plus légaliste que le président de la cour de cassation. Mais là, j'en suis pantois.
Vous aurez difficilement rzison avec Luc (= sophisme ?) 