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La réponse est non mais on peut l'exiger contractuellement.
Et le contrat fait la loi des parties ...
Ne soyez pas trop frileux. Les conséquences de l'incendiepeuvent mettre son (présumé) responsable sur la paille pur le restant de ss jours.
Voyez, entre autres, ce fil de discussion.
Bien à vous,
Dans ce cas, cela n'a pas d'incidence, en application du principe de relativité des conventions, sauf au cohabitant à démontrer qu'il a été accepté implicitement comme locataire (difficile, mais pas impossible ; il y a eu un jugement du juge de paix de Forest à ce propos l'année passée).
Cordialement,
Art. 215 C.civ., § 2.
Le droit au bail de l'immeuble loué par l'un ou l'autre époux, même avant le mariage et affecté en tout ou en partie au logement principal de la famille, appartient conjointement aux époux, nonobstant toute convention contraire.
Les congés, notifications et exploits relatifs à ce bail doivent être adressés ou signifiés séparément a chacun des époux ou émaner de tous deux.
Toutefois, chacun des deux époux ne pourra se prevaloir de la nullité de ces actes adressés à son conjoint ou émanant de celui-ci qu'à la condition que le bailleur ait connaissance de leur mariage.
Ceci vaut aussi pour des cohabitants légaux.
En dehors de ces cas, le décès du locataire n'emporte pas la fin du bail, sauf si cela est expressément prévu (bail "intuitu personae"), le droit au bail revenant aux héritiers (avec les difficultés que cela sppose en cas de deshérence).
Bien à vous,
Le vendeur vous doit sa garantie pour tout vice caché dont il avait connaissance et qu'il ne vous a pas révélé lors de la vente (art. 1641 et svts C.civ.).
Si vous pouvez démontrer un dommage qui est la conséquence de l'inexécution de cette obligation, qui n'est qu'une variante de celle de l'exécution de bonne foi des conventions, mettez en demeure le vendeur d'exécuter sa garantie.
Si le dommage est relativement important, faiktes-appel à un avocat.
Bien à vous,
Pour info, les banques ne peuvent obliger la souscription d'assurances combinées avec un PH. C'est contraire à la Loi sur les pratiques de commerce.
La loi relative au crédit hypothécaire prévoit une dérogation à ce propos, mais uniquement pour une assurance décès, incendie ou caution.
Par contre, "Il est interdit au prêteur d'obliger directement ou indirectement l'emprunteur à souscrire le contrat annexé auprès d'un assureur désigné par le prêteur." (art. 6 de la loi).
Bien à vous,
Voici le lien vers l'autre fil de discussion.
Bien à vous,
S'agissant d'un bail de droit commun, il faut se référer aux termes du bail pour déterminer les modalites à respecter pour y mettre fin (à quel moment, moyennant quel délai de préavis, selon quelle forme etc.).
A défaut de convention, le bail sera réputé conclu au mois, avec un délai de préavis d'un mois.
Pour la compétence du tribunal, il y a un autre fil de discussion qui traite de la question (droit international privé), mais que je n'ai pas (encoreà retrouvé).
Il a été accepté, avec une conférence de presse à l'appui ...
Au fait, vous avez vu l'accueil. Il y a de quoi rendre jaloux d'aucuns ...
Voici un lien vers un article juridique qui traite de ce type de clauses de résiliation anticipée.
Il fait état d'une vieille controverse quant à la validité de ces clauses dans le cas d'un bail de courte durée. Cela a déjà fait l'objet de débats animés sur ce forum
.
Voyez notamment l'excellente analyse d'un intervenant (un civiliste ...), attirant à juste titre la différence fondamentale entre le pacte commissoire exprès et la condition résolutoire.
Sauf un accord négocié avec le bailleur, il n'y a pas de possibilité de résilier unilatéralement le bail avant son terme prévu.
Certains baux prévoient néanmoins ce que l'on appelle une "clause diplomatique", qui vise le cas que vous évoquez. Vérifiez donc le bail.
Attention encore qu'il est impossible de sous-louer la totalité de l'appartement (@ Coch, j'ai vérifié, c'est dans le Code
).
L'accord écrit et préalable du bailleur est obligatoire pour envisager une cession du bail. "Dans ce cas, le cédant est déchargé de toute obligation future, sauf convention contraire, incluse dans l'accord sur la cession du bail." (art. 4 des dispositions du Code civil relatives au bail de résidence principale du preneur).
En résumé, il n'y a sans doute pas d'autre possibilité que de négocier sur une base raisonnable avec le bailleur. Pour les baux de 9 ans, il est par exemple prévu qu'en cas de résiliation dans les trois premières années (ce qui est possible dans cette hypothèse), le preneur prenne en garde un délai de préavis de 3 mois (@ Coch, c'est donc bien trois mois
) et verse en outre une indemnité équivalente à 3, 2 ou 1 mois de loyer selon que le congé prend fin dans le 1ère, 2e ou 3e année du bail.
Bien à vous,
Je lis, page 26, paragraphe d, de la Loi sur les Loyers édition août 2007 :
"Le locataire peut partir à tout oment, à condition de notifier au bailleur un congé de 3 mois."
6 mois, c'est pour le bailleur.
Comme quoi, il faut toujours (re)vérifier ses
.
Désolé.
Cordialement,
6 mois? Ce n'est pas 3?
Le délai de préavis pour un congé donné en tous temps = 6 mois.
Le délai de préavis pour un congé au terme du bail = 3 mois.
Le plus vraisemblable est de retenir la seconde hypothèse dans ce cas précis, nous sommes bien d'accord.
Bien à vous,
La notification d'un congé reste un acte informel. Il faut toutefois pouvoir en apporter la preuve.
Mais en admettant que l'annonce verbale de janvier puisse être considérée comme un congé valable, soit il était trop tard pour quitter l'appartement fin avril, puisque ce type de congé nécessite un délai de préavis de 6 mois. Il aurait donc dû être signifié au plus tard en octobre 2007.
Comme il a été signifié dans le courant du mois de janvier, le bail aurait pris fin le 31 juillet 2008.
Mais l'on peut aussi considérer qu'il s'agit d'un congé en raison de l'arrivée du terme du bail, qui nécessite, comme l'a souligné Cochise, un délai de préavis de 3 mois. Mais dans ce cas, le bail ne prend fin qu'au jour précédent sa date anniversaire, soit le 31 mai 2008. Dans ce cas, le loyer est dû jusqu'à la fin du mois de mai.
Votre locataire s'en tire donc à très bon compte, dans une hypothèse comme dans l'autre, d'autant plus qu'il ne s'est pas réservé la preuve de son congé.
Pour mettre les choses au point, je lui confirmerais cette position par écrit, tous vos droits saufs de réclamer ce qui vous est dû.
Bien à vous,
Voyez du côté de l'administration du cadastre, rue Stevens, 7, à 1000 Bruxelles. L'information est payante (quelques euros).
Bien à vous,
Si le bien loué sert de résidence principale aux époux, il convient de rester prudent.
Qui dit mariage dit régime matrimonial. En fait, le mariage emporte la création de deux régimes distincts. Le second est le plus connu. C'est celui dans lequel les époux font le choix de rapports patrimoniaux qu'ils entretiendront : communauté des biens, réduite aux acquets ou universelle, séparation des biens, avec toutes les variantes possibles, ...
Le régime primaire est celui qui s'impose aux époux par le simple fait du mariage. Il n'offre aucune liberté de choix. C'est le noyau dur du mariage. Il est généralement considéré comme relevant de l'ordre public, en sorte que toute convention qui lui est contraire est nulle, de nullité absolue.
L'article 214 du Code civil, qui relève de ce régime primaire, précise que "La résidence conjugale est fixée de commun accord entre les époux. A défaut d'accord entre eux, le juge de paix statue dans l'intérêt de la famille.
Si l'un des époux est présumé absent, interdit ou dans l'impossibilité de manifester sa volonté, la résidence conjugale est fixée par l'autre époux."
Il faut évidemment entendre ici l'absence au sens de disparition et non de simples vacances à l'étranger.
Quand bien même le régime matrimonial secondaire serait celui de la séparation des biens, il vaut donc mieux vous assurer que les époux s'entendent sur le choix de leur résidence commune.
En conséquence, demander que l'époux qui signe le bail qu'il produise un mandat à cet effet lui donné par le conjoint à l'étranger, me semble prudent.
A défaut, le bail conclu ne serait pas nul. Mais vous risquez d'être emporté dans les tourmentes d'une dispute conjugale sur le choix de la résidence qui, bien que ne vous concernant pas, pourrait avoir les mêmes conséquences qu'un contentieux locatif classique.
Cordialement,
@gof: elle a très bien pu vendre la drève d'accès et créer une servitude à son profit sur une partie de la dite drève .
J'ai compris ! (dur dur certains jours
)
En clair : A front de rue vous avez votre maison, avec une bande terrain dans le prolongement de celle-ci (notamment votre cour).
En fond de terrain une autre propriété, avec une bande de terrain qui rejoint la voirie. Au moment de la vente, vous vous êtes réservé une servitude au profit de votre propriété, pour que vous puissiez accéder à votre cour, située derrière votre maison.
Dans ce cas en effet, vous ne pouvez pas installer vos impétrants dans le chemin d'accès sans l'accord exprès de votre voisin, puisque le sol ne vous appartient pas et que vous n'avez pas de contrat qui vous permette de faire ce type de travaux.
Ce que vous souhaitez établir est une servitude en sous-sol. Il s'agit d'un servitude non apparente (puisqu'elle n'est pas visible en tous temps). Une telle servitude ne peut être constituée que par contrat. Vous devrez vous entendre avec votre voisin, pour que celui-ci vous autorise à aménager vos impétrants dans une partie de sa propriété à lui. Vous ne pouvez toutefois pas l'y obliger.
Dans l'hypothèse où votre voisin serait d'accord, s'agissant d'une servitude conventionnelle portant sur un immeuble, ce type de contrat doit être établi dans la forme authentique, c'est-à-dire qu'il doit être reçu par un notaire et ensuite transcrit dans le registre du conservateur des hypothèques (en bref, ce n'est pas gratuit).
Pour rassurer votre voisin, vous pouvez lui expliquer que puisque cette servitude profite à votre immeuble uniquement, il ne devra pas intervenir par la suite dans les frais d'entretien de la servitude. Autrement dit, sauf les travaux d'aménagement en par la suite les travaux d'entretien (mais qui ne sont pas très fréquents), il ne devrait en principe pas avoir d'inconvénient de la présence de vos impétrants.
Comme l'a suggéré Pim, contactez votre notaire pour qu'il vous explique tout ça et, pour qu'il n'y ait pas de malentendu dès le départ, pour qu'il vous aide éventuellement à rédiger un courrier avec une demande précise pour votre voisin, demande qui le rassure en même temps sur les conséquences de son accord éventuel.
Bien à vous,
En ce qui concerne la Région de Bruxelles-Capitale, voyez également ce document, trouvé sur le site de l'IBGE.
Bien à vous,
Il semblerait qu'il y ait quelque incompréhension entre le bailleur et vous en effet
.
En matière de baux de résidence principale du preneur, la loi prévoit en gros quatre types de durée. Les baux de neuf ans, de plus de neuf ans ou à vie ne nous intéressent pas ici.
Restent donc les baux de courte durée, c'est-à-dire dont la durée de départ n'excède pas trois ans.
C'est ce dernier contrat que vous semblez avoir conclu. Aux termes de la loi, qui est impérative (cela veut dire que les parties ne peuvent pas y déroger par contrat), un bail de courte durée n'est pas résiliable unilatéralement par anticipation. Autrement dit, il faut aller jusqu'à son terme.
Les avis sur la validité d'une clause de résiliation anticipée au profit du preneur, qui semble être reprise dans votre bail, sont partagés. Selon les uns, elle est conforme à la loi, selon les autres, elle ne l'est pas. En cas de contentieux, si la question est mise sur le tapis devant le juge, tout dépendra de la manière dont celui-ci comprend la loi.
Il est par contre possible dans tous les cas de mettre fin à un bail de courte durée, moyennant l'accord du bailleur et du preneur. Le cas échéant, il vaut mieux mettre cet accord par écrit.
Ceci dit, une relation contractuelle est avant toute chose une relation dans laquelle une confiance mutuelle doit s'instaurer. Avez-vous déjà soumis la manière dont vous vivez l'exécution du contrat au bailleur. Sans doute, avec un peu de bonne volonté de part et d'autre, une solution qui convienne à tous pourrait être dégagée sans trop de problème.
A défaut, vous pourriez demander, même de commun accord avec le bailleur, à être entendus par le juge de paix en conciliation. C'est une procédure relativement rapide et surtout gratuite, mais qui permet, à nouveau avec un peu de bonne volonté de part et d'autre, de trouver une solution satisfaisante.
Pour votre information, la loi prévoit que "A tout moment, chacune des parties peut demander au juge de paix la révision des frais et charges forfaitaires ou leur conversion en frais et charges réels."
Un déménagement quelque peu intempestif coûte cher, pour vous ... et pour le bailleur.
Bien à vous,
Sauf erreur, la gestion de ce type de pollution est une compétence régionale. Autrement dit, la situation de votre immeuble va déterminer la législation qui s'applique.